Droit De Cuissage
Droit de cuissage.
Mes ancêtres, maîtres de je ne sais combien de serfs nhésitaient pas à se servir des filles des fermiers. Ils les choisissaient belles, peu farouches, attirées par une forme de plaisir, le sien. Il avait les moyens de se les attacher par des emploies particulièrement avantageux : mariage arrangé avec de largent (une ou deux piécettes dor), masures, etc.
Ces temps bénis ont disparus, hélas. Si je reste propriétaire du même domaine, malgré les déboires de la révolution, je dois payer les ouvriers agricoles. Leurs filles font même des études. Des études pour des péquenaudes ? Si je peux baiser une fille ou il me faut chercher en ville une prostituée, ou des fois sur mon domaine, chez moi une femme mariée ardente en fonction des libéralités.
Je voudrais trouver une fille qui maime pour moi, pas pour mes largesses, pour mon physique, mon endurance, ma façon de toujours faire passer la satisfaction féminine avant la mienne.
Jen ai assez de me masturber pour trouver un semblant de calme. Je sais bien comment me faire ce plaisir égoïste solitaire. Je naime pas le faire chez moi, à lintérieur je sors, quand le temps le permet dans le petit bois. Je sais que personne ne vient jamais et à supposer
Je ne me déshabille quen partie : je garde ma chemise, jen relève le bas pour dégager complètement la pine. Je la fais bien durcir en la baissant pour la laisser remonter seule contre le ventre. Le prépuce en descend seul, je le remonte doucement, jen recouvre le gland impatient de sa mise à jour. Selon mon humeur, je me prends à pleine main. Je serre plus ou moins. Quand je trouve la bonne position je commence la vraie masturbation. Je descends ma main, je la remonte ensuite entrainant la peau mobile. Quand je regarde de près de vois la gouttelette de pré-sperme venir sur le bout. Je me laisse aller à mon bonheur particulier. Je sens une pression juste au bas de la colonne. Jaccélère totalement mon mouvement.
Jespère profiter de nouveaux venus, le propriétaire du vaste domaine qui touche le mien. Jai entrçu lautre soir une cavalière qui se tenait fort bien menant sa monture à vive allure. Si elle baise aussi bien, jenvie son amant. Le temps sécoule sans que je rencontre mes voisins. Après tout cest à eux à venir me voir.
Mes habitudes masturbatoires restent ce quelles sont. Il faisait chaud hier. Je me suis mis totalement nu dans mon bois préféré. Le peu dair me faisait frissonner. Je bandais parfaitement. Je me tenais les jambes un peu écartées, la bite vers mon château. Mes couilles remontaient vers le pubis, jétais fin prêt à partir. Ma main commence la danse sur mon pieu. Cest toujours aussi bon de sastiquer. Je ferme les yeux. Jai comme un éblouissement : je vois la cavalière sapprocher de moi doucement. Je vais jouir, jouvre les yeux : cest elle qui regarde intéressée au point de se caresser en même temps que moi. Normalement jaurais du continuer, jaurais du jouir devant elle.
Nous restons aussi idiots lun que lautre, moi avec ma bite en main qui ne désenfle pas, elle avec ses doigts fixés dans une chatte humide, son pantalon de cavalière baissé, son autre main tenant la bride du la cavale. Si je reste bouillant, elle ne doit pas être froide. La nature nous rapproche, deux animaux en rut. Je fais le premier pas : elle ne se dérobe pas. Nous oublions la civilisation, la politesse, la bien séance. Lobligation de nous toucher. Un souffle érotique nous traverse. Je la veux, elle me veut.
Je vais la prendre dans mes bras, pas pour lembrasser, pas pour la peloter, seulement la plus simple : le baiser. Elle y est prête. Je suis tout près, elle me touche enfin avec ses ongles. Jai besoin de sa main, de ses doigts, de son sexe, de sa bouche même. Sans la forcer le moins du monde, elle se couche devant moi, les jambes ouvertes sur une moule plus quhumide.
