Sous La Douche
Je me présente, je suis Sylvain, j'ai 33 ans, je suis cadre dans une banque et je vais vous raconter une histoire qui s'est produite il y a quelques mois. Je suis gay et j'ai une vie assez remplie. Je fréquente une salle de sport dans le quartier de la place de la République à Paris, et je me suis fait pas mal draguer là-bas. On dit de moi que je suis plutôt assez charmant.
Un midi que j'avais de libre, je me rends dans cette salle pour profiter du moins grand nombre d'adhérents dans ces heures. Je peux faire les exercices qui me plaisent sans avoir à attendre qu'un autre s'en aille. Je fais travailler mon dos, quand en face de moi, je vois ce mec, auquel je donnerais 25 ans, un Arabe, qui s'entraîne sur une machine pour le renforcement des cuisses. Il doit pousser des poids avec l'intérieur de ses genoux pour l'activer. Il porte une combinaison ultra moulante blanche en haut et un short en nylon très court. Ses grosses cuisses marron étaient très poilues et marquées de veines. Il soupirait à chaque répétition. Son paquet, plutôt imposant, était visible dès qu'il écartait grand les jambes. Il se tenait les bras tendus sur les côtés pour se concentrer sur ses muscles du bas du corps. Nos regards se croisent souvent. Ses yeux noirs appuient sur les miens alors que j'essaye de garder la face et ne pas détourner le visage. Il s'arrête et me frôle en passant à côté de moi. Je sens son odeur de transpiration et le suit du regard. Il se retourne à son tour quand il s'installe sur une nouvelle machine. Cette fois-ci c'est une presse pour faire travailler les biceps et les pectoraux. Il s'assoit en écartant les jambes bien largement, pour me permettre de voir son service trois pièces à travers son petit short. Il s'active et gonfle bien ses immenses bras avant de pousser. Il souffle fort. Des gouttes perlent sur son front. Je peux distinguer ses tétons sous sa combinaison blanche, ainsi que ses abdos. Il me fixe avec intensité pendant chacun de ses mouvements.
Tu vas te la prendre ma grosse que d'Arabe. T'en peux plus hein ?
Oui, baise-moi, je suis tien, encule-moi comme il faut...
Serre les fesses pour moi, tu vas bien la sentir.
Comme ça ?
Oui, comme ça, serre bien, sale pute, je vais te crémer le cul comme jamais.
Oui, vide tes couilles dans ma fente.
Ces mots semblent l'avoir fait durcir encore plus. Il se déhanche pour me donner de grands coups de bite. Sa queue me ratisse le fion comme peu y étaient parvenus jusque-là. Ses gestes brusques me font presque tomber mais il me tient fermement dans les bras musclés. Il me mord l'oreille, le cou et plante ses dents dans mon épaule. Il me dose le cul à une vitesse dingue. Alors que je commence à gémir, il place sa grande main devant ma bouche pour me faire taire.
T'aimes quand je te baise, sale pute ? Quand ma grosse bite te ramone bien profond ? T'es dilaté d'une force ! Tu dois bien kiffer la bonne baise, c'est bon ça. Allez serre-moi mieux ce trou de pute, sale pute. Voilà, comme ça, je veux bien sentir ma queue te perforer.
Il me brûle le trou du cul à force de ses va-et-vient et il joue dangereusement avec ma prostate voisine. Mais je parviens à bien contracter pour garder une bonne pression. Je commence à avoir très chaud, j'active donc la douche pour m'empêcher de perdre conscience. Il m'assène des pénétrations de plus en plus profondes et violentes alors que je tiens presque plus. Je jouis dans sa main un peu malgré moi. Tout en me défonçant, il étale mon sperme sur ma poitrine et amène ses doigts dans la bouche, que je suce avec envie.
Je vais jouir...
Il me relâche un peu pour m'attr au niveau des hanches. Là, il me pilonne tel un animal et se cale bien au fond de moi. Je sens soudain sa bite pulser et projeter en moi son foutre bouillant qui s'écrase dans mon intestin. Il soupire fortement alors qu'il continue à déverser en moi ce qui me semble être des litrons de jus épais.
