Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (17)

Un plaisir partagé est un plaisir double (17)

Maintenant que nous avons testé nos amis en allant sur une plage naturiste près de chez nous et que nous savons que cela ne leur déplaît pas, nous profitons d’une nouvelle journée de beau temps pour y retourner. Cette fois Annie n’a pas attendu pour se mettre à poil. A poil, ce n’est pas le mot car même le ticket de métro que je lui ai toujours connu avait disparu sous la coupe du rasoir. Pas vraiment disparu non plus car les poils existant de la dernière fois avait laissé une petite trace blanche sur son mont de vénus. Elle avait bien l’intention cette fois de bronzer intégralement, d’ailleurs sa position sur le sable, ses jambes écarquillées faisaient éclore son bourgeon de sa chipounette et en disait long sur son désir de ne plus avoir aucune parcelle de blanc sur son corps. Bien que l’on dise que chez une femme bronzée, c’est comme pour le poulet, le meilleur c’est le blanc. Ma poulette à moi voulait ressembler à une poularde rôtie. Ses deux œufs au plat sur ses adorables seins étaient en train de cuire sous les rayons du soleil. Le regard de deux jeunes garçons passant la plage pour se rendre à l’école ne décollait pas de la quiquine de ma copine. Je crois qu’il vont être incollables sur l’anatomie de la femme lors de leur cours d’éducation sexuelle.

La dernière fois nous avions oublié la crème solaire et sans que l’on s’en aperçoive, le soleil nous avait laissés un mauvais souvenir sur notre peau blanche. Cette fois, c’est André qui s’en ai chargé, d’ailleurs à peine allongée sur le sable il a demandé à son épouse si elle voulait qu’il lui passe de l’ambre solaire, ayant son consentement, il a commencé par la caresser en la massant en commençant par la nuque et son dos, puis il lui a versé de l’huile sur ses belles fesses, il a continué son massage sur l’intérieur de ses cuisses qui se sont ouvertes sans résistance sous ses mains. Il lui touche la chatte, je vois que sa femme commence à le faire bander et il a de la peine à cacher son érection.

Il demande à sa belle de se retourner, il lui masse les seins en les caressant. L’huile lui tombe sur son ventre, et quand il arrive au niveau de sa foune, elle écarte ses cuisses avec anticipation. La première goutte sur ses lèvres charnues la fait sursauter. Maintenant il prolonge ses caresses sur les magnifiques seins d’Annie. Ses bouts durcissent et elle respire plus fortement. Après le ventre, il passe directement sur les cuisses, sans toucher l’entrejambe, pourtant bien présenté par sa femme. Il monte doucement depuis les mollets et quand il arrive à mi-cuisses, elle fait le grand V avec ses jambes. Sa chatte s’ouvre toute seule et il voit avec satisfaction qu’elle mouille abondamment. Il commence à masser ses lèvres gonflées sans la pénétrer dans l’ouverture béante et ruisselante de son nénuphar. Annie gémit et elle commence à bouger ses hanches, tellement elle a envie que les doigts de son mari glissent dans son vagin et lui caressent son clito. Alors il ne la pas plus longtemps et il commence à caresser sa chatte avec ses doigts, en ouvrant sa fente depuis le bas vers le haut pour bien séparer les lèvres et découvrir son petit bouton du plaisir. Puis il se met à caresser ce dernier avec une main, pendant qu’il enfonce un, puis deux et trois doigts dans son trou accueillant. Elle commence à haleter de plaisir sur le sable dans un orgasme doux et prolongé, qu’elle essaye sans succès de cacher. Ses gémissements et ses mouvements la trahissent.

