Le Deal 14

Les jets de ma douche me font réellement un bien fou. Je sens progressivement mes muscles se dénouer et je retrouve bientôt l'usage de toutes mes articulations. Maintenant, je me sens vraiment bien, j'aurais bien envie de me... mais non, Karine n'apprécierait certainement pas que je m'adonne à ce genre de plaisir solitaire en son absence. Alors, pour contourner la loi sans risquer une réprimande, je décide de procéder à l'entretien de mon plug qui me procurera au moins quelques sensations lors de son extraction puis de sa remise en place. Mais force est de constater qu'à force de l'avoir en moi en permanence, je trouve, à ma grande frustration que son diamètre finit par ne plus me remplir suffisamment. Mon comportement m'affole tout à coup. Si quelqu'un m'avait dit il y a seulement quinze jours que je me plaindrais d'un plug planté dans mon cul par une Domina perverse, parce qu'il n'est pas assez épais, j'aurais certainement conseillé à cette personne d'aller se faire soigner. Mais là non. J'en suis même à me demander si, pour satisfaire Karine, je ne pourrais pas de moi-même augmenter la dose, peut-être cinq ou six centimètres, quelque chose qui me fasse ressentir un total envahissement pour son plus grand plaisir? N'importe quoi! De toute façon, je suis sûr que cela fait déjà partie de son programme de "préparation". Mais que m'arrive-t-il? Une sorte de frisson de bien être me parcourt la colonne vertébrale et il me vient une pensée étrange. Est-ce que par hasard, je ne me sentirais tout simplement pas devenir...moi? Je veux dire le vrai moi. Celui qui était enfoui au plus profond de mon être, celui qui révèle ma vraie nature. Oui, pour la première fois, des certitudes commencent à prendre la place d'une certaine curiosité sensuelle et sexuelle qui prédominait jusqu'à présent. Oui, je m'aperçois que j'aime qu'Elle me domine, qu'Elle m'insulte, qu'Elle me maltraite, si c'est ce qu'Elle attend de moi. Je commence à prendre conscience de mon désir de La vénérer jusqu'au bout du bout de toutes mes forces.

Elle peut tout me demander et maintenant, j'espère qu'elle ne s'en privera pas.
Mais trêve de rêvasseries! Je me sèche rapidement après avoir remis mon pensionnaire anal désormais trop petit à sa place, je repasse mon collier et adopte la posture imposée sur le lit. Je n'attends d'ailleurs pas très longtemps. La porte s'ouvre et Sa voix dure se fait entendre:
"Lève-toi et viens nous rejoindre sur la terrasse, je veux te présenter Lydia."
Immédiatement, je me dirige vers la terrasse où les deux femmes aussi nues l'une que l'autre, sont déjà installées sur le sofa. Sans un mot et sans même me regarder, Karine m'indique du doigt le coussin sur lequel je prend place dans la posture imposée.
"Bien. Je t'autorise à lever les yeux pendant que je te présente à Madame Lydia."
Et bien lui en prend, car le somptueux spectacle qui s'offre à moi est un ravissement. Madame Lydia, puis qu'il s'agit en fait d'une autre invité de marque, j'apprendrai d'ailleurs à me dépens plus tard que c'est une des Dominas les plus vicieuses qu'il m'aura été donné de rencontrer. Madame Lydia, disais-je donc, est commerçante dans la vie vanille. Elle possède plusieurs magasins dans toute la France et un site Internet de vente par correspondance. Elle est spécialiste en lingerie, littérature et gadgets érotiques divers et variés. C'est une femme superbe de quarante huit ans, blonde platine, 1,65m, et des courbes... mais Karine interrompt mon égarement de suite:
"Madame Lydia est ici pour m'aider à choisir tes divers accessoires de travail."
Madame Lydia intervient à son tour:
"Voilà donc ton fameux nouveau sujet, Karine. Eh bien! Pas d'erreurs, une belle tenue, toutes mes félicitations.
- Merci Lydia, mais ne le crie pas trop fort. Il n'en est encore qu'au tout début, d'ailleurs, il a déjà goûté à ma badine ce matin.
- Mmmm! La badine...mais tu me raconteras tout ça plus tard. Je te rappelle que je suis là pour t'aider à consti l'équipement nécessaire à sa préparation.
