Petit Cul Magnifique

Pour commencer quelques informations sur moi. Gay, 42 ans, 1m75, 70kg, cheveux bruns rasés, yeux bleus verts, plutôt classique. Pour le sexe je suis plutôt passif.
Voici mon histoire :
Cela fait plus de 2 ans que j’ai rencontré ce jeune mec. M. 27ans, 1m60 (oui petit) 60kg, cheveux bruns coupés court, yeux bleus, look jeune. Lui se dit hétéro, mais il aime bien aussi les mecs. La preuve… Quand je l’ai rencontré dans un bar, après lui avoir donné mon numéro de tel et après quelques sms partagés, on s’est directement appelés. Puis je l’ai invité chez moi sans savoir ce qui pourrais se passer. Bien sûr, je savais que nos premiers échanges de regards me révélait que je lui plaisait bien, mais de quelle manière exactement ?
Quand il est venu chez moi, nous avons bu un verre, et parlé un peu de tout et de rien jusqu’à que la discussion dérive sur le sexe. Il me demande si j’étais gay, oui, si j’étais avec en couple, non.
Je lui pose la même question il est (se dit) hétéro, mais il adore tellement le sexe, qu’il aime bien, parfois, se taper un mec. J’apprends qu’il a déjà tout tenté avec les mecs, même la sodomie passive. Mais il n’aime pas ça, il préfère se faire le cul d’un mec comme il le dit.
J’aimerais bien être celui là.
La soirée est bien entamée, les verres d’alcool se succèdent les uns après les autres, jusqu’à que l’on soit tout les deux un peu éméchés. Les inhibitions tombent et je lui demande :
- alors, à quoi tu pensait en venant chez moi et sachant que je suis gay ?
M - hé bien oui, je sais que tu es gay, je t’ai dit que j’aime bien me taper un mec parfois et tu me plait bien.
Moi - donc ça te ne te dérange pas si je viens à coté de toi ?
Lui - non pas du tout.
Je me lève et vais m’assoir à côté de lui, un lourd silence se créer. Je pose ma main droite sur sa cuisse droite, pas de réaction. Je remonte lentement jusqu’à son entre-jambe, toujours pas de réaction, mis à part sa respiration qui trahi une certaine appréhension.

Il écarte amplement ses jambes, pour que j’accède plus facilement vers l’ « objet » que je devine sous son jean. Mais je ne le touche pas, je vais faire monter la pression.
Je rapproche mon visage du siens pour l’embrasser, mais il tourne la tête, il ne veux pas que je l’embrasse. Tant pis. Je me contente de lui faire des bisous sur les joues et le cou.
Je remonte mes mains et caresses son buste, il est bien musclé, je ressent bien ses pectoraux sous son débardeur. Je passe bien vite dessous pour toucher sa peau, elle est d’une douceur surprenante. J’adore, je lui retire son haut. Il a un corps parfait, totalement imberbe, tout pour me plaire. Je glisse à genoux entre ses jambes, puis je lui baisse son jean sur les chevilles. Je découvre un boxer noir pourvu d’une belle bosse. Je le fixe de mon regard le plus vicieux et commence par tâter du bout des doigts son sexe à travers le tissus, M frémit. Puis, je caresse sur le tissus, toute la longueur de sa bite et je sens même de l’humidité au bout du gland, il mouille abondement. Enfin, je vais libérer son sexe de son carcan. Je lui baisse son boxer, sa queue se dresse fière et vient taper sur son ventre, juste sous son nombril. Elle est magnifique, pas énorme, mais d’une taille respectable et très belle avec un beau gland décalotté tout rouge. J’aperçois même une petite goutte qui brille au bout, ce qui donne encore plus de splendeur à son sexe. Il possède aussi une belle paire de couilles aux poils ras, surement rasés.
Toujours en le fixant, je prends son engin bien en main et commence à le branler doucement. M respire très fort et pousse un petit « humm » de satisfaction.
Je n’en peux plus, je veux la goûter. J’approche mon visage de sa bite, elle vibre dans ma main. Je commence par donner un grand coup de langue de la base jusqu’au gland. Il sursaute en poussant un « han ! » . Puis j’ouvre bien grand la bouche la gobe d’un coup et enserre bien fort mes lèvres à sa base. Je la sens bien au fond de ma gorge. Un regard vers son visage, il bascule sa tête vers l’arrière et pousse un « hoo ! ». Je commence par faire coulisser lentement mes lèvres sur sa queue qui me semble grossir encore plus sous mes succions. Ma langue tourne autour de son gland, et je sens un goût de pré-sperme qui se libère du méat. J’enduit abondamment la hampe de salive pour la faire mieux coulisser. M ne peux s’empêcher se gémir. Il faut dire que je met tout mon savoir-faire dans la pipe que je lui procure. Il dit :
- hooo, oui, j’aime, tu suce super bien, encore.
Ses encouragements me pousse a le sucer de plus en pus fort et de plus en plus vite. Sa main se plaque sur ma tête pour que je suce toujours plus loin, son gland bute contre le fond de ma gorge. J’ai plusieurs haut le cœur, mais je n’arrête pas pour autant, trop content de sucer une si belle bite.
Au bout de longues minutes, il me cri :
- arrête je vais jouir !
J’arrête ma pipe et là, surprise, il dit :
- à mon tour.
Il me fait assoir et se place à genoux entre mes jambes et me baisse jean et string sur les chevilles. Puis il prends direct ma queue dans sa bouche et s’active et me fait une pipe d’enfer. Il suce très bien et, c’est certain, ce n’est pas la première fois qu’il pompe une bite, il s’y prends trop bien. Je me laisse aller au plaisir qu’il me fait, je l’encourage avec une main comme il me l’a fait un peu plus tôt.
M, va me passer une main sous mon cul pour écarter mes fesses et y glisser un doigt. Mais je n’aime pas trop ça, je le stoppe.
Il se relève et debout devant moi, me demande de le sucer à nouveau. Je m’exécute, mais cette fois je peux, avec aise, caresser ses fesses. Là, c’est divin, elles sont d’une douceur exquise, d’une fermeté admirable et, pour couronner le tout, totalement imberbe. Je pousse à les écarter délicatement pour effleurer son trou. Il ne me repousse pas, il cambre son bassin pour que mon doigt entre un peu plus dans son intimité. L’ambiance devient ardente.
D’un coup, je vais lui faire faire un demi tour. Je tombe en admiration sur son petit cul. Un petit cul magnifique a damné un saint. Sans attendre, je plonge mon visage entre ses fesses pour lui infliger une feuille de rose dont j’ai le secret. Ma langue perverse titille et se faufile au plus profond. Il se penche et prends appui sur la table basse pour se donner encore plus. Il gémit bruyamment. Moi je me délecte de son anus.
D’un coup, entravé par son jean et son boxer aux chevilles, il se jette à plat ventre sur le canapé en me disant :
- met une capote et baise moi !
Rapidement, très rapidement, je retire comme je peux chaussures, jean et string, puis j’att une capote,. Je l’enfile, me place entre ses jambes et essaie de le pénétrer. C’est très serré, et malgré toute mes tentatives, ça ne rentre pas.
Comme, l’alcool fait de moins en moins effet, il me demande d’arrêter. Je ne lui ai pas fait mal, mais il ne veut pas aller plus loin. Je reste frustré.
M part me promettant de revenir me voir bientôt.

A suivre.

Seithan