Milo Belchevic 4 - Turquie

Mission en Turquie.

Assistant du Ministre des Affaires Étrangères.
Il avait pour mission de dissimuler un micro dans le bureau du Ministre, car les autres membres de son parti politique soupçonnaient des tractations illégales avec Syriens.

Il résidait dans un hôtel à Istanbul, côté Europe.

Pour son rendez-vous avec le Ministre, on lui a envoyé une limousine privée avec chauffeur. Là, l'attendait un homme de près de 2m, qui portait un costume noir avec une chemise blanche surmontée d'une cravate rouge. Il avait des lunettes de soleil et une oreillette. De la main, il lui indique de monter dans la berline. Il s'exécute et s'installe. Dans la voiture spacieuse aux vitres teintées, le garde du corps ne bougeait presque pas. Milo observe son corps enserré dans son costume et se demande comment il fait pour ne pas le déchirer tant il est massif. Il ne décoche pas un mot et regarde toujours droit devant. Telle une montagne vivante, il avait ses mains posées sur ses cuisses et restait figé.

Milo s'approche de lui passe sa main sur son épaule et le secoue un peu. Rien. Il décide alors de glisser sa main sous la veste de son costume et sous sa cravate. Il la pousse vers un de ses volumineux pectoraux et s'attarde volontairement sur le téton pointu du garde. Il ressent alors les battements de son cœur accélérer pendant sa caresse. Milo déboutonne deux boutons de sa chemises serrée et sa main entre en contact avec son torse généreusement velu. Sa paume fait crisser les poils à mesure qu'il progresse à nouveau vers son mamelon devenu dur. Il le prend entre ses doigts et le malaxe doucement. La montagne soupire. Il reprend sa main et s'humecte les doigts avant d'y replonger afin d'exciter le garde du corps encore un peu. Milo pose maintenant ses yeux au niveau de ses jambes écartées et remarque une imposante protubérance. Il est parvenu à le faire bander. Sans hésiter, il pose sa main sur sa cuisse et la remonte jusqu'à cette épaisse bosse et se met à la caresser.

Toujours aucune réaction de la part du monstre. Il insiste et le caresse de plus en plus vite. La silhouette de son sexe se dessinait jusqu'à ses poches. Milo n'attend pas et ouvre sa braguette pour le faire jaillir. Il était juste énorme. Les boules qui y étaient attachées confirmaient ce qu'il avait pu ressentir avec sa main un peu plus tôt. Il se met à le branler lentement. Les veines sur ce tronc sont à la limite d'impressionner l'espion. Le garde respire de plus en plus vite et s'aperçoit que la personne qu'il est supposé protéger est en train de lui sucer le sexe. Milo est avachi sur la banquette en cuir noir et a sa tête plongée dans l'entrejambe de son protecteur temporaire. Il bave, s'étrangle autour de ce puissant dard, mais il sait s'y faire. Combien de cibles à abattre avait-il sucé dans ses missions pour obtenir plus d'informations ? Des centaines ? Sans compter la queue de Josef, son cousin, qui s'est vidé en lui quasiment tous les soirs pendant des années. Mais ce matin, c'est au tour de ce garde du corps qui refuse bonnement de s'exprimer. Peut-être n'en a-t-il pas le droit... Il suce encore et encore, joue avec son gland rougi par la technique de Milo. Il absorbe entièrement son pénis au plus profond de sa gorge, quand soudain, le colosse pousse un long « aaaah » et balance la purée contre le palais de Milo. Il avale le tout sans même y penser et continue à le sucer. Les dernières vagues de sperme se font plus calmes, et le garde, toujours dans le retenue, fait comme si de rien n'était. Son gros sexe dégonfle lentement dans la bouche de Milo qui récupère les dernières gouttes de son travail. Sa bite est rentrée sous son prépuce et est aussi propre qu'au départ. Il la range dans son slip, puis son pantalon et en ferme la braguette. Il reboutonne aussi sa chemise ouverte plus tôt et ajuste sa cravate.

La voiture ralentit et le chauffeur frappe au carreau. Il lui dit en turc qu'ils sont arrivés au Ministère. Le garde du corps, encore un peu sonné, sort et lui tient la porte. Sur l'esplanade, le Ministre des Affaires Étrangères l'attendait.