Recherche De Baise
Depuis le temps, jai envie de mencanailler un peu. Ma robe bleu courte me convient assez, juste un tout petit string suffira. La boite est pleine de bruit, des couples surtout. Je me trouve un peu sotte seule au bar. Il arrive pour minviter à danser. Une danse lente qui permet aux couples de se serrer : mon style pour ce soir.
Il est grand, brun avec des yeux bleus. Il me semble bien musclé. Ses bras mentourent vite comme un prélude, comme sil savait ce que je cherche. Sil se doutait que je suis vierge de toute bite depuis deux mois, que seules mes mains avec les godes me contentent. Je suis capable de moffrir à la première queue venue.
Je me colle contre lui, je le sens bander contre le ventre. Tant mieux, il a une belle queue, je la lui prendrai en sortant de cet endroit. Je glisse mon ventre sur une de ses cuisses. Je me frotte à lui, je trouve une forme de plaisir, pas complet, mais suffisant pour linstant.
La danse sarrête. Il ne va pas me laisser tomber ainsi. Il minvite à sa table où il nest pas seul. Enfin il se présente : Georges et son copain Henri. Je sens comme un malaise : je comprends rapidement quils sont amants. De nos jours cest presque banal. Il me fait assoir entre les deux. Jai droit à une bière que je liquide vite, assoiffée que je suis.
Georges sans manière pose sa main sur ma cuisse ; Chaude comme je suis il peut bien aller plus haut. Je remue à peine les muscles. Il monte passe sous la robe, la remonte sans soccuper de savoir si quelquun nous regarde. Il écarte le string mouillé pour venir sur les lèvres. Henri le regarde faire sans rien dire. Jaimerais bien quHenri me touche aussi.
Les doigts trouvent bien vite le clitoris. Mes cuisses bien écartées jencaisse la masturbation plutôt réussie. Je me tends pour ne pas jouir trop vite, mais quand je pars cest pour de bon : au diable ma main et autres accessoires bidon. Jaurais voulu quil me doigte, mais pour une première fois je nai pas à me plaindre.
- Si tu veux, viens avec nous.
- On baisera ?
- Bin sur je te la mettrai là où te veux.
- Devant, jaime u dans la bouche.
Jétablis ainsi une sorte de programme.Je ne réfléchi pas longtemps, je vais avec lui dans lintention de baiser, de me faire mettre. Je ne dis pas que jaimerais bien le sucer, une dame ne dit jamais ça, elle le réalise. Je me demande ce quHenri peut me faire avec ses airs de gay.
Ils habitent à deux pas, un genre de loft, clair, plein de vitre partout. Nimporte quel voisin a vue sur le logis. Ma foi, je men fiche, même si on me regarde bien pendant mes amours, jai les yeux fermés, je profite de la queue qui me fait du bien. Georges me serre contre lui, pose sa bouche sur la mienne. Son baiser est farouche, bon, profond. Je fonds dans mon sexe. Henri nous regarde tranquillement. Son amant veut me baiser et à lui ça ne lui fait rien. ?
Georges fait descendre la robe, se baisse pour ma faire sortir des pieds. Mon string suit le même chemin. Je suis enfin nue. Il revint debout contre moi. Je desserre la ceinture du jean, ouvre la braguette, fait descendre son futal. Il reste en slip déformé par sa tige. Je ne résiste pas à lappel du mâle. Je sors cette queue droite, pleine de veine. Elle est un peu déformée en allant vers la gauche. Cest délicat, mignon.
Je le prends à pleine main : il y si longtemps que je nen ai pas eu. Je le branle en arrêtant vite. Son prépuce coulisse bien, presque trop facilement. Jimagine ce quil ferait dans ma coque près de la matrice. De lautre coté de la pièce, Henri a aussi sorti sa queue. Joli morceau, dommage quil la réserve à son amant, je la lui mangerais bien.
