J'Ai Une Femme Consciencieuse

Nous sommes mariés depuis vingt ans et ma femme est restée à la maison comme beaucoup pour s'occuper de nos deux s. Ma femme qui a juste quarante ans est restée vraiment jolie. Grande, mince, très bien faite, blonde aux yeux bleus, elle plaît beaucoup. Je constate souvent, que les hommes la regardent dans la rue d'autant plus qu'elle porte souvent des jupes ou des robes très courtes qui découvrent ses longues jambes et sa petite culotte quand elle monte un escalier, s'assoit ou se baisse. Cela l'amuse et moi j'aime assez que d'autres hommes aient envie d'elle, cela m'excite.

Elle venait de trouver un emploi de secrétaire et cela faisait deux semaines qu'elle travaillait. Son salaire nous permettra de vivre un peu plus à l'aise mais cela n'avait pas été facile après quinze ans d'inactivité.
Un soir, je me doutais que quelque chose venait de se produire, car elle semblait préoccupée. Je lui demandais ce qui n'allait pas et elle me répondit qu'il n'y avait rien, qu'elle se sentait un peu fatiguée, c'est tout. Nous nous couchons, et j'ai envie de lui faire l'amour. J'étais encore en elle après avoir joui quand elle me dit:
- Ne m'en veux pas, mais il faut que je te le dise. Voilà, je t'ai trompé, pardonne-moi, j'ai été obligée de le faire. Je vais t'expliquer. Et elle se mit à pleurer.
Surpris, je la regarde mais ma réaction m'étonne, je suis pourtant incroyablement jaloux mais je constate qu'imaginer qu'un autre que moi l'avait baisée me provoque une nouvelle érection. Je sens que mon sexe se durcit à nouveau alors que je suis toujours enfoncé dans son vagin. Elle s'en aperçoit et me demande :
- Tu as bien entendu ? Tu n'es pas jaloux ? Je viens de te dire que je t'ai trompé et tu rebandes ? Ça te plaît de savoir que j'ai couché avec quelqu'un d'autre ? Je n'en reviens pas ! Tu ne dis rien ?
Oui, c’est pourtant vrai, je bande de plus en plus et elle ondule doucement sous moi pendant que je commence à la limer lentement, mon sexe baignant dans mon sperme.

- Ça t'excite ce que je te dis ?
- Qui t'a baisée ? Ton patron ?
- Oh, tu vois, tu te fâches ! Je ne pouvais pas faire autrement, crois-moi ! Je ne suis pas une salope ! Et puis je t'aime ! Mais, c'est celui qui m'a engagée, un des fils du patron qui m’a sauté. Il trouvait qu'il y avait trop longtemps que je n'avais plus travaillé.
Ma verge est toujours dure, gonflée à bloc enfoncée en elle, j'enregistrais ce que je venais d'entendre sans autres pensées que ma femme, se faisant baiser par un inconnu, celle que j' ai connue vierge, avec laquelle je vis depuis plus de vingt ans, la mère de mes s, oui, elle, se faisant sauter par un autre homme, culbutée, et moi, je la pistonnais.
Ma femme, dont je connais si bien les réactions, je la vois avec une autre bite à la place de la mienne. Je suis cocu, elle me trompe et je me délecte de ce mot. Je l'imagine quand l'autre, savourant la douceur de son con, s'agite en elle, la baise, ce salaud baise ma femme. Je le vois qui la pénètre, je vois sa queue rentrer en elle, s'enfoncer entre les lèvres dans le con juteux de ma femme, il la bourre de plus en plus vite, il lui malaxe les seins et les fesses, il a envie d'éjaculer en elle, de se répandre en elle.
Je la vois, jambes en l'air, quand la verge de l’autre bute au fond de son vagin, je la vois gémir de plaisir, je vois ses narines se pincer, la rougeur de son front, ses seins se durcir, son ventre venir à la rencontre de cet étranger pour qu'il la pénètre plus loin encore, plus fort. Mais avant de se la farcir, il l’a certainement déshabillé lui-même, caressé partout, peloté les seins, écarté ses cuisses, l'a regardé, a enfoncé ses doigts dans sa chatte et elle ? Elle s'est laissée faire et elle a aimé ça, sûrement, elle devait mouiller, elle avait envie, est-ce qu'elle l'a sucé ? Oui certainement, elle a dû prendre sa queue dans la main et le branler un peu, oui, elle l'a sûrement pompé aussi, comme elle aime me le faire !
