Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari

Isabelle va finir par se venger de son mari
Épisode 3
13 juillet : nuit avec Noël
Isabelle craignait cette nuit. Après les nuits passées avec Jean-Joseph et Albert, elle avait pris de la confiance. En montant dans l’ascenseur elle se dit qu’elle se sentait comme une pute : « je vais devoir lui donner ce qu’il veut à ce gros cochon. Mon mari m’a dit qu’il était très gentil. Gentil, peut-être mais peut-être aussi uni gros dégueulasse. En se présentant il m’a dit qu’il était un jouisseur cochon. En plus, Il a dit plusieurs fois à mon mari Bertrand, que j’allais devoir lui vider les couilles six ou sept fois ; ça promet ! »
Le lendemain matin, son mari l’attendait. C’est le récit qu’Isabelle a fait qui va nous permettre de connaître ce qui s’est passé cette nuit-là.
-Dis-moi comment ça s’est passé, demanda le mari quand elle entra dans leur salon.
-J’ai mal aux poignets ; j’ai branlé toute la nuit.
-Il ne t’a pas baisé ?
-Si, mais il est bizarre, il récupère tout son sperme. Il a été sympa avec moi mais il en a bien profité. Dix minutes après mon arrivée, j’étais déjà en train de lui secouer la bite. Il m’a expliqué qu’il fallait le traire comme une vache. Il s’est mis à quatre pattes à poils sur son lit. Il bandait déjà. Il ne m’a pas dit de me déshabiller.
-Ne me dis pas que tu as accepté de lui faire ça. C’est trop cochon ! s’exclama le mari.
-Je n’avais pas le choix. De toutes façons, il ne m’a pas laissé le temps de réfléchir. À peine installé, il s’est saisi de ma main et l’a portée à son sexe puis il a pris mon poignet et l’a fait aller et venir pour me montrer ce qu’il voulait que je fasse. Pendant que je le secouais par dessous, il m’a expliqué : « Vous me faites juter et vous mettez bien le pot de yaourt pour que toute ma sauce tombe dedans. Après, vous fermez bien avec le couvercle. » C’était bizarre mais pas violent.
-Non, Isabelle, tu pouvais refuser.
-Si tu n’avais pas de dette envers lui, je ne serais jamais allée le chercher pour lui faire ça.

