7. L'Anniversaire De Georges (1Ère Partie)
Après avoir vu la vidéo que Cathy mavait envoyée et qui la montrait baisant sauvagement avec mon homme, javais le corps en feu. Je ne parvenais pas à effacer de mes pensées les images obscènes de cette femme superbe jouissant sous la langue et sur la grosse queue dArthur. Pendant les trois jours précédents lanniversaire de Georges, il mavait fallu bien des efforts pour garder mes distances avec Georges et Valérie afin de les laisser profiter de leur intimité récente. Je me défoulais sur Arthur matin et soir, voire même une nuit où lasse de me caresser, je me suis empalée sur sa queue tandis quil dormait encore. Je faisais des rêves érotiques toutes les nuits, tantôt rêvant de trio avec Valérie et Georges, tantôt rêvant de baise sauvage et effrénée avec Arthur et Cathy. Heureusement, le fameux samedi danniversaire arrivait et allait me révéler enfin la surprise qui métait réservée pour le cadeau que Georges avait « commandé ».
Le samedi après-midi, je me rendis chez Caroline, une amie esthéticienne afin de parfaire mon épilation intégrale. Nous déjeunâmes ensemble auparavant car cela faisait quelques semaines que nous ne nous étions pas vues et nous avions des tas de choses à nous raconter !
Je me rendis ensuite dans une boutique de lingerie afin de macheter un ensemble que javais vu la dernière fois mais que je navais pas eu le temps dessayer. Jétais excitée à lidée de le faire découvrir à mon homme. Je repensai à Cathy et lenvie de la contacter pour une rencontre avec Arthur me tiraillait depuis des jours. Je décidai de lui envoyer un message : « Bonjour Cathy. Jaimerais que nous réservions une petite surprise à Arthur toi et moi. Appelle-moi si tu es partante ».
Dans les deux minutes qui suivirent, je reçus une réponse : « Bonjour Laeti. Bien sûr que je suis partante ! Pas libre ce week-end, mais OK pour le week-end prochain si vous êtes dispos. Je tappellerai semaine prochaine. Bises ».
Lorsque je rentrai en fin daprès-midi, Arthur sortait de la salle de bain.
- Et bien, tu en as mis du temps. Tu sais quon doit être chez Patrick pour 20 heures ! il est déjà 19 heures et tu nes pas prête !
- Oui excusez-moi mon chéri, jai un peu trainé avec Caro. Je nai pas vu le temps passer ! Je vais me doucher vite fait et je me prépare.
Lorsque je sortis de la douche, Arthur mattendait tenant une grande boîte dans les mains.
- Quest-ce que cest ? lui dis-je.
- Cest ton cadeau pour Georges me répondit-il en ouvrant la boîte.
Arthur en sortit une sublime guêpière en dentelle noire très fine et des bas noirs assortis.
- Georges a demandé que tu portes ça pour ce soir.
- Oh ! ils sont sublimes. Daccord ! Javais prévu autre chose pour toi mais bon, cest lanniversaire de Georges après tout !
Arthur mobservait enfiler cette lingerie fine qui était parfaitement à ma taille
- Wouah ! dit-il. Tu es sublime. Tu ressembles à une superbe pute de luxe !
- Cochon ! Et il ny a pas de culotte ?
- Bah non !
- Vous êtes vraiment des pervers !
- Et ce nest pas fini me dit-il en me tendant un uf vibrant.
- Quoi ! mais je ne vais pas mettre ça mexclamai-je.
- Cest lanniversaire de Georges et il ma dit que tu lui avais donné ton accord pour son cadeau. Alors ? Tu décides quoi mon amour.
Je cédai et enfilai luf dans ma chatte, laissant dépasser une boucle de fil noir.
- Ah oui ! Jallais oublier : cest Georges qui a la télécommande de luf !
Je ne répondis rien mais jétais déjà très excitée à cette idée.
- Bon cest tout ? fis-je
- Tiens, il y a cette robe et aussi ces chaussures. Le reste est pour la soirée répondit Arthur.
- Ah bon ? Quest-ce quil y a encore ?
- Tu verras sur place, ce soir !
- Et il y aura qui comme invités ? demandai-je
- Des amis proches de Georges et Patrick. On va enfin faire la connaissance de Patrick et puis il y a Georges que nous connaissons. Peut-être que Valérie sera là !
Jaimai beaucoup la tenue que Georges mavait préparée.
Nous arrivâmes chez Patrick avec une bonne demi-heure de retard. En revoyant le perron de la demeure, jeus un frisson, me remémorant la débauche à laquelle je métais livrée ici. Un homme en costume noir nous accueillit sous le porche. Arthur lui remit la boîte que Georges lui avait faite livrer. Nous entrâmes et une très belle hôtesse nous conduisit avec un sourire poli vers la salle principale. Il y avait déjà une bonne vingtaine de personnes. Jétais un peu intimidée par tout ce monde que nous ne connaissions pas. Un homme aux cheveux grisonnants qui devait avoir la cinquantaine savançât vers nous en souriant en même temps quun serveur qui nous tendait un plateau chargé de coupes de champagne.
- Bonsoir dit lhomme. Vous devez être Laeti et Arthur. Bienvenue. Je suis Patrick.
- Oh ! Enchanté Patrick répondit Arthur.
- Bonsoir Patrick dis-je en souriant. Il y bien du monde ! Georges mavait parlé dune petite fête intime !
- Oh ce ne sont que des amis communs qui sont là pour lapéro dînatoire. Tout ce beau monde sera parti avant minuit ! Seuls les intimes de Georges comme vous étaient conviés à la soirée intime ! Voulez-vous que je vous présente ? Il y a quelques personnes quil est toujours intéressant de connaître.
