Milo Belchevic 3 - Serbie

Milo devait faire un retour au pays, dans une ville semi-abandonnée de la Serbie rurale. Au détour d'une rue détruite, il se remémore ses frères d'arme tombés au combat. Il avait rendez-vous avez son cousin, qu'il n'avait pas vu depuis deux ans. Son cousin Josef Halevic était celui qui l'avait formé pendant la Guerre de Yougoslavie. C'est dans une salle de boxe désaffectée qu'ils devaient se rencontrer. Un colosse d'1,95m était en train de frapper contre un sac de sable suspendu au toit éventré par les obus. C'est Josef, 38 ans, toujours aussi fort du haut de ses 100kg de muscles. Il était torse nu et portait un large jogging. La brute se retourne en entendant Milo entrer.
Mon cousin ! Tu n'as pas eu de souci pour revenir ?
Il m'a fallu six heures pour faire le chemin. La route n'existe plus.
Je sais bien, cousin. Tu sais, ici, la ville se reconstruit jour après jour. On n'est plus très nombreux, mais un jour, notre belle cité renaîtra. Je te le jure. L'argent que tu nous rapportes nous permet d'en faire plus chaque fois.
Je suis ravi de l'entendre, Josef.
Dis, je sais que tu n'es pas là pour ça, mais que dirais-tu d'un petit échange, tu sais, comme dans le bon vieux temps, quand je t'apprenais encore à sortir ta faible droite, hein ?
Tu gagnais toujours. Je ne vois pas pourquoi ça changerait aujourd'hui, de plus, je suis épuisé par le voyage.
Alleeeeez cousin ! Si tu veux, on joue avec les vieilles règles. Tu sais desquelles je parle... En souvenir du bon vieux temps...

Cette mention a réveillé Milo. Il jette son sac à terre et se déshabille. Il est en débardeur garde son boxer noir.
Ils échangent de gentils coups pour s'échauffer et se mettent à se battre plus sérieusement après être montés sur le ring poussiéreux. Josef a clairement le dessus mais Milo ne se laisse pas faire malgré les crochets et les coups dans le ventre. Il parvient tout de même à lui mettre quelques uppercuts foudroyants.

Mais impossible de le faire vaciller. Milo tente un crochet que Josef esquive en dépit de sa masse, il est beaucoup rapide qu'il n'y paraît. Il se glisse derrière lui et l'étreint par la taille. Milo sent alors une protubérance contre ses fesses. C'est le sexe de Josef qui frotte à travers son jogging et tente de se caler. Milo est incapable de bouger et ne peut que se laisser faire. Josef se frotte de plus en plus fort. La longueur s'insère péniblement dans l'espace de ses fesses. Josef baisse son jogging et le boxer de Milo et s'enfonce dans son fondement sans prévenir. Cette intrusion électrise Milo. La queue de Josef est tellement grosse que les muscles de Milo se referment sur celle-ci.
Oh que c'est bon, dit Josef, ça faisait tellement longtemps.
Josef commence une violente pénétration, et chevauche son cousin, tel un animal en manque. Milo ne peut que se rendre et accepter cette sodomie soudaine. Josef pousse alors Milo vers la corde pour qu'ils puissent se maintenir. Milo se cambre alors pour donner un meilleur accès à son trou. Josef le baise sans répit et tient sa tête près de la sienne, en lui susurrant des insultes et des moqueries quant à sa faiblesse de toujours. C'en est trop pour Josef et il éjacule plusieurs jets de sperme chaud, bien au fond de son trou du cul. Il reste là un instant, reprenant son souffle et ses esprits. Milo savait que ce n'était pas fini. Josef lui saisit le bras et le pousse à s'allonger sur le dos. Il bandait encore fortement.

Josef se tient debout devant lui. C'est ce qui lui arrivait à chaque fois qu'il perdait un combat contre son vénéré cousin depuis qu'ils sont adolescents.

Il se décalotte et met à jour son gland violacé, encore plein de sperme. Les veines qui circulent dans sa puissante verge la font pulser à vue d'œil. Josef ordonne à Milo de lever ses jambes, ce qu'il fait immédiatement, non sans désir.

Écarte bien, cousin.

Milo lève ses jambes au niveau de sa tête et oriente son trou du cul poilu et humide vers Josef qui se positionne à genoux devant lui.
Son gland entre sans aucun souci. Milo, entraîné à la douleur, serre fort les dents, et accepte l'intrusion du massif gourdin de son cousin. Josef ne se retient pas et lâche ce qui lui reste d'énergie pour enculer Milo à fond. Le ring suspendu tremble sous les puissants assauts du colosse, mais Milo encaisse, encore et encore. Josef se retire néanmoins pour cracher généreusement sur son dard avant de rentrer de plus belle et reprendre sa cavalcade bestiale. Les deux guerriers transpirent énormément et une forte odeur mêlant testostérone et musc se dégage de leurs corps fumants. Milo commence à bander, ces profondes pénétrations ont réveillé sa prostate. Il se surprend à se laisser aller à sa propre excitation, tout en repensant à toutes ces enculades passées. Combien de fois déjà, dans le lit qu'ils partageaient alors qu'ils n'avaient pas 20 ans, Josef l'avait-il embroché de la sorte ? Il avait appris à y prendre plaisir. Il avait appris à en vouloir. Les couilles remplies de son cousin ont toujours trouvé un réceptacle docile. Josef arrivait à bout, ses gémissements se faisaient de plus en plus rapides. Soudain, il explose dans son cul, éjaculant une deuxième fois. Son sperme se répand en masse contre les parois brûlantes de Milo, au plus profond de son ventre. Josef se retire et sa semence commence à couler sur le ring déjà bien humide. Sa bite luisante est toujours bandée. Satisfait, il revient en Milo qui en encore bien ouvert. Josef lui ordonne de se branler. Il ne lui a pas fallu plus de quelques secondes pour jouir avec sa queue encore bien ancrée en lui. Il avait rarement autant craché de jus.

Josef tend sa main à Milo qui la saisit et se redresse. Il le tire vers lui et l'embrasse avec force en lui doigtant son cul entrouvert qui dégoulinait encore de son propre sperme. Josef en voulait encore, Milo se retire de son étreinte et lui demande d'arrêter. Le désir remontait en lui mais il ne voulait pas lui donner la satisfaction de l'utiliser une troisième fois comme vide-couilles après tant de temps.
Il enfile son boxer, ouvre son sac et en sort une importante liasse de billets. C'est l'argent de ses missions. Il la pose au sol et atteint la porte, avec un sourire au coin des lèvres.

- Reviens bientôt, cousin, crie Josef, encore nu et bandant au milieu du ring, ou mieux, je te retrouverai sur ton chemin.

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