Entre Fantasme Et Réalité Chapitre 3
Le téléphone toujours collé à loreille, jai le cur qui palpite, la bouche sèche et la lèvre inférieure meurtrie par la pression exercée par mes dents. Je reste stupéfaite en réalisant quil nest plus en ligne. Une panique sempare de moi, 45 minutes ? Cest peu de temps pour espérer me préparer ! Pas une minute à perdre à me prélasser, il faut à tout prix morganiser. Je tente de faire circuler toutes les infos de façon cohérente, il faut que je change mes draps, que je vérifie que rien ne traine, et le plus fastidieux que je me prépare avant quil narrive. Je mextraie du bain et ne me soucie plus de la température de la pièce ou de mettre de leau un peu partout, je parcours mes jambes et mon corps pour vérifier que ma peau de satin ne ma pas déserté, un gain de temps non négligeable dans mon emploi du temps déjà bien rempli. Une fois rassurée, jenjambe prudemment le rebord de la baignoire et ne prête guère attention à leau qui se repend sur le sol. Je mempare de deux serviettes propres, je menroule dans la première et je jette lautre à terre pour effacer les stigmates de ma précipitation. Je passe le bord de ma serviette sur la glace et essuie la buée, un visage troublé se dessine. Jatt le stick sur le bord du meuble et le passe machinalement sur mes lèvres. Un instant de répit propice pour une petite conversation avec ma conscience. Allez, ce nest pas le moment de te dégonfler, pas maintenant. Secoue-toi ! Je fais aussi vite que possible pour me passer un peu de crème sur le corps, dompter mes cheveux en les séchant et en les brossant. Je décide de ne pas mettre de parfum, jai peur den faire trop, les effluves du bain, de ma crème
En revanche le déodorant nest pas négociable. Une fois satisfaite, je rejoins ma chambre. Dabord, ramasser les fringues que jai négligemment jetées sur mon lit ce matin après avoir tergiversé trente minutes à décider ce que je porterai aujourdhui. Ensuite, incursion obligatoire dans mon tiroir de lingerie, jignore encore ce que je vais enfiler par-dessus, mais je trouve plus simple de commencer par les sous vêtements pour réduire par la suite les combinaisons possibles.
« Oui ? » Faites que ce soit lui.
« Cest moi
» Même avec linterphone, son timbre parvient à me faire perdre pied.
« Je suis au 7ème, à droite en sortant de lascenseur ». On y est, mon petit cur en est tout à fait conscient lui aussi, il martèle un rythme effréné, appréhendant louverture imminente de ma porte
De limpatience, de lenvie, de lexcitation, mais aussi de la peur, je suis submergée par les sentiments qui se succèdent les uns après les autres. Je suis tirée de ma torpeur par un coup discret qui vient de raisonner. Une nouvelle fois, je me force à compter jusquà trois pour chasser un maximum de stress, et jouvre la porte. En une seconde, je fonds littéralement devant lui, il a les cheveux trempés, une main sur le chambranle de la porte et son sourire
Je marrête sur ce sourire et remonte jusquà ses yeux. Son regard est profond, je repense à plus tôt dans la journée quand il a eu ce regard pendant que jétais penchée entre ses jambes
« Un appartement en ville hein ? Jai cru devenir fou pour me garer
» Le timbre de sa voix a changé à la fin de sa phrase, je ne peux retenir un sourire, et son regard dérive vers mes lèvres. Mais déjà je sens sa bouche contre la mienne, je suis si surprise que je mets une à deux seconde avant de lui répondre. Son corps se presse contre le mien, je ressens son impatience, un gémissement méchappe faisant écho à son excitation. Je suis accaparée par cet échange, cest la première fois que je goutte à ses lèvres, et ça me bouleverse.
« Si tu savais comme jai envie de ta bouche » il murmure ses paroles tout en approfondissant son baiser. Sa confession agit sur moi comme un puissant aphrodisiaque, je sens sa langue qui cherche à se frayer un chemin vers la mienne. Son baiser se fait de plus en plus pressant, je narrive plus à réfléchir de façon cohérente, mon attention concentrée sur notre échange. Il rompt soudain le contact et pose son front contre le mien, je suis à bout de souffle, et aussi frustrée quil se soit interrompu.