Patrick était un très bel homme. Il était très grand, dans les 1m90. Il avait bel allure et sexprimait avec calme et jovialité. Il avait sans doute le charme des hommes murs qui ont réussi leur vie. Il nous présenta aux différents couples présents : un conseiller régional, un sous-préfet, un directeur de banque daffaires, un constructeur immobilier, un architecte
que du « beau monde » comme on dit. Lorsque nous arrivâmes vers une femme qui se tourna vers nous, Arthur et moi restâmes figés :
- Je vous présente Cathy, une amie, et dont les parents étaient des amis denfance dit Patrick.
- Oh ! Bonsoir vous deux fit Catherine.
- Euh
vous vous connaissez reprit Patrick.
- Euh
je connais Arthur qui travaille pour Pascal C, tu sais la société dont je tai parlé et qui doit reprendre mon entreprise répondit Catherine.
- Ah bon ! Quel heureux hasard ! sexclama Patrick en souriant chaleureusement à Arthur.
Nous fîmes la bise à Cathy. Elle me chuchota à loreille :
- Tu es encore plus belle que dans mes fantasmes Laeti ! Tu es absolument délicieuse ! Vivement le week-end prochain !
- Merci Cathy. Toi aussi tu es ravissante.
Catherine était superbe dans sa robe écrue. Je constatai quelle portait en fait la même robe que la mienne, simplement dune couleur différente. Faisait-elle partie des happy few qui resteraient pour la soirée intime ? Et quelle lingerie portait-elle ? Et avait-elle aussi un uf vibrant dans son vagin ? Je fus tirée de mes pensées par Patrick qui nous amena enfin à Georges. Il était avec Valérie, qui me sauta presque au cou.
- Oh ! Bonjour Arthur. Bonjour ma Laeti. Je tattendais avec impatience, je ne connais personne !
- Bonsoir Laeti me dit Georges en membrassant sur la joue. Salut Arthur. Comment allez-vous ?
- Bonsoir Georges. Ça va, merci. Il y a du beau monde dis-moi fit Arthur ?
- Oui, ce sont des obligations professionnelles et mondaines qui mindisposent mais Patrick a raison. Il faut savoir entretenir ses relations par de petits événements comme celui de ce soir.
Soudain, mes jambes se mirent à trembler et je dus maccrocher au bras dArthur pour ne pas tomber. Ce salaud de Georges venait de mettre en marche mon uf vibrant. Valérie poussa un petit cri en faisant de même avec Georges. Nous nous regardâmes et nous comprîmes de suite que nous étions toutes deux dans la même situation. Et je constatai que Valérie portait la même robe que Catherine et moi, sauf que la sienne était dun violet profond. Elle était ravissante. Je compris quelle avait un uf vibrant. Les trois hommes se regardaient en souriant, dun air satisfait.
- Cathy me fait signe. Tu devrais la rejoindre, je vais rester avec Val.
- Daccord, si tu veux mon amour.
- Et sois sage !
- Toi aussi mon amour !
- Je ne vais pas lêtre longtemps, jai la chatte en feu à cause de vous mes salauds !
- Bon alors je vais prendre mon temps !
Et il tourna les talons se dirigeant vers Cathy. Il sattabla à côté delle.
- Laeti ne veut pas se joindre à nous demanda Cathy.
- Si mais elle ne veut pas laisser sa collègue seule.
- Ah ! Elle travaille avec Valérie, lassistante de Georges ?
- Oui. Vous connaissez aussi Georges ?
- Oh non. Cest Patrick qui me la présenté ce soir. Mais jen ai beaucoup entendu parler.
La soirée se poursuivit en mondanités et conversations courtoises et futiles. Petit à petit, les tables se vidèrent et il ne restait plus que les cinq serveurs, deux hôtesses, Val, Cathy, Patrick, Georges, Arthur et moi.
Nous nous étions réunis à une table ronde attendant que Patrick et Georges revinrent après avoir salué les derniers convives. Jeu un sursaut : Georges venait de remettre en fonction mon uf vibrant. Cathy se pencha sur mon épaule en soupirant « le salaud ». Valérie était toute rouge et serrait ses cuisses. Patrick prit la parole devant nous tous.
- Mes chers amis. Nous voici enfin en petit comité. Vous lavez peut-être remarqué, mais ces cinq beaux garçons ne sont pas simplement des serveurs, de même que ces deux ravissantes hôtesses. Jai fait appel à leur société qui est spécialisée dans la réception et lorganisation de festivités un peu spéciales. Ils vont préparer avec laide des trois plus belles femmes de cette soirée le cadeau que Georges a souhaité. Mesdames, je vous demanderai de bien vouloir suivre nos cinq charmants garçons. Nous vous rejoignons dans quelques instants.
Là-dessus, les deux ravissantes blondes nous invitèrent à les suivre dans la grande salle dans laquelle javais vécu la plus grande débauche de ma vie. Lexcitation de luf vibrant alliée au souvenir du lieu me donna un violent frisson partant de ma chatte en feu jusquà ma nuque. La pièce était toujours aussi grande mais laménagement avait totalement changé. Des chandeliers étaient répartis tout au long des murs. Des sofas rouges entouraient un très grand lit circulaire qui se trouvait au milieu de la pièce. Lambiance était feutrée. Entre chaque sofa de petites tables portaient chandeliers et bouteilles de champagne dans des seaux argentés. Les hôtesses prirent dans des boîtes posées près dun des sofas des foulards noirs. Elles les passèrent autour de nos têtes. Nous ny voyions plus.
(La suite sera contée par Arthur, Laeti étant privée de la vue)
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