Un Été À La Campagne
Je passe mes vacances dans le hameau de S., sur la commune de C., dans le centre de la France.
Cest un coin très tranquille, loin du brouhaha des plages, ou la campagne est très belle, les parcelles délimitées par des haies arbustives, de magnifiques chênes plantés au milieu des prés, de petits étangs alimentés par de nombreuses petites rivières. Cest un pays délevage, ou vaches et moutons paissent paisiblement. Parfois, danciennes bergeries ou de petites granges bordent un chemin.
Je my promène souvent seul, découvrant peu à peu de nouveaux lieux bucoliques où mes rêveries trouvent linspiration. Mais il y a deux jours, cela na pas été un rêve !
Il était quatre heures environ, le soleil inondait la campagne. Je marchais au bord dun chemin, cherchant lombre apaisante.
Au loin, japerçois une silhouette qui marche sur une sente transversale, le pas pressé. Il me semble reconnaître la boulangère de C. chez qui jai acheté mon pain le matin. Je prends la sente à sa suite.
Elle avance pendant plusieurs minutes, loin devant moi, et tout à coup disparaît de ma vue. Je continue le chemin et aperçois bientôt une de ces bergeries, encore en bon état, avec une fontaine qui coule sur un des côtés. Je massois pour me désaltérer.
A peine posé, jentends un bruit dans la bergerie. Japproche loreille du mur en planches, et entends :
- Désolée, je suis un peu en retard, mais je nai pas pu fermer la boutique avant, à croire que tout le monde avait décidé de venir chercher son pain à la dernière minute !
- Viens-là, contre moi, je veux sentir ton corps humide de ta marche au soleil
- Ô coquin, que fais-tu, tu mouvres le corsage
- Je veux voir tes seins luisant de sueur, ma belle boulangère.
Emoustillé par ce dialogue, et pensant avoir reconnu la voix de lhomme, je cherche un interstice entre les planches pour tenter de voir les amants. Bingo, je trouve un nud évidé dans une des lames.
- Mmm, tu sais combien jaime te lécher les mamelles, ma jolie, tes bonnes grosses mamelles de coquine.
- Et tu sais bien les malaxer, coquin, et je sens bien dans ma main que cela ne te laisse pas indifférent. Tu bandes comme lâne du père Thomas.
- Oui, libères-moi, je veux que tu me suces.
Dun geste, elle déboutonne le pantalon du maire qui tombe à ses pieds. Elle sagenouille, lui baisse le slip et comme un ressort la queue jailli. Jamais je nai vu « en vrai » une bite pareille ! Longue, large, le gland rouge de désir.
Elle prend le membre et le branle en regardant son amant dans les yeux, puis enfourne dun coup lénorme engin. Tout juste si elle peut encore respirer tant le gourdin lui remplit la bouche. Mais elle semble avoir lhabitude et elle le suce profondément, aspirant tout ce quelle peut.
Il lui prend la tête et accompagne ses mouvements, regardant cette belle femme accueillir son jonc.
Il frémit daise, il sait quelle suce comme une reine. Il na pas toujours eu de bonnes suceuses à disposition, souvent ses aventures étaient réticentes à la vue du braquemart.
Mais la boulangère sait bien y faire, et y prend visiblement du plaisir.
Je minstalle du mieux que je peux pour suivre les ébats, car mon pantalon est légèrement tendu.
- Arrête, tu vas me faire gicler, dit le maire, je veux te lécher aussi. Allonge-toi là.
Sur une vielle table quil a recouvert dun grand tissu, elle sallonge sur le dos.
Il relève la jupe, écarte la culotte, et apparaît devant mes yeux ébahis une chatte de toute beauté, ourlée précieusement, épilée pour lessentiel, et rutilante du plaisir attendu.
Il sagenouille à son tour et se met à laper la fente juteuse. Sa langue fouille profondément la moule, allant aussi loin que possible.