Cela me rappelle un peu le massage tantrique que nous avons reçu des mains de Luc. Je ne sais pas si elle lui a expliqué, comment notre masseur s’était pris pour arriver à nous faire jouir simplement en effleurant nos zones érogènes mais je suis surprise qu’André soit aussi doux avec son épouse et étonnée qu’il fasse cela sur le sable en public c’est plutôt fertile pour la suite. Plusieurs naturistes commencent à arriver en majorité se sont des hommes. Un d’eux ne s’installe pas très loin de nous. André qui en avait fini avec son épouse me proposa de me passer de l’ambre solaire, ce que j’ai accepté.
N’ayant pas beaucoup de place entre son épouse et mon mari, il me chevaucha. Ce qui de loin pouvait paraître choquant qu’il soit à califourchon sur moi pour les personnes qui nous regardaient. Il fît couler l’huile sur mon corps et me l’étala en palpant mes seins qui se sont mis à durcirent entre ses doigts. ( Comme vous pouvez les voir sur mon avatar) Il était toujours un peu en érection et je sentais sa bite perler de quelques gouttes de son sperme glisser sur mon bas ventre ! Ensuite Il s’est assis sur ma serviette entre mes jambes ouvertes pour m’enduire les cuisses, sa main passait et repassait sur ma craquette. Il s’amusait à glisser son doigt à l’intérieur de ma fente humide. Je me suis tournée sur le ventre pour ne pas donner l’impression que nous copulions ensemble. ( Nous n’étions pas sur la plage de la baie des cochons à Agde) Il continua à appliquer de l’ambre solaire sur mon dos et mes fesses. Il dérapait souvent dans ma raie en faufilant ses doigts huileux de ma prune à ma framboise sous l’œil amusé de mon chéri candauliste.

L’après-midi, les nudistes étaient remontés sur la bande de sable que la mer n’avait pas recouverte par la marée montante. Il y avait de ce fait beaucoup plus de mode autour de nous. André et Bob sont allés se baigner, l'eau ne devait pas être bien chaude en ce début de saison. Le soleil n'était pas encore assez fort pour la réchauffer et ce petit vent du large n’était pas très agréable. A leur retour, comme ils avaient un peu froid, mon chéri nous proposa de monter dans les dunes pour se mettre à l'abri du vent, c'était avec plaisir car Annie et moi n'avions pas très chaud non plus. Nous nous installons dans un petit creux dans lequel nous ne ressentons pas cette petite bise. Nos hommes s'étaient endormis au soleil, un jeune homme nu est passé près de nous en s’imbibant bien les yeux bien nos pépette. N’ayant pas l’audace d’autres voyeurs qui se seraient installés pas très loin de nous en se tripotant le zigounet, il a disparu entre les dunes.
J'étais pratiquement certaine qu'il était en planque pas très loin. Plusieurs voyeurs s'étaient accaparés des dunes avoisinantes dans l'attente qu'il se passe quelque chose. Quand mon chéri s’est réveillé, il s’est glissé tout contre moi, il m'embrassa en me caressant les seins.

André s’était levé et voulait prendre quelques photos de nous pour immortaliser notre seconde journée naturiste ensemble. Il commença par prendre quelques photos de sa belle nue qui posa pour lui. Sous ses lunettes de soleil et son chapeau en paille, elle se cache et elle peut ainsi se laisser aller à des poses plus érotiques. Puis il a fait une série de clichés de nous trois. Après avoir pris de nombreuses photos d’Annie allongée et assise, elle lui dit qu’elle a envie de pisser.

« - Tu n’as qu’à faire pipi discrètement comme ça, assise sur le sable. »

« - Tu ne vas tout de même pas prendre des photos de moi en train de me vidanger ? » En voyant qu’il s’installait sur le ventre à ses pieds pour avoir la meilleure vue sur son robinet.

Elle ne pouvait plus se retenir, le pipi s’est mis à couler ainsi lentement entre ses lèvres gonflées et luisantes. Mais la pression était trop grande et elle laisse échapper un jet puissant qui gicla jusqu’à son mari. Sa tête est baissée pour couvrir son visage, mais aussi pour regarder son jet doré jaillir de sa chatte avec un mélange de soulagement et de honte devant nous. A la fin, il fait encore quelques gros plans de ses lèvres décorées de ses perles dorées.