« Tu me fais entrer ? » Sa remarque me prend de court, et colore mes joues. Il nest plus tout à fait dans le couloir, ni tout à fait chez moi, cependant ma porte dentrée est encore grande ouverte. Je mécarte donc pour le laisser passer et sans un mot la referme. Ses mains sont sur mes hanches, à nouveau il se presse, et contre mes fesses je sens la forme de son sexe. Ce contact me rend folle de désir, sa bouche se niche dans le creux de mon cou, je ne veux pas quil brise ce contact alors je lève la main et la passe derrière sa nuque et caresse ses cheveux humides. Ils sont doux sous mes doigts. Jai longtemps imaginé lors de mes réflexions épisodiques au travail passer la main dans ses cheveux, et à présent je capture cet instant pour me le rejouer sans cesse. Je sens sa bouche avide plaquée sur ma peau, son désir est aussi présent que le mien, et chaque caresse alimente un peu plus le feu qui nous anime. Je nai jamais ressenti ce besoin auparavant, jai envie de son corps, jen ai besoin. Ce nest pas raisonné, à ce stade toute réflexion ma abandonné, aussi quand je me retourne pour lui faire face, mes yeux lui décrivent à quel point jai envie de lui maintenant. Ses yeux capturent les miens et je peux y lire également toute sorte de sentiments, de lenvie bien sur, de la férocité, de la luxure
Il me fait tourner la tête. Je colle mes hanches contre les siennes, et glisse mes mains sur ses fesses. Cette barrière entre nos corps est insupportable, nos respirations sont rapides. Ses mains ont quitté mes hanches pour sattaquer à la rangée de boutons de mon chemisier. Je retiens mon souffle impatiente de découvrir ses réactions et de me procurer du plaisir. Chaque bouton est ôté un à un, cest à la fois électrisant et frustrant. Je tente donc de rester tranquille, mais je ne peux contrôler mon corps qui réagit à sa présence, faisant ériger de petites pointes au travers de mon soutien-gorge. Le dernier bouton enlevé, il saisit chaque pan de ma chemise et lécarte pour dévoiler ma poitrine.
« Baise-moi
» Son corps se crispe en réaction. Je capture le lobe de son oreille et le mordille gentiment attendant quil prenne sa décision. Je suis prête à le faire plier, je veux tout de lui et sans retenue. Je ne veux rien avoir à regretter.
« Demande-le moi encore » Je vous avez parlé du contrôle non ? A ce petit jeu là, je peux toujours bluffer mais dire que je napprécie pas quil ait le dessus serait aussi du bluff
« Je veux que tu me baises encore et encore
» Il att mon menton et moblige à le regarder dans les yeux, mes lèvres sont entrouvertes, jai du mal à respirer normalement, et à calmer mon pouls.
« Il faudra aussi me supplier darrêter
» Cette promesse achève toute ma retenue, je capture sa bouche et caresse sa langue avec ferveur. Je le guide doucement sans rompre notre contact vers ma chambre. Je me rends compte que nous y sommes au moment ou mes jambes butent contre le lit, mais là encore je ne peux me résoudre à lui rendre sa bouche. Mes mains partent à lassaut de sa ceinture et des boutons de son jean. Il na plus quà tirer sur ma chemise pour quelle rejoigne le sol. Son boxer apparait enfin sous mes doigts, son sexe érigé est une invitation aux caresses. Mais il ne me laisse pas loccasion de men saisir. Il prend mes poignets et les remonte sur son torse. Il ne men faut pas plus pour partir à la découverte du reste de son corps. Sa veste tombe rapidement au sol, je glisse mes mains sous le tissu de son tee shirt et apprécie la caresse de sa peau et de ses muscles sous mes paumes. Mon jean semble de trop pour lui car à peine le bouton enlevé je le sens tirer dessus pour le faire glisser sur mes hanches. Sa bouche quant à elle parcourt mes épaules quil dénude, faisant basculer les bretelles. Bientôt je ressens le poids de mes seins ainsi mis à nus. Sa bouche déclenche des frissons sur ma peau. Tout ceci ne va pas assez vite, le besoin que jai de le sentir en moi ne cesse denfler dans ma poitrine. Mes doigts tentent une nouvelle fois de sapprocher de lélastique de son boxer ce qui a pour résultat de me faire basculer sur le lit. Je me retrouve alors offerte tout entière à son regard. Il finit de môter mon jean, et en fait de même. Son tee-shirt passe bientôt par-dessus sa tête. Il me domine de sa hauteur, et jadore cette sensation. Il sapproche alors lentement de moi et fait remonter ses mains sur mes jambes avec une lenteur exagérée.
