Mon Cousin Roland
J'ai connu mon cousin Roland quand j'avais 16 ans. Lui, en avait 17. Moi, j'étais blond et mince, lui, était roux et musclé. Plus grand que moi. Je suis resté un mois avec lui et nous avons sympathisé. L'année d'après, c'est lui qui m'a rendu visite.
Il avait un ordinateur portable qu'il avait apporté. Il l'installa dans notre chambre. Mes parents étant plutôt modestes, je n'en avait jamais vu. Il me montra des tas de choses, jusqu'au moment où des garçons nus apparurent sur l'écran. Des bites énormes entre les jambes de garçons nus et musclés. Devant mes yeux écarquillés, Roland me demanda :
- La tienne est aussi grosse ?
J'ai rougi mais n'ai pas répondu.
- Fais voir, insista-t-il.
Devant ma résistance, il baissa son pantalon et son boxer. Sa pine, impressionnante, se dressait fièrement devant moi. Comme je ne me décidai toujours pas, il entreprit de me déculotter. Il se colla contre moi et caressa mes fesses. Je me raidis. Il éclata de rire. Il défit la braguette de mon pantalon et le laissa tomber à terre. Il glissa ses mains dans mon slip et pétrit mon derrière. Il se mit à genoux et ses mains passèrent devant, tirant sur le tissu. Ma bite apparut et il la prit immédiatement entre ses lèvres. La sensation fut telle que ma bite devint raide instantanément et que je jouis dans sa bouche. Il éclata de rire et demanda :
- C'est ta première fois ?
- Oui ! Bredouillai-je
- Je vais faire ton éducation !
Il m'enleva complètement mon slip et se mit à poil. Comme je ne réagissais toujours pas, il en fit de même avec moi. Je jetais un coup d'oeil dans la glace de l'armoire et nous vis tous les deux nus comme des vers. Il posa ses mains sur mes épaules et dit :
- Mets-toi à genoux, tu vas me rendre la pareille !
- Mais je sais pas le faire !
- T'inqiètes ! Pour ta première fois, c'est moi qui vais tout faire.
Je me mis donc à genoux et il tendit sa bite vers ma bouche.
- Vas-y, dit-il, ouvres !
La bite de Roland Se posa sur ma langue.
- Serres les lèvres, mais pas trop, laisse-la glisser. Donne des petits coups de langue sur et autour du gland. Je vais entrer de plus en plus loin. Quand tu la sentiras toucher le fond de ta bouche, fais semblant d'avaler.
Il me prit la tête par les cheveux et commença à s'activer entre mes lèvres. Le gout était surprenant mais agréable. Quand le sperme coula, j'ai tout avalé.
- Tu apprends vite ! Dit Roland. Allez relèves-toi !
Une fois debout, il me retourna vers lui, et regarda mon reflet dans la glace. Il prit ma tête entre ses mains et la tourna vers la glace.
- Regarde comme t'as un beau cul ! Tu veux te voir pendant que je te baise ?
Il n'attendit pas la réponse. Il prit la chaise qu'il installa devant la glace. Il me plaça derrière et posa mes mains sur le dossier. Il me prit par les hanches et me tira en arrière. Dans la glace, je me voyais penché en avant et le cul en l'air. Dans ses affaires, il sortit un flacon d'huile solaire. Nous étions en hiver, preuve qu'il avait prémédité son coup. Il revint vers moi. Il souleva ma tête et m'enfourna de nouveau sa bite dans ma bouche.
- Mouille un peu plus que la première fois, dit-il, cette fois tu vas la prendre dans le cul.
Pendant que je le suçais, il avait glissé un doigt dans l'huile et il l'enfonça dans mon petit trou. Ensuite, il en versa un peu dans sa main, se retira de ma bouche et passa dans mon dos. Il me frictionna les fesses avec lui et les écarta. Par des mouvements de ses hanches, il dirigea sa grosse bite bien raide, vers mon trou du cul. Il me prit par les hanches et s'introduit lentement dans mon cul. Plus il s'enfonçait, plus il poussait. Bientôt, ses hanches se collèrent à mon cul.
- Pour quelqu'un qui n'a jamais été baisé, je trouve que tu te débrouille bien. Je n'ai jamais trouvé de cul qui puisse serrer autant. Tu vas voir, j'ai un jeu plus jouissif !
Il se retira de moi et me prit par la main. Il s'assit sur la chaise et me tira, face à lui.
- Vas-y, dit-il, mets-toi-la toi même !
Je l'enjambai et fis mine de m'asseoir. Je saisis sa bite, la posai sur mon trou et m'empalai dessus. Sans qu'il me dise un mot, j'ai posé mes mains sur ses épaules et me suis mis à glisser le long de la pine à Roland. Il a joui dans mon cul. Je me suis retiré, me suis mis à genoux et l'ai nettoyé de toute sa semence que j'ai avalée.
Il m'a regardé avec des yeux rieurs et m'a dit :
- Un vrai professionnel ! Si t'étais pas mon cousin, tu travaillerais pour moi...
- Mais qui t'a dit que je refuserais !
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