Jacqueline 3

Paul était arrivé à la maison.

Il ne se doutait de rien je pensais.

Je suppose que celà l’excitait.Il avait ramené du pain et des gâteaux. Paul était un homme généreux, dans la force de l’âge.
Avec un peu d’embonpoint mais je l’aimais ainsi. Toujours blagueur mais parfois assez directif quand j’étais jeune.
Le bon gros cocu sympathique.

Nous avons déjeuné et chaque fois que Jacqueline se rendait dans la cuisine je trouvais un prétexte pour l’y accompagner.

J’en profitais pour l’embrasser et lui caresser les seins à travers son pull léopard et elle adorait ça. Je déboutonnais son haut davantage si bien que son décoletté
laissait maintenant apparaître ses seins lourds et libres de tout sous vêtement.

Au moment du déssert alors que j’étais dans la cuisine pour l’aider elle m’avoua que mon oncle et elle étaient bis et pas insensibles à mon charme. Elle me dit cela
tout à fait naturellement en ouvrant la boite que Paul avait apportée de la boulangerie une heure plus tôt.

Je lui fit part de mon étonnement mais elle me rassura et me dit qu’il aimait juste caresser les hommes plus jeunes que lui.

J’avais tellement baisé sa femme que je ne pouvais pas faire autrement que de le satisfaire s’il devait me le demander. D’autant que je voulais vraiment qu’il me loue sa maison
en vendée. Et puis après tout pourquoi pas. Il méritait bien aussi une récompense.

- Et tu sais Benoit, je lui dis tout. Il ne serait pas bien que la famille l’apprenne. Tu serais en mauvaise posture.

Cette salope que j’adorais était en train de me faire du chantage! Mais je m’en moquais étant moi aussi bi ce qu’elle ignorait.

Comme il commencait à faire un peu froid je décidai de porter un gilet en cachemire rouge ras du cou très duveteux et sensuel.
Mais je ne me doutais pas que celà aurait un tel effet sur mon oncle mais aussi ma tante.

Il existait très peu de gilets à col rond en cachemire pour les
hommes alors j’avais pris pour habitude de vêtir des gilets féminins et de remplacer les boutons de manière à leur donner une
touche plus masculine. Je me sentais bien ainsi vêtu de laine.

Nous avons apporté les desserts à table et Paul fit remarquer à Jacqueline que son pull était bien plus ouvert que tout à l’heure.

- Oui, j’avais un peu chaud. Ce doit être le fait d’avoir fait la cuisine dit elle en souriant.
- Pourtant Benoit à l’air d’avoir froid lui. Je constate qu’il a mis un pull. Très beau par ailleurs.
- On est tous différents, chéri.
- En tous les cas je suis ravi que tu aies mis ton gilet en angora léopard. Il y a quelques années que tu ne l’avais pas porté et cela me réjouit.
D’ailleurs je pense que Benoit n’y est pas insensible. Tes seins sont magnifiques mais pour une fois que l’on a un invité tu aurais
pu mettre un soutien gorge car Benoit n’a d’yeux que pour eux depuis le début du repas.

- Mais non, Paul, balbutié-je. D’ailleurs je n’y avais pas prêté attention.
- Tu sais, Benoit, je ne suis pas un perdreau de l’année j’ai bien remarqué ton manège avec Jacqueline depuis le
début du repas. Et elle ne porte des bas que quand elle a une aventure et j’ai bien remarqué qu’aujourd’hui elle en portait alors je me
doute que cette matinée s’est bien passé entre vous. Un léger sourire parcourait son visage.
- Ce n’est rien , Petit. Il continuai à m’appeler Petit depuis ma tendre enfance. Jacqueline est belle et cela m’excite de
la voir avec d’autres hommes alors si c’est ton tour c’est encore mieux.

J’étais rouge comme une pivoine.

Nous mangions nos desserts. Je ne parlais plus beaucoup. Je n’avais encore jamais rencontré de couple
libertins et pour cette première fois il s’avérait que c’étaient mon oncle et ma tante!


