Leslie Vc02

Leslie VC02 – Vacance en camping-car
Des motards sympas, mais pas que…

Nous voilà toutes les deux et continuant nos vacances avec Laure nous visitons l’arrière-pays varois, prenant de petites routes sinueuses, nous profitons d’une certaine solitude en ce début du mois de juin et admirons tranquillement les merveilleux paysages qui s’offrent à nous sans penser au temps qui passe…
Nous nous laissons guider par notre intuition, d’abord Salon de Provence, puis Aix en Provence. Laure fait des photos et moi, je profite pleinement de ces instants, ne pensant à rien d’autre que le bonheur présent auprès de celle que j’aime.
Aubagne, Cassis, Bandol et Toulon feront parties de notre périple, avec la visite incontournable du marché de Toulon si pittoresque.
Les jours passaient laissant la place à nos nuits d’amoureuses, où seuls nos gémissement venaient troublés le silence de la nuit, souvent suivis par des cris de jouissance qui déchirant le silence laissant place aux soupirs d’émerveillement…

La Crau, Brignoles, nous nous enfoncions dans les terres, Manosque, puis plus tard Forcalquier, où nous aurons un plaisir non dissimulé à prendre une moresque installées dans les fauteuils en rotin du café de la grande place un jour de marché…
Nous roulions vers Sisteron et dans le soleil cochant l’endroit que nous trouvons pour passer la nuit est une plateforme aménagée pour le stationnement de plusieurs véhicules, surplombant la vallée de la Durance, qui s’étend devant nous. En se parquant nous sommes étonnées que nous soyons les seules, mais pour nous rassurer, nous voyons non loin de là, deux vieilles bâtisses en pierre, accolées l’une à l’autre, la première possède un étage et l’autre est de plain-pied et de la lumière se diffuse au travers des vitres des bâtisses.
L’endroit est superbe, la vue du paysage me plonge dans une douce rêverie en regardant le coucher du soleil à l’horizon…

Laure ouvre toutes les fenêtres du camping-car pour aérer l’habitacle, plus tard avant de se coucher, elle mettra en route la climatisation pour profiter de la belle nuit de ce début d’été qui risque d’être chaude, mais ne sera troublée que par le chant des grillons…
Laure installe le camping-car en mode nuit, elle prépare le lit, déplie l’antenne télé au cas où et rapidement se met nue et se dirige vers la salle de bain pour y prendre une douche.

Une fois installée, elle tourne vers moi et dit en me tendant l’éponge :
- Tu veux bien me laver le dos ?
- Mais bien sûr ma chérie ! Je vais m’appliquer, tu peux compter sur moi…
A mon tour de me mettre nue et je rejoins Laure.
Ce moment de détente prend très rapidement une tournure érotique, je savonne abondamment le dos de Laure puis sous ses bras pour remonter vers ses seins, la faisant gémir.
- Comme c’est bon, dit Laure, mais je sens quelque chose au bas de mon dos.
- Retournes-toi et tu verras !
- Eh bien ! dit Laure en constatant mon érection je vois que tu es en forme !
Je la regarde droit dans les yeux pendant qu’elle me masturbe lentement, je me laisse faire puis l’interrompt et lui dit :
- Viens, on sera mieux sur le lit…
- Non dehors me dit Laure, nous sommes seules et la vue est superbe, avec le coucher de soleil, ça va être magique, en plus il y a une table de pique-nique juste à côté, allez viens, suit moi…
Nous sortons du camping-car à peine débarrassés des gouttes d’eau qui perlent sur nos corps, elle me prend la main et m’entraîne vers la table de pique-nique, en me disant :
- Tu n’as pas peur que nous allions trop loin, on pourrait se faire surprendre !
- Ne t’inquiète pas, il n’y a personne, l’endroit est calme et désert.

Nous nous embrassons tout d’abord tendrement, puis ensuite à pleine bouche tellement nous avons envie de nous aimer au grand jour, en pleine nature, nos envies prenant le dessus, la peur d’être surprises s’estompe…
Laure prenant appui sur la table, cambre les reins et s’offre à moi, alors je la pénètre et sans attendre, je commence un va-et-vient très lent.
- Il ne resterait plus que le grand loup-garou nous surprenne, dit Laure.
- Evidemment ce serait un grand loup-garou poilu, endurant et bien monté !
- Arrêtes-tu me fait envie… Répond-elle, haletante.
- Je vois… Ou plutôt, je sens que ça t’excite, tu mouilles comme une cochonne…
Laure gémit de plus en plus fort…
- Mais dis-moi, dis-je à Laure, tu aimes que je te prenne en pleine nature ?
- Si tu savais l’effet que ça me fait !
- Alors dis-moi, ça te dirait de te faire défoncer par le grand loup-garou bien monté ?
- Ohhh oui, fais-moi voir comment un grand loup-garou me baiserait !
Laure pousse de petits cris à chaque poussée de mon membre en elle et, très rapidement, nous partageons un orgasme bref, mais intense.
Mais nous sommes sorties de cette extase par des pots d’échappement de motos pétaradantes qui s’approchent, nous n’avons pas le temps de nous cacher que deux grosses Harley entrent sur la plateforme et se garent non loin du camping-car.

