La Tentation De La Jouissance - Dévergondages 03
LA TENTATION DE LA JOUISSANCE - Dévergondages 03
Lors dun récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage daffaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées. Pour cela, il ma demandé dimaginer des récits pouvant lamener à se pervertir.
« Cest quand on sert une dame de trop près, quelle trouve quon va trop loin »
(Alphonse Allais)
Odile, est une jolie femme mariée de quarante-huit ans, responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile sest laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime dun chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond, et, pour éviter le déshonneur, elle est sur le point de se donner à lui.
Alors quEdmond dévore littéralement la poitrine orgueilleuse dOdile, elle éprouve un premier orgasme, lorsque, après que ses seins aient été embrassés et léchés depuis de longues minutes, Edmond prend un téton entre ses lèvres et le suce jusquau sang. Elle défaille alors et pousse un gémissement continu jusquau bref hurlement qui conclut la jouissance éprouvée.
Edmond prend alors dans ses bras la belle évanouie et la transporte sur la couche de la chambre, écartant difficilement le tulle très fin qui sert de moustiquaire et enveloppe entièrement le lit à baldaquin. Il profite de lévanouissement temporaire de sa proie pour déboutonner son pantalon en crêpe, le retirant prestement et le posant sur le canapé où le couple sétait assis.
Odile na pas encore repris conscience, bien que sa poitrine se soulève spasmodiquement, confirmant lémotion quelle vient déprouver. Lorsque les doigts atteignent la chatte de la belle endormie et que lindex se glisse entre les lèvres, Odile a un brusque sursaut et lance une main par-dessus celle dEdmond, voulant arrêter cette privauté quelle ne peut accorder.
Celui-ci a son doigt déjà bien engagé entre les parois du vagin, quil trouve étrangement bien humecté. La pauvre a beau se débattre, il a croché son doigt à lintérieur, lagitant contre la paroi rugueuse du haut du pubis, cet endroit si sensible où lon dit que beaucoup de femmes abritent leur point G. Odile halète soudain, jouissant du doigt qui frotte sans discontinuer cette partie si délicate. Elle essaie en vain de tirer en arrière le poignet dEdmond, enfoui dans sa culotte. Elle éclate soudain en sanglots, vaincue par le plaisir quelle ressent et par la honte de se conduire avec aussi peu de dignité.
Edmond stoppe aussitôt ses agissements. Il retire son doigt de lorifice inondé, ainsi que sa main, du fin tissu qui recouvre encore lintimité de celle quil est bien certain de baiser sous peu. Il embrasse Odile tout en la consolant. Elle se laisse faire, un peu perdue, reconnaissante malgré tout à Edmond de bien vouloir payer lhorrible homme qui la fait chanter, mais elle ne peut simaginer tromper son mari, même avec Edmond quelle apprécie beaucoup. Elle nest pas du tout attirée par lamour physique dailleurs, ne trouvant pas un grand intérêt à ce mélange des corps.
Alors quelle est tout contre Edmond qui la retient dans ses bras, il sent bien quOdile sagite, que son corps frémit contre lui. Celle-ci, complètement déboussolée, sépanche vers le seul homme à qui elle peut parler des sensations intimes qui la taraudent.
- Edmond, je ne suis pas une oie blanche, je suis tout de même mariée depuis bientôt vingt-cinq années. Mais
Mais
, nous ne faisons lamour que tous les samedis avec mon mari, sans
sans
, trop de
fantaisie vous savez
Je nai jamais été attirée par lacte charnel. Dailleurs, avec mon époux, nous nen parlons jamais. Il a bien essayé au début de notre mariage. Même, il voulait mentrainer dans des lieux libertins. Javais même accepté, pensant quil pourrait me quitter si je ne cédais pas. Heureusement, il a renoncé
Devant mon peu dintérêt, tout cela est rentré dans loubli
Je ne sais ce qui me prend avec vous Edmond
Jai
jai.., des sensations inconnues jusquà ce jour. Jai peur
Si vous saviez comme jai peur
de moi. Je ne sais ce qui se passe dans mon corps. Dites-moi, que je ne deviens pas une trainée ? Que je ne vais pas devenir une « salope », une « Marie, couche-toi-là » ?
La pauvre Odile est en pleurs. Les photos de sa déchéance, le chantage, la gentillesse dEdmond à son égard, ses sens qui la travaillent, depuis la pointe de ses seins, ses mamelons qui ont gonflé comme si elle était enceinte, tout son corps qui est électrique, son bas-ventre qui bat la chamade jusquà son minou quelle sent complètement trempé, ainsi que sa culotte ; tout cela laffole et la déstabilise.
Edmond ne veut pas contrecarrer ses plans, ni renoncer à se taper cette trop belle femme. Mais, il faut quil soit assez habile pour lamener progressivement à accepter de prendre un plaisir charnel quelle na apparemment jamais connu.
- Ma chère Odile, loin de moi lidée de vous brusquer. Vous êtes très tendue et je le comprends très bien. Il faut vous relaxer. Je vous propose un massage pour vous détendre, mais pour ne pas effaroucher votre pudeur bien légitime, je vais vous bander les yeux. Ainsi, vous ne vous verrez pas et vous irez beaucoup mieux.
En même temps quil parlait, Edmond, prend létole quOdile portait sur sa tenue et la pose sur les yeux, la nouant derrière sa tête ; puis, il la fait sallonger, tout en la rassurant du mieux possible.
- Détendez-vous Odile. Essayez de ne pas avoir de mauvaises pensées. Je vais demander à la réception, que lon mapporte des produits nécessaires pour un massage. En attendant, essayez de dormir.
