Ma Vie A Changé (2)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je pensais que cétait une saute dhumeur de Daniel. En fait il nen était rien. Jai eu le droit à deux jours de soupe à la grimace.
Daniel devait partir pour son travail une semaine. En nous couchant, comme il avait beaucoup bu, il sest comporté avec moi comme un soudard, me traitant de pute de trainée. Jamais il navait fait preuve dune telle violence. Seul comptait son plaisir et lhumiliation quil minfligeait en forçant ma bouche, mon sexe et mon cul. Cela navait rien à voir avec lamour. Pour la première fois un homme me brutalisait, me frappait et cétait mon mari. Mes cris, mes pleurs semblaient lexciter et plus il me faisait mal plus il jouissait. Je me sentais sale, souillée. Javais subie un viol conjugal. Mon corps était endolori, les marques de ses coups étaient le rappel de ce que javais subi, mes mâchoires étaient douloureuses et mon anus me faisait mal tant il avait été brutalisé.
Daniel sest endormi rapidement. Après un bain où jai essayé de me débarrasser de son odeur de son sperme, de tout ce qui me rappelait cette sordide séance, je me suis réfugiée dans la chambre damis en fermant à clé.
Après une nuit pleine de cauchemar, jai été réveillée par Daniel frappant à la porte, sexcusant de son comportement et me demandant pardon. Je suis restée sourde à ses propos et lui ai demandé de me laisser tranquille. Je haïssais désormais cet homme que javais tant aimé.
Après avoir entendu sa voiture quitter la maison, mes nerfs ont lâché. Je me suis mise à pleurer toutes les larmes de mon corps. Que faire ? Je ne pouvais pas rester avec cet homme ?
Laprès midi même jai fais constater par mon médecin les violences que javais subi. Ma joue droite était marquée, javais des bleus sur la poitrine et le ventre, mon sexe et mon anus portait les signes du « viol » que javais subi. Ce certificat médical était une arme à ma disposition.
Daniel me rappela le soir même, se confondant en excuses. Je lavisais que cétait fini entre nous et que je demandais le divorce. Je lui donnais deux jours pour quitter la maison après son retour et que désormais nous nous parlerions par avocat interposé. Ma situation matérielle était confortable et me permettait de voir venir.
Daniel me harcelait au téléphone suppliant, pleurant, sexcusant mais rien ny fit. Il ne faisait plus partie de ma vie.
Je mis une dizaine de jour à me remettre de ces violences, de ce traumatisme. Quinze jours après les faits je reçu un coup de téléphone de Carole toujours aussi amicale qui me demandait de nos nouvelles sétonnant de navoir rien reçu de nous. Je lui racontais tout et craquais une nouvelle fois au récit de ce qui métait arrivé depuis notre rencontre. Voyant mon état, elle me proposa de passer les voir dès le lendemain.
Le samedi matin, je me suis présenté devant leur magnifique maison. Elle mattendait, toujours aussi pimpante. Elle ma prise par la main, et ma fait entrer dans le salon ou jai retrouvé Guy qui ma embrassé très affectueusement. Quelle différence. Je ressentais chez eux, le plaisir quils avaient à me revoir.
Après quelques mots échangés Carole a demandé à son mari de nous laisser seules. Il sest exécuté immédiatement. Elle ma conduit dans leur chambre. Nous nous sommes allongées et elle ma pris dans ses bras en me disant raconte moi tout.
Je me sentais à labri. Elle me caressait les cheveux et mencourageais à poursuivre par des baisers. Je lui ai tout raconté, toute ma vie. Au fur et à mesure de mon récit ses caresses se sont faites plus pressantes et appuyées. Elle a commencé à me dégrafer mon corsage et mon soutien gorge en me disant laisse moi faire. Quel plaisir de sentir ses mains jouer avec mes tétons, à masser mes seins qui durcissaient sous ses caresses.
A la fin de mon récit Carole ma embrassé très longuement. Je sentais sa langue explorer ma bouche. Elle sest déshabillée et ma ôté ce qui me restait comme vêtement.
Ne bouges pas ma-t-elle dit je vais taimer. Elle ma écarté les cuisses et jai ressenti son souffle sur mon sexe. Sa bouche sest emparé de lui et sa langue à commencer à jouer avec mon clitoris. Ses mains continuaient à jouer avec mes mamelons. Je me laissais faire et appréciait tout cet amour cette tendresse qui mavait tant manqué ces derniers jours. Jempoignais sa tête et la collais à ma vulve. Un premier orgasme memporta, très fort, très violent. Mon corps répondait à ses caresses et je ressentais la plénitude que donne la jouissance partagée.
Après avoir retrouvé mes esprits, elle me mis à plat ventre et entama un message avec son corps. Je sentais la pointe de ses seins me caresser, cétait divin. Puis elle se mit à cheval sur mon dos, tournée vers mes fesses. Elle sen empara et les écarta. Je sentis un doigt sempare de mon anus et louvrir avec délicatesse. Elle savait y faire. Une nouvelle vague memporta ;
Cétait à mon tour de moccuper delle. Je lui demandais à mon tour de ne pas bouger, de se tenir cuisses écartées et bras en croix. Après lui avoir écarté les grandes lèvres jeu accès à son sexe. Mes doigts entamèrent une danse qui allait de son anus à son clitoris quelle avait particulièrement développé ; Quel