Il comprend mon premier désir : pas une baise rapide, quelque chose de distinct, de fin, de délicat, de raffiné. Sa bouche passe sur le ventre, sur le pubis, sur mon entrejambe offerte depuis le début. Enfin sa langue est sur mon intimité. Elle nest pas délectable, elle est mieux que ça.
Je regarde en bas, il bande de plus en plus. Il va falloir que je le dégonfle sinon il va jouir à sec. Je me laisse aller en jouissant davance sur sa bouche. Jai du lui en mettre plein les narines et les joues : il est reluisant. Sil se remonte un peu, moi je me baisse, je vais réaliser mon rêve de prendre son jus, le déguster longuement avant de lavaler doucement.
Ma bouche est pleine de sa queue. Elle est odorante, elle sent lhomme, le vrai. Je débusque le gland, ma cible. La langue senroule autour. Il en sursaute quand je le serre un peu trop. Ce nest pas de ma faute s il est si bon. Je caresse vite fait ses couilles. Il est tendu vers mon visage. Son jus sécoule, gicle dans la bouche, cest gluant, chaud, à peine salé. Jaime ça, ça me manquait terriblement.
Et lamant ? Il est aussi nu que nous, il se masturbe en nous regardant. Je pourrais le lui faire aussi bien. Cest un bel homme. Dommage que sa queue soit réservée au cul de celui qui me donne du plaisir. Quoique jaimerais bien les voir samuser ensemble bite à cul. Peut-être si je leur demande poliment. Ou alors dans le mien, bien que la sodomie ne soit pas ma première demande.
Lentement il me pousse vers le lit : un seul lit pour ces deux amants. Je me laisse aller. Il vient à coté de moi Ses mains entreprennent mon siège il me caresse fort bien la poitrine. Mes pointes se dressent : il les mordille. Cest bon, je le veux en moi. Jai beau rendre sa pine, la pousser vers mon sexe, il ne fait que ce quil veut. Il se tourne sur moi. Ma chatte est dans sa bouche. Sa langue me fait faiblir. Il lèche comme un prince, un as de la chose, comme le ferait une fille. Je me laisse partir, il me fait jouir, jen veux encore. Je peux prendre sa queue dans la bouche. Elle est toujours agréable aves un arrière goût de sperme. Je manuvre son prépuce qui monte et descend.
Henri ne nous regarde plus, il veut participer. Bon prince Georges me prête. Il me baise par le con, me tourne sans dér. Mes fesses sont offertes. Jai peur de la suite. Je sens cette nouvelle queue dans la raie, elle y rode un moment, je la sens grossir.
Jallais pousser un grand cri de douleur : il mencule sans dommage pour moi. Je ne pensais jamais prendre du plaisir par cet endroit inhabituel. Sentir deux queues ensemble dans le ventre, deux queues complices. Elles vont et viennent facilement. Le plus fort est que les muscles de mon cul ne protestent pas, ils souvrent volontiers.
Je sens les deux pines se croiser, les deux hommes faire des commentaires sur ma vertu, mes capacités de baiseuse
..Je passe les gros mots qui mexcitent.
Le plus terrible pour moi est de ne pas me souvenir du nombre dorgasmes que jai eu.
Actuellement nous nous voyons souvent, nous baisons toujours. Ils sarrangent pour me baiser sans cesse. Mon cul veut toujours une bite. Jai convaincu Henri quun con est aussi bon quun cul dhomme. Il me baise des fois, rarement, il préfère les gros culs masculins.
Parfois ils me font plaisir : Georges est en levrette, Henri derrière lui le sodomise. Je regarde avec plaisir la queue de Georges se balader sous son ventre avant quil la prenne pour se branler. Jaime les voir ainsi prendre un autre plaisir, cest comme si moi javais une copine, ils aimeraient me voir lécher un autre sexe. Jaime les voir faire : je me touche avec le plaisir au bout de mes doigts.
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