Volupté En Public - Dévergondages 04
VOLUPTÉ EN PUBLIC - Dévergondages 04
Lors dun récent voyage, un Français nommé Michel B., est venu en voyage daffaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il ma confié les fantasmes quil a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il la connu avec une maîtresse durant une dizaine dannées. Pour cela, il ma demandé dimaginer des récits pouvant lamener à se pervertir.
« Quest-ce quune femme honnête ? Celle qui donne ce que les autres vendent ».
(Comtesse Diane)
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile sest laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime dun chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Celui-ci commence à la circonvenir alors que malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés.
Odile se détend sur le lit où elle vient déprouver plusieurs orgasmes qui ont eu raison de sa pudeur naturelle. Elle a laissé son corps profiter des doigts qui lont si bien massé, puis caresser pour enfin la masturber avec une fougue et une diabolique adresse. Elle sest entendue feuler et gémir de plaisir, crier et hurler sa joie lorsque, nétant plus maitre de ses sens, elle sest laissée aller dans une savoureuse plénitude dune sexualité révélée. Jamais, au grand jamais elle na éprouvé une telle jouissance avec son mari. Cette pensée la rappelle soudain à la réalité. Elle éprouve un remords inquiétant à tromper ainsi son époux dans ce dérèglement de sa chair quelle a laissé sexprimer béatement.
Ce sont des lèvres se posant sur les siennes qui la ramènent à la réalité. Sous la surprise, elle ouvre la bouche, alors quune langue sintroduit recherchant la sienne. Les mains dEdmond pendant ce temps malaxent ses seins. Elle voudrait le repousser, lui dire que cest inconvenant de se conduire ainsi avec une femme mariée, elle voudrait
Elle ne peut que répondre hardiment au baiser qui la fait encore chavirer. Tâtant maladroitement le corps nu de lhomme qui lembrasse fougueusement, ses mains parcourent sa nuque, ses épaules, ses bras, son torse, sa taille ; elle nose aller plus bas. Edmond lui prenant ses mains dans les siennes, les attirent vers son pubis et son sexe dressé depuis presque une heure. Elle a un geste de recul comme si elle touchait un fer rouge, lhomme insiste, lui mettant le bâton de chair au creux dune de ses paumes. Elle nhésite pas longtemps, faisant le tour de la hampe de ses longs doigts fins, Edmond lui souffle dans loreille.
Branlez-moi Odile, vos mains délicates autour de mon vit me font encore plus bander pour vous. Allons tirez sur le prépuce et dégagez mon gland.
Odile fait le mieux quelle le peut, alors quEdmond triture ses mamelons, pinçant par intermittence ses tétons, devenus douloureux, tellement ils sont raidis par lexcitation présente en permanence à présent. Mais Edmond la redresse et lassoit sur le lit. Il présente soudain sa verge contre la bouche dOdile qui garde ses lèvres serrées. Mais Edmond se montre plus que persuasif.
Eh ! Bien ma chère, ne me dites pas que vous ne faites pas une petite gâterie à votre mari ? Jai gouté avec délices à votre chatte bien ouverte, raclant de ma langue votre cyprine odorante. À vous à présent de pomper mon dard. Noubliez pas quil va me falloir payer vos photos dun prix exorbitant.
Odile, est remplie de honte davoir à absorber lorgane du vieux notaire, mais aussi et surtout, quon lui signifie la dette pour laquelle elle doit se prosti ; elle entrouvre ses lèvres et laisse Edmond forcer sa bouche avec son pénis, quil enfonce sans précaution jusquà la glotte de la femme mature.
Aussi, Odile sapplique à contenter son sauveur, agaçant le trou du méat, léchant la hampe le mieux quelle le peut, suçant le gland, exagérément gonflé, en le mordant légèrement, occasionnant des gémissements à Edmond qui tient fermement la tête féminine en recommençant à baiser la bouche comme si cétait un vagin quil pénétrait. Odile répond le mieux quelle le peut aux coups de boutoir dans sa gorge, lorsque sans quelle ne puisse se retirer, le foutre explose dans sa bouche, à gros jets, jusquà la glotte ; pour ne pas , elle déglutit et en avale une bonne quantité, mais le jus poisseux continue à jaillir du gland appuyé contre son palais, Edmond maintenant à deux mains la pauvre Odile, elle na dautre choix que dabsorber le liquide séminal qui sécoule encore de la verge dEdmond.
