Ma Dernière Baise
Mon petit ami habite à l'autre bout de la France. Il peut donc se passer plusieurs semaines avant que nous puissions nous voir. Seulement, en plusieurs semaines le désir monte. Et ce ne sont pas nos quelques rendez-vous sexy par biais dinternet qui nous consolent.
La dernière fois que jai vu mon petit ami, on était tous les deux très chauds. A peine un bonjour avant de filer chez moi. Le trajet en métro est long, il met la main dans sa poche pour cacher son érection apparente, tandis que je croise les jambes pour contenir mon excitation. Je ressens chaque vibration du métro jusquau plus profond de moi. Cest donc très échauffés quon arrive à mon appartement.
Alors même que je mets la clé dans la serrure, je sens sa bite dure entre mes fesses.
Il se colle contre moi, commence à se frotter contre mon jean. On rentre dans lappartement, je lui propose quelque chose à boire (pour la forme), il décline et mattire contre lui. Il membrasse langoureusement, je sens sa langue chaude explorer ma bouche, sa bite bien dure collée contre mon bas ventre.
Je lui prends la main et lemmène vers la chambre. Je repousse les vêtements abandonnés sur le lit, il recommence à se frotter contre mes fesses. Je le laisse faire, excitée par la situation, moi penchée en avant, lui se branlant sur ma raie. Il sécarte, je lentends baisser son pantalon, je ne bouge pas. Jai envie quil me dise quoi faire, jai envie dêtre à sa merci. Il revient frotter sa queue contre moi, je la sens bien moi.
Est-ce quil a aussi enlevé son caleçon ? Jai envie de savoir, je veux me retourner face à lui mais il me serre fort. Ses mains caressent mes seins au bout durcis de plaisir. Il me pousse sur le lit et me tourne face à lui. Il est complètement nu. Sa queue est si belle, je ne peux pas mempêcher de la prendre en main. Il me repousse en grognant :
- Pas tout de suite, laisse moi faire.
Le laisser faire ? Cest tout ce dont jai envie.
- Suce-moi.
Docile, je penche la tête jusquà son imposante bite. Je la lèche dabord, comme on ferait dune glace à leau. Il appuie sur ma tête jusquà que je prenne son gland en bouche. Je commence alors à le sucer, en maidant de mes mains, alternant les gorges profondes et le titillage du bout de la langue. Il a lair dapprécier, jentends sa respiration entrecoupée et ses mains semmêlent dans mes cheveux bruns. Je ne veux pas quil éjacule avant de mavoir baisée, je me redresse donc pour aller lembrasser. Ses mains passent sur mon clito, entrent dans ma chatte trempée. Il me doigte dune façon merveilleuse, alternant les doigts et la langue. Je nen plus, je ne veux pas me retenir, je ne peux plus me contenir, je jouis une grande quantité de mouille sur sa langue.
Mais il en faut plus pour me combler !
Je regarde sa bite encore bien dure et lui dis:
- Baise-moi.
- Dans quelle position ?
Cest un jeu entre nous, le premier à craquer choisit la position. Ma préférée, la levrette évidemment.
Il se place derrière moi tandis que je me mets à genoux. Jécarte les cuisses et je cambre le dos, il menfonce sa bite tout doucement, presque délicatement. Ça ne me suffit pas, je recule le bassin pour quil senfonce dun coup. Il sait bien que jaime les mouvements rapides et bien profonds. Jaime sentir sa grosse bite me ramoner.
Les mains sur mes hanches, il entre alors dans une série de coups de butoir. Je sens sa queue bien au fond de moi, il mexcite, je ne peux plus me retenir, je nai plus de souffle, je crie ! Je lentends grogner, je prends alors les choses en main et le baise moi-même, faisant des mouvements davant en arrière qui mentraîne à la jouissance.
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