Club Libertin (Chapitre 2) Les Talons Rouges (17)
CLUB LIBERTIN (chapitre 2) Les Talons Rouges (17)
Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sur d'Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Dans le club libertin de Toulouse, pendant que Gaëlle sur la piste de danse se donne en spectacle en se faisant pénétrer sa moule par son cavalier, Agathe de son côté se fait baiser par une bite monstrueuse.
Alors qu'Agathe reprend peu à peu ses esprits, elle s'aperçoit avec confusion que des dizaines d'yeux la contemplent. Ce sont les clients du club qui se sont rassemblés autour de l'alcôve où elle se trouve plus qu'à moitié nue, complètement écartelée, offrant sa fente vulvaire affreusement élargie, alors qu'un homme, inconnu il y a peu, fait aller et venir sa vigoureuse verge dans ses parties intimes à la vue de tous les spectateurs.
Soudain, un tonnerre d'applaudissements retenti alors que des paroles de félicitations sont prononcées de toutes parts. Malgré cela, Agathe laisse couler des larmes à travers son masque qui couvre son visage. À ce moment, sa sur vient l'embrasser sur la bouche et Jacques la console en lui caressant les cheveux. La belle Agathe ne tarde pas à sécher ses larmes, surtout que la jeune fille rousse, enfouissant sa jolie tête dans son entrejambe, s'est mit en demeure de laper de sa langue fine la liqueur vaginale qu'elle continue à exsuder.
C'est alors que le cavalier de Gaëlle, avec lequel elle dansait, lui présente son vit devant sa bouche. Sans trop réfléchir, Agathe absorbe le vit devenu un peu mou après avoir possédé sa sur et laissé sa semence dans l'étui du condom. Serrant ses lèvres sur le morceau de chair, elle se complaît à le sentir enfler, entourant la tige de sa langue et titillant l'ouverture du gland avec la pointe qu'elle essaie d'introduire dans le méat d'où perle un peu de liquide séminal.
Puis, l'homme dont la queue a repris toute sa rigidité vient lui aussi entre ses cuisses pour la mettre croit-elle dans sa chatte. Elle se livre sans états d'âme, se déployant pour lui permettre d'entrer plus facilement en elle, surprise malgré tout, lorsque l'homme, tâtonnant de ses doigts, les introduits dans sa rosette, puis, s'aidant ainsi, il pousse son pénis, de nouveau recouvert d'un capuchon dans l'anus qui se dilate sans aucune difficulté à présent et avale le membre qui se loge dans les entrailles rectales. Elle prend de plus en plus plaisir à l'acte sodomique, aussi elle répond aux coups de boutoir de son enculeur avec enthousiasme.
Pourtant, elle n'est pas au bout de ses surprises, car le dénommé Paul, la tenant à bras le corps se retourne sur le dos tout en restant bien engagé au plus profond de son rectum. Elle se retrouve ainsi exposée, cuisses ouvertes et vagin béant aux regards de toute la société. Elle comprend très vite qu'un second sexe va vouloir la prendre en sandwich, un peu inquiète tout de même à cet exercice auquel elle s'adonne depuis très peu de temps, mais qui l'excite tout de même. Son inquiétude se transforme en panique, lorsqu'elle voit le colossal Boris s'approcher complètement nu, alors qu'un monstrueux gourdin s'érige horizontalement entre ses jambes. Sa matrice ne pourra jamais accepter une telle colonne, elle est aussi imposante qu'une bouteille de Bordeaux et presque plus longue. Elle craque soudain, ne pouvant supporter de se voir ainsi mutilée :
- Non ! Je vous en prie, arrêtez-vous ! Vous ne pourrez jamais entrer votre sexe dans ma fente. Mon Dieu, je vais mourir ! Je vous en supplie ! Gaëlle, Jacques, venez à mon secours, ne les laissez pas faire ce crime. Je vous en supplie !
Jacques lui prend ses lèvres, l'empêchant de parler, alors qu'elle s'aperçoit que Gaëlle se fait mettre par le jeune blond, dénommé Brice, avec une bienheureuse jouissance, n'entendant pas sa sur qui l'appelle à son secours.