Garde bien mon sperme en toi, sale pute, t'as l'air d'aimer ça.
Alors que j'ai le sentiment d'avoir été fécondé par un âne, il reprend sa besogne. Il n'a même pas l'air fatigué. Il baigne maintenant dans sa jute bien lubrifiante et mon cul n'a plus la force de le retenir. Je suis en bouillie mais j'en veux encore. Je veux tout absorber.
Oh oui, recommence, donne-moi ton foutre d'Arabe, jouis bien loin en moi, remplis-moi le cul...
Ca vient...
Il explose à nouveau quelques minutes après la première fois et sort d'une traite. Tout le sperme coule de mon trou béant et rassasié. Il joue avec avec son gland et y entre à chaque fois de quelques centimètres.
Il sort le premier et je le rejoins après m'être nettoyé tant bien que mal.
Je vais être en retard mais j'en n'ai rien à foutre, c'est pas tous les jours qu'on tombe sur une pute de ton calibre. T'as encore envie ?
Toujours, viole-moi s'il te plaît.
Toujours dans ses bras, il m'emmène dans les toilettes. Il défait son pantalon et fait sortir sa grosse bite. Il s'assoit sur le siège en attendant que je me défasse. Quand je suis nu, je massois sur lui et l'embrasse. Il passe ses doigts dans mon cul encore plein de son jus d'homme tiède. Il s'ajuste et fait passer son gland dans mon cul bien large. Je m'installe de tout mon poids et me la rentre jusqu'aux couilles. Je déboutonne sa chemise et m'amuse à caresse son torse musclé et poilu. Il m'embrasse à pleine bouche à mesure que je saute sur ses grosses cuisses. Sa queue est bien profond en moi et je gémis alors qu'on entend que les cabines voisines sont occupées. Je m'en fiche, je prends mon pied.
Grosse pute, tu jouis trop, tu vas me faire juter. Je peux plus me retenir, voilà tout, aaaah...
Je peux vous assurer que même après m'être fait baiser de la sorte, j'ai senti toute son éjaculation se dérouler en moi. Je n'avais plus envie de m'en séparer. C'est trop un bon coup. Pendant 10 minutes nous sommes restés sur ce siège à nous embrasser avec passion alors que sa grosse bite était encore bien bandée et ancrée dans mon fondement. Je la sentais trembler en moi alors qu'elle dépose ses dernières gouttes de semence. Nous nous arrêtons avec regret. Il écarte les cuisses alors que je me retire de sa queue encore droite et le sperme fuit mon cul directement dans la cuvette. Nous nous nettoyons, nous rhabillons et nous enlaçons une dernière fois. Sa bite est encore dure dans son jean serré et elle me fait terriblement envie. J'abandonne mes pulsions et nous sortons de la cabine.
À l'extérieur de la salle de sport, il m'arrête et demande mes coordonnées. Je ne pensais pas qu'il oserait.
Ton cul de pute m'a vidé les couilles. T'as envie de recommencer ? J'ai cru comprendre que t'aimais bien ma queue.
Ce n'est pas la peine de demander. Je suis à ta disposition. Je travaille pas loin d'ailleurs, si jamais tu avais besoin d'un rendez-vous personnalisé avec un banquier...
Tu finis à quelle heure ce soir ? J'arrive pas à débander là. Il faut que je te la remette et vite, putain.
18h. Mais si tu veux tu peux passer avant la fermeture. J'ai les clés, je peux demander à mes collègues de partir plus tôt. J'ai encore des restes de ton foutre dans mon cul...
Avec ce que je t'ai mis, c'est normal, va falloir t'habi. Dès ce soir mes couilles seront pleines comme ce matin, tu vas en boire, du foutre. T'as intérêt à être prêt. J'arriverai à 17h45.
C'est bien noté. J'ai déjà hâte, lui dis-je en caressant sa queue dans la rue.
Il part en roulant des épaules et sans un sourire. Moi, je me suis fait péter le cul sans rien demander et la journée ne fait que commencer.
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