Odile, le moment de répulsion passé, car cest la première fois quelle avale du sperme, nayant jamais accepté que son mari le fasse, malgré ses supplications, ne trouve pas que cest aussi horrible quelle le pensait. Ce jus, quelle pensait dégouttant, a seulement un goût de noisette légèrement salé. Elle regrette à présent davoir refusé ce petit plaisir à Michel, son mari ; elle se promet daccepter sil lui demande à nouveau. Edmond vient de prendre sa bouche avec ses lèvres, et faisant fi de son propre sperme, il nettoie avec sa langue, les muqueuses de la belle Odile, qui se presse contre lhomme qui domine sa volonté, mais qui lui procure aussi un plaisir inconnu jusquici. Elle est reconnaissante à cet homme de lui venir en aide, elle se surprend même, à avoir des sentiments pour lui.
Edmond, avec beaucoup dattention, enlève le bandeau qui aveuglait Odile. Celle-ci cligne des yeux et rougit en voyant lhomme nu, au sexe encore en érection ; elle ne peut sempêcher de flatter de la main la verge quelle a absorbée entre ses lèvres. Edmond, toujours contre elle, laisse aussi sa main ségarer entre les cuisses, et il caresse le pubis qui tremble aussitôt sous lattouchement précis. Les deux amants se masturbent délicatement, continuant à sembrasser tendrement. Odile na plus dappréhension à leurs nudités, elle prend même un plaisir certain à sentir la verge qui grossit à nouveau entre ses doigts.
Pourtant, Edmond veut disposer de beaucoup de temps encore, pour déniaiser et posséder le corps appétissant de cette mature qui est loin de faire son âge. Elle a le corps et le visage dune femme de trente-cinq ans, alors quelle approche de la cinquantaine. Il la prend dans ses bras tout en lembrassant avec une grande tendresse et lui dit calmement.
Ma chérie, nous allons, si le voulez bien, allez nous rafraichir un peu. Je vais vous faire couler un bain et vous allez vous détendre. Ensuite, nous allons faire quelques achats, puis nous dinerons dans un restaurant du centre médiéval qui a une excellente cuisine.
Odile est décontenancée, elle sattendait, après les assauts tumultueux dont elle a été lobjet, à ce que lhomme, qui la courtise depuis six mois, et qui a barre sur elle, avec la somme énorme quil va devoir payer pour lui éviter le déshonneur, elle sattendait pense-t-elle, à ce quil fasse lassaut de son corps et quil la prenne sans retard. Il na aucun problème dérection, au contraire, elle sen est bien rendue compte. Il a décidemment beaucoup de délicatesses, appréciant la maitrise de cet homme qui ne la pas sauté comme un soudard.
Edmond prépare un bain chaud pour Odile, mélangeant les sels et les gels parfumés pour quelle se détende parfaitement. Elle senfonce dans leau bouillonnante avec délice, embrassant avec reconnaissance celui qui la rendu vraiment femme.
En sortant de la salle bains, elle se rend compte que le temps a passé très vite et quil est presque dix-huit heures. Elle appelle, depuis son portable, sa fille à Londres. Lorsque Muriel lui répond, Odile, après avoir pris de ses nouvelles, lui indique quelle va, après sa séance de fitness, assister à une réunion de lassociation caritative dont elle soccupe et quelle rentrera assez tard, donc inutile quelle la contacte avant demain. Elle téléphone également à son mari qui se trouve en Hollande, lui tenant le même langage. Elle se doute que son compagnon ne va pas lui rendre la liberté avant le lendemain matin, soupçonnant quil va encore profiter de son corps et certainement vouloir pénétrer son minou avec son énorme engin.
Odile et Edmond déambulent dans les rues pavées à lancienne de la commune de Saint-Macaire. Ils visitent léglise Saint-Sauveur, qui a la particularité davoir à la fois, une nef romane et un recouvrement de forme gothique, puis ils visitent le musée de la poste installé dans le Relais de poste Henri IV, situé place du Mercadiou, où se trouve le marché, et un grand nombre de maisons anciennes datant du XIIIe au XVIIe siècles. Dans une de celle-ci, sous les arcades médiévales, une succursale dun magasin de mode parisien très connu, offre de très jolies robes dans ses vitrines. Sans hésiter Edmond en pousse la porte et fait entrer sa compagne.
