L'Océan- Histoire Vraie
Fin de vacances il y a maintenant quelques années. Dernier jour sur le bassin dArcachon, je reprends la route ce soir pour rentrer à Paris. Mes amis sont repartis et je décide de passer laprès midi sur la plage. Les jours sont longs et je pourrai conduire à la lumière du jour.
Il ny a pas grand monde sur cette superbe plage de locéan. Cest la fin du mois daoût, beaucoup destivants sont déjà partis. Je taperçois de loin. Forme nue, quelque chose attire mon regard. Peut-être parce que tu es seul, comme moi, nostalgique de ce bel été.
Jadore regarder les hommes nus sur la plage. Je t observe, je suis trop loin pour voir les détails de ton corps mais je suis excité. Ma queue manifeste son désir. Cela ne me gène pas, il ny pas personne à proximité. Jaime cet état de semi érection juste commandé par le regard sur un corps sur lequel jimagine mes mains et ma langue.
Le temps passe et il va falloir que je prenne la route. Je décide de mapprocher. Je me lève et viens dans ta direction. Je suis timide et je nose jamais aborder les autres directement. Jai les yeux fixés sur ton corps dont la beauté se confirme à mesure que japproche de toi. Je massieds dans le sable, sans avoir pensé à prendre ma serviette à 15 mètres de toi, et je regarde vers toi. Je fais semblant de mintéresser à lensemble de la plage mais il ny a évidemment que toi que je désire. Je bande. Ma queue est tendue entre mes cuisses, mes bras encerclent mes genoux et je sais que mon sexe dur est visible de lendroit où tu te trouves.
Tu es allongé sur le dos avec les coudes repliés et tu regardes dans ma direction par intermittence. Ta queue repose sur ta cuisse gauche, et jai limpression que tu bandes un peu. Au bout de quelques minutes je regarde plus franchement dans ta direction et je vois ton sexe se dresser. Tu sembles un peu gêné alors tu changes de position et comme moi replies tes jambes pour cacher ton sexe entre tes cuisses.
Je ne suis pas sur de moi mais je me demande si tu ne rougis pas. Tu es bronzé comme moi mais
cest une impression. Tu sembles timide toi aussi. Tu prends alors une initiative, sors une bouteille deau de ton sac, me regarde et fais un geste pour me proposer de la partager. Je suis touché par cette attention et me lève pour venir masseoir près de toi. Je bande à fond mais nous sommes seuls et je nai rien pour cacher mon érection.
Tu me fais un peu de place sur ta serviette.
- Bonjour,
- Bonjour
- Tu veux de leau ?
- Oui je veux bien
.
Il me tend sa bouteille. Jai la gorge serrée. Je ne sais pas quoi dire, jai furieusement envie de lui et je vois maintenant de près son corps sublime et sa queue dressée quil ne cherche pas à cacher non plus. Nous sommes deux complices silencieux, animés du même désir, perdus dans la même timidité.
- je nai pas lhabitude
- moi non plus
je réponds cela sans savoir finalement de quoi il na pas lhabitude. Dêtre submergé par le désir du corps dun autre garçon sur une plage ?....
Il sappuie sur les mains, bras tendus et sa queue est offerte à ma vue. Je repose la bouteille, me tourne vers lui et ma main part de son genou, remonte sur la cuisse, le ventre merveilleusement poilu, et son torse tout aussi doré et bandant. Il frissonne. Je tourne son visage vers le mien et lui caresse la joue. Puis jose. Nous sommes sur la plage, il y a encore un peu de monde mais un peu loin. Je prends sa queue dans ma main et fais quelques mouvements pour la sentir palpiter sous ma peau. Je découvre son gland, rose, sublime. Belle queue, longue et fine, dure comme de lacier. Il gémit.
Quelle sera la suite ? Ma timidité métouffe. Rien ne me retient de le caresser sur cette plage, mes yeux le dévorent de désir et je nose pas parler
- on pourrait aller derrière ?
- oui, super.
- il me regarde en souriant. Il voit que je bande à fond.
- Tu veux que je te prête mon maillot ?
- Ça va aller
je me lève, je bande mais je me fiche que lon me voit ainsi. Oui jai envie de ce garçon. Quel est le mal ?
Je retourne à ma place, range mes affaires et viens le rejoindre. Il a replié sa serviette et enfilé son boxer. Je suis ému. Cest le même et en même temps un autre. Nu cétait un objet de désir offert, habillé de son boxer cest un garçon adorable, avec un petit air convenable et si gentil. Je crois que cest cela un garçon sexy. Une puissance sexuelle irrésistible sous une apparence sage et rassurante.
