Le Soleil Se Lève
Cest une histoire vraie !
Je fréquentais pour les besoins de mon métier des lieux pas très
.normaux. Une jeune femme était un peu fatiguée. Par pure amitié, cest ce que je croyais, elle voulait voir une copine. Je laccompagnais. Nous trouvions une fille merveilleusement bien faite en déshabillé translucide. Elle ne portait aucune trace de maladie ou de fatigue.
Les deux filles se connaissaient assez pour sembrasser. Un baiser dune telle longueur que je me doutais de leur relation plus quamicales. Jétais invité à rester pour prendre un verre. Le lendemain matin le verre était encore intact.
Le début de lhistoire est simple : Les deux filles se serrent fort lune contre lautre. Elles senlacent longuement. Leurs poitrines se touchent interminablement, elles sécrasent, les pubis viennent contre lautre. Enfin les mains caressent lautre.
La « malade » est la plus active. Elle pose sa bouche sur la gorge de sa camarade qui lève la tête pour être mieux à sa merci. Ma compagne, appelons là ainsi se laisse entrainer vers le lit tout proche. Elle ne proteste pas quand une main passe sous sa jupe, quelle est fouillée dans son intimité . Au contraire, elle se donne véritablement. La main farfouilleuse se glisse dans lintimité mouillée déjà. Elle se laisse aller à des gémissements de bonheur.
Lamante est nue contre lautre. Je vois ses fesses se dandiner devant moi. Je bande depuis un bon moment, jai même sorti la queue. Le pantalon tombe de lui-même. Je suis contre les fesses de cette tribade. Je fouille sa raie sans quelle se dérobe.
Elle laura cherché, je passe le premier stade sur son anus. Il me semble bien quelle lentrouvre. Jenfile mon vit dans ce cul. Ses réactions sont vigoureuses, elle accompagne mes mouvements. Elle en oublie la chatte de son amante.
Ma queue dans son cul, la langue de son amie sur son sexe, il y a des femmes plus malheureuses quelle au monde. Je sens la main de lamante venir contre mes fesses.
Faisons court, une fille couchée se fait caresser la chatte par une autre fille que jenccule et moi qui me fait mettre un doigt dans mon petit trou. Le paradis !!!
Je ne peux retenir ma décharge rapide. Les deux filles déçues plus que moi semparent de mes attributs. Je suis caressé, examiné, sucé, traité comme un roi. Même mes couilles sont excitées, léchées, avalées. A croire que si je ne rebande pas je le fais exprès.
Je mets quand même un long moment à revivre. Je deviens lobjet de leurs soins intensifs. Cest agréable de sentir des mains de femmes sur son corps, tout son corps. Mes tétons sont caressés, pincés, absorbés, pompés.
Je suis leur objet. Je dois les servir dans un seul but : leurs agréments à elles. Résolu à aller comme elle à laboutissement, je réuni mes forcse, je mobilise tout ce que jai encore en moi. Elles veulent jouir de mon corps, je le leur offre, mon hommage dernier. Enfin la vue de ses deux corps encore enlacées, leur mouvement de masturbation réciproque me donne encore envie. Je montre ma bite. Ce sont deux enragées qui viennent près de moi. Elles ne me font rien, elles regardent les mouvements de ma queue. Je me regarde aussi. Cest vrai que ma bite a sa vie propre, sans moi. Il me semble que si elle se détachait, elle courrait après leurs cons, leurs ouvertures.
La « malade » sassoit sur la troisième marche de son escalier à révolution. Elle se caresse avec un air de défit : sa main narrête pas une seconde. Je vois son jus couler entre ses jambes. Jai envie daller le lécher. Il doit être sacrément goûteux, raffiné, délicat. Je my prends trop tard. Lautre est déjà en place, la bouche ouverte, la langue grande sortie. Mais placée à quatre pattes je peux moi aussi intervenir, pas exactement dans le même trou.
La cyprine de lautre est bonne, enivrante, délectable. Ses lèvres intimes souvrent devant ma langue. Je trouve son trou ouvert. Elle est meilleure que baisable. Elle bouge pour que je change dendroit, la coquine voudrait que jaille sur son anus. Pourquoi pas, il est ridé, comme les autres. Je regarde de plus près, elle force un peu pour louvrir. Si elle pouvait parler elle me dirait :
- Mets moi la au cul, enfiles moi.
Ses seins libres dattache remuent sous ma caresse spéciale. Jai envie de leur faire mal. Dun revers de main jen balais un : elle brame sa douleur, je recommence, elle ne dit plus rien Au troisième coup elle part dans un orgasme inconnu. Jenlève la langue pour la remplacer par ma bite. Jencule ce que je léchais. Elle est un peu serrée, pile comme jaime, elle aussi sans doute ; Je vais et viens en elle comme si elle était une sale pute, je ne moccupe que de mon plaisir. Je jouis comme un dingue, comme elle autour de moi. Je sens mes couilles battre un peu contre son entrejambe. Et, espoir de ma part, je bande encore.
Cette fois je voudrais lautre : je ne lai encore jamais baisé. Je la veux sous moi, ma bite dans son sexe, mes mains sur ses seins. La bouche de son amante sur sa bouche. Je veux la totale.
Je veux, jobtiens. Elle me fait asseoir à sa place, pose sa tête sur moi, embrasse ma colonne, change un peu de position, donne son sexe à son amie. Elle se fait lécher le temps dune jouissance, se donne vite à ma queue. Je menfonce dans son vagin éclaboussé de cyprine. Ce nest plus un con, cest une machine à laver les bites. Mon gland au fond me donne un dernier jet de sperme.
Le soleil se lève
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