« Sil te-plait
» Ma supplique lui arrache un sourire féroce.
« Patience, laisse moi savourer ta peau mise à nue, noublie pas que ce plaisir ma pour le moment été épargné ». Je pense au contraire quil aura tout le temps après, une fois que jaurai senti son membre me posséder et marracher des râles de plaisir
Je ne tente même pas de lui faire entendre raison, il faut savoir perdre des batailles. De toute façon, mes réflexions sont à nouveau brouillées par ses caresses. Ils remontent délibérément entre mes jambes et cela me fait perdre le fil de mes pensées. Sa tête se retrouve à nouveau au dessus de mon sexe, lobserver ainsi me rend folle, car jappréhende le moindre de ses faits et gestes. Jai envie de me tortiller pour laguicher davantage mais tout à coup il glisse une main sous mes fesses descend létoffe le long de mes jambes. La fraicheur de son souffle que je ressens sur mon entrejambe me fait pousser un gémissement. Sa main une fois débarrassée du shorty remontent entre mes cuisses. Ma poitrine se soulève de plus en plus rapidement. Je suis complètement nue, soumise. Je sens sa main se rapprocher encore plus prés de mon intimité. Un profond gémissement séchappe soudain de mes lèvres, mes mains agrippent par réflexe le drap sous mon corps. Je sens ses doigts buter au fond de mon vagin. Ils ne bougent pas pendant une seconde me permettant dapprécier leur présence. Mais rapidement ils les glissent en moi dans un rythme de va et vient. Je sens ses doigts fondre en moi, je suis si excitée... Mes yeux sont clos, mes mains sont contractées et mes jambes écartées pour lui faciliter laccès. Ces caresses sont fortes et appuyées et cela me plait. Tout mon corps réagit avec un plaisir non dissimulé. Au travers de mes cils je laperçois au bord du lit, entre mes jambes, Il se délecte lui aussi de toutes les sensations quil me procure et à nouveau je décèle sa retenue dans sa posture. Il a le souffle court, et je comprends alors à quel point il se retient. A cet instant jai envie de mengouffrer dans cette brèche et de lui faire perdre ce contrôle quil semploie si difficilement à maintenir. Jouvre alors les paupières pour quil remarque que je lobserve. Je lève les hanches à sa rencontre. Son regard att le mien et je lui transmets alors tout le désir dont je suis capable dans mon regard. Ma main droite quitte le drap pour venir caresser ma poitrine, doucement, en épousant leur forme arrondie. Cette fois jai réussi à attirer son attention suffisamment pour quil perde le rythme de ses poussées. Mes deux mains sont sur ma poitrine, effleurant la pointe de mes tétons. Je remarque que le drap se tend sous sa main gauche. Aussi je ne marrête pas et fais descendre ma main droite le long de mon corps jusquà mon clitoris que je caresse subtilement dun doigt. Un son grave séchappe de sa gorge, je compte les secondes qui le séparent de la rupture. Il est si proche. Tout à coup je le vois bouger rapidement, se relevant sur ses genoux, il agrippe son boxer et le défais, se retrouvant nu et debout au pied du lit. Son sexe est érigé et dur, je me rappelle lorsquil glissait dans ma bouche
« Relève toi et mets toi à quatre patte devant moi »
Cette fois cest à son tour de me faire perdre pied A nouveau mon cur reprend un rythme effréné, je comprends que je lai poussé au bord de ses limites, mais non contente de la situation je lui obéis docilement. Je place mes fesses proches de lui et je sens quil place ses mains de part et dautre de mes hanches. Il se rapproche dangereusement de moi.