A genoux devant son sexe, jadore un nouveau dieu. Ses yeux scintillent dun péché adorable. Je tombe sur elle, la queue en avant. Je ne peux quand même pas la baiser comme le ferait un animal. Je commence donc par le début, mes lèvres lui bouffent la chatte. Elle remue dans tous les sens, elle gémit. Je lenvoie en lair, elle entoure mes jambes avec les siennes.
Je suis au fond delle, son vagin est mouillé ; il coule même entre ses fesses. Je crois la baiser, cest elle qui me prend. Elle donne des coups de reins violents : elle prend son pied.
Je la sens jouir, elle me rejette, je pense que cest fini. Elle se tourne me donne ses fesses. Des fossettes les ornent. Je les embrasse lentement en regardant sa raie. Jai envie de son cul.
- Non ne mencule pas je viens de me faire mettre quand jétais sur la jument. Jai encore un peu mal.
- Si je tembrasse simplement danus.
- Oui, embrasses moi le cul.
Son petit trou est magnifiquement encore ouvert de ce quelle ma avoué. Jembrasse son trou plissé. Ma langue y glisse. Une main glisse dessous, je cherche encore son bouton, même si ma queue aime sa fente. Jai affaire à une formidable usine à jouir. Elle ne cesse ses orgasmes que quand je déguerpis delle.
Nous restons pratiquement nus assis sur lherbe. Elle me rend la main pour la caresser. Je la laisse faire. Je lembrasse enfin, sa langue est souple. Curieux je regarde la selle de la jument : en gode est planté, je comprends ses douleurs résiduelles.
- Ne ten offusque pas. Jai cette mauvaise habitude depuis que je suis une femme. Je ne peux me passer de bite, jen ai fait mettre une par le palefrenier. Il ma même baisé après. Depuis, jaime menculer en sortant le plus souvent possible. Jadore cette sensation dêtre remplie quand je monte.
- Tu ne te baises jamais avec ?
- Jamais, seules les vraies bites viennent dans le con.
Cest moi qui suis rempli en écoutant le bavardage dune nymphomane.
Nous sommes dans la grande salle. Elle cherche autour delle. Son désir est exhaussé quand elle voit la grande table.
- Bouffes moi.
- Mange-moi la queue.
Au moins nos envies sont les mêmes : nous devons nous servir des bouches. La sienne est particulièrement excitante avec ses lèvres charnues. En guise dapéritif, je prends sa chatte, je la mords un peu, ma langue fouille ses trésors. Elle gémit, se débat, se donne, se tend, jouit plusieurs fois. Ma langue trouve son endroit idéal entre ses lèvres den bas. Son odeur entre dans mon nez, un parfum de résine, de santal de bois précieux, de cyprine. Et puis je reviens sur son petit trou. Il me plait cet anus. Je le veut. Jarrive à lanesthésier un peu avec la salive. Elle me permet daller lui rendre visite. Ma langue prend racine dans ses fesses. Je passe tout en revue depuis le vagin en passant par le périnée, le bord, juste avant le cul et enfin, magnifique de gout, de senteur, de délicatesse, son anus. En resserrant mes muscles de la langue jy entre Cest délicat, ça souvre seul. Je fais comme si cétait ma queue. Elle encadre mon visage par ses jambes quelle pose délicatement sur les épaules. Elle se répare à lorgasme. Elle avance ses fesses, recule un instant pour revenir. Elle me serre la langue en elle quand elle fait le grand bond. Elle me fait mal aux cheveux en tirant ma tête.
Elle se tourne sur le coté, prend ma queue. Sa main masturbe comme je me le fais. En mieux même. Doucement ses lèvres viennent vers moi. Je deviens son biberon favori. Elle me prend la queue presque en entier dans la bouche, me rejette, se lèche les lèvres, revient me prend pour me rejeter encore à grands coups de langue.
Enfin elle me prend la bite dans sa main. Je lui sers de sucette. Elle lèche le fut de la colonne, déborde un peu sur le gland, pour finir pas sy fixer totalement.
Dehors un hennissement :
- Ma jument. Adieu à ce soir tu menculeras encore.
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