Après avoir fait le tour des collections, Edmond propose, pour la soirée prévue au restaurant, dessayer une jupe longue de bohémienne, à godets, aux dessins de fleurs champêtres, et une blouse paysanne aux plis froncés, avec un décolleté bateau. Il choisit également des sandales blanches aux talons de sept centimètres. Odile subjugué par lassurance de son compagnon ne dit rien. Puis, il demande à voir les tailleurs dété. La vendeuse lui présente différents modèles ; il sarrête devant un très joli tailleur en lin crû, à la jupe droite et aux doubles coutures surpiquées quil fait essayer à Odile. Puis il demande à celle-ci de choisir deux parures, soutien et shorty, pour aller avec. Toute rougissante, celle-ci se décide sur les dessous, puis elle va essayer le tout dans une cabine, accompagné de son pygmalion. Celui-ci, reste sagement au dehors de la cabine, se contentant de donner son avis, lorsquOdile sort pour lui montrer le tailleur, puis lensemble de la jupe et de la blouse. Il lui demande de garder ce dernier, et donne les vêtements retenus à la vendeuse, ainsi que lensemble pantalon, le corsage et les trotteurs, quOdile ne mettra pas ce soir. La vendeuse partie, Edmond entre dans la cabine et prenant Odile dans ses bras il lembrasse légèrement sur les lèvres tout en lui disant.
Ma chère, dorénavant, lorsque nous serons ensemble, je vous veux sans vos dessous. Veuillez retirez votre soutien-gorge sil vous plait.
Mais
Mais
Mais pourq
Allons tournez-vous, je vais vous le dégrafer moi-même.
Odile sent les mains dEdmond qui se glissent sous sa blouse, dégrafant prestement le soutien-gorge quil enfouit dans sa poche de veste ; puis retroussant la jupe, il agrippe la culotte quil fait rouler sous les fesses pleines de la femme tétanisée, et la fait rouler sur les cuisses et les jambes tremblantes dOdile, qui, machinalement lève ses pieds lun après lautre, pour faciliter la manipulation de son suborneur. Edmond sen va à la caisse pour payer la facture, et il entraine Odile vers la sortie. Celle-ci, est cramoisie en sortant du magasin, nosant regarder personne, persuadée que tout le monde est au courant quelle se promène les seins et les fesses nus.
Edmond la prend par la taille, puis, levant sa main, il flatte le sein à sa portée, affolant encore plus la pauvre femme. Il est vrai que le tissu fin, plaqué contre sa poitrine, met en valeur la gorge orgueilleuse ; les tétons frottant contre le voile, sont érigés en outre comme sils voulaient le transpercer.
Lobscurité étant tombée, et les rues étant très peu éclairées, Edmond passe sa main sur le fessier proéminent dOdile. Celle-ci nose se dérober, alors que lhomme caresse les globes charnus, pressant sa paume contre la chair, puis contournant la croupe, il adosse Odile dans une encoignure de porte ancienne et il plonge ses doigts entre les cuisses, atteignant directement la moule de sa proie. Il masturbe à présent à travers le tissu de la jupe, la vulve dOdile, trouvant létoffe bien humide. Celle-ci défaille, la honte de se savoir exposée en plein centre ville, même si peu de personnes circulent, les doigts qui fouillent son entrejambe au travers de sa jupe, ainsi que la main qui triture la pointe du sein affolent sa libido. En sus, Edmond retirant sa main de dessus la jupe, la retrousse, et atteint sans tarder son vagin, glissant prestement ses doigts à lintérieur et crochetant la chair. Elle ne peut retenir un long gémissement du plaisir quelle ressent, et répond avec fougue au baiser dEdmond qui vient de prendre sa bouche. Elle vibre sous lassaut des doigts qui tripotent et se meuvent dans sa chair intime, ne voulant plus penser à son humiliation si on la découvre en train de jouir en public
À suivre
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