Avec Laure, nues, nous offrons nos corps à leurs yeux et il est certain que les deux ombres garnies de leur casque nous ont vus faire l’amour, et après avoir stoppé leur machine et ôté leur casque, ils s’avancent vers nous avec un grand sourire…
Une femme, blonde, la trentaine au joli visage et un homme au visage buriné, la moustache, arborant la quarantaine…
- C’est calme par ici, dit la femme, on se sent vraiment seuls au monde ici…
- Ce qui permet de se lâcher, rajoute l’homme.
- C’est pour ça que nous nous sommes arrêtées ici, dit Laure.
Ils sont maintenant près de nous, en combinaison de cuir, les formes de leur corps sont- à peine perceptibles, très à l’aise la femme nous dit :
- Ne vous en faites par pour nous, nous sommes très libres…
- Voulez-vous un rafraîchissement ? Demande Laure.
- Ce serait avec plaisir, réponds la femme.
Aussitôt, tout en s’avançant vers nous, elle ôte ses gants, qu’elle pose avec son casque sur la table en bois, et commence à ouvrir sa combinaison en descendant la fermeture éclair, imité par l’homme.
Ils commencent à descendre leur combinaison afin de dégager leur torse et je constate qu’ils sont nus sous leur combinaison, dont le haut est autour de leur taille.
L’homme est très poilu du torse et assez athlétique de motard qui s’entretient, la femme à une poitrine aux petits seins, d’un blanc laiteux qui détone ave la combinaison de cuir noir.

Laure est au camping-car et nous rejoint quelques minutes après, apportant les boissons et les verres qu’elle dispose sur la table en s’apercevant que nos deux amis sont aussi nus que nous.
Nous prenons place autour de la table et la femme et l’homme se présente, Steve et Lou, nous faisons de même, alors que Laure s’est installée tout près de Steve pour déguster la boisson glacée. La femme elle est près de moi et me détaille avec des yeux d’envie, en regardant mon sexe toujours en érection.

Aguichante, Laure fixe Steve dans les yeux, en passant sa langue sur ses lèvres comme pour l’inviter à se lancer, celui-ci ne perd pas une miette du jeu de Laure, tout en détaillant son corps et son anatomie, avec un intérêt non dissimulé.
- Alors, vous vivez nues et libres ? demande la femme.
- Aussi souvent que nous le pouvons, répondis-je.
- Mais il y a des risques, se faire violer ou de se faire mater.
- Il y a des risques dans tout, dis-je, mais en êtes-vous un ?
- Je ne pense pas, qu’en penses-tu Steve chéri ?
Steve prend son temps pour répondre, il continue de déguster son verre, lentement, en ne quittant pas des yeux Laure, puis il dit :
- Je suis de ton avis, nous allons très bien nous entendre…
Le désir grandit très vite entre nous, mais nous nous contenons, sachant que cette attente décuplera le plaisir…

Après avoir avalé quelques gorgées de limonade, Laure se lève, tourne autour de Steve en se déhanchant devant lui, elle le frôle de ses mains et approche ses seins de son visage… Puis, ne se contentant plus de l’aguicher, elle le provoque en passant avec insistance la main sur la combinaison au niveau de son sexe, ce qui certainement doit déclencher une érection. De son côté, il essaie de caresser Laure d’une main conquérante, mais celle-ci se dérobe en disant :
- Doucement ! Nous avons le temps !
Maintenant, Laure est assise sur Steve, le dos contre son torse, il l’embrasse dans le cou alors que ses mains remontent doucement, lentement, des hanches vers la poitrine, puis il caresse ses seins à pleine main, ce qui fait gémir Laure, qui la tête penchée en arrière, semble perdue comme si elle était entièrement soumise à la situation que lui fait vivre Steve, qui lui murmure à l’oreille :
- J’en connais qui n’en perdent pas une miette…
En effet, avec Lou nous ne perdons pas une miette du spectacle, Lou ayant complètement ôtée sa combinaison, m’offre son corps à mon regard, fine, les hanches étroites et de jolis petits seins, Lou est mignonne comme tout, son pubis taillé raz, laisse voir ses jolis lèvres roses s’où perlent quelques gouttes de désir…
Lou, toute proche de moi, à enserrer mon sexe dans sa main et le regard tourné vers son homme et Laure, elle me branle doucement en me faisant raidir le sexe qui bientôt sera prêt, raide et gonfler de désirs…

Laure se relève et s’accroupit devant Steve pour lui ôter sa combinaison, elle s’y emploie avec douceur, faisant glisser délicatement et lentement, la combinaison de cuir sur le corps de Steve.
Et soudain sortant de la combinaison, le sexe de Steve apparait, raide et monstrueux, elle se penche vers ce membre turgescent et entrouvrant les lèvres tente de l’absorber dans sa bouche, mais le sexe est si imposant que Laure a du mal à l’absorber sans se créer des hauts le cœur.

Puis, apparemment contente des effets de sa bouche sur le sexe de son nouvel amant, elle se redresse et appuie ses deux mains sur la table et écarte légèrement les jambes, dans une invite complètement dénuée d’équivoque.
Steve s’empresse de répondre à la provocation, se place derrière elle, la caresse du bout de ses doigts qui remontent doucement le long de ses cuisses, puis arrivant à sa chatte, il constate que celle-ci est trempée.
Cette découverte décuple son envie de la prendre, là, sous nos yeux, Steve se penche vers Laure et lui murmure à l’oreille :
- Comme ça, maintenant ?
- Oui, comme ça, maintenant…

A suivre…