Lettre D'Une Femme À Son Mari
Mon chéri, maintenant, tes nouvelles perversions te font me prêter à tes amis. Tu
aimes te voir cocufier en me donnant à tes copains. Ils apprécient le cadeau et je me
laisse faire toujours docile. Le plus agréable pour moi, est que je menvoie en lair
devant toi et ça te plaît !
Je crois que je suis une nymphomane exhibitionniste, qui se fait mettre par tous les
mâles qui lui plaisent et par ceux que tu décides maintenant de me fourrer entre les
cuisses !
Jaime les soirées que tu organises, me retrouver la seule femme au milieu de
plusieurs hommes en rut, et ton regard sur tous ces membres qui me chevauchent par
tous mes orifices. Jadore être prise devant toi. Ils sont dautant plus émoustillés
quils me baisent devant toi, et je ne tavais jamais vu aussi imaginatif avec les
parties de jambes en lair que tu programmes chaque semaines.
Cest toi qui mas dépucelée à seize ans, le coup de foudre ! Après, nous couchions
ensemble souvent, fous amoureux lun de lautre. Ce qui ne mempêchait pas davoir
dautres petits amis qui me sautaient allègrement jusquà notre mariage. Tu ne voyais
rien, lamour est aveugle ! Nous nous sommes mariés, javais 18 ans.
Je ne suis pas du tout la sage et fidèle épouse que tu crois. Je ne lai jamais été !
Oui, tu es cocu, tu las toujours été ! Je tai toujours trompé ! Rappelle-toi, le
jour de notre mariage, tu as du tabsenter pour aller chercher un amis après la
cérémonie et ton petit frère était désolé de me voir toute seule, abandonnée. Il a
tout fait pour me consoler ? Eh oui ! Il ma baisée, dans le lit conjugal, juste avant
notre nuit de noce !
Tu te souviens de ma robe de mariée ? Très courte, vaporeuse. Je portais des bas et
une petite culotte très transparente. Ton frère ma dit que jétais à croquer, il ma
donc croquée ! Il ma dit aussi quil avait bandé pendant toute la cérémonie et que
tous les hommes qui y assistaient se trouvaient dans le même état.
de me porter jusquà la chambre nuptiale et de me culbuter sur le lit sans plus
attendre. Après, ton père me vit entre les cuisses de son jeune fils, me traitant de
tous les noms. Et moi qui râlais de plaisir emmanchée par le pieu de ton frère ! Pas
content du tout mon nouveau beau-père. Je lentendais, dans les éclairs de mes
orgasmes, vociférer des menaces et des insultes pendant que son jeune fils finissait
de se vider dans mon ventre.
Je gardais les jambes bien écartées avec ma jolie robe de mariée troussée à la taille
et il pouvait admirer à loisir mon pubis maculé du sperme de son jeune fils. Je
pleurais, en lui disant que je navais pas pu lutter contre un homme aussi fort. Ma
tête reposait sur ses cuisses et je sentais une bosse de plus en plus ferme grossir
sous ma joue. Il me caressait les cheveux, je lui déboutonnais sa braguette pour
sortir un beau membre bien raide que je mempressais de gober. Ton père lui aussi, me
culbuta sur le lit.
Après, Il a fallu gagner notre vie et jai continué à travailler. Enfin, Jétais plus
souvent le cul à lair et les cuisses écartées quassise derrière un bureau. Quest-ce
que jai pu me faire mettre, oh les salauds ! Tous mes patrons mont tringlée ! Tous !
Et, je ne parle pas des collègues.
Mon premier emploi a été celui de secrétaire. Avant même dêtre embauchée, il a fallu
que je passe à la casserole, cétait la règle. Il y a eu dabord le chef du personnel,
puis le PDG, ensuite le directeur commercial dont je dépendais et le coursier parce
quil me plaisait. Jai travaillé avec un chef de service qui non content de me sauter
se servait de moi comme appât pour ses affaires.
Comme récompense quand elles se concluaient ! Comme il gagnait bien sa vie il me
donnait une prime. Je ne chômais pas, crois-moi, mais tu me connais, je suis
consciencieuse surtout pour la bagatelle ! Tu connais mes goûts pour les robes et
aussi les jupes ultras courtes avec des petites culottes dun léger voile.