Quand nous regardons autour de nous, nous constatons que seulement quelques personnes semblent avoir regardé avec intérêt ma copine se soulager et que les autres n’ont rien remarqué. Un bel homme bien bâti (et nu comme tout le monde) vient vers nous et il nous propose de nous prendre tous les quatre en photos. André lui a passé l’appareil pour que l’on soit tous ensemble sur les photos souvenirs. Il proposa de nous prendre en photo avec cet inconnu.
Sans attendre notre réaction, le type nous a attrapé par la taille en se plaçant au milieu de nous deux en nous serrant tout contre lui. Profitant de la situation il posa ses mains sur nos fesses attendant qu’André prenne quelques clichés de nous trois. Pendant que nos hommes discutent avec lui, nous ne pouvons pas Annie et moi nous empêcher de remarquer qu’il était particulièrement bien monté, même sans qu’il bande. Après avoir regardé le petit oiseau de l’appareil, nous allons pouvoir rêver Annie et moi-même devant le bel oiseau de cet homme, qui aurait certainement voulu que notre chatte, se régale de son passereau. Il n’arrêtait pas de reluquer nos minous. Il nous dit :

« - J’aime beaucoup Mesdames vos piercings. Ces bijoux vous vont à ravir»

Son engin commençait à gonfler et à durcir. Comme il voyait que nous nous en sommes aperçus, il s’en excuse en s’assoyant pour cacher son érection. Bob le rassure en indiquant qu’il prend ça comme un compliment pour moi et pour Annie. Il nous explique qu’il a une place de rêve et tranquille un peu plus loin et qu’André pourrait faire des photos plus coquines de son épouse.

« - il y a bien quelques voyeurs occasionnels, mais qui restent discrets et courtois. »

Nous déménageons une fois de plus pour le suivre. C’est en fait une petite dépression entre les dunes, entourée d’hoyaux, bien caché du reste de la plage. Ici Madame peut se sentir à l’aise et Monsieur peut la persuader facilement de poser charnellement pour lui.

« - C’est dommage que nous n’ayons pas fait connaissance avant, je dois vous quitter, je suis venu à la plage pendant ma coupure, mais malheureusement je dois retourner au travail. C’est avec regret que je vous quitte peut-être serez-vous encore là à la fin de mon service. Ici vous serez tranquilles pour faire des photos coquines de vous tous. »

En fin d’après midi, le trafic piéton avait augmenté, des voyeurs ne s'étaient assis pas très loin de nous, guettant l'occasion de voir nos moules s'épanouir au soleil ou de voir nos maris nous papouiller. Bob et André sont allés une nouvelle fois se rafraîchir au bord de l'eau. J'ai montré à Annie que nous étions observées, caché derrière des ajoncs, un voyeur qui faisait semblant de regarder la mer avec des jumelles, matait notre coquillage en gros plan. J'ouvris mes cuisses dans sa direction en me caressant le berlingot, c'était ma façon de lui montrer que nous l’avions repéré et qu'il n'avait pas besoin de se cacher pour nous mater. Il n'osa plus regarder dans notre direction.

Lorsque nos hommes sont remontés de la plage, nous ne leur avons pas dit que nous étions observés. Mon chéri glissa sa main le long de mon ventre pour venir me doigter la fente. Instinctivement mes cuisses s'ouvrirent pour qu'il me chatouille mon bonbon rose. Je voyais des têtes se lever derrière les dunes, nous venions d'allumer le feu. Un homme un peu plus osé que les autres vînt se masturber à quelques pas de nous, me montrant sa quéquette en érection.

Nous n’étions pas aussi bien caché et ni aussi tranquille que nous avait affirmé notre interlocuteur. Nous étions épiés de partout, voyant que nous étions collés contre nos maris qui nous caressaient devant cet homme en train de se branler, les curieux s’étaient rapprochés de nous. Chacun d'eux essayait d'avoir une place au premier rang en se masturbant pour nous montrer l'effet que je leur faisais. Quatre hommes maintenant se masturbaient autour de nous, les plus entreprenants s’étaient agenouillés à nos côtés et tentaient de me caresser en posant une main sur ma cuisse pour voir ma réaction.

André monté sur sa femme était en train de la pénétrer, empêchant ainsi les mecs de la toucher. Cela ne l’embarrassait pas que deux hommes s’étaient assis aux premières loges, et se branlaient en les regardant copuler. Annie avait l’air d’avoir fait abstraction des regards qui reluquaient son mollusque consommé par l’anguille de son mari.

Des voyeurs étaient sortis de derrière les dunes, la vitesse à laquelle se propageait l'information que deux couples s'affichaient était impressionnante. Je pense qu'ils doivent avoir un code entr'eux pour qu'ils rappliquent aussi vite. Cela ne peut pas être par portable puisqu'ils sont tout nus ou alors je ne vois que le téléphone arabe. Nous étions maintenant entourées d'une huitaine d'hommes qui s'agglutinaient autour de nous, montrant leur trique au garde à vous. Bob me laissa aux mains de mes admirateurs pour devenir à son tour voyeur prêt à intervenir en cas de problème.