Paul son enculeur lui tient fermement ses cuisses écartées, afin que le grand diable de Russe ne soit pas gêné par l'opulente aristocrate, qui se débat vainement entre les bras de celui qui a son membre toujours fiché dans son derrière. Agathe, lorsqu'elle voit l'énorme épieu danser devant ses yeux, les ferme, dans un réflexe ridicule et puéril, voulant désormais se désintéresser de l'ignominie qui se prépare. Pourtant lorsque le gland aussi gros qu'une orange, pousse sur lentrebâillement de son vagin qui heureusement dégouline encore de mouille, et dilate péniblement ses chairs, elle ne peut s'empêcher de protester faiblement :
- Ooooh ! Doucement. Oh !.......... Doucement. Non ! Arrêtez !... sanglote-t-elle. Vous allez m'éventrer. Pitiééé... Noon..... Vous aller me fendre en deux. Je vous en supplie arrêteeeeeez ! Ahhhhrrrrrrrrrrr......
L'énorme gland disparaît pourtant progressivement dans le vagin, alors que la vulve terriblement dilatée ne laisse plus apparaître que les grandes lèvres qui forment un bourrelet distendu autour du monstrueux pal qui s'enfonce inexorablement.
Le dénommé Boris n'est tout de même pas un soudard, sachant qu'il ne peut entrer sa trique dans ce conin trop étroit, qu'en agissant très lentement, pour ne pas déchirer les chairs qui pourraient céder sous une pression trop forte. À force de coups de reins, il arrive à enfoncer lentement, centimètre par centimètre, le gigantesque pénis dans la gaine vaginale distendue à l'extrême. Finalement, en donnant trois ou quatre furieux coups de cul, il loge son gros gland dans le col de la matrice, faisant hurler la pauvre Agathe qui sanglote de douleur sous cette possession aussi sauvage. Celle-ci, fermement empalée sur l'énorme boudin qui vient buter contre le col de l'utérus, tremble de souffrance dans les bras de Paul qui la maintient fermement dans ses bras. Les élancements causés par les deux écartèlements sont si brutaux qu'elle en perd la respiration et suffoque comme une noyée.
Ce n'est pourtant plus la première fois que la quadragénaire est prise ainsi par deux hommes à la fois, pourtant, l'onde de chaleur et de volupté qui bouleverse son ventre et ses entrailles avec une puissance aussi stupéfiante, la surprend par son étrange violence. Les deux membres vigoureux qui s'enfoncent en cadence dans l'ouverture de son ventre et celle de ses reins la secouent de vibrations incroyables. Elle ne peut bientôt plus s'empêcher de gémir et de crier son plaisir, car les deux hommes se projettent avec une force incroyable dans son corps meurtri. En effet, le choc du membre de Paul la soulève de sur son ventre jusqu'à ce que la puissante irruption de la verge de Boris lui refoule douloureusement sur celle de Paul qui la prend dans son cul. La belle aristocrate perd toute retenue, elle hurle, elle bave et sanglote d'un atroce plaisir hystérique :
- Ah !... Doucement, mes Amours ! Ah !... Ooooh ! Mon Dieu !.... C'est divin ! Aaaaahh !.... Oh ! Oui ! Oh ! Encoreeee !... Aaaaaaaaaaahhhh !........ Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........
La tension a atteint son point extrême maintenant et les orgasmes se succèdent sans arrêt dans le con et le cul de l'aristocrate, ruisselante de transpiration, le cur battant à éclater, inerte et n'ayant même plus la force de crier, elle jouit sans discontinuer à cette double intromission qui remplit ses deux ouvertures. D'un seul coup, les deux mâles se vident dans les orifices outrageusement écartelés alors que la vieille fille pousse de petits gémissements ininterrompus, jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse sous les orgasmes multiples qui agitent ses sens exacerbés à leur paroxysme.