Edmond, après avoir téléphoné pour commander les produits nécessaires au massage, prend une des très grandes serviettes se trouvant dans la salle de bains ; il la dispose sur le grand lit à côté dOdile. Lorsque les produits quil a commandés sont livrés, il se déshabille entièrement, puisquOdile ne peut le voir. Cest un homme bien bâti, qui sest entretenu toute sa vie. Sportif, malgré ses soixante-quatre ans, il est encore musclé et son bronzage, mélange de naturel et dartificiel, le fait paraître beaucoup plus jeune quil nest réellement.
Puis, il va vers une chaise où est posée une sacoche en cuir, quil a en permanence, comme sil pratiquait encore sa profession notariale ; il en tire deux minuscules caméras équipées dun aimant, quil fixe de chaque côté du lit sur des appliques lumineuses en haut des murs de la chambre. Ensuite, il branche un petit appareil Wi fi sur une prise de courant et le manipule pour le raccorder à linternet de létablissement avec le code que la réception lui a confié.
Enfin, sapprochant de limmense lit à baldaquin, il relève la moustiquaire de chaque côté afin de pas être gêné, puis, il fait se retourner Odile à plat ventre sur la serviette disposée auparavant. Celle-ci se laisse faire ; elle est nue, à part le shorty qui couvre ses fesses et son endroit le plus intime. Edmond étale un onguent aux fruits rouges mélangé à de la vanille, sur les épaules et le dos de sa « patiente ». Cette crème, bienfaisante et sensuelle, fait son effet sur Odile qui pousse de gros soupirs sous les mains du sexagénaire qui la masse adroitement.
Une fois les épaules et le dos entièrement enduit, il soccupe des jambes et des cuisses, puis roulant le haut de la culotte au plus bas, il malaxe le haut du rein, ainsi que le globe des fesses charnues de la belle mature, qui a lair dapprécier les mains habiles de son masseur improvisé. Edmond laide à se retourner, le dos à plat sur la serviette. Odile respire fort, son masque lempêchant de voir son compagnon, bien quelle soit parfaitement consciente quelle lui offre son corps presque entièrement dénudé. Elle sent que son mini shorty étant roulé sur larrière, il ne recouvre plus par-devant, que son pubis pense-t-elle. Lorsque les mains, enduites de longuent aux fruits, sappliquent sur sa poitrine, elle ne peut sempêcher de pousser un léger gémissement. Sa gorge est malaxée par les mains diaboliques dEdmond, provoquant le gonflement des mamelons et le durcissement des tétons. Dailleurs, lhomme ne se gêne pas pour les pincer et les tordre entre ses doigts, occasionnant de nouveau un plaisir charnel qui provoque bientôt un bref orgasme à la belle Odile.
Edmond ne se repose pas sur ses lauriers, il masse le ventre, très légèrement rebondi de la jolie quadra (presque plat, car elle pratique un fitness assidu depuis une vingtaine dannées). Puis les doigts de sa main droite se faufilent sous la culotte, tandis que de sa main gauche, il fait rouler le slip jusquà la fourche des cuisses encore serrées. Il sarrête pour admirer le parfait triangle de poils bruns, légèrement frisés, et, certainement parfaitement entretenus aux ciseaux par une habile esthéticienne. Le clitoris, exagérément gonflé, a pris une couleur rouge foncé ; il est sorti de son capuchon, témoignant sil en est, que la donzelle est passablement excitée. Les grandes lèvres, très charnues sont encore fermées, leurs corolles nétant pas encore ouvertes.
Edmond, senhardissant, fait rouler ce quil reste du shorty devenu presque une ficelle sur les hanches et le long des cuisses dOdile ; celle-ci sest soulevée presque automatiquement, lorsque les mains de lhomme ont glissé le fin tissu de dessous ses fesses, puis, Edmond a retiré la culotte du bas des jambes et des pieds, qui ont conservé les Dim Up fumés. Il hume le parfum de la culotte tout en admirant sa proie à présent nue et à sa merci.
De son côté, Odile, se rend bien compte quelle offre au regard concupiscent de ce vieux vicieux, un spectacle des plus libidineux. Elle ressent un mélange de honte et dexcitation à savoir que son intimité la plus secrète puisse être contemplée de la sorte. Elle se sent humide dans sa grotte intime, mouillant plus que de raison, elle qui est si sèche habituellement. Elle a soudain une envie très forte que les doigts dEdmond écartent les lèvres et fouillent à lintérieur, le plus profondément possible
Elle doit être folle pour penser cela. Le fait dêtre aveuglée a intensifié la perception de ses sensations, aussi elle pousse un long gémissement, lorsque, ce quelle appelle de tous ses vux se produit. Les doigts dEdmond ont écartés les chairs tendres de son vagin, alors que dautres ont plongé à lintérieur, faisant des va-et-vient, de plus en fort, barattant sa matrice qui nen demandait pas autant.
Les orgasmes se succèdent à dautres orgasmes, plus forts à chaque fois. Elle crie, elle hurle à présent, alors que les doigts dEdmond, clapotant dans un bouillon de mouille, laissent diffuser dans la pièce lodeur très caractéristique de la fornication. Odile remue la tête de droite à gauche puis linverse de plus en plus rapidement. Elle sarc-boute, son ventre tendu vers le plafond, ses reins creusés, voulant échapper aux doigts qui fouillent ses chairs gonflées par une jouissance extrême. Soudain, la tension étant trop forte, elle sécroule, harassée et brisée par une trop forte émotion
À suivre
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