En me relevant pour m’allonger sur le ventre, je me suis mise à quatre pattes offrant une vue bandante de ma féminité, une main se glissa entre mes cuisses, je me suis laissée toucher mes escalopes. Me voyant peu farouche, mais plutôt consentante en remuant ma croupe, un doigt s'engouffra dans les profondeurs de mon vagin et un autre me chatouillait ma petite pastille brune. Un homme se présenta devant moi, la bite à la main et en me tenant la tête, il m'enfonça sa verge jusqu'au fond de la gorge m'obligeant à lui faire une fellation.

Ma tendance à l’exhibitionnisme se transformait au fil de mes aventures à des envies d’être palpée et même de pénétrations. Elles sont bien loin mes premières exhibitions que je n’acceptais qu’un seul gars à la fois.

André venait de se retirer du con de sa femme en lui ayant balancé toute sa provision de sperme dans sa salle de jeux. Un des hommes qui se masturbait en les regardant éjacula presque en même temps en dirigeant ses giclements sur les seins et le ventre de ma copine. Elle s’était assise et se trouva nez à nez ou plutôt bouche à sexe devant le second mec qui s’était levé. Elle avait son sexe devant ses yeux, sans s’occuper de son mari qui l’observait, elle s’est mise à le sucer avec envie et passion. Elle s’était tellement appliquée à lui faire cette fellation que l’homme lui à jouit dans la bouche. Puis il extirpa sa grosse bite dure de sa bouche et lui arrosa ses lèvres et son joli visage. Elle recracha son sperme sur le sable.

André nettoya sa femme tendrement avec une serviette, puis ils sont allés main dans la main jusqu’à la mer, pour se rafraîchir et se laver.

Les hommes deux hommes qui étaient autour de nos amis s’étaient rapprochés de moi, plus hardis que les autres, ils me caressaient l'huître qui rendait son jus sous leurs attouchements.
Mon chéri qui matait la scène est vite intervenu lorsqu’un individu essaya de me sauter. Mes voyeurs étaient devenus un peu trop entreprenants, en effet un homme d'un certain âge s'était installé à califourchon sur moi en tentant de me prendre en levrette. Ce vieux cochon pensait bien faire des mouillettes dans mon bénitier, mais c'était sans compter sur l'intervention de mon chéri qui a mis un peu d'ordre en leur rappelant les règles de bonne conduite et en leur disant :

« - Vous avez eu de la chance que je vous laisse ma femme entre vos mains, alors s'il vous plaît, je vous demande de rester correct, courtois et d'avoir un peu de respect pour elle, rien n'est interdit du moment qu'elle soit consentante, vous pouvez la caresser mais il est interdit de la baiser sans préservatif et n'oubliez pas que c'est elle qui décide par qui elle à envie d’être saillie. » Leur dit-il.

Comme personne n'avait de capote anglaise sur lui, je n'ai pas été pénétré cette fois. Ils continuèrent à me tripoter, des mains se posaient sur tout mon corps, me caressant les seins, ma chapelle fût également très visitée. Des lèvres vinrent se poser sur mon œillet et une langue pointue essayait d'y entrer en écartant mes fesses pour le mettre en évidence. D'autres voyeurs étaient restés à distance et se pignolaient en regardant le spectacle que je leur offrais. Peut-être aussi pour ne pas apparaître sur les photos que prenait mon compagnon. Mon vicieux reprit sa position à cheval sur moi et déchargea son sperme sur mes fesses, faute de pouvoir me baiser. Quelques-uns uns éjaculèrent dans le sable.

Tout était maintenant terminé, nous avons remballé toutes nos affaires et nous avons rejoins nos amis au bord de l’eau.

« - Je crois que nous allons pouvoir réserver un appartement au cap d’Agde avec vous, si vous êtes d’accord. Comme je vous l’ai dit la dernière fois, si nous nous rendons là-bas c’est pour profiter des coutumes libertines ou tout est toléré mais que rien ne soit obligatoire et que nous aimerions vous faire avec vous. »


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