Après le repas, Paul décida de m’offrir un digestif.
Moi qui ne buvait que très rarement d’alcool
j’étais un peu confus mais je ne pouvais pas refuser au risque de paraître insolent.

J’acceptai donc un verre de Cognac, puis un deuxième. La tête commençait à me tourner et j’avais un peu chaud.

Jacqueline se rendit dans la cuisine pour faire le café et m’appela.
- Tu ne sembles pas supporter l’alcool mon neveu. Un café te fera le plus grand bien.
Elle m’enserra par la taille et ses lèvres vinrent se coller aux miennes. Sa langue s’insinua dans ma bouche et elle
m’offrit l’un des plus beaux baisers que je n’avais jamais reçu. J’en profitai pour lui malaxer les seins et peloter ses fesses
de femmes mure. Je bandais très dur. Elle déboutonna son gilet et le mien et commença à me caresser très sensuellement.
Ma main s’était insérée sous sa robe légère et je constatai que son vagin était très humide. J’y introduis un doigt puis le portai
à ma bouche pour me délecter de son nectar.

- Arrêtons là, je ne voudrais pas que Tonton s’en aperçoive!
- Ce n’est rien Chéri, il est d’accord. Tu verras. Vas porter le café dans le salon s’il te plait. Elle déposa un tendre baiser sur mes lèvres.

Paul était assis paisiblement dans son fauteuil et attendait patiemment.

Je lui donnai sa tasse de café alors qu’il regardait la télévision.

Je n’avais que mon jean et mon gilet rouge en cachemire. Jacqueline m’avait demandé d’enlever mon tee shirt.
Mes tétons pointaient au travers du pull et une bosse que je ne pouvais dissimuler emplissait mon pantalon.


Alors que j’allais partir pour ranger le plateau dans la cuisine il me prit par la taille et me dit :

-Alors tu as bien baisé ce matin avec Jacqueline?

J’étais stupéfait et ne m’attendais pas à cela. Il est vrai que ma tante m’avait dit qu’elle ne cachait rien à son mari!

- Euh non, que veux tu dires Paul?
- Arrêtes tes balivernes Benoit ma femme m’a dit que tu l’as bien faite jouir et que tu aimais porter des pulls doux.

- C’est quoi ce délire?
- Arrêtes Benoit je sais que tu aimes ça. Tu es devant moi avec un très joli gilet doux et je sais que cà t’excite.
- Oui Tonton ça m’excite mais c’est tout.

- Tu veux vraiment louer notre appartement en Vendée?
- Oui bien sur.

- Alors tu sais je peux te le louer gratuitement.
-Ah bon?
- Oui si tu es gentil avec moi.
- Tu sais tonton je suis toujours gentil avec toi.

Alors approche un peu et laisse moi toucher ton pull. Mmm il est super doux et excitant.

- Ca te dirait d’avoir notre appartement gratis pour quinze jours?
- Oui bien sur tonton.

C’est alors que Jacqueline fit son apparition pour venir prendre son café avec nous.
A ma grande surprise, elle n’avait pas pris la peine de reboutonner son gilet et avait ôté sa robe qui me plaisait tant.
Je pouvais admirer ses jolis seins lourds. Elle ne portait que son porte jarretelles et ses bas blancs.
J’étais super excité mais aussi assez estomaqué.

Paul desserra son étreinte. Ma tante vint s’asseoir à côté de lui et je pris place dans le fauteuil en face d’eux.

Nous buvions notre café et je restai muet comme une carpe.

- Alors Benoit c’est comme ça qu’elle te plaît ta tante?
- Oui Paul elle est magnifique, tu en as de la chance. Tu as une superbe épouse.
- Ne t’inquiètes pas Benoit, rien ne sortira de cette salle. Je pense qu’il est temps que je m’amuse un peu aussi.
- Vas y chérie fais moi comme tu aimes le faire habituellement.

Elle défit la fermeture éclair du pantalon de Paul et fit glisser celui ci à ses pieds. Elle le lui ôta ainsi que son slip.
Je vis apparaître un sexe épais. Son gland était gros et turgescent. Il mesurait environ 18cms.

