Attouchements-Julie La Rouge (02)

ATTOUCHEMENTS-Julie la Rouge (02)

Hervé, directeur d’une société d’informatique est très pris par ses affaires, il s’occupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie d’enfance, Julie, celle-ci sert d’intermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit.

J’ai bien senti le trouble qui gagnait ma petite Armelle, aussi, lorsque recouverte seulement d’un jupon, elle se laisse choir dans un fauteuil en face de moi, je lui demande si elle prend du plaisir lorsqu’elle se masturbe. Le rouge lui monte aux joues et au front, la faisant bafouiller.


Tu…, tu veux dire que tu te touches tes parties intimes ?…

Mais ma chérie, nous sommes au vingtième siècle. Cela n’a jamais été un péché comme les religieuses voulaient nous le faire accroire. Il est important pour une femme de bien connaître son corps, et pour ma part, je pense que c’est la meilleure façon de découvrir notre féminité.

Mais… Mais c’est dégoûtant.

Ma chérie, je comprends que ta sexualité ait été perturbée par ce salaud d’oncle qui a manqué te violer. Pourtant, tu es en train de passer à côté de la vraie vie. Tu te fais souffrir inutilement et tu causes bien du souci à ton mari qui ne le mérite pas. Je le trouve même bien trop sage pour un homme tel que lui. Il te faut faire un effort pour découvrir ta sensualité, te rendre heureuse et satisfaire ton époux. Veux-tu faire exactement comme je vais te le faire voir, même si cela te paraît incongru ou déplacé ?

Je la regarde droit dans les yeux, sachant qu'elle me fera confiance. Mon regard n'a rien d'ironique, et je connais le pouvoir que peuvent avoir mes yeux plongés dans ceux d’un homme ou d’une autre femme. Elle est très tendue, ses mains sont très moites, elle tient ses jambes serrées l'une contre l'autre, mais elle me regarde fixement sans baisser un cil.



Bien, maintenant, ouvre largement tes cuisses, et avec tes deux mains écartes ton vagin et distends tes grandes lèvres, comme je le fais devant toi.

Armelle s'est empourprée, elle hésite manifestement, à s'offrir ainsi devant moi de cette façon plus qu'impudique, bien qu’elle n’ait jamais éprouvé aucune gêne à se montrer nue devant moi. Puis, comme si elle voulait oublier sa vie antérieure, elle se prête à mon jeu, s'ouvrant le sexe de ses dix doigts tout en regardant fixement ma chatte que je lui offre impudemment. Je contemple à satiété la jolie minette si complaisamment ouverte à mon intention. Pendant plusieurs minutes, je reste immobile, laissant le silence s’installer. Elle a fermé ses yeux, des larmes coulent sur ses joues alors que sa gorge se soulève spasmodiquement et que sa vulve laisse couler un mince filet de liqueur vaginale.

Maintenant ma chérie, tu vas te caresser, effleurant ton pubis, passant tes doigts sur tes grandes lèvres, agace aussi ton clitoris, j’espère tout de même que tu sais à quoi ça sert, allons prends tes deux mains, jusqu'à ce que tu jouisses. Je t'en prie, ne triche pas, je sais ce que l’on ressent, tu le sais !

Elle est foudroyée de stupeur, ne sachant si elle va oser s'exécuter. Tout en gardant ses yeux étroitement clos, ne pouvant soutenir mon regard aigu, elle voudrait certainement pouvoir disparaître comme par enchantement. Ses doigts se dirigent inconsciemment vers son pubis qu'elle caresse longuement, puis ses cuisses et son mont de vénus, s'approchant doucement de sa vulve entrouverte qui vibre d'une effervescence contenue. Elle palpe ses organes génitaux, en premier lieu d'une façon lascive et puis avec de plus en plus de frénésies. Elle a oublié que mes yeux la regardent avec avidité se masturber et qu'elle offre à mes regards lubriques toute sa féminité ouverte et offerte, ou plutôt, elle le subodore sans doute. Enfin, deux doigts de sa main droite écartent le capuchon du clitoris, et le font rouler doucement.
Le bourgeon est devenu très gros, sa couleur rose virant au rouge sang.

