Milo Belchevic 5 - République Tchèque

Milo Belchevic était entre deux contrats et avait décidé de se reposer quelques temps à Prague, en République Tchèque. Il était dans ce bar quasi-désert, dans un recoin sombre, en train de surveiller l'activité de ses contacts internationaux sur son téléphone. Quand soudain, la porte s'ouvre. Milo ne voit pas bien de qui il s'agit à cause du contre-jour. Mais cette démarche n'appartient qu'à une seule personne. Son cousin Josef Halevic. La brute de 1,90m qui l'avait entraîné au combat au corps à corps, mais qui profitait aussi de lui pendant toute son adolescence. Il avance avec assurance vers Milo qui retient sa respiration. Il s'installe sur la banquette à côté de lui et place son bras autour de son épaule.

Comme on se retrouve, cousin, lui dit-il en lui caressant tendrement sa joue barbue.

Milo était tétanisé et son cœur battait la chamade. La main de Josef descend au niveau de sa poitrine et joue avec ses tétons par dessus son t-shirt moulant. Il progresse et att son sexe à travers son jean. Milo soupire. Josef s'approche et tente de l'embrasser, mais Milo l'en empêche.

Arrête, on peut nous voir, dit-il.
On dans le bar le plus calme de tout le pays, il n'y a personne. Le gérant est à moitié mort sur le comptoir, certainement bourré. Laisse-toi faire, comme d'habitude...

Josef décroche la ceinture de Milo et passe sa grande main sous son boxer.

Tu bandes déjà ? Mais je n'ai rien fait.

Josef saisit le gourdin de Milo et commence à l'astiquer avec douceur dans son jean. Milo ne bougeait pas à part pour prendre de plus amples respirations. Il était comme envoûté. Avec sa main libre, il att une des mains de Milo et la place sur son jean distendu. Lui aussi bandait.

Tu la veux, hein ? Regarde-toi, tu baves même un peu. Ne t'inquiètes pas, je compte bien te la faire goûter. Tu sais depuis ton passage au village, je n'ai eu qu'une envie, te la remettre.

Tu m'as laissé sur ma faim en partant alors que j'étais encore opérationnel. Je vais t'enfiler comme à l'époque. Tu te souviens quand nos draps étaient souillés de mon jus qui suintait de ton cul quand je te baisais toute la nuit ? Quand tu m'en redemandais alors que mon père dormait à quelques mètres de nous ? Quand mes couilles avaient la taille de deux raisins parce que tu me vidais entièrement ? Moi oui. Pendant tout ce temps tu as voulu me persuader que j'étais un affâmé, quand c'est toi qui ne pouvais pas faire sans mes coups de bite.

À ces mots, tous ses souvenirs lui revenaient en pleine face. Il ne peut plus se retenir et jouit dans son jean. Une large tâche se répand au niveau de sa poche, alors qu'il reprend son souffle.

Milo tente de se mettre à l'aise en baissant un peu son pantalon. Il regarde vers le comptoir mais le gérant est toujours dans les vapes. Josef a du sperme plein des doigts et en profite pour les faire passer derrière les couilles de Milo et les apporte devant son orifice. Il sent les poils drus qui l'entourent, mais surtout la peau chaude et détendue et de son entrée. Par réflexe, il retire complètement son jean et son boxer humide pour donner un accès total à Josef.

- Soulève un peu tes jambes, lui ordonne-t-il en dessinant des cercles sur sa rose avec ses doigts brillants. Mais tu es complètement ouvert, ma parole ! Putain, qu'est-ce que tu as bien pu te prendre pour être si détendu du cul ? Ne me dis pas que c'est moi qui t'ai laissé comme ça ?!

- Un Turc
- Un Turc ? Tu lui as fait quoi pour qu'il t'en veuille de la sorte ?
- Je l'ai peut-être un peu trop chauffé.
- Je ne suis pas surpris. Tu faisais pareil quand on était plus jeunes. Tu ne pouvais jamais attendre.

Il fait entrer deux doigts d'un coup, et Milo gémit. Il le mitraille le fion à l'aide de son bras musclé et Milo, qui était pourtant redevenu flasque, se remet à darder sévère.

- Je t'ai assez fait patienter.
Je pourrais te refaire jouir rien qu'avec mes doigts, tu le sais, mais je vais te laisser tâter de ma bonne queue.

Josef déboutonne son jean et laisse son monstre sortir. Il lui arrive presque sous les pectoraux une fois assis. Son apparition fait plaisir à Milo qui continue à se lubrifier le cul avec son sperme tiède. Il chevauche Josef qui l'accueille dans ses bras forts. Milo s'ajuste et place la queue de son cousin sous son cul et descend lentement. Il lui faut du temps pour digérer les plus de 20cm de bite de Josef. Une fois arrivé sur ses genoux, il fait passer ses bras autour de son cou pour se maintenir. Il se sent comblé. Son épais machin pulse dans ses entrailles. Sa bite frotte contre le ventre dur de Josef, ce qui a le don de l'exciter d'avantage. Au fond du bar, les deux amants se démènent en hurlant et personne ne peut les voir. Il n'en faut pas beaucoup pour que Josef lui éjacule dans les fesses. Sans s'interrompre, il maintient la connexion anale et allonge virilement Milo sur la banquette. Il saisit ses jambes, qu'il place sur ses épaules, et s'enfonce à nouveau et le pompe avec puissance. Josef sentait la chaleur monter et il commençait à transpirer abondamment. Il dégrafe sa chemise et libère sa poitrine imberbe surmontée de deux beaux tétons rouges et fiers que Milo s'empresse d'aller toucher. Sa grande bite l'embroche, tel un tison ardent qu'il ne peut qu'accepter. Plus Josef tape, plus Milo ouvre. Plus Josef tape, plus Milo mouille,


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