Elle s’approcha de lui, ramena son gilet sur ses seins et entreprit de lui faire une branlette espagnole.
J’étais surpris par la situation mais aussi terriblement excité.


il la caressait, lui touchait les fesses et le pull. Et elle s’activait à faire coulisser ce beau membre entre ses seins.
Au bout d’un long moment il lui demanda une fellation. Elle ne se fit pas prier et sa bouche ne tarda pas à engloutir ce
membre jusqu’au fond de sa gorge. Les vas et viens de mon oncle me firent penser qu’il allait jouir.

Il la prit par les cheveux et lui demanda d’arrêter.

- Alors? Ca te plait petit?
- Oui c’est super mon oncle. Vous êtes vraiment bien tous les deux. Ca fait plaisir de voir un couple uni comme vous.

Tu sais ce que je t’ai dit tout à l’heure?
- A propos de quoi? Je ne me rappelle pas.
- Que tu pourrais louer gratuitement notre appartement en Vendée quand tu le souhaites.
- Oui c’est très gentil de ta part.
- Et bien cela ne dépend que de toi!
- Comment cela?
- Fais plaisir à ton oncle et ta tante et tu pourras avoir l’appartement autant de temps que tu le voudras.
- Je ferai ce que vous souhaitez.

Il m’intima de m’approcher et d’enlever mon jean et mes chaussettes. Je me retrouvai nu comme un ver
juste avec mon gilet en cachemire rouge.

- Tu es très beau comme ça. Jacqueline m’a dit que tu étais un as pour lui donner du plaisir et qu’elle avait bien
joui ce matin. Maintenant nous allons faire ça à trois. J’espère que ça ne te dérange pas?

- Non Paul je suis tout à vous.
Je ne sais pas pourquoi j’avais dit cela mais c’était sorti instinctivement.

Alors occupe toi de moi me dit il sèchement.

Et il me mit sa grosse queue devant la bouche. Cela semblait évident qu’il voulait se faire sucer et ne me laissait pas le choix.

Ce n’était pas la première fois que l’occasion m’était donnée de sucer une queue et j’en avais terriblement envie.
Je lui titillai le gland et lui léchai les couilles. Il me prit fermement les cheveux et m’ordonna de le prendre en bouche entièrement.

Pendant ce temps, ce que je n’avais pas remarqué, Jacqueline avait disparue. J’étais trop attardé à sucer Paul. Sa queue me comblait
et à chaque poussée il voulait entrer encore davantage dans ma bouche.
- Tu es une sacrée suceuse! me fit il remarquer.

J’essayais de mon mieux de lui donner du plaisir. J’étais maintenant à quatre pattes devant lui et aspirai son membre comme
une vraie chienne.

- J’adore les salopes comme toi. Et ton gilet me fait vraiment bander! Continues à bien me sucer!

Je continuai donc à me délecter de son gland prenant bien soin de le sucer comme une vraie femme.

C’est alors que quelque chose me fit sursauter. Je sentis une langue parcourir mon petit trou et le lécher tendrement puis tenter de s’y insérer.
Ce n’était pas désagréable, bien au contraire. Je continuais à sucer Paul mais les mouvements de mon bassin prouvaient que je n’étais pas insensible à cette caresse impromptue. Ma tante Jacqueline avait du revenir.

Elle prenait soin maintenant de s’occuper de mon anus et c’était très agréable. Je sentis glisser un doigt, puis deux dans mon intimité la plus profonde.
Mon érection était de plus en plus forte et je suçais de plus en plus vigoureusement Paul.
- Tu vas jouir mon oncle?
- Ne t’inquiètes pas je tiens la distance. Je vais jouir mais dans ton cul!

Jacqueline avait maintenant inséré trois doigts dans mon anus et commençai à les tourner pour me dilater en douceur.
J’adorai cela. C’était une fée, une déesse de l’amour et sa douceur était extrême.

Après quelques minutes de ce traitement qui me plaisait tant, je sentis qu’elle voulait m’insérer un objet dans l’anus.
Celui ci s’était ouvert assez largement mais j’étais vierge du cul.