Elle halète doucement et gémit, tout en s'activant plus rapidement. Ses doigts triturent son clitoris, les doigts de sa main gauche venant pénétrer dans son vagin largement distendu. Elle explore sa grotte grande ouverte avec ses deux mains, ses doigts fouillent au plus profond d'elle-même, en s'agitant dans ses chairs enflammées. Elle presse encore son clitoris entre ses doigts, tout en le triturant.

Soudain, elle tressaute violemment aux vibrations voluptueuses qu'elle ressent. Elle agite sa tête en tous sens laissant éclater son plaisir dans un râle discontinu. Un premier orgasme la saisit, mais elle reprend avec vigueur sa masturbation, elle est maintenant complètement déchaînée et pousse des cris brefs, tellement sa jouissance l'emporte dans des tourbillons vertigineux. Un second orgasme l'envahit, et elle délire, ne pouvant plus arrêter de branler son vagin incandescent qui asperge ses cuisses de ses abondantes sécrétions. D'un seul coup, elle se tend brusquement, ses jambes allongées et grandes ouvertes, raidies par l'orgasme, laissant échapper un râle de joie et de volupté.

Je m’assieds à son côté, l’enlaçant et posant sa tête contre mon épaule. Son visage, est de plus en plus proche, aussi, entrouvrant mes lèvres, je lui prends délicatement la bouche, et darde ma langue, qui vient s'entortiller autour de la sienne. Nous restons ainsi soudés pendant un long moment. Je lui caresse sa chevelure tout en l'embrassant. Je la caresse entre les épaules et dans son dos nu. Elle frissonne et me laisse passer une main sur ses seins. Puis, m'enhardissant, je viens de l'autre main envelopper un sein bien ferme, dont je titille la pointe. Armelle laisse fuser de petits gémissements de plaisir, j'en profite pour en engloutir un dans ma bouche, pendant que ma main caresse l'autre.

Elle s'est complètement avachie dans le fauteuil, ses cuisses ouvertes et étendues devant elle.
Je reprends sa bouche dans la mienne, et, tout en laissant une main s'occuper d'un mamelon, mon autre main vient se poser sur son ventre. Elle n'a aucune réaction de rejet à ce contact, aussi ma main vient se poser sur un genou et caresse l'intérieur de sa cuisse. Son premier réflexe est de les serrer sur ma main, puis devant mon insistance, le compas de son entrejambe se desserre, ma main, inexorablement, remonte vers la motte bombée de son sexe.

Je sens mess doigts s'humidifier. Mon amie mouille depuis un bon moment déjà. Maintenant, j'espère arriver à mes fins, aussi, j’entreprends de masser son mont de vénus, mes doigts perçoivent son vagin qui s'entrouvre sous mes attouchements précis, et je fais rouler doucement son clitoris qui se révèle sous le frottement de mes ongles. Très vite, Armelle part dans un fabuleux orgasme, gémissant son voluptueux plaisir.

Avant qu'elle ne se ressaisisse, je me penche sur le ventre offert, j'effleure les cuisses de mes lèvres, je lèche l'intérieur du haut de l'aine, dans l'endroit le plus tendre de sa peau. Armelle frissonne de plaisir. Je lèche maintenant les grandes lèvres et lape les sécrétions vaginales qui dégoulinent de la vulve palpitante. J'explore avec la langue, la cavité secrète de la jeune femme, qui pousse des petits cris de satisfaction. Sa mouille est délicate, elle est même en la humant un peu parfumée, j'aspire cette liqueur, si fraîche et si jeune.

Armelle, viens d'avoir deux orgasmes successifs très violents. Elle me tient la tête, de peur sans doute, que je la retire de son intimité. J'attaque maintenant le clitoris, que je décapuchonne délicatement avec mes lèvres. Il est d'un rose tendre, et se dresse sous les attouchements de ma langue, qui le font vibrer. Les jambes, les cuisses et le ventre de mon amie tressautent sous moi, elle crie sa jouissance.

