La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 313)
Suite de l'épisode N°310 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis dEvans vient de sarrêter au pied dun appareil en bois formé de deux planches obliques qui pourrait servir de tréteau, une sorte de V inversé, dénommé « berceau de Judas » ou encore « âne espagnol ». Le Châtelain a annoncé à sa soumise Thaïs que c'est l'équipement qu'IL a choisi pour qu'elle monte dessus et en découvre les effets sur son corps. L'appareil ressemble à ceux qui étaient utilisés du temps de l'inquisition et qui permettait de supplicier ceux soumis à linterrogatoire ou même condamné à mort et au final se trouvaient en général coupés en deux petit à petit par le milieu sur la pointe acérée sur laquelle leur corps était posé, pesant d'autant plus que leurs membres étaient souvent lestés de poids conséquents pour accen le phénomène. Mais là, en ce XXIème siècle, le matériel D/s est aménagé de manière 100% sécurisé, pour que le sommet se termine par un petit dôme arrondi en mousse dure et compacte pour éviter toutes blessures coupantes, surtout au niveau des parties sexuelles. Il n'en reste pas moins vrai que c'est avec une petite appréhension mais aussi une forte excitation que Thaïs regarde cet engin qui lui rappelle fortement ceux anciens qu'elle avait pu voir plus jeune dans des manuels encyclopédiques et historiques. Elle n'ose imaginer la douleur qu'elle va ressentir quand son corps reposera juste sur ses parties intimes les plus sensibles, car elle ne voit rien pour pouvoir reposer ses pieds de part et d'autre de l'appareil. Mais les ordres de son Maître sont incontestables et c'est en véritable soumise confiante qu'elle attend tête baissée que son Dominant lui demande de s'installer.
Ce que Thaïs n'a pas encore pu apercevoir, c'est que le sommet de l'appareil est muni de plusieurs trous qui permettent d'installer des godes de longueurs et de formes diverses, et que l'angle formé par les deux planches dont dépend l'inclinaison des jambes et l'écartement entre celles-ci est variable, ce qui permet de s'adapter à toutes les tailles d'utilisateur mais aussi de varier les plaisirs et les sensations.
- C'est prêt. Tu vas pouvoir maintenant monter dessus et t'empaler très profondément.
Pendant ce temps-là, le Châtelain a actionné un petit bouton qui a permis de surélever sur ce qui correspond à un marchepied réglable et IL a tiré sur la laisse de Thaïs pour la forcer à se redresser et se mettre droite.
- Allez. Vas-y ! Maintenant ! Avec ce truc là dans le cul, tu ne risqueras pas de tomber. Grimpe dessus, tout de suite. J'ai dit.
Thaïs obtempère de suite avec une certaine excitation non dissimulée. A peine Thaïs est-elle positionnée juste au-dessus du gode commençant à le présenter devant son anus encore resserré, que le Marquis d'Evans a remis en route le bouton en sens inverse, faisant redescendre le marchepied ce qui a pour effet d'obliger Thaïs d'une part à se lever jambes tendues pour tenter de ralentir un peu la pénétration qu'elle ne peut toutefois pas empêcher, emportée par le poids de son propre corps. Le Châtelain règle la hauteur de l'appareil pour que Thaïs repose à peine sur la pointe des pieds, de telle manière que, si elle veut soulager la tension musculaire de ses jambes, ce soit son bas-ventre qui repose sur le dessus en mousse dure du berceau de Judas, entrainant à la fois une douleur certaine sur cette partie intime comprimée mais aussi une excitation phénoménale sur son clitoris et ses grandes lèvres écartelées et compressées. Thaïs se met à mouiller car elle sent son bas-ventre la titiller, oscillant entre l'envie et le besoin de parfois lever les pieds pour réduire la tension sur ses orteils, et celle d'alléger la pression sur toute son intimité qui l'enflamme. Thaïs se demande combien de temps elle va devoir rester dans cette position assez inconfortable à soutenir, même si elle reconnaît qu'au fond d'elle qu'elle avait toujours rêver de pouvoir essayer un jour ce genre d'engin, qui demande malgré tout une grande concentration, de la résistance et beaucoup d'endurance.
C'est alors qu'une grande femme brune, du nom de Maîtresse ADoma, entièrement vêtue d'une tenue de latex noire, portant à la ceinture un grand fouet enroulé et deux cravaches, s'approche du Marquis d'Evans. Elle tient en laisse Sa pet-esclave femelle totalement déguisée en rose clair et ressemblant à une vraie petite chatte avec des oreilles en guise de serre-tête et des moustaches dessinées sur les joues. La petite chatte est munie d'un bâillon-boule rose pale qui lui écarte la bouche complètement et elle porte autour du cou un très large collier de cuir gravée du nom de "kittyA" qui l'oblige à garder la tête très haute, presque vers l'arrière.
- Mon cher Marquis, si cher ami, se pourrait-il que ma petite chatte tienne compagnie à Votre belle chienne sur le banc des délices. J'aimerai bien savoir laquelle des deux tiendra le plus longtemps. Je Vous propose d'ailleurs de corser un peu plus le jeu. Nous leur attacherons les bras dans le dos, mais de manière à ce qu'elles puissent parfois se reposer en prenant appui sur leurs mains pour reposer leurs chattes intimes fortement comprimées. Un minimum de compassion malgré tout.
- Je Vous en prie, Très Chère Amie, faîtes à Votre convenance. Tous les équipements et autres ustensiles D/s entreposés dans ce donjon aménagé pour la soirée sont à Votre disposition pour l'usage qu'il Vous plaira, ainsi que Mes esclaves avec lesquels Vous pouvez jouer tout à loisirs pour Votre bon plaisir.