Il est évident que je ne peux pas masseoir sans mexhiber et tu sais aussi que je ne
porte jamais de soutien-gorge. Jai remarqué que mes employeurs devenaient vite
incontrôlables quand je me présentais devant eux, surtout quand en plus, joublie de
mettre ma petite culotte.
Ensuite jai été vendeuse dans une entreprise de sous-vêtements. Mes débuts furent
identiques sauf quil y avait encore plus de chefs. Nous leur servions de mannequin,
mes petites collègues et moi, pour la lingerie et nous devions être très gentilles
aussi avec les gros acheteurs. Jai cru que tu allais deviner un peu ce que je faisais
un soir où tu es venu me chercher. Tu mattendais depuis vingt minutes dans la voiture
quand je suis arrivée.
Tu mas caressée, tu mas mis la main sur ma vulve et tu as été très surpris parce que
jétais toute grasse. Tu as cru que javais très envie. En fait, je venais de me faire
mettre par deux clients en même temps et je navais pas eu le temps de me nettoyer.
Javais le con et le cul plein de leur sperme. Tu mas prise, tout excité et tout
content, comme ça, dans la voiture. Jai failli avoir un fou rire.
Tu ne peux pas avoir oublié le propriétaire de notre premier appartement. Tu sais,
celui qui nous réclamait toujours le loyer avec son air revêche. Quest-ce quil était
laid et désagréable ! Mais on a eu des petits problèmes dargent à ce moment - là, tu
ten souviens ? Je me suis toujours demandé pourquoi tu ne tétais pas posé de
questions quand, du jour au lendemain, ce type nous a foutu la paix ! Alors là, ça ma
coûté ! Il ma fait asseoir devant lui sur un fauteuil très bas, jétais, comme
toujours, mini jupée, tu imagines le spectacle. Nous avions trois mois de retard. Il
ma dit textuellement :
- Ma petite dame si vous ne pouvez pas payer votre loyer, je ferme votre porte et il
faudra coucher ailleurs dès ce soir, cest tout.
Je ne savais trop quoi faire, mets-toi à ma place, il avait les yeux rivés sur mon
entrecuisse et il bandait, alors je les ai ouvertes un peu plus. Lui ma baisée
pendant trois mois mais pas seulement, il ma donnée à ses avortons de fils.
Tu te souviens de ce gynécologue qui sest si bien occupé de moi ? Ce type ma fait
jouir comme jamais je naurais cru que cela fut possible. Il faut dire quil na pas
pu se contrôler, lui non plus, quand, les cuisses écartées sur sa table
dauscultation, jai commencé à lui raconter un peu de ma vie de tous les jours. Il
avait les yeux à quelques centimètres de mon intimité et des doigts à lintérieur.
Cela me faisait de leffet mais à lui aussi, alors quand jai commencé à parler, il
est devenu fou. Ce ne sont plus seulement ses doigts quil ma mis, tu penses bien.
Nous avons de charmants voisins, si serviables, un peu voyeurs, peut-être, un peu
collants aussi et très entreprenants. Il y en a un qui ma même fait du chantage, il
me disait que si je ne couchais pas avec lui, il dirait à tout le monde et surtout à
toi que je me faisais tringler par le facteur et que je me masturbais dans le jardin
avec un énorme godemiché.
Quant à notre autre voisin, il ma rendu service en réparant la machine à laver le
linge. Tout travail mérite salaire, je navais pas dargent sur moi et il nen voulait
pas non plus. Il faut tavouer une chose, notre facteur est vraiment très beau. Tu le
connais mais il est timide, il tévite. Il est très serviable aussi, mais je ne
voulais pas que ces horribles voisins viennent te raconter quil attendait ton départ
pour entrer à la maison même quand il ny avait pas de courrier !
Au point où nous en sommes, je peux bien te dire que ce facteur me fait très bien
lamour. Oui, au présent ! Là maintenant ! Jai sa queue entre les cuisses bien
enfoncée au fond du con et il me secoue tellement que je vais être obligée de
marrêter de taper ! Ça le met dans tous ses états ce que jécris ! Bon, maintenant il
est, parti.
