La Conversion De Marie À La Luxure 1 (La Mise En Bouche)

Cela faisait longtemps que je pensais que Marie était très ouverte à des expériences sexuelles hors mariage mais qu'elle ne voulait pas se l'avouer, encore moins oser m'en parler. Et dès que j’amenais la conversation sur le sujet en lui demandant par exemple si elle n’avait jamais eu envie de coucher avec un autre que moi, elle faisait celle qui ne pensait pas à ça et qui me voyait comme un obsédé.

Pourtant nous sommes un couple très amoureux et très proche l'un de l'autre.

Je pense que sa réserve était surtout due au fait que je l'impressionnais, venant d’un milieu très libre et très avancé question mœurs. Pourtant elle avait un parcours professionnel plutôt enviable. Elle était à la tête d’un grand établissement de la Fonction publique, venant d’un milieu familial très pauvre, mais très rigoriste. Mais, tout cela, à ses yeux, ne lui permettait pas de se laisser aller.

Pourtant depuis plus de 20 ans que nous sommes ensemble j'ai souvent essayé de provoquer chez elle un lâcher prise, mais sans résultat.
L'an passé je me suis décidé à tenter une expérience qui a été couronnée de succès au-delà de ce que je pouvais imaginer.

Après l'avoir titillée pendant plusieurs mois sur le fait qu'elle devenait casanière et qu'elle tombait dans une routine sexuelle qui la privait de découvertes et de sensations nouvelles.
Je lui ai fait lire différents écrits philosophiques hédonistes et lui ai envoyé presque tous les jours des poèmes et textes érotiques de grands auteurs.

Je lui ai répété plusieurs fois que si elle pensait un jour pouvoir avoir un amant, elle sache que je considérais que la fidélité ne se jugeait pas à l'appétit sexuel pour d'autres partenaires que son mari, mais au partage des plaisirs et émotions que chacun pouvait éprouver, dans et hors de son cadre "légal". Je lui disais que ce serait bête de ne pas se laisser aller à ses envies par pur respect des conventions établies.

Parallèlement, je découvris, en discutant un jour avec sa cousine, que dans sa jeunesse elle était loin d’être une jeune fille coincée, mais que là où elles prenaient leurs vacances, elle avait plutôt la réputation de ne pas être très farouche avec les garçons.

Ce que je m’empressais de lui répéter en rentrant chez nous en voiture… Elle me regarda en me disant que sa cousine exagérait beaucoup, parce qu’ « elle, à l’époque, elle était coincée… ça a bien changé aujourd’hui quand je la vois au milieu de vous qui fait la dragueuse… »
Je lui répondis que donc il y en avait une qui avait su dépasser des blocages de son éducation et que l’autre s’en était construits.

Un jour, sentant qu'elle était peut-être prête à se laisser aller à ses tendances profondes, j'ai recherché et trouvé sur un site internet un homme prêt à participer à un scénario de drague organisé de Marie en dehors de ma présence.

Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois. Je lui ai donné des infos sur Marie qui pouvaient lui être utiles pour la draguer et aussi pour l’amener éventuellement dans son lit.
Il devait la croiser dans une soirée où je les avais fait inviter tous les deux tout en m’excusant, ayant officiellement un empêchement impérieux. Elle devait me représenter.

Au cours de la soirée il devait faire comme s’il la reconnaissait ayant travaillé avec moi à une époque et l’ayant aperçu lors de différents cocktails où nous étions accompagnés de nos femmes, lui étant officiellement célibataire. (Je lui avais donné toutes les infos sur l’une de ces cérémonie festives pour rendre crédible la présentation).
Je l’engageais à lui dire qu’il se souvenait d’elle parce qu’il avait tout de suite craqué en la voyant, mais n’avait pas osé l’approcher alors.
Il lui tint la conversation toute la soirée (ce qui ne pouvait que la réjouir car elle ne connaissait pas grand monde à part mes supérieurs les plus importants qui l’intimidaient).
Il avait bien appris sa leçon et l’engagea sur des sujets qui la passionnaient.
Le plan fonctionna à merveille, elle se laissa inviter à prendre un verre après la soirée et à promettre à Pierre d'accepter un dîner lors d'une éventuelle prochaine rencontre. Tout en lui précisant « à condition que René, (c’est mon prénom) n’y voit aucun inconvénient.

En reprenant sa voiture pour rentrer chez nous, (nous habitons en lointaine banlieue) Marie s’arrêta à une aire d’autoroute et me téléphona, me disant :
"Tu vas être content. Je me suis faite draguer par une vieille connaissance à toi, et je ne l'ai pas éconduit. J'ai même accepté un éventuel dîner en tête à tête."

J’étais déjà au courant, Pierre m’avait tenu au courant plusieurs fois pendant la soirée par SMS et dès qu’il l’avait quittée.

Dès la semaine suivante Pierre recontactait Marie, qui lui avait laissé son numéro de portable, pour l'inviter au vernissage d'une exposition qui avait lieu dans une galerie du Marais en fin d'après-midi.
Elle m'en parla, je lui dis qu'elle devait accepter.
"Oui, mais s'il m'invite à dîner et veut m'emmener à l'hôtel après?"

Je lui répondis qu'elle était libre et que si elle en avait envie je ne trouvais rien à redire à condition qu'elle me raconte tout. Que c’était dans la franchise que se trouvait la fidélité.
Tout se passa comme prévu. Pierre joua admirablement bien son rôle. En fin de repas il lui dit qu'il avait réservé une chambre dans un hôtel proche et, lorsqu'elle lui eut dit qu'elle était d'accord, il lui demanda (comme je le lui avais dit de le faire pour lever ses dernières défenses) si ça ne lui posait pas de problème avec moi qu'il était censé connaître.
Elle lui répondit franchement que j'étais au courant et que j'étais d'accord, et qu’elle m’avait informé de la possibilité qu’elle couche avec lui et qu’elle était libre de ses choix !!!

La nuit fut torride au dire des deux et à l'écoute des vocalises de Marie que Pierre me faisait écouter par son smartphone. Ils firent l’amour pendant plus de 3 heures.
Pierre qui avait déjà une certaine habitude des femmes qui se dévergondaient me dit le lendemain qu’il avait rarement vu une aussi « gourmande ».

Le lendemain Marie est arrivée toute réjouie de cette nuit de folie. Elle m'en a fait un récit totalement fidèle à ce que Pierre m'avait raconté au téléphone un peu plus tôt.
Ils se sont revus toutes les semaines pendant 1 mois et demi avant que je lui confesse que Pierre me tenait au courant et m'avait contacté depuis le début avant de coucher avec elle.
Elle me dit alors qu'elle se doutait que c'était un coup monté, mais que cela lui plaisait, maintenant.
Et que Pierre était un super amant qu’il la satisfaisait….
C'est alors que je lui ai proposé d’inviter Pierre chez nous et d'assister à leurs ébats et qu'elle a immédiatement accepté, me remerciant en me disant que Pierre lui donnait beaucoup de plaisir et mezzo voce "plus que toi".

René