En l'espace de quelques minutes, kittyA est elle aussi hissée sur le berceau de Judas, un gode similaire à celui de Thaïs est venu remplacer le plug qu'elle portait entre les fesses, qui se terminait par une queue en vrais poils roux de chat. La Domina a attaché les mains des deux esclaves dans leurs dos, à hauteur du dessus du berceau de Judas, laissant une main de chaque côté des deux planches en V inversé, ce qui permet par un appui conséquent de soulager le poids du corps en le faisant porter momentanément par les bras, ce qui reste malgré tout très éprouvant. Maîtresse ADoma a également resserré l'angle entre les deux planches inclinées pour renforcer la tension sur l'entrecuisse, car le corps ne peut même pas se servir de l'appui des jambes pour alléger la pression due à la gravité et aux poids des corps. De plus, elle a réglé les hauteurs des appareils pour que seuls les orteils de chacune reposent sur les marchepieds. Thaïs qui est une femme plantureuse est particulièrement désavantagée dans cette situation, mais cela semble plaire à la Domina qui espère bien que sa petite chatte fluette lui fera d'autant plus honneur qu'elle lui glisse à l'oreille en lui défaisant le bâillon qui enserre sa bouche.
- Si tu hurles avant même ta compagne de berceau, je te laisse une semaine ici en pension chez Monsieur le Marquis d'Evans pour qu'IL te dresse mieux que je ne serai arrivée à le faire.
Thaïs est dépassé par la douleur qui assaille son bas-ventre et elle essaye de se concentrer pour résister, en respirant profondément. Elle est aussi particulièrement excitée car elle a aperçu son Maître qui ne quitte pas la scène d'un pouce, cela lui donne la force de résister aussi longtemps que l'exigera son Maître, car elle craint plus que tout de le décevoir en ce jour anniversaire et en public entre les murs de Son château qui plus est. Son clitoris est en feu, malgré la mousse qui atténue la pression, la douleur s'est propagée sur l'ensemble du bas ventre et autour des os qui sont en appui sur le tréteau et elle se sent enculée profondément jusqu'aux entrailles, ce qui l'empêche de pouvoir bouger d'un pouce au niveau des parties en appui sur le berceau de Judas.
Elle arrête cette flagellation au bout dune vingtaine de coups lents, puissants et précis quand soudain, le Marquis d'Evans baisse complètement le marchepied laissant les deux soumises totalement empalées et reposant désormais entièrement sur leur intimité et leurs deux mains qui tentent plutôt mal que bien d'alléger un peu le poids du corps, mettant chacune d'elle dans une situation extrêmement éprouvante, mais si terriblement excitante pour les deux belles qui n'ont pu retenir un petit cri tant de douleur que d'angoisse de se voir ainsi totalement à cheval sur l'équipement sans savoir combien de temps il leur faudra supporter cette position si difficile sans le moindre appui au sol. Mais quelques secondes plus tard, le Châtelain, qui sait très bien que les deux belles ne peuvent pas tenir très longtemps ainsi, a remonté le marchepied de chacune, leur permettant maintenant de faire reposer le poids de leur corps sur leurs pieds bien à plat.
- Très Chère Amie, je crois que nos deux soumises ont su bien résister assez longtemps à l'épreuve que Nous leur avons imposée, je Vous propose de les libérer maintenant de leur chevalet et des deux godes. Je suis sûr que Vous comme Moi trouveront deux intimités bien huilées, deux anus largement dilatés et deux soumises prêtes à tout pour Nous remercier et Nous satisfaire. Ce petit spectacle a redonné de la vigueur à mon sexe que je sens se tendre et il me semble que j'aimerai bien pouvoir profiter de la bouche de ma belle chienne pour trouver un fourreau accueillant pour ma queue qui ne demande qu'à se vider à nouveau.
- Oui bien entendu, mon Cher Marquis, je ne peux rien Vous refuser en ce jour anniversaire. D'ailleurs je crois bien que je vais aussi faire ronronner mon adorable kittyA qui doit être trempée adorant dêtre flagellée dans des positions inconfortable et qui aime particulièrement quand je la baise avec un gode-ceinture. Mais ce qui me plait le plus, c'est de la laisser chaque fois avec un désir inassouvi, changeant d'orifice pour la posséder dès que je sens le plaisir monter en elle. Elle rage comme une vraie chatte, presque donnant de petits coups de pattes de désarroi, se trainant sur le sol pour me supplier de la laisser jouir enfin, même si elle sait depuis longtemps que ses suppliques sont veines, mais qu'elle est malgré tout obligée de m'implorer longuement si elle ne veut pas risquer un plus grand courroux
La Domina att la laisse de sa petite pet-esclave, l'oblige à se relever et à s'extraire du gode sur lequel elle était empalée. Avant même de lui faire enjamber l'appareil pour en descendre, elle envoie sa main gantée dans l'entrejambe de sa soumise pour vérifier l'effet du traitement. La petite chatte couine au passage du gant, car ses lèvres intimes et son clitoris sont devenus très sensibles. Le gant ressort de la caverne intime imbibée de cyprine et Maîtresse ADoma le retire et le fourre aussi sec tout trempée dans la bouche de sa si féline chatte.
- Tiens cela va te tenir compagnie pendant que je vais baiser ta chatte qui est devenue très onctueuse et très sensible comme je l'ai vu. Cela va être un régal, mais je ne sais pas encore si je vais te donner le droit de jouir, bien que tu m'as fait honneur sur le chevalet ne cédant pas à cette épreuve. On verra
Cela dépendra de mon bon plaisir le moment venu
(A suivre
)
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