En tout cas, je n’ai pas branlé longtemps. Il est venu vite. Au bout de 5 minutes il m’a dit très calmement : « Je vais bientôt juter. N’oubliez pas de compter les giclées et de bien mettre le pot. » J’ai bien regardé. Il a envoyé 7 giclées et sa queue a continué à couler. « Videz bien le tuyau. » J’ai fait comme il a dit. Jusqu’à la dernière goutte. Il a regardé le pot : « pas mal ! Je vais réussir à le remplir cette nuit. »
-Il est quand même un gros cochon ! se lamenta Bertrand, le mari d’Isabelle.
- Il est allé boire puis aux toilettes. Il s’est lavé. « Allez au boulot pour le 2ème tour ! » Je croyais qu’il voulait que je le suce mais c’est lui qui m’a bouffé la chatte. « Votre chatte m’excite ; ça y est je recommence à bander. Vous allez pouvoir faire la deuxième traite. Mettez-vous derrière moi et tirez-moi le jus.
-Mais, c’est horrible, tu l’as branlé avec son cul sous le nez.
-Ben oui, J’avais son cul sous les yeux. Il me tendait le pot. Je lui ai attrapé la bite et je l’ai branlée. « N’oublie pas de me caresser les couilles. » Il avait le gland toute rouge. Il y allait de ses commentaires : « Ah ! c’est bon de se faire branler. Allez-y Isabelle ! » Au bout des dix minutes, j’ai senti que ça n’allait pas tarder. Il était presque en apnée. « Je vais venir. Comptez Isabelle, comptez ! » J’ai compté. « Une, deux, trois, quatre, … et maintenant ça coule. » J’ai réussi à le faire éjaculer sans changer de main.
-Et qu’est-ce qu’il fait de son sperme ?
-Ha, ça ?
-Et après, je l’ai encore branlé ; Je l’ai sucé. Il a juté. Il m’a bouffé la chatte. Il sait y faire ton copain. Un coup de langue dans le sexe et après il m’a frotté le clitoris avec sa langue bien à plat. Je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir l’image de sa queue dans la tête. Et celle d’Albert aussi. J’ai senti que c’était parti vers l’orgasme. Il s’en est aperçu car j’ai eu des secousses. Il a mis sa langue dans ma fente. « T’as bon goût ! magnifique. » Quand j’ai été remise, Je l’ai sucé par derrière sans qu’il me demande.
Il était aux anges.
-Tu vas devenir une vraie cochonne ! Mais, avoue, tu as joui.
-Il fallait bien que je le remercie de m’avoir fait jouir. Il a joui encore mais avait beaucoup moins de jus. Mais le pot était presque plein.
-Je parie que tu l’as encore sucé.
- Il m’a fait mettre à quatre pattes et il m’a bouffé. Après il m’a dit : « je vais te montrer comment faire pour me vider. » Et il m’a mis un doigt dans l’anus et il a gigoté. « Ils ne vous ont pas fait ça mes copains. – Si Albret me l’a mis, » je lui ai répondu. « C’est parce qu’il veut vous enculer la prochaine fois ; ça va être dur pour vous vu son engin. Je vais vous aider pour ce soit moins difficile. Pour le moment, il faut me tirer du jus. » Il s’est mis à quatre pattes et m’a demandé de lui mettre le doigt dans le cul. Je n’osais pas trop. Je lui ai rentré le bout de l’index. « Allez-y franchement avec le majeur ; mon trou en a vu d’autre. Je me suis donné un lavement de deux litres pour me nettoyer le rectum. » Je ne sais plus ce que j’ai répondu mais je n’ai pas été trop choquée. Avec ses deux mains, il s’est écarté les fesses. Et je lui ai fourré mon majeur à fond.
-Je n’arrive pas à croire que tu aies fait ça.
-J’en ai appris. Il m’a expliqué qu’il fallait lui masser la prostate avec mon doigt et que ça allait juter. « Cherchez bien avec votre doigt ; vous allez la sentir. » J’ai tourné mon doigt et je l’ai trouvé. Il m’a dit que ça ne servait à rien de continuer à le branler et que son jus allait couler tout seul. Je lui tenais juste son sexe au-dessus du pot presque plein. « Regardez bien, je crois que je vais juter. »
-C’est dégoûtant ! Je n’y crois pas, s’exclama Bertrand, le mari d’Isabelle.
-Tu n’auras qu’as lui demander, lui répliqua-t-elle. En tout cas, j’ai vu une goutte blanche apparaître au bout du gland, puis un filet ininterrompu est sorti de sa queue un peu molle. Il a donné juste assez pour finir de remplir le pot.


