Le Premier Matin De Ma Vie Sexuelle (Histoire Vraie)

C’était pendant les vacances d’été il y a une quinzaine d’année. j’avais la trentaine. J’avais mis une annonce sur un site gay pour dire que j’étais à la recherche d’une rencontre. J’ai eu la réponse d’un mec qui me proposais de venir à Paris un matin tôt pour le rencontrer lui ainsi que son copain avant de partir au travail. Un peu anxieux mais curieux de vivre cette aventure, je me suis rendu au centre de Paris devant chez lui. Je n’éprouvais aucune peur de me montrer nu à un inconnu ni même aucun tabou, je m’étais préparé psychologiquement et j’avais déjà eu une petite expérience à l’adolescence, mais il ne s’agissait alors que de fellations. Il m’attendais en bas de chez lui, il avait le crane rasé et quelques année de plus que moi, il était habillé plutôt chic. Après un bref “salut”, je l’ai suivi à son appartement. Sans échangé plus de mots, il me demanda directement de sucer son copain plus jeune qui était encore allongé au lit. Sans réfléchir je me suis approché du lit, j’ai saisi la queue du copain qui était un peu mole dans ma main et j’ai fait quelques petit mouvement de masturbation, puis rapidement j’ai eu envie de sentir sa queue dans ma bouche donc je me suis mis près de lui et me suis penché pour la saisir entre mes lèvres et j’ai commencé à faire des va et viens. Sa bites a rapidement grossi et s’est tellement alongé que je n’arrivais plus à la mettre entièrement dans ma bouche, mais j’ai continué à monter et descendre le long de sa longue tige et le résultat montrait qu’il appréciait. J’étais à 4 pattes pour le sucer, présentant mon cul à son copain. Je n’avais pas eu le temps de me désabiller car tout était arriver très vite. Le chauve m’avait mis a l’ouvrage puis avait baisser son pantalon pour se masturber en me regardant déguster la queue de son pote. A un moment il m’a présenter sa queue qui était encore plus grosse et longue que son copain, et il n’a pas eu besoin de me demander pour que je l’engouffre dans ma bouche en laissant échapper un petit gémissement de satisfaction.

Il me dit alors que j’étais une bonne petite salope, et en effet j’aimais ça : sentir l’odeur de son sexe, lécher son gland, le prendre à pleine bouche, le faire entrer profondément dans ma gorge puis ressérer mes lèvres autour de sa longue tige tout en la laissant repartir avant qu’un nouveau mouvement volontaire de ma part me fasse revenir vers sa toison pubienne que j’adore voir et sentir. Et oui je suis un homme qui aime les poils !!! Il était déjà bien dur si bien qu’il me renvoya rapidement voir son copain qui l’était moins, mais avec application je me remis au travail pour soutenir sa libido. Etant toujours à quatre pates, le chauve parvins sans mal à abaisser mon pantalon de survêtement. Mes fesses roses et rebondi se présentant alors à lui et à sa queue. J’étais alors près pour ma première sodomie. Tandis que j’avais toujours la bite de son copain en bouche, j’ai senti des doigts qui s’insinuaient à l’intérieur de mes fesses, puis qui entraient par petites poussé dans mon anus. Mais les préparatifs n’ont pas duré très longtemps car mon enculeur semblait impatient. J’étais entièrement et complètement offert et soumis à ce couple et après avoir enfilé un préservatif le chauve d’un coup sec m’a dépucelé avant de poursuivre par de violent et rapide coup de boutoir. On peut dire que je l’ai bien senti passé, mais c’était si bon de me sentir posséder par un mec, de le sentir en moi, de lui donner du plaisir, d’en éprouver,... Il a rapidement éjaculer en moi, … mais ce n’était pas fini. Lui devais partir au travail, mais son copain était moins pressé. Il avait tout son temps pour apprécier le traitement que je pratiquais à sa bites depuis un bon moment. Il n’avait pas envie de me prendre, mais juste envie que je continue à le sucer. Et moi je n’avais pas envie de partir avant de l’avoir fait jouir lui aussi. Après de longue minutes je me retirais juste a temps pour voir un liquide blanc et visqueux dévaler le flan de sa montagne de chair. Mission accomplie. Je suis partie me balader à la Défense en repensant avec excitation à ce que j’avais fait secrétement ce matin pour la première fois, en sentant dans le creux de mes fesses une sensation que je n’avais encore jamais ressenti. Un feu s’était allumer en moi que je ne pourrais éteindre qu’au cours de nouvelles rencontres ...