- Oh ! Oui Julie, continue… Je t’en prie ! Je jouis Oh ! Jamais, jamais je n'aurais pu................. croirrrrrr.
.. Oh ! Oui je jouis, encore ma chérie encore...... encore....... Oh ! Oui ! Oui ! Encore ! Ooooh ! Oooooooooooh........................!

Je me redresse, la bouche et la figure barbouillées de sa liqueur vaginale. Étendue, presque nue sur le fauteuil dans une pose plus qu'impudique, elle a les yeux révulsés. Quel plaisir, de pouvoir regarder et admirer ce corps si jeune et si tendre, abandonné et confiant dans le plaisir voluptueux qu'il vient de recevoir.

Armelle refait doucement surface. Je me tiens à côté d'elle, lui caressant ses cheveux et son cou. Elle me regarde fixement, ayant du mal certainement, à admettre ce qui vient de lui arriver, puis, ses yeux se chargent de reconnaissance et elle murmure.

- Oh ! Ma chérie, merci, merci de ce que tu viens de me faire découvrir. Il y a tellement longtemps que.... Oh et puis zut ! Ma chérie, tu m’as fait magnifiquement jouir. Viens près de moi et embrasse-moi encore. C'est une sensation délicieuse que je ressens.

Je viens l'enlacer et je l'embrasse tendrement, je lui caresse sa poitrine doucement. Elle aspire ma langue goulûment, tout en glissant une main sur mes seins. Je sens que je vais pouvoir aller plus loin, je la prends dans mes bras et je la porte sur mon lit qui n'a pas encore servi.

Je l'étends délicatement, la couvrant de baisers sur tout son corps. Elle gémit, se laissant faire avec plaisir. Je descends de nouveau vers son intimité, et je fourre ma langue dans sa chatte si accueillante. Cette fois, ma langue s'abaisse vers sa raie culière et vient titiller la rosace de son anus. À ce contact, elle a un brusque raidissement, mais ma langue, imbibe de ma salive le petit trou qui s'est rétracté.

Elle a deviné ce que je tente de faire, mais dominée par mon effronterie, elle se détend soudain, laissant ma langue se faufiler dans le vestibule de son anus. Une de mes mains, caresse sa vulve et introduit deux doigts dans le vagin entrouvert, ils massent la paroi interne du vagin, qui se trouve vers le pubis, le point G si sensible, se trouve dans cette région. En tout cas, Armelle réagit voluptueusement à ces attouchements, ses gémissements s'accentuent. J'en profite, pour humecter l'index de mon autre main de salive, et pour le pousser à côté de ma langue, vers le passage étroit de l'anus vierge.

Armelle délire légèrement, elle vient d'avoir encore un orgasme, et le doigt se faufile dans le passage anal, sans qu'elle s'en rende vraiment compte. J'effectue un massage de la paroi, mais mon doigt n'a pas encore passé l'anneau du sphincter. J'accélère mes attouchements buccaux, lui titillant furieusement son clitoris, en pistonnant mes doigts dans son vagin, puis, sans m'en rendre compte, le doigt de mon autre main se retrouve plongé au fond du rectum. Armelle pousse un petit cri, mais elle s'agite en cadence, tellement la jouissance de tous ses sens sollicités est considérable. Je fais aller et venir mon doigt dans ce cul si étroit, tout en sentant mes autres doigts qui pistonnent le vagin, glisser le long de celui qui fouille le conduit rectal. Armelle hurle maintenant son bonheur, elle rit, elle pleure, elle crie que c'est bon, qu'elle a mal, qu'il faudrait continuer, que c'est bon, elle divague longuement avec des mots sans suite.

J'ai laissé mes doigts profondément enfoncés dans son vagin et dans son anus, mais je me suis redressé et je l'embrasse, au coin de ses lèvres, sur ses yeux, je lui mordille le lobe de ses oreilles, je continue à l'affoler. Elle m'embrasse goulûment sur la bouche et ne peut se retenir de me dire qu'elle m'aime.

À suivre…

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