Je me rappelle pourtant que tu étais déjà fort bien pourvue en matériel.
- Je sais, Lydia, mais que veux-tu, nouveau sujet, nouveaux jouets!" elles partent toutes les deux d'un grand éclat de rire. Karine continue "et puis je sais que depuis le temps que je ne t'ai pas vue, tu dois avoir un tas de nouveautés que je pourrai expérimenter, non?
- Ce n'est pas faux, Karine. J'ai là quelques petites choses qui devraient te satisfaire."
Elles commencent alors à feuilleter les catalogues que Madame Lydia à apporté pendant que Karine désigne du doigt, le dallage d'ardoise que je suis maintenant obligé de contempler.
Je n'en crois pas mes oreilles. Elles sont en train de choisir un tas de choses, ne se souciant pas un seul instant de savoir si éventuellement ça pourrait me plaire et d'après ce que je comprends, j'ai pas fini de dérouiller. L'attention de Karine se porte d'abord sur toute une collection de chaînes et de pinces, crocodiles, réglables, étau, japonaises, ciseaux, dans tous les matériaux possibles, métal, pvc, bois. C'est dingue! Elle va mettre tout ça sur moi? Elle ajoute à ça des poids en cuir, en métal allant d'après ce que je comprends de 50 à 400 grammes. A quoi ça sert? Elle s'entiche ensuite pour un maxi paddle rangers qui La fait beaucoup rire. Et Madame Lydia qui Lui vante les mérites de la surface de contact. Je comprends rien à ce qu'elle dit, mais j'ai la très nette impression que ce ne seront pas des vacances. Aïe! Voilà qu'Elle ajoute à sa liste un poids anal de 1 kilo. Je ne sais pas ce que c'est mais j'entends "anal" et "1 kilo", ça suffit à ce moment là à me mettre en panique. Evidemment, Karine ne s'en soucie pas un seul instant et continue joyeusement à étoffer sa liste de courses, avec divers martinets et autres cravaches. Etonnant, je n'ai pas entendu parler de fouet. Madame Lydia, qui est très à cheval sur le service pour ses bons clients lui propose soudain:
"Si tu le souhaite, Karine, j'ai dans ma voiture quelques échantillons que je peux te montrer afin que tu te fasses une meilleure idée des produits.

- Quelle charmante attention, Lydia. Dans ta voiture, tu dis?
-Oui, deux petites valises."
Karine décroche aussitôt le téléphone intérieur:
"Constance, je voudrais que tu nous apporte les deux petites valises qui se trouvent dans la voiture de Madame Lydia, s'il te plait. Merci."
Quelques instant plus tard, Constance arrive sur la terrasse avec les deux fameuses valises qui ne sont ma foi pas si petites que ça, puis elle se retire promptement. Madame Lydia enchaîne:
"Tout d'abord, je vais te montrer un gode que je commercialise depuis très peu de temps." Karine l'interrompt et s'adressant à moi d'une voix sèche:
"Lève les yeux, toi!"
Puis Madame Lydia continue:
"Celui-ci s'appelle "le share". Je le trouve très marrant pour une Dame voulant s'amuser avec son soumis. De ce côté-ci, tu te l'enfiles et de ce côté-là, tu l'enfiles!" Et elles partent toutes les deux d'un grand éclat de rire.
La liste va encore s'allonger avec des plugs et des godes de différents diamètres, longueurs et couleurs. Moi qu'il n'y a même pas une heure voulait doubler la mise par rapport à ce que j'ai dans le fion, je comprends que je n'aurai pas à patienter bien longtemps. Et plus la liste s'allonge, plus je sens que ces Dames s'excitent et comprend vite que ça ne va pas tarder à être ma fête. Viendront encore s'ajouter un cockring avec lannière réglable reliée à une chaînette elle même prolongée par des pinces à tétons, d'autres cockring avec chaînettes et poids, un autre plug anal équipé de lanières de cuir, un harnais composé de tout un réseau de lanières cuir reliées par des anneaux métalliques dont Karine voudra me parer lors des grandes réunions. Je ne devrai alors pas être totalement nu pour être bien dissocié des invités de marque, mais je me dis en voyant ça que je ne serai pas trop habillé non plus.