Nous quittons la plage à la recherche dun endroit isolé. Je ne connais pas les lieux et lui non plus apparemment. Nous trouvons des dunes sur le coté et en avançant une petite clairière à lécart du chemin. A cette heure ci nous ne devrions déranger personne. Il sort sa serviette de son sac. Il linstalle sur le sable ; il se redresse et me fait face. Mes mains saisissent son boxer et le fond tomber à ses pieds. Il bande. Ce garçon me rend fou. Il semble un peu mal à laise. Je me mets nu, ma queue dressée à lhorizontale. Nos sexes jouent lun avec lautre pendant que nous nous embrassons. Cest profond, chaud, interminable, sexuel, fou.
Nous nous allongeons sur la serviette et il me dit, avec une voix assez sourde : je ne lai jamais fait
Je ne sais pas sil veut dire jamais sur une plage avec un inconnu ou jamais avec un garçon
Je suis troublé
- naie pas peur, ça va être tout doux
Je ne sais pas quoi dire dautre
Alors je le caresse comme sur la plage, en délaissant provisoirement son sexe, pour le rassurer. Pour quil sente la douceur de mes doigts et que son corps ressente un frisson de plaisir. Pour quil comprenne que je ne serai pas violent, ni brutal, ni expéditif. Je fais lamour en prenant le temps damener lautre au plaisir par la douceur.
Je me penche vers lui et le prend dans ma bouche. Mes lèvres dabord retroussent le prépuce. Son gland est pour la première fois peut-être serti entre les lèvres amoureuses dun garçon qui en cet instant est emporté par une vague de désir de son corps, de son innocence et de son être tout entier.
Puis je descends lentement le long de cette queue chaude, brulée par le soleil et le désir. Je le pompe avec une infinie douceur. Je caresse ses couilles avec la main droite et ma main gauche fouille dans les poils blonds et doux de son torse. Il sabandonne. Il sest abandonné. Je sais quaujourdhui nous naurons pas un échange symétrique. Cest trop nouveau pour lui. Il reçoit ce que je lui donne et cest ce que je veux. Me sucera-t-il ? est-il prêt ? peu importe. Je veux lui donner toute ma douceur.
Il replie les jambes à moitie et les écarte, et ce faisant permet à mes doigts de glisser de ses couilles vers son anus. Douceur divine des poils chauds qui gardent lentrée de ce paradis. Je caresse son doux anus sans chercher à y pénétrer. Ce nest pas le moment, pas le jour. Un autre que moi lui apprendra cela plus tard.
Jarrête un moment de le sucer pour lembrasser. Nos langues se mêlent, il y a là plus que du désir sexuel, il y a une fusion, un absolu.
La vague du plaisir anime son corps. Il a passé le point de non retour, ses sens sont en feu et il a besoin daller au bout de la jouissance. Je reprends mes caresses, sa queue ne quitte plus ma bouche, il sagrippe à mon sexe quil sert fortement comme pour mempêcher de méchapper. Il a décidé de connaître le plaisir sur cette plage, ce soir, avec moi. Je sens que son jus monte dans sa queue tout entière lovée dans ma bouche, jarrête mes mouvements pour sentir la palpitation de ce sexe adoré
Puis ma langue tourne autour de son gland, ma main enserre sa queue sur le point dexploser, ma main sent la première le flot monter du plus profond de son corps et de son âme, et sa semence jaillit et trace sur son torse de longues et épaisses trainées de plaisir.
Je lembrasse. Le monde sest arrêté autour de nous. Il sourit de ce sourire qui ne vient quaprès une certaine forme de plaisir. Ma timidité revient. Je ne sais pas quoi dire alors je le regarde, lui caresse le visage et lembrasse avec avidité. Je pense quil va rapidement séloigner, gêné peut-être par cette expérience. Non, il reste là, apaisé et lumineux.
- et toi ?
Que veut-il dire ? Dois-je jouir moi aussi ?
- Jaimerais te regarder
Je comprends que dune certaine façon il attend que je le rejoigne dans ce plaisir. Alors je plonge mes yeux dans les siens et sans les quitter ma main joue avec ma queue pour mamener à la jouissance. Je nai pas besoin de beaucoup de temps, je suis brulé par le désir et encore ébloui par ce qui vient de se passer. Il est allongé, je suis à coté de lui à genoux, et je jouis. Mon sperme sécrase sur le sable à hauteur de son visage. Il na rien perdu de cette conclusion sublime de notre rencontre.
Nous restons un moment silencieux allongés lun à coté de lautre. Nos corps se sont tout dit. Je sais que son cerveau est en ébullition et je sens que mon corps est repu. Je sais aussi que nos mémoires gravent à jamais cet instant. Quest ce donc que tu navais pas fait avant ? Quas tu découvert aujourdhui que tu ne connaissais pas ? Je garderai ce mystère en moi avec lhypothèse merveilleuse que tu auras aimé connaître le plaisir par la douceur.
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