« Cest ce que tu veux nest ce pas ? » Mais sans me laisser le temps de lui répondre, il me pénètre dune poussée. Les sensations sont si réelles, si bonnes, un cri traverse mon corps tout entier. Il me tient fermement les hanches, son sexe enfoncé au plus profond de mon vagin. Japprécie un instant la sensation, il me remplit et une vague de chaleur se créé dans mon ventre. Je le sens sécarter et tout dun coup attirer à nouveau mon corps jusquau sien. Ces mouvements sont rapides, et je sens sa chair claquer sur la mienne à mesure quil accentue ses pénétrations. Je suis un jouet entre ses mains et jadore être dans cette position, le laisser me dominer. Lexcitation enfle en moi comme une vague qui menace de me submerger, mes mains agrippent à nouveau le drap mon attention focalisée sur ses coups de rein. Les cris que je ne cesse de prononcer sont comme un carburant pour lui, il sen nourrit et me les rend au centuple. Je nai jamais rien ressenti de tel auparavant. Faire lamour, na rien avoir avec la façon dont il me prend en ce moment. Jai voulu quil me baise et il sévertue à respecter sa parole. Il ny a pas de tendresse, mais je nen réclame pas, mon corps a juste besoin du sien et de lui prodiguer la délivrance tant attendue. Une fine couche de transpiration couvre ma peau et la sienne. Je suis proche de lorgasme et mes gémissements lui transmettent linformation. La cadence saccélère alors. Ses coups de butoir sont si forts que mes jambes tremblent. Mon orgasme me submerge alors, si violent quil passe son bras sous mon ventre pour me retenir. Jai du mal à retrouver mon souffle. Il a toujours son corps collé au mien, et cette chaleur est salvatrice.
« Retourne-toi » Le son de sa voix est bas, il est dans la retenue à nouveau, je mexécute et découvre son membre érigé devant mon visage. Je ne peux résister longtemps à men approcher. Il est dur et luisant, et pour moi cest une invitation à y gouter. Sur les genoux, je mapproche de lui et caresse ses cuisses tout en remontant vers la base de son sexe tandis que de la langue je goutte sa verge. Je trouve mon goût mélangé au sien exquis et la chaleur encore présente entre mes jambes se remet à palpiter. Sa main se referme sur ma nuque, je lève le regard vers le sien, ses traits sont déformés par lexcitation.
« Suce-moi, vas-y
» Je veux à tout prix lui obéir, aussi jintroduis sa verge dans ma bouche. Il est chaud, gonflé par le désir.
« Et maintenant je vais te baiser la bouche » Il sécarte légèrement et par un coup de rein la réintroduit au fond de ma bouche jusquà buter au fond de ma gorge. Je scelle mon regard au sien et il renouvelle ses assauts les uns après les autres. Jaime sa façon de faire, il me désinhibe complètement. Jai déjà eu loccasion de tester plusieurs positions dans mes anciennes relations, mais je ne me suis jamais abandonnée de la sorte à quelquun. Il est proche à son tour de lorgasme. Ses yeux quittent les miens à plusieurs reprises, fermant les paupières quelques secondes. Ses muscles sont tendus, la prise sur ma nuque se fait plus forte, je mactive à passer ma langue le long de sa verge et autour de son gland à chaque fois quil savance en moi. Son corps se raidit et enfin je sens sur ma langue son sperme se rependre. Un gémissement lui échappe, et je mapplique à serrer les lèvres pour lui procurer un maximum de plaisir. Le son qui quitte sa bouche me fait frissonner. Il retire complètement sa verge et mobserve attentivement. Son sperme est toujours dans ma bouche et je mapplique à lui montrer que javale chaque petite parcelle de lui. Il reprend son souffle peu à peu, je nai toujours pas changé de position et il est toujours debout au pied du lit. Il finit par mettre un genou sur le matelas et à sallonger tout en me tirant par la main pour que je le suive. Il mattire contre son corps reposant sur le dos et att ma bouche, sa langue gouttant la mienne. Ses mains sont partout sur mon corps, je me redresse et le regarde nest-il pas fatigué ?
« Je pourrais te faire lamour tout la nuit » Je nai pas prononcé un seul mot, alors comment peut-il tomber aussi juste à chaque fois ? Je lui souris, je ne suis pas aussi téméraire que lui, jai eu une journée difficile, agréable, même très agréable mais difficile. De plus je suis sure quau réveil je serai assailli par plusieurs élancements dans le corps en rappel à cette soirée agitée. Toutefois je ne suis pas prête à marrêter, je ne dispose peut être que dune nuit avec lui aussi je ne veux pas la gâcher. Je ne souhaite pas penser à demain pour le moment, qui sait la façon dont cela impactera notre travail en commun, cest beaucoup trop de questions pour ce soir. Il mobserve toujours entrain de tergiverser, ces monologues intérieurs doivent beaucoup lamuser car la fossette à la commissure de ses lèvres refait son apparition. Je ne me suis même pas rendue compte quil a changé de position et repose maintenant sur le flanc le bras replié se tenant la tête de la main. La chair de poule parcourt ma peau, après ces ébats la chaleur ma déserté, et son corps qui ne se retrouve plus collé au mien fait cruellement chuter ma température corporelle.