Lorsqu'elle reprend conscience peu à peu, elle sent des mains douces et huileuses qui la caressent sur tout son corps. Ce sont, sa sur Gaëlle, la jeune Amandine et son amant Brice, ainsi que Jacques et son enculeur de Paul qui massent ses chairs meurtries. Les doigts infiltrent de l'huile d'amande douce aussi bien dans les replis du vagin exagérément écartelé que dans la gaine rectale distendue.
Le jeune homme blond se glisse sous le corps d'Agathe, enfilant péniblement son gros dard dans la chatte baveuse d'huile et de mouille mélangées, alors que Jacques, enlaçant sa belle initiée, se dispose à forcer son pénis dans le même conduit que celui déjà largement envahi par la grosse queue de Brice. La pauvre aristocrate qui croyait être prise dans ses deux orifices, est angoissée par ces deux membres qui se meuvent dans sa chatte en feu, mais la sensation qu'elle éprouve soudain est enivrante. Les deux pénis se frottant l'un contre l'autre, raclant les chairs de son vagin jusqu'au plus profond de son ventre, provoquent des spasmes voluptueux encore plus intenses que la double pénétration qu'elle a subie il y a peu. L'onde de jouissance qui déferle sans interruption entre ses cuisses et sa vulve déclenche une frénésie hystérique de ses membres et de ses paroles :
- Oh ! Mes chéris ! Continuez, encore ! Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Oui ! Oui ! Oui ! Ooooh ! Oh ! Mhhhh.... Oh !........... Encoorrrr !... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je... Je........ Jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Aaaaaaaaaaahhhh !
Gaëlle, a voulu elle aussi expérimenter l'organe démesuré du Russe. Écartant ses cuisses au-dessus du colosse allongé, elle s'est d'elle-même empalée sur la colonne de chair, se laissant aller jusqu'à ce que sa gaine vaginale distendue à l'extrême accepte que le gland surdimensionné puisse s'introduire dans sa cavité devenue béante par la poussée inexorable de l'engin qui vient buter bientôt contre le col utérin. À ce moment, Paul, écartant les globes des petites fesses charnues de Gaëlle, se penche et lèche consciencieusement la pastille brune de l'illet qui se dilate sous la langue qui introduit de la salive dans l'anus encore trop serré de la ci-devant châtelaine. Au contraire de sa sur, Gaëlle s'étant plus vite aguerrie aux murs libertines que son jeune amant Jacques, a su lui faire découvrir, n'éprouve que peu d'appréhension à savoir que l'homme va la sodomiser avec un membre ma foi de bonne dimension, alors que son vagin est déjà complètement saturé par la bite énorme de Boris. Pourtant, c'est avec un soupir de complaisance qu'elle se pousse sur la trique qui s'enfonce dans son rectum, éprouvant à son tour l'incroyable envahissement de ses deux conduits.
Comment cette belle comtesse de bientôt cinquante printemps peut-elle se conduire avec tant de lubricités alors qu'elle a toujours vécu, jusqu'il y a quelques mois, une vie sage et rangée, même prude, auprès d'un mari très rigide sur les règles de vie, mettant en pratique des principes de morale et de murs vertueuses. Il est ahurissant de voir cette femme aussi gracile et bien faite, se démener sur les deux verges qui l'embrochent intégralement, ayant peine à comprendre que ces deux monstres ne transpercent pas ce corps trop frêle et menu. À son tour, mais en silence, la belle Gaëlle se laisse déborder par la jouissance qui envahit ses entrailles, gémissant et bavant entre les bras des deux hommes qui ne la ménagent pas, fouillant et élargissant à tour de rôle ses deux boyaux intimes durant une durée qui paraît interminable.
Lorsque les trois femmes et les quatre hommes se retrouvent devant les flûtes de Champagne que Jacques a commandées au bar, ils sont quelque peu épuisés. Surtout Agathe et Gaëlle qui ont subi les assauts les plus violents, se demandant après réflexion, comment elles ont pu supporter ces intromissions effroyables. Pourtant, lorsque avec Jacques, elles se retrouvent à l'hôtel, dans les chambres retenues par ce dernier, elles ne peuvent s'empêcher de rêver à d'autres réjouissances plus perverses les unes que les autres où elles pourront faire encore des folies de leur corps.
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