Initiation
INITIATION
Quinze jours après avoir rencontré Serge, Paul me dit « Demain nous sommes invités par Serge à son chalet de Megève, nous partirons dans laprès midi, il nous attend vers 10 h » Javais un peu oublié que nous nous étions quitter la dessus lors de notre rencontre sur Lyon. Jétais inquiète et pour tout dire pas rassurée du tout. Jen parlai à Paul qui me rassura en disant que toute façon il resterait prés de moi. Je lui fis remarquer que cela navait pas été le cas à Lyon.
Je me souviens bien de lépoque, nous étions fin juin début juillet. Après avoir pris possession de notre chambre dhôtel à Megève, nous sommes allés au restaurant et vers 10 h nous sommes partis vers le chalet de Serge. Nous avons fait quelques kilomètres sur une route sinueuse avant darriver devant un magnifique chalet en bois. Serge nous attendait devant le seuil de la porte. Contrairement à la première fois il fut plus chaleureux dans son accueil, en membrassant et en me disant quelques mots .Nous sommes montés au premier étage du chalet qui manifestement devait en compter deux.
La pièce dans laquelle nous étions donnait sur une terrasse face au Massif du Mont Blanc. Serge sest assis dans un fauteuil, cela ma rappelait la première scène à Lyon. Nous étions Paul et moi face à lui, derrière nous la terrasse. « Déshabille-la » dit il à Paul .Bientôt je me retrouvais nue face à Serge comme à Lyon. Paul mamena alors sur la terrasse et les mains en appui sur la balustrade, il me fit me cambrer fortement en arrière. Jentends encore Serge dire toujours la même chose « Quel cul elle a».Serge me dit alors « viens ici, assis toi dans le fauteuil, mets tes jambes en appui sur les accoudoirs ». Javais honte, jétais complètement ouverte, écartelée, mon intimité offerte. « Tiens dit il, prends ce godemichet et caresses toi »Paul avait disparu sur la terrasse, jétais de nouveau seule avec Serge.
« Caresses toi » répéta t il. Je mexécutai avec honte. Au bout dun moment il me tendit un nouveau godemichet beaucoup plus gros, et lintroduisit lui-même dans mon vagin. Je me souviens de ses mots crus « Tu avale bien, continue ». Il était face à moi, son regard allait de mon sexe à mes yeux. Il me dit en me regardant droit dans les yeux comme pour me soumettre « tu aimes nest ce pas, dis que tu aimes, mais je suis sur que tu préfères la réalité ». « Mais tu coules, cest bien tu es lubrifiée comme il faut « ajouta t il. Javais de plus en plus honte , mais javais peine à retenir la sensation de plaisir qui envahissait mon bas ventre. Au bout de quelques minutes , il sécarta et dans lencadrement de la porte fenêtre qui donnait sur la terrasse apparurent deux hommes. Ils étaient nus, lun devait avoir une cinquantaine dannée, lautre semblait beaucoup plus jeune. « Avancez» dit Serge « elle est à vous, je vous la laisse, prenez bien du plaisir ». Jétais paniquée, dautant que je ne savais pas ou était passé Paul qui semblait avoir quitté la pièce depuis longtemps .Le plus âgé savança vers moi, il me regarda droit dans les yeux et sans me quitter du regard il enleva le godemichet que javais dans le sexe et se mit a me caresser le clitoris. Le plus jeune vint se placer derrière moi, il me fit pencher la tête sur le dos du fauteuil et mit sa verge à laplomb de ma bouche. Jouvris la bouche et je lui pris la verge entre mes lèvres. Bientôt je plus âgé se fit entreprenant. Jétais comme tétanisée, de toute façon je devais maintenant assurer pleinement la chose pour laquelle jétais soumise .Il me pénétra dabord doucement puis de plus en plus violemment. Au bout de cinq minutes, javoue que je navais plus la notion du temps, ils me firent mettre a genoux sur le fauteuil, la poitrine en appui sur le dos de ce dernier, les fesses cambrées en arrière .Ils me prirent alors a tour de rôle alternant lun et lautre sans un mot les pénétrations. Alors que mon esprit repoussait cette possibilité, je me suis mise à jouir, cela les excita encore plus, et ils continuèrent encore a me saillir comme une chienne.
Au bout de combien de temps je ne sais plus, le plus âgé se retira et éjacula sur mes fesses, le plus jeune qui était venu se replacer devant moi, éjacula sur mon visage. Jétais a la fois comblée par la jouissance qui brulait encore mon bas ventre, mais javais honte, honte de moi-même, honte de tout, et de se que je faisais par amour pour Paul, et je lui en voulais énormément. Serge réapparut alors, avec Paul et demanda aux deux hommes « alors comment cela sest il passé, comment la trouvez vous ». Jentends toujours le plus âgé dire « elle est bonne on peut sans problème lintégrer dans le réseau, elle a des qualités, elle aura des clients », « Lavez vous sodomiser » demanda Serge, « Non » répondit le plus jeune. « On lessaye maintenant » demanda Serge. Javais limpression dêtre un objet asservi à la volonté de ces hommes. « On verra cela plus tard » répondit Paul qui pour la première fois prenait la parole.
Nous sommes rentrés Paul et moi à notre hôtel. Jai demandé à Paul se quil comptait faire par la suite et quel était ce réseau dont avait parlé lun des hommes. Il me répondit, quil sagissait comme nous lavait déjà dit Serge dun réseau dhommes daffaire, de médecins, davocats, qui aimaient prendre du bon temps avec des femmes mariées, car les risques étaient limités. Il ajouta « tu seras comme une pute de luxe occasionnelle, et cela te rapportera des avantages en nature, tu nauras pas a le regretter » « Ils tinviteront au restaurant, dans des hôtels de luxe , tu seras là pour leur tenir compagnie et parfois leur donner du plaisir , et ça tu sais faire » « Et si je refuse » ai-je demandé. Paul répondit « Tu peux refuser, tu es libre, cest toi qui décide » il ajouta « Mais je sais que tu vas le faire, cest ta nature », « Dans quelques semaines Serge va tintroduire dans son réseau, ensuite tu seras autonome » ajouta t il. « Tu es daccord » demanda t il. Je mentends répondre « oui si tu le veux », « je le veux » dit il.
Virginie
admin
Jan. 31, 2023
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