"Et pour finir," s'exclame Madame Lydia triomphante "mes deux petits préférés. D'abord, ce bâillon gode, cuir et latex et enfin le graal de tout soumis désireux de satisfaire pleinement sa Domina.
Celui-ci s'appelle "le plug tunnel". Et je t'offre ce modèle avec grand plaisir, Karine." dit-elle en prenant un air faussement solennel.
"Merci beaucoup, Lydia." répond Karine prenant à son tour un air tout aussi faussement solennel. Madame Lydia demande enfin:
"Je ne te propose toujours pas d'électro, Karine?
- Toujours pas. Tu sais que je suis une "manuelle" et que je n'apprécie pas trop les machines" et elle continue en me regardant d'un coup avec cet air qui me fait penser que la tempête approche, cette fois pour de bon.
"Mais tout ces achats pour cette petite pute m'ont considérablement chauffé, à un tel point que j'ai la chatte déjà complètement inondée. Et toi, Lydia?
- J'allais justement te dire que rien que de penser à ce qu'on peut faire avec cette magnifique panoplie m'avais mis le cul en feu.
- Mets-toi à l'aise Lydia, je m'occupe de tout.
- T'as entendu toi? Les bons services de Madame Lydia et l'application que j'ai mis à te choisir du bon matériel, ça mérite pas un remerciement de ta part?
- Bien sûr, Madame Karine. Je suis tout entier à votre disposition ainsi qu'à celle de Madame Lydia." réponds-je d'une voix plus que respectueuse.
"Ben dis-donc, elle va être dure à prendre en défaut cette petite salope" s'inquiétant subitement de la qualité de ma réponse à Karine. "Je vais t'en envoyer quelques uns de chez moi si ça continue, chère Karine. Je pense que tu me ferais gagner un temps considérable!
- Oh tu sais, Lydia, j'ai déjà bien assez de travail avec ça! Mais dis-moi qu'est-ce qui te ferait plaisir?
- J'ai envie de le mater!" Réponds Madame Lydia alors que deux de ses doigts ont déjà envahi l'intérieur de son con bien humide pendant qu'elle agresse plutôt qu'elle ne se caresse un téton avec son autre main.
"Tu as raison! J'adore ça moi aussi. Debout toi!" m'ordonne-t-Elle, se renversant dans le sofa et commençant à peu près le même traitement sur elle que sa voisine d'à côté en version encore un peu plus violente. Elle continue:
"A genoux sur la table basse, jambes écartées, tu te tiens droit les mains derrière la tête!" Je leur fait maintenant face. elles sont toutes les deux affalées dans le sofa et ça se triture les seins et ça se doigte à qui mieux mieux. Madame Lydia, qui en plus d'être sexy à mourir, doit être une grande adepte du plaisir anal, a relevé une jambe et martyrise déjà sa rondelle avec les doigts qui exploraient sa chatte tout à l'heure. J'ai bien du mal à rester concentré et n'ayant pas reçu la permission, je respire de plus en plus profondément mais Karine qui commence à me connaître un peu:
"Bande!"
Et comme par magie ma bite se retrouve instantanément au garde à vous, dure, dressée vers Elle, n'attendant plus rien que Ses ordres. Tout ça finit de mettre Madame Lydia dans un état second:
"Waouh! Karine! Tu es infernale! Où trouver pire perverse que toi? J'adore!!!!" et du coup, elle passe à la vitesse supérieure. Ce ne sont plus deux mais quatre doigts qu'elle introduit dans son fondement. Karine s'adressant à moi:
"Branle-toi maintenant et fais pas semblant!"
Sans plus attendre, je saisis ma verge gorgée de sang à pleine main, Elle m'a ordonné en quelque sorte de ne pas faire dans la dentelle, et je commence une série de va et viens d'une violence non feinte qui me font geindre et m'inquiéter quant au fait de pouvoir tenir longtemps à une cadence aussi infernale. D'ailleurs, peu de temps après, je sens arriver le point de non retour et là, j'ai une réelle et furieuse envie de me lâcher mais:
"STOP! Mains derrière la tête!"
