Femme De Marin

Femmes de marins


Trois femmes d'officiers de marine vivent dans un lotissement proche de la caserne, elles ont ce soir confié la garde de leurs s, pour se réserver la soirée pour aller en discothèque. En effet, leurs maris sont embarqués pour 2 bons mois. Afin de briser cette solitude et cet isolement, ces femmes de militaires se retrouvent de temps en temps, par petits groupes.

Ce soir-là, les 3 femmes sont accostées par des jeunes hommes proches de la vingtaine, pour danser un slow. Pourquoi pas ! se disent-elles. Elles dansent donc chacune d'elle en compagnie de ces jeunes hommes.

C’est Brigitte qui est la plus jeune des trois femmes 28 ans, elle a confié ses s a ses beau parents pour plusieurs jours. Les autres sont âgées de 32 et 33 ans. La plus jeune écoute le jeune homme, qui lui caresse le dos en lui parlant de banalités qui finissent par la faire rire. Ce jeune, impertinent, est intéressé, comme ses copains, par ces 3 femmes à la fois jolies, mûres, et vêtues de façon classique.

Le slow terminé, les 2 autres femmes retournent près du bar alors que Brigitte est entraînée à la table des 3 jeunes hommes. Elle va y passer la soirée à discuter, rigoler, et danser de temps en temps. En fait, elle est là pour s'amuser. Vers 1 heure du matin, ses copines viennent la chercher.

- Brigitte, tu viens ? On s'en va…

- Déjà ! Vous vous couchez comme les poules, ma parole ! dit un des garçons.

- Et oui ! On n'a nos s à récupérer et demain, il faudra se lever pour les emmener à l'école.

Brigitte commence à se lever. Le jeune homme, rétorque :

- Toi aussi tu as des s ? Allez ! Reste encore un peu. Vous pouvez partir tranquille les filles, je la ramènerai chez elle en voiture.

- Bon ok je reste encore mais pas plus d’une heure. Il me ramène, rentrez bien les filles.

- Comme tu veux Brigitte à demain.

Les femmes s'embrassent et se quittent. Brigitte continuera la soirée à danser et à discuter d'elle répondant à chacune des questions indiscrètes. C'est dans ses propos qu'elle avouera être mariée depuis l'âge de ses 21 ans, ne pas avoir connu d'homme, ni d'expérience avant son mari, se consacrer à l'éducation de ses 2 s sans son mari qui est souvent absent. Brigitte va danser seul sur la piste. Elle est observée par les jeunes hommes, la regardant de la tête aux pieds en faisant des commentaires. Elle est vêtue d'un pantalon à pinces, et d'une veste tailleur comme seul vêtement, ouvrant un large décolleté, qui permet de suggérer une poitrine qu'elle n'a quasiment pas, et de cacher ses fesses plates et ses hanches un peu élargies par les accouchements de ses s.

Mais Brigitte, est agréable à regarder, avec ses longs cheveux bruns et son serre-tête. L'heure de la fermeture de la boite est venue. Les 2 copains du jeune homme et Brigitte se regroupent près de la voiture de l'un d'eux. Elle a un peu la tête qui tourne. Elle a bu 2 ou 3 verres de vodka orange, elle qui n'a pas l'habitude de consommer d'alcool habituellement.

Après avoir guidé le conducteur jusqu'à son domicile, Brigitte sort de la voiture et commence à remercier les jeunes hommes, à voix basse, pour la soirée passée. IL est presque 3 heures du matin. Le petit lotissement résidentiel, dort d'un profond sommeil. Le moteur de la voiture s'arrête.

- On ne va pas se quitter comme ça, tu nous offres un petit verre pour finir la soirée ou un café.

Sous la pression des 3 effrontés, et la peur d'ameuter le quartier par le bruit du moteur de la voiture et des jeunes, insistants, Brigitte ne peut que les laisser rentrer dans sa maison.

- Eviter de faire du bruit, vous allez réveiller les voisins. Ce sont que des familles d’officiers et sous-officiers de marine qui vivent dans le quartier. Je ne voudrais pas que l'on pense n'importe quoi sur moi.

- Alors, il vaut mieux qu'on discute à l'intérieur, n'est-ce pas les gars ?

Après avoir bu un verre et un café, pendant lequel temps, les langues se sont déliées au point de brancher la discussion sur le sexe, les trois jeunes hommes commencent à regarder Brigitte avec un air intéressée, qui est pourtant fatiguée, est pressée d'aller se coucher.

- Tu dois être en manque de rapport vu les absences de ton mari ? " dit l'un d'eux.

- Je suis fidèle à mon mari. Je suis mariée et mère de famille.

- L'un, n'empêche pas l'autre ! Tu devrais nous sucer tous les trois avant de partir. Ou plus si tu veux.

Brigitte gênée se relève de son fauteuil en se penchant en avant. L'un d'eux en profite pour lorgner dans son décolleté.

- En tout cas, tu a un joli soutif en dentelle rose.
- Bon, maintenant je suis fatiguée. J'aimerais aller me coucher. Ne comptez pas sur moi pour faire des cochonneries de la sorte.

- OK ma belle, si on part les mains vides, ou plutôt les couilles pleines, on va faire du bruit en sortant les voisins vont nous voir sortir de chez toi imagine la publicité dans le quartier. Cela va papoter le fait que tes copines t'ont laissé seule avec 3 mecs. Imagine le scandale. Et ton mari, à son retour, qui va apprendre que tu sors avec des mecs pour te faire sauter. Alors un conseil, fait nous plaisir.

- Vous êtes vraiment des porcs.