« Tu as froid ». Ce nest pas une question, un simple constat. Il se rapproche de moi, et fait glisser ses mains sur mon corps. Je ressens la chaleur diffuser par ses mains là ou il me touche, il sapplique à me réchauffer avec une infinie minutie. Ces caresses cumulées avec son flan collé à moi suffisent à balayer mes frissons. Ils sont aussitôt remplacés par un emballement de mon rythme cardiaque quand il se penche sur ma poitrine pour capturer mon téton avec sa bouche. Ses dents mordillent la chair tendre et menvoient une onde de plaisir. Je sens mon bas ventre se réveiller et shumidifier. Je ne peux résister à glisser une main jusquà mon clitoris pour en éprouver son touché. La combinaison de sa bouche et de mon doigt sur cette boule de plaisir me font me cambrer, gémir et écarter les jambes. Il rompt alors le contact sur ma poitrine, relève les yeux sur mon corps surpris de mon initiative. Toutefois il incline à nouveau la tête vers ma poitrine, en y faisant glisser sa bouche et sa langue vers une lente descente. Je continue les caresses que je me prodigue, jusquà ce que sa tête se retrouve entre mes cuisses. A cet instant mon souffle saccélère car jappréhende ce qui va suivre me faisant ralentir la cadence. Il pose une main sur chacune de mes cuisses et écarte davantage mes jambes. Sa tête descend alors, ne me permettant dapercevoir que le haut de ses cheveux. Il appose alors sa bouche sur mon sexe, et un déferlement de plaisir sabat alors sur moi. Il mest difficile de rester sans bouger tant les sensations quil me procure sont importantes, mon clitoris est pressé dans sa bouche, et taquiné par sa langue. Les sons que je pousse font un écho à sa langue que je sens sinfiltrer en moi. La chaleur pulse à nouveau en moi, je ne peux mempêcher de passer la main dans ses cheveux.
« Ne tarrête pas je ten prie
» A cet instant je sais que lorgasme va à nouveau me parcourir et les images de sa tête entre mes cuisses accélère la vitesse à laquelle il prend possession de moi. Mes jambes tremblent, je nai plus aucune maîtrise. Il taquine jusquau bout mon clitoris gonflé par le plaisir.
Après autant de jouissance, mon corps naspire plus quau repos. Il remonte à mon niveau et membrasse, me faisant partager mon humidité. Il sécarte alors et je sens quil tire le drap sous moi, je lève méthodiquement les fesses puis le buste pour quil puisse rabattre la couette sur moi. Ces draps propres sont une invitation au rêve. Je moblige à cligner des yeux, il est hors de question que je mendorme maintenant. Je tente de me gifler intérieurement, jaurai tout le temps de dormir un autre jour mais par pitié pas maintenant
Loreiller quil mavance est moelleux, il positionne le sien à coté du mien, et se remet sur le flan. Je décide de prendre une position moins confortable pour être sure de rester maîtresse de ma personne. Jai horreur de dormir sur le ventre, ce qui me semble la position idéale pour le regarder à mon tour. Jai envie de lembrasser à nouveau, je force mes paupières à se maintenir en place ce qui me fait cligner plusieurs fois des yeux.
« Tu peux te reposer une minute ».
« Je ne suis pas si fatiguée ». Pourquoi chaque mensonge sonne aussi faux à mes propres oreilles ? Je ne veux pas mendormir
Je martèle ce message encore et encore histoire de faire entendre raison à chaque cellule de mon corps. Sa main vient effleurer mon épaule, mais jen suis à peine consciente. Je lutte désespérément en rouvrant les yeux alors que je ne me rends même pas compte quils se sont fermés tout seul. Cest un combat perdu davance, et bien que cela me contrarie je ne suis plus de taille à lutter. Bientôt les sensations deviennent vaporeuses, et je sombre dans un profond sommeil.
Alors.... à vos commentaires!
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