Quelques gouttes super froides de lubrifiant et ses doigts d’expertes me firent céder.
Elle approcha et je sentis un godemiché s’introduire en moi. Ce n’était pas facile mais elle semblait être experte.
Elle y alla progressivement . A chaque poussée elle s’introduisait plus profondément puis ressortait pour ne pas me faire du mal.
Au bout d’un certain temps elle poussa assez fort et je sentis le gland passer mon sphincter.

Elle s’arrêta pour me laisser souffler. J’avais un peu mal mais au fur et à mesure la douleur fit place au plaisir.
Elle s’en rendit compte et commença ses va et viens bien profondément. J’étais possédé de toutes parts.
J’avais le sexe de Paul dans ma bouche et un godemiché dans l’anus et j’aimais ça!

J’arrêtai de sucer Paul pendant que Jacqueline me limait le cul de plus en plus vite.
Je me retournai et constatai qu’elle n’avait pas un simple godemiché mais un gode ceinture et qu’elle me
sodomisait avec plaisir. Mon anus était maintenant très ouvert et elle me besognait sans relâche.

A chacun de ses coups de boutoirs je pouvais voir ses seins et son gilet aller à son rythme et cela me
faisait encore plus bander.

J’étais prêt à jouir. Elle s’en aperçut et se retira doucement.
J’étais déçu. J’aurai vraiment voulu jouir de cette façon. C’était ma première fois mais c’était trop bon!

- Pourquoi t’arrêtes tu Jacqueline? J’allais jouir. Je n’ai jamais ressenti pareille sensation.
- Je m’arrêtes, Benoit, car c’était juste un apéro si je puis dire. Je voulais te préparer à une vraie sodomie.
- Parce que tu penses que ce n’était pas une vraie sodomie? C’était super.
- Non Benoit tu vas voir ce qu’est une vraie sodomie et tu vas jouir comme une folle.

Elle se tourna vers Paul qui avait débandé un peu et lui lécha le gland et les testicules. Il ne tarda pas à être
très dur.

-Vas y chéri lui dit elle. Je pense qu’il est prêt.

Elle se mit sur le canapé en cuir et écarta bien ses jambes. Elle approcha ma tête de sa chatte et me présenta son minou pour que je
le lui lèche. Elle avait mis un coussin sous ses fesses de manière à ce que je puisse lui lécher la chatte et l’anus au gré de mon envie.

Je m’empressais de lui lécher le clito tout en lui enfonçant un doigt dans l’anus.
Son corps ondulait et je vis qu’elle n’était pas insensible à mes caresses.
Alors que je m’attardais sur son vagin je sentis derrière moi un corps étranger qui voulait s’insérer dans mes entrailles.

je me cambrais le plus possible. Je savais que c’était mon oncle qui voulait désormais me sodomiser.

Mon anus avait été si bien préparé par sa femme qu’il put rentrer sans difficulté malgré sa taille imposante.

Il rentra en moi, attendit un peu, puis sa queue pénétra en moi complètement. Il était bien membré le bougre!
Il me baisait comme une vraie pute alors que je léchais sa femme. Je décidai de m’attarder sur le trou du cul de Jacqueline
tout en triturant son clito et elle ne tarda pas à m’asperger de tout son jus.

Pendant ce temps Paul me besognait tout en me fessant. Il me besogna pendant une quinzaine de minutes et je ne sentais plus mon cul.
Il sorti et me demanda d’ouvrir la bouche. De longs jets de sperme inondèrent mon visage et ma gorge et j’en avalai la moitié.

- Tu es une bonne pute me dit -il.
J’étais épuisé et heureux.

J’appris pas la suite que cette journée avait été bien organisée. Ils avaient appris par internet que j’étais bi
et que j’avais une passion pour les gilets doux et avaient su en profiter à mon insu.

Nous nous sommes revus régulièrement pour de nouvelles aventures toutes aussi sexuelles que sensuelles.

Mais ça c’est une autre histoire.

La prochaine fois je ferais davantage attention avec internet mais ce que je peux dire est que ce fut une sacrée journée!

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