Se sentant piégée et ne sachant que faire, Brigitte s'effondre en sanglots. Le leader de l'équipe s'approche d'elle.

- Allez ne pleure pas. On va te consoler. Allez… Mets-toi à poil.

- Brigitte reste figée, incapable d'agir. Elle sanglote doucement et occupe ses mains à essuyer ses yeux. Pendant ce temps, le leader déboutonne la veste tailleur de Brigitte. Les 2 autres se sont placés debout à côté. Ils participent au déshabillage. La veste est retirée doucement, tandis que Brigitte, tremblante, n'oppose pas de résistance.

- Joli petit soutien-gorge. C'est pour faire plaisir à qui, si ce n'est pas à nous ?

Brigitte, porte un petit soutien-gorge à rose pâle. Sa petite poitrine y est parfaitement moulée. La transparence de la dentelle laisse voir les petits mamelons roses se détachant de sa peau blanche.

- Très bien ! Maintenant, on voudrait bien voir le bas.


- Non ! Je vous en supplie, dit Brigitte morte de honte. Laissez-moi. Je suis une femme respectable.


Le leader défait le pantalon de Brigitte et le descend à ses pieds.

- Ouah ! ! ! Le joli petit slip.

Des sifflements, affluent des 3 jeunes hommes en direction de Brigitte, restée figée au milieu du salon. Elle porte un mini slip de dentelle rose assortie au soutien. Slip tellement petit, qu'il couvre juste le sexe par une partie triangulaire de dentelle et de tulle. Les parties avant et arrière du slip sont juste reliée par un petit élastique de dentelle. La transparence laisse deviner une petite touffe brune.

- Alors, la petite femme modèle lorsqu'elle est en petite tenue, elle ressemble plutôt à une petite cochonne. Tu vois que tu nous attendais. Bon maintenant, enlèves tes dessous, toi-même.

Brigitte troublée et honteuse retire son soutien. Elle baisse ensuite son mini slip sous les sourires et les regards vicieux de son public. Sa toison fraîchement épilée couvre juste la fente de son sexe.

- Ma parole, j'ai du mal à croire que tu es aussi fidèle que ça. Avoues que tu attendais que cela depuis longtemps. Alors tu ne vas pas regretter ta soirée. Tu ne vas pas être déçue ma belle. Trois d'un seul coup. Avec un cul comme le tien on va bien s'amuser. Allez, mets-toi à quatre pattes.

- Brigitte exécute sans rien dire. Elle se positionne à quatre pattes. Le leader lui afflige une fessée pour lui demander d'écarter les jambes. Cette humiliation supplémentaire l'excite encore plus. Elle est trempée. Elle a l'impression que son sexe coule. L'homme lui enfonce son sexe sans ménagement.

- He les copains ! Ça glisse tout seul. Elle est trempée la cochonne. Allez suces mes copains maintenant.

Brigitte engouffre un sexe dans sa bouche. Le va-et-vient de l'un se coordonne avec la fellation de l'autre. C'est la première fois de sa vie qu'elle est dévoilée, nue devant des inconnus, qu'elle subit cette humiliation. Elle découvre une nouvelle forme d'excitation, autre que celle qu'elle imaginait dans ses fantasmes. En l’absence de son mari, elle a l'habitude de se caresser le soir dans son lit. Lorsqu'elle rentre le soir de ses réunions, elle se déshabille devant un miroir, elle s'imagine qu'elle le fait devant un public de vicieux, elle se caresse le sexe en pensant qu'un inconnu la viole. Ce soir, elle vit son fantasme mais ça va plus loin que ce qu'elle imaginait.

Maintenant, elle change de sexe dans sa bouche. Les hommes la tiennent par les cheveux. Le leader la burine, faisant claquer les fesses de sa partenaire. Au moment de jouir, il accélère la cadence ne laissant pas insensible Brigitte, qui dans un élan de plaisir accélère son rythme.

Après en avoir terminé avec elle, le Leader laisse sa place pour se boire une bière qu'il s'est procurée dans la cuisine. Brigitte est aussitôt chevauchée par un deuxième partenaire qui a préféré la prendre par devant. Placée sur le dos sur le tapis, il lui écarte les jambes au maximum.

- Fais voir ta petite chatte et ton clito. Prends ça ! ! !

- Tu m'appelles quand tu en as fini avec elle dit le troisième. Je vais boire une bière.
-
- Brigitte continue à prendre du plaisir et se met à jouir avant que le deuxième de l'équipe en n'ait terminé avec elle. Des gémissements profonds sont sortis de sa gorge tandis que son bas ventre s'est contracté. Le deuxième sentant cela, s'est immédiatement mis à jouir.

- A toi, elle vient de jouir. Remets- lui cela, elle en redemande.

Le troisième prenant la même position, se met à entamer les mêmes gestes que le précédent. Il ne tardera pas à jouir aussi. Brigitte épuisée reste allongée, nue, sur le tapis. Les 3 jeunes hommes se rajustent et son sur le point de départ. Il est 5 heures du matin.

- On serait bien restés mais notre devoir nous appelle. T'es quand même une bonne salope. Salut jolie Brigitte et merci. Si tes copines en veulent autant, fait-nous signe.

La porte se referme et Brigitte rentre dans la salle de bain pour se prendre une douche avant de se coucher épuisée, mais riche d'une expérience qui la motivera pour se caresser durant ses longues nuits de solitudes. Le lendemain, elle a rencontré ses copines à qui elle a juste dit qu'un les jeunes hommes l'avait sagement raccompagné chez elle.