- Dit-moi, tu as aimé te faire baiser par ce type ?
- Oui, enfin non, seulement un peu. C'était la première fois que je te trompais mais attends. J'ai honte.
Je vois dans ma tête ses cuisses se serrer pour emprisonner le sexe de celui qui va la faire jouir. Il lui a craché tout son foutre au fond du vagin, il a joui en elle, il a baisé ma femme et il a joui en elle, il s'est vidé les couilles dans le ventre de ma femme et elle aussi certainement a joui, elle a joui de la bite de cet homme, elle en a plein la chatte, ça déborde et maintenant, je mêle mon sperme au sien.
- Il t'a fait jouir ?
- Oh oui ! Mais, il y a pire ! Il faut que je te raconte.
- Que dis-tu, tu m'as trompé, tu as couché avec un autre que moi ? A ta boite ? Ton patron, c'est ça ? J'ai bien entendu ? Et qui d’autre ?
- Oui, enfin ce n'est pas mon patron qui a commencé, c'est son fils, celui qui m'a embauché. Je vais t'expliquer si tu veux mais ne te fâche pas, car je ne pouvais pas faire autrement.
- Vas y raconte, explique-toi, je t'écoute.
- Oui mais avant répond moi, ça t'a excité d'entendre que je m'étais faite sauter par une autre personne ? Non ?
- Oui, c’est vrai ! Allez ! Raconte.
- Il n'y avait plus de place pour moi lorsque je suis arrivée dans la boite, elle venait d'être prise par une autre femme plus expérimentée que moi, c'est le fils qui me recevait, enfin l'un des fils. Je voyais bien qu'il me regardait d'un drôle d'air, j'étais désemparée, je ne savais plus où aller et tu sais bien qu'il fallait que je trouve un emploi, nous en avons besoin. Ses yeux allaient de mon visage à mon entrejambe et il souriait, je me suis souvenue alors que ma jupe était très courte et que j'avais les cuisses ouvertes, il devait voir ma petite culotte. Ca lui plaisait visiblement et il faisait durer le plaisir en continuant de me dire qu'il garderait juste mon adresse. Alors, j'ai pensé pourquoi pas ! et j'ai ouvert les cuisses encore plus en le regardant dans les yeux, je lui ai dit que j’avais absolument besoin d’un travail et qu'il fallait absolument qu'il me prenne, qu'il ne le regretterait pas.
- Qu'il te prenne ? !
- Oui, enfin, qu'il m'embauche ! Il a pensé à la même chose que toi et il a rigolé en me répondant:
- Mais avec la plus grand plaisir Madame ! D'accord je t'embauche à l'essai pendant huit jours mais relève ta jupe entièrement et baisse ta culotte d'abord.
- J'ai fait ce qu'il m'a demandé puis il m'a ordonné alors de sortir son sexe de son pantalon et de le sucer. Il bandait dur, il est très gros plus que le tiens mais je l'ai sucé et ça lui plaisait. Ensuite il m'a porté sur le canapé qu'il y a dans son bureau, il a défait mon soutien-gorge et m'a enlevé ma culotte puis il m'a pénétré et il m'a baisé.
Je bandais à nouveau en l'écoutant et je la caressais.
- C'était la première fois qu'un autre homme me pénétrait et j'avais un peu peur quand il m'a ôté ma culotte parce que je savais ce qu'il allait me faire. Bien sûr, je voyais son sexe en érection devant mon nez et il n'allait pas se contenter de si peu.