Je reprends plus calmement mon récit. Dans les magasins, on peut faire des rencontres
passionnantes. Ne tes-tu jamais demandé comment je pouvais changer si souvent de
garde-robes ? Jai passé des après-midi inoubliables avec des gens si sympathiques et
si généreux. On ma bien quelques fois traité de pute mais que veux-tu, il y a
toujours des mauvaises langues.
Une fois, cela aurait pu mal tourner. Tu connais mes goûts pour la jolie lingerie.
D'habitude on moffre tout ce que je désire mais un jour, une folie ma prise. Pour la
première fois jai volé, des culottes, des bas, des porte-jarretelles, que jai
enfournés dans mon grand cabas ! Je me suis fait repérer. Deux surveillants ont
fouillé mon sac et ils ont tout trouvé. Jai été conduite dans un petit bureau, ils me
tenaient chacun par un bras et là, ils mont fouillée. Je navais rien sur moi que mes
sous-vêtements, enfin ma seule et unique petite culotte. Et bien non ! Ils ont exigé
que je lenlève et ils me lont confisquée ! Ils ont fouillé aussi mon intimité !
Devant et derrière ! Avec leurs gros doigts sales ! Ils mont menacée de prison ! Je
pleurais et il a fallu que je fasse tout ce quils ont voulu pour quils ne me livrent
pas à la police !
Jai été obligé de les sucer ! Puis ils mont pénétrée et ils mont baisée chacun leur
tour ! Après ils mont prise tous les deux en sandwich ! Jaime ça mais quand même !
Ils mont gardée pendant tout laprès-midi ! Javoue quils mont fait jouir aussi.
Une précision encore. Tu me dois une partie de ta réussite professionnelle. Je
texplique. Tu te souviens forcement du très gros contrat que tu as signé, il y a
quatre ans avec les Suisses. Ils te trouvaient très sympathique et compétent, cest
vrai mais tu offrais moins davantages quune autre boite. Tu peux dire merci à ta
petite femme ! Tu mavais demandé de me faire belle pour le déjeuner que tu leur
offrais. Lun deux ma appelée après ce déjeuner, il voulait un rendez-vous. Jy suis
allée et je me suis retrouvée au bar de leur hôtel devant tes clients. Ils étaient
quatre assez baraqués. Le marché était simple, il signait avec toi si je couchais avec
eux. Tu as signé le contrat mais je tassure que cela a été un grand plaisir de te
rendre ce service. Oh ! D'ailleurs un souvenir qui me revient à lesprit et qui va te
faire rire.
Tu ten souviens peut-être, je suis venue à ton bureau invitée pour fêter ta réussite.
Tu étais très occupé et cest lun de tes collègues que tu naimes pas qui ma guidée
dans les bureaux. Il mavait offert un whisky pendant que tu parlais et je voyais bien
quil ne pouvait pas sempêcher de lorgner ma petite culotte sous ma jupe toujours si
courte. Je mamusais de le voir si rouge et si émoustillé. Il ma emmenée dans une
sorte de réserve et là, à quelques mètre de toi, il sest précipité sur moi, il ma
troussée et avant que je puisse dire ouf ! Il ma enfilée debout ! Jai même eu un peu
peur que lon nous entende. Il ma dit que tu avais une veine de cocu ! Cétait rigolo
!
Cest aussi ce soir-là que jai rencontré pour la première fois ton PDG et son
associé. Ils sont adorables et ils tapprécient. Ils mont surprise avec ton collègue
lorsque sortions de ce cagibi un peu essoufflés. Je les connais bien maintenant. Eux
aussi, bien sûr me connaissent bien et en détails.
Jentends le facteur sonner, il a fini sa tournée et il repasse me dire un petit
bonjour. Insatiable, cet homme ! Toujours deux ou trois fois dans la journée ! Jaime
beaucoup que tu moffres à tes amis. Continu jy prends un plaisir immense. Jespère
que tu nes pas fâché par cette confession peut-être un peu longue mais pleine
domissions.
Ta chère et tendre épouse.
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