La vision de la boulangère sur le dos, jupe retroussée, jambes relevées et nichons à lair est particulièrement bandante.
Elle gémit sous les coups de langue, avançant son abricot vers lhomme qui tout en la dévorant, a mis un puis deux doigts dans lantre humide. Il a le menton couvert de la cyprine qui sécoule. Un rayon de soleil vient soudain, à travers les tuiles disjointes, éclairer les lèvres ouvertes et la bouche avide.
- On dirait que même le ciel apprécie ta chatte, ma cochonne.
- Il me réchauffe, mais moi jai plutôt besoin dêtre rafraîchie là !
- Je vais arranger ça dans quelques minutes, répond le maire,
- Fais-moi jouir, je vais arroser le terrain, sourit-elle
Alors le maire happe le bouton tendu, le mordille, le suçote, laspire, tant et si bien que la boulangère, dans un cri de joie, lâche un flot de mouille sur la tête du maire.
- Mon dieu, quelle fontaine aujourdhui, rit-il, sessuyant les yeux dun revers de manche.
- Il fallait vraiment que jhumidifie en grand, répond-elle, hilare.
- Bien, montre-moi ton cul, maintenant. Et il la relève, la retourne sur la table, lui relève à nouveau la jupe, monte sur la table, se positionne derrière elle
et lencule dun coup !
- Aaaaaaaaaaaaaiiiiieeeeeeeee, mais tu es fou, je nétais pas préparée !
- Désolé, ma salope, ma queue a dérapé dans cette position bizarre, mais maintenant que jy suis, jy reste !
Et il lui lime le fondement, ne soccupant pas des cris de protestation qui se transforment peu à peu en insultes
- Salaud, enfoiré, dégueulasse, ahhhh, que cest bon, encule-moi bien fort, tu es un immonde salopard, mais quest-ce que ta bite est bonne une fois la douleur passée. Fous-moi, défonce moi le fion, aaaaahhhh, mon dieu, ce nest pas mon mari qui a cette puissance !
- René, il a une queue minuscule, je le sais, on jouait ensemble au foot quand on était plus jeune. Je laime bien, mais ce nest pas lui qui a les moyens de faire reluire une gourmande comme toi !
- Tais-toi, et baise-moi, oooooooooooooo à fond oui, oui, encore, ahh, ooh, tu me déchires, cest bon, continue.
Je suis pantelant devant cette scène et ne peux résister à lenvie de me toucher. Jai sorti mon gourdin et me paluche tout en matant le derche majestueux se faire reluire par monsieur le maire.
Celui accélère dailleurs la cadence, ahanant sur le postérieur, et dans un dernier coup de reins, il senfonce au fond du trou pour libérer sa semence. La boulangère pousse un rugissement de plaisir en même temps.
- AAAAAAhhh que tu es bonne, Louise, ton cul est magique, je ne peux plus men passer.
- Et moi je veux encore de ton bâton, encore, encore
Epuisés, ils senlacent sur la table, puis, une fois calmés, redescendent et se rhabillent.
- Faut que jy aille Louise, je dois finir de préparer le conseil municipal de ce soir.
- Je sais, Gérard, et moi, je dois aller aider à préparer le pain de demain.
- Quand se revoit on ?
- Pas demain, je vais à A. faire des courses avec mon mari
- Après demain, ici, même heure ?
- Daccord mon cochon, mais cette fois, tu me baiseras la chatte, parce que là, je vais en avoir pour plusieurs jours à refermer lorifice. Heureusement René ne vient pas trop fouiner par-là, il tomberait dans le gouffre !
Ils éclatent de rire, senlacent et sembrassent une dernière fois.
Jai fait le tour de la bergerie et les voit partir, chacun de son côté.
Je finis de me branler et jette mon jus sur le chemin, la tête pleine des images aperçues.
Et je me dis que moi aussi, jaimerais bien agrémenter mon séjour avec les appâts de Louise.
Un plan germe dans mon cerveau excité.
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