Je me disais que j'allais y passer, que j'allais te tromper et que tu serais cocu après ça. Ensuite, il s'est enfoncé brutalement en moi et j'ai bien aimé parce que j'en avais envie. Tu vois, je te dis la vérité! C'était bon quand il est rentré, dur, gros, et long aussi, j'ai vraiment constaté la différence avec toi, non ce n'est pas pareil ! Et il cognait tout au fond, j'ai joui tout de suite. Et puis il me pilonnait de plus en plus vite, de plus en plus loin et de plus en plus fort, je jouissais encore, je n'y pouvais rien, j'ai senti qu'il éjaculait tout au fond, il s'est vidé dans mon ventre. Il a voulu que je le lèche et puis il a appelé le vrai patron, son père.
Il lui a dit qu'il venait de m'embaucher alors que j'avais ma robe toute retroussée, les seins à l'air et les cuisses ouvertes, la chatte toute barbouillée de sperme. Tu te serais amusé si tu avais pu voir les yeux du paternel ! Il lui a dit aussi que je deviendrais une bonne collaboratrice et que j'avais de bonnes dispositions.
- Et moi ! tu ne pensais pas à moi ?
- Même pas ! Alors son père s'est approché de moi et il m'a regardé de plus près, puis il m'a fourré ses doigts dedans et il m'a peloté, les seins, le derrière, enfin partout, je me laissais faire. Son fils lui a dit quelque chose à l'oreille et ils se sont mis à rire. Mais il bandait ferme aussi le papa, il m'a enduit l'anus du sperme de son fils, il m'a ensuite fourré son gros doigt dedans, puis il m'a levé et il m'a fait asseoir sur sa bite, alors il est rentré, il m'a sodomisé et j'ai eu un peu mal parce qu'ils ont de sacré gros membres dans la famille. Il m'a culbutée sur lui en m'écartant les jambes et son autre fils, que je n'avais pas vu arriver dans le bureau m'a directement enfilé sa grosse queue dans le con. J'étais prise en sandwich, baisée et enculée en même temps, tu te rends compte, c'était vraiment nouveau pour moi !
Qu'est-ce que c'est bon ! Ils me ramonaient tous les deux, très loin, tout au fond et je les sentais tellement gros dans moi, je n'ai pas arrêté de jouir, il paraît que je criais comme une folle que c'était trop fort, trop bon et puis le premier me fourrait sa verge dans la bouche, alors je l'ai pompé. J'ai encore eu un de ces orgasmes quand ils ont éjaculé dans moi l'un après l'autre!
- C'est tout ? c’est terminé?
Je la baisais à nouveau, en prenant conscience de ce tout ce que je venais d'écouter.
- Oh non ! Ce n'est que le début, je ne t'en aurais pas parlé s'il n'y avait eu que ça ! Autant te dire tout de suite qu'ils me baisent tous, tous les jours depuis quinze jours et c'est pour ça qu'ils me gardent.
- Quoi? Ça veut dire quoi tous?
Je sentais que j'allais jouir une nouvelle fois.
- Je te disais que c'était le fils le premier et puis il y a eu son père, le patron.
- Oui, tu es une vraie pute, quoi !
- Oui, je sais, mais attends, ce n'est pas tout, pendant que j'y suis. Il y a aussi le directeur commercial, le chef des ventes, le comptable et mes deux collègues de bureau. Et puis le chauffeur qui me ramène tous les soirs et le jardinier aussi, j'oubliais le coursier, parce qu'il est beau. Je ne pense pas en oublier cette fois, voilà ! Et puis. je n'ose pas te le dire.
Je n'en pouvais plus, ma femme se faisait mettre par un régiment et ça m'excitait comme jamais je ne l'avais été.
- Au point où nous en sommes, je t'en prie ! Vas y raconte !
- Ils veulent que tu viennes demain pour une petite soirée entre nous. Je serai la seule femme. Oui, je leur ai dit que tu étais un mari complaisant qui aimait voir sa femme se faire baiser, je ne savais pas que c'était vrai. C'était juste pour qu'ils me gardent. Tu veux venir ? Ça nous ferait plaisir. Tu me verras avec eux, je crois que tu aimeras.
Son bassin ondulait toujours sous moi. Le pire de l’histoire c’est que j’ai accepté son invitation !