La Putain Du Chantier 2

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je tournai et retournai cette carte de visite dans mes mains … Cela faisait plusieurs jours que j’hésitais à rappeler cet homme qui m’avait violenté la bouche avec son énorme sexe et qui m’avait soumis à ses désirs : devenir une bonne gagneuse en faisant la pute sur des chantiers de la région ! Tout de même, j’avais ma fierté, pour qui me prenait-il ? Mais dans le même temps, n’avais-je pas dévoilé ma vraie nature en acceptant de m’agenouiller devant lui et lui prodiguer une fellation tandis qu’il me mettait plus bas que terre ? Trop excité par cette dernière perspective, je composais le numéro de portable inscrit sur la carte … Deux sonneries plus tard, j’entendais un très sec
- « Ouais ?! » Reconnaissant instantanément sa voix je dis
- « Bon … bonjour, je … je suis celui qui vous a rejoint sur le parking mardi dernier …/… »
- « Ah c’est toi la petite pute qui veut faire les chantiers ? tu en as mis du temps à te décider … alors donnes-moi ta réponse, je n’ai pas de temps à perdre avec des salopes dans ton genre …. »
- « Alors j’accepterais tout ce que vous voulez à condition que … » Il me coupa sèchement la parole :
- « Tu n’as aucune condition à fixer, tu acceptes tout et tu la fermes ou tu raccroches ce téléphone c’est clair ?? »
- « … Euh …. Oui c’est clair …. »
- « Oui qui ?? »
- Me souvenant de ses dernières injonctions lors de ma pipe je répondis docilement
- « Oui Maître »
- « J’aime mieux ça ! Ca tombe bien nous sommes Samedi après-midi, il fait très chaud, et les gars se reposent dans les cabanes de chantier … Rejoins moi à l’adresse que je vais t’envoyer par texto, je vais te préparer pour ce soir et toute la journée de demain, allez à toute’ ! »
Il venait de raccrocher le téléphone, qui se mit instantanément à vibrer : je venais de recevoir l’adresse en question ! Me préparer ? Que voulait-il dire par là ? Prenant soin de griffonner l’adresse sur un bout de papier que je laissais en évidence sur la table de la cuisine au cas où, je me rendis au rendez-vous fixé.

A mon arrivée sur les lieux, une porte entrouverte m’indiquait l’entrée … Je pénétrai dans le local qui était sinistre, très grand et pratiquement vide. L’homme se tenait là, debout, bras croisés et me réserva un accueil tout aussi froid que lors de notre première rencontre …
-« Approche ! » me lança t’il en me toisant du regard. Je me dirigeais vers lui et m’asseyait sur la chaise qu’il me désignait du doigt. Devant cette chaise, un miroir et une commode sur laquelle était posé pèle mêle une brosse, du maquillage, de la lingerie fine et … une perruque !
-« Une bonne pute se doit d’être présentable et excitante, nous allons donc te féminiser et te transformer en bonne salope que tu es ! » J’étais littéralement effrayé de ce qu’il exigeait de moi à cet instant, car accepter cela revenait à faire tomber tout ce que j’étais, un homme normal, sociable, ayant des amis et tout l’environnement qui va avec ! Alors que je montrais un visage réprobateur, mon tortionnaire me montra la porte du doigt
-« Mets cette perruque, ces fringues et ce maquillage tout de suite ou alors tire-toi, là MAINTENANT !! Mais je te préviens, c’est terminé, tu m’oublies, et tu retournes à tes petites escapades de merde … Et puis ta féminisation n’est qu’en rapport avec tes activités sexuelles qui sont prévues pour toi sur le chantier, après tu te rhabilles en mec … Simplement les ouvriers sont plus excités lorsqu’ils voient une pute et ils jouissent plus vite, crois-moi … ce sera plus facile pour toi ! »
Ses arguments tenaient la route et j’avais trop avancé dans cette histoire pour reculer si près du but, je décidai donc de prendre ses ordres comme un défi et d’y répondre à chaque fois. Ma « transformation » ne fût pas des plus agréables car mon nouveau Maître était très exigeant, tant sur la présentation que sur la démarche. C’est donc maquillé en putain des bas quartiers et habillé en salope aguichante que je me présentais à lui, qui ne manifestait pas la moindre attention gentille à mon égard.
Il me dévisagea de haut en bas, et défaisant sa ceinture, il m’ordonna de me tourner, de baisser mon string et de me pencher sur la commode qui se trouvait là. Je compris tout de suite de quoi il s’agissait, Monsieur allait se soulager dans le cul brûlant que je lui offrais. C’était sans compter sur son sens autoritaire car avant de subir son assaut, je sentis une brûlure consécutive à un claquement sec. Monsieur venait de m’infliger un violent coup de ceinture sur les fesses !
- « tu vas m’obéir maintenant, tu as compris ? » me souffla t’il à l’oreille …
- « Oui Maître ! »
- « … Mes ouvriers sont exigeants et ne veulent pas être déçus, tu devras donc assouvir tous leurs désirs, sans jamais te plaindre … Tu devras soulager ton nouveau Maître aussi, quand je l’exigerais ! »
- « O … oui Maître ! »
Je sentis alors son énorme bâton de chair se frotter contre mon anus, avant qu’il ne s’enfonce sèchement et sans préparation au fond de mes entrailles … Il me laboura en me tenant par les hanches, tout en me claquant régulièrement les fesses qui commençaient à rougir … Il grognait et m’insultait en même temps, me traitant de tous les noms, ce qui me rabaissait encore un peu plus … J’aurais voulu tout stopper et m’enfuir mais je regardais à travers le miroir ce bourreau qui me labourait le ventre, et je ne pouvais m’empêcher d’aimer la salope que j’étais … Il se retira d’un coup, me saisit la tête et me retourna … J’eus à peine le temps de m’agenouiller devant lui qu’il déversa une énorme quantité de sperme dans ma bouche, que je dus avaler … je finis de le nettoyer avec ma langue, avant de lui remonter son slip et pantalon, que je pris soin de reboutonner. Il me tendit un tube de rouge à lèvres :
-« repasses toi un coup sur les lèvres et suis moi ! »
Nous sommes montés dans sa voiture et alors que je lui demandais où nous allions, il me regarda sans répondre avec un sourire inquisiteur … je compris alors que nous nous dirigions vers le chantier.

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