Je retrouve instantanément ma position initiale et c'est horrible. Je suis au bord de l'explosion. Je produis un effort dont je ne me serais jamais cru capable pour me retenir et finis par me calmer un peu. Même Madame Lydia en a le souffle coupé et arrête de massacrer son cul. Puis, Karine avec une voix aussi espiègle que sadique:
"C'est l'heure de la toilette. Att donc ton plug" j'obtempère imédiatement dans un silence maintenant quasiment religieux. Ces Dames ont arrêté leur folie sexuelle d'il y a un instant et E/elles me scrutent si intensément que j'ai l'impression qu'E/elles me déshabillent une deuxième fois. Je présente le plug à Karine:
"Pouah! Il est sale. Nettoie-le bien et regarde-moi."
On ne peut pas dire que ce que je m'apprête à faire me ravit plus que ça. Mais "obéir sans poser et sans se poser de question" est inscrit en toutes lettres dans le contrat. Et bizarrement, bien que la situation devienne pour moi humiliante à l'extrême, je ressens de la fierté dans le fait d'aller encore et toujours plus loin pour Elle. Je ramène alors le plug à moi en le tenant à la verticale et sans la quitter des yeux, je commence à le lécher consciencieusement pour le débarrasser de tous les sucs que j'ai pu y déposer. Le goût est indéfinissable et de toute façon, je ne m'y attarde pas, car seule la tâche à accomplir est importante. Karine reste impassible:
"Lèche bien partout, qu'il soit nickel. Suce-le aussi" ce que je fais sans aucune hésitation.
"Bien maintenant, remets-le en place, lève-toi face à N/nous, jambes écartées et mains derrière la tête."
A l'instant où je me trouve dans la posture ordonnée:
"Eh bien mon salaud, on dirait que ça te plait! Il suffit de regarder cette bite encore bien dressée! Ca te plait, dis-moi?
- Oui, Madame Karine.
- Allez, un effort que diable! Tu n'as que ça à me dire?!
- Merci, Madame Karine. C'est une joie immense et toujours renouvelée que d'avoir l'honneur de vous servir en toute chose.
- Bien! Tu vois quand tu te donnes la peine, ça va tout de suite beaucoup mieux! Bon, maintenant, N/nous avons envie de te voir gicler! Alors finis-toi et que ça ne prenne pas trois heures! Allez! Branle-moi cette queue et regarde-moi!!"
J'empoigne une nouvelle fois ma bite et recommence à la branler à une cadence vertigineuse. Madame Lydia à l'air subjuguée. Il ne me faut d'ailleurs pas bien longtemps pour arriver au bord du précipice, c'est alors que Karine ordonne:
"Viens maintenant! Dans ta main libre et ne laisse rien échapper!!"
Je présente mon autre main à la hauteur de mon gland et mes yeux plongés dans les siens, je Lui abandonne ce plaisir insensé qui me pulvérise de l'intérieur. Mais Elle me laisse à peine reprendre mes esprits:
"Bien! Voilà une bonne chose de faite. Nettoie cette main convenablement. Lèche!"
Je reste à mon tour impassible et obéis immédiatement à son ordre qui m'oblige à nettoyer ma main en goûtant mon jus au goût âcre.
Soudain, Madame Lydia sortant de sa contemplation et qui manifestement tout comme Karine perd toutes ses bonnes manières linguistiques quand elle est surexcitée intervient bruyamment:
"C'est bien gentil tout ça et merci beaucoup Karine, le spectacle était énorme! Mais en attendant, y'a que ta pute qui s'est soulagée et j'aimerais bien que nous aussi on se finisse! J'ai une furieuse envie de te bouffer la chatte et j'aimerais que ta salope inaugure le bâillon. T'en penses quoi?
- Bonne idée Lydia!