-C’est un vicieux.
Un vrai vicieux, éructa le mari.
-Ça ne m’a pas déplu de lui mettre mon doigt. Après avoir juté il m’a dit : « Ça ne sert plus à rien de continuer à m’enculer, je n’ai plus rien ». Il s’était bien nettoyé le cul car mon doigt était propre. Après, il est allé aux toilettes ; quand il est revenu, il s’est endormi et moi aussi.
Et ce matin, je parie que tu lui as fait une petite pipe.
-Non, tu te trompes ; il m’est monté dessus et m’a baisée. Il me tenait dans ses bras comme s’il était mon amant. Il me tenait la tête collée à la sienne. J’étais persuadé qu’il allait se retourner et me demander de lui mettre quelque chose dans l’anus. Ça m’a à moitié excitée de penser à ça. Il baise à la même vitesse que toi. J’étais mais j’étais excitée. Il a senti que j’étais à point. Il s’est arrêté. « Il ne faut pas que vous jouissiez encore. Je vais d’abord vous expliquer pour que vous ayez du plaisir à vous faire sodomiser par Albert. » Il bandait dur quand il est sorti de moi. « Je n’ai pas juté et elle est toute blanche. Vous m’avez mis du jus bien blanc, madame Isabelle ! » Ça nous a fait rigoler.
-Alors tu as rigolé avec ce porc ! C’est scandaleux ! J’ai honte pour toi, se révoltait le mari Bertrand.
-C’est toi qui devrais avoir honte. Tu dois accepter que j’en profite. Ça ne m’a pas déplu de voir ce que j’avais mouillé sur son membre bien droit. Surtout que j’étais certaine que j’allais finir par jouir dans les minutes qui venaient. « Il faut vous entraîner à une présence dans le rectum. J’ai des plugs et des dildos pour les anus. Le mieux est que vous m’en mettiez un pour voir comment ça se passe. » Et il alla prendre une boîte. Il me montra des trucs de toutes formes et de toutes tailles. « Ils ont tous parfaitement nettoyés et désinfectés. Allez-y choisissez et vous me le mettez où il faut. » Et il se met à quatre pattes. Ça ne m’a pas gênée de trop, vu que j’avais déjà bien vu sa raie et que je lui avais mis le doigt.
-Tu me fais honte Isabelle.
Tu es devenue une vicieuse.
- Je ne suis pas une vicieuse. Mais, j’étais excitée. Alors, j’ai pris un machin noir assez gros. Il m’a demandé de bien le lubrifier avec de la vaseline. Je lui ai dit que ça allait salir les draps. « Vous occupez pas de cela ; allez-y, allez-y, dans le cul ! » Il s’est mis le cul devant la lampe de chevet. « Un peu de vaseline sur mon trou, s’il vous plaît. » Je lui ai mis de la vaseline. Il a joué avec son anus. Je lui ai enfoncé l’engin. « Ça fait un peu mal ; doucement ! Doucement ! Hou ! Hou ! » Il s’est attrapé la queue et s’est branlé. Je n’ai pas arrêté. Je lui ai enfoncé jusqu’à la garde. Il s’est retourné et m’a ouvert les jambes. Il m’a baisée. Il était bien raide. « J’en ai plein le cul ! » À ce moment je me suis imaginé qu’un homme était derrière lui en train de le sodomiser. Ça m’a fait partir. J’ai tressauté deux ou trois fois ; il me regardait. Il s’est crispé et a poussé des grognements. IL a sorti sa queue d’un coup et l’a fourré dans un pot qu’il a sorti de je ne sais où. J’ai bien aimé voir son sperme couler dans le pot. Après, Il m’a demandé si je voulais essayer un engin pour m’entraîner. Avant que j’accepte, Il m’a installée sur le côté. Il en a pris un, pas le plus petit et a fini le tube de vaseline dessus. Il m’a écarté la fesse et m’a mis son doigt. « Alors, j’y vais ? »
- Et je parie que tu n’as pas refusé. Je ne te reconnais plus, Isabelle.
- Je lui ai quand même dit : « Vous me promettez d’arrêter si j’ai mal. » J’ai vu qu’il bandait à nouveau. « Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas sadique. Je veux au contraire tout faire pour que vous preniez du plaisir. J’ai choisi celui-là. Il n’est pas très gros et comme il est resserré là, il ne peut pas ressortir tout seul. Vous pouvez le garder la journée et la nuit comme vous voulez. Comme ça votre rectum va s’habi à avoir quelque chose dedans. N’oubliez pas de prévoir deux ou trois tubes de vaseline. Il faudra demander à Albert si vous pouvez lui enduire sa teub comme disent les jeunes voyous. » Puis ton copain de poker a commencé à enfoncer. Arrivez à un moment, j’ai senti que c’était dur. Il a appuyé d’un coup. J’ai sursauté ; ça m’a fait un peu mal et j’ai senti que c’était dedans et mon anus s’était refermé sur la partie étroite.
- Tu l’as gardé ?
- Ben oui ! De ta faute, je vais me faire sodomiser par Albert alors je préfère m’entraîner que de trop souffrir quand il va m’embrocher par l’anus.

Et elle ne raconta pas que Noël lui était remonté dessus et avait joui en deux minutes quand son gland avait cogné contre le plug au travers de son vagin… et qu’elle avait joui aussi.
Elle laissa son mari effondré sur le canapé et est allée se coucher.

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