- Alors laisse-moi préparer tout ça vite fait"
En un tour de main, après avoir écarté tous les accessoires et catalogues devenus encombrant, elle approche la table basse du sofa, demande à Karine de laisser reposer ses magnifiques jambes écartées sur la table et me fixe le bâillon gode dans la bouche. Je dis bien dans la bouche car ce curieux accessoire en plus de se fermer par une lanière en cuir derrière la tête est muni de deux bites en latex pointant chacune dans un sens opposé. Je me retrouve donc avec une queue de plastique dans la bouche, la maintenant grande ouverte et je crois que l'autre bout ne va pas tarder à se retrouver dans le sexe de Madame Lydia en admirant la posture qu'elle a maintenant adoptée. Elle s'est agenouillée sur la table, entre les jambes de Karine, a remonté les jambes de ma sublime Domina sur ses épaules de façon à pouvoir poser ses coudes sur le sofa et lui empoignant les fesses est déjà en train de la déguster à grands renforts de coups de langue appuyés et de grognements d'aise. Ceci n'a d'ailleurs pas l'air de déplaire à Karine si j'en juge par la vigueur avec laquelle elle a recommencé à maltraité ses pauvres tétons. Madame Lydia, quant à elle, se donne maintenant des petites claques sur les fesses de manière à m'indiquer qu'il est temps que je commence mon office. Je m'agenouille donc derrière elle en prenant appui avec mes coudes sur la table basse. J'approche le gland de latex à l'entrée de son puit d'amour et au moment où je vais la pénétrer elle interrompt sa dégustation pour hurler:
"Dans le cul, colle-moi ça dans le cul! T'as pas compris tout à l'heure quand tu nous matais que j'étais en train de le préparer. Alors vas-y et sans hésitations!"
Je ne peux malheureusement pas parler pour lui présenter mes plus plates excuses, alors je remonte d'un cran, et présente le bout de cette verge de plastique à l'entrée de son conduit. Une simple petite poussée me permet d'en forcer facilement l'accès tellement cette rosette avait été savamment préparée et j'introduis la totalité de ce manche en plastique dans le cul de la Dame en m'immobilisant au moment où j'entre en contact avec ses fesses. Elle lâche un râle cosmique:
"Ouiii!!!! Ca c'est bon! Allez, maintenant bourre-moi bien, montre-moi de quoi tu es capable et montre à Madame Karine que si elle t'a choisi, c'est pas pour rien!"
Je commence alors à aller et venir dans son cul d'abord lentement et profondément puis de plus en plus vite, lui arrachant des gémissements de plus en plus sonores et communicatifs puisque Karine pousse également ce genre de petits cris de jouissance déjà bien présente me faisant penser qu'elle ne va sûrement tarder à prendre la parole dans un langage qui n'appartient quasiment qu'à elle dans ces moments-là:
"C'est bien ma grande! Continue à me bouffer le clito comme ça, mais dis-moi ces deux pauvres doigts que tu m'as collé dans la chatte, c'est ridicule, Lydia! Ta main! Je veux ta main! Tu sais faire ça, je sais que tu sais faire, alors vas-y défonce-moi!"
Et pendant que je continue à pilonner son cul du mieux que je peux, décidément, niveau élocution débridée, Madame Lydia ne s'en laisse pas compter en merveilleuse Domina qu'elle est aussi:
"Tu la veux vraiment ma main, espèce de raclure dépravée? Alors, d'accord et je veux t'entendre gueuler comme une truie!"
Elle commence alors de sa main experte à explorer le vagin qui se dilate déjà et ruisselle abondamment, jusqu'à ce que celle-ci soit engloutie jusqu'au poignet. Karine, les yeux révulsés secouant la tête en tous sens ne crie plus, elle hurle sa jouissance dans cet orgasme foudroyant qui est en train de la dévaster une nouvelle fois. Madame Lydia, elle résiste encore et toujours aux assauts de cette pine de latex que je continue à mouvoir dans son cul, même si maintenant pour moi la douleur se fait de plus en plus présente dans mon cou à force d'aller et venues incessantes à un rythme infernal mais surtout dans ma mâchoire à cause de cette autre bite m'obligeant à garder la bouche grande ouverte. La souffrance se fait de plus en plus forte au fil des minutes qui passent quand soudain, Madame Lydia finit elle aussi par exploser:
"C'est ça! Oh, Karine! Ta pute est en train de me faire jouir du cul!"
C'est alors que cette femme, grâce à sa grande expérience, a juste le temps de libérer sa main du vagin qu'elle avait envahi avant de s'écrouler sur le sofa, ravagée à son tour par un orgasme d'une intensité folle et se libérant du même coup de ce pieu de plastique qui lui avait si bien pilonné le fondement.
Pour ma part, je reste agenouillé un moment à admirer ces deux parfaites créatures exténuées et a demi inconscientes après cette séance pour le moins dévastatrice, puis je décide sans vraiment savoir si je fais bien, de me défaire du bâillon et de regagner ma chambre où après une bonne douche réparatrice j'attendrai sur le lit que Karine ait à nouveau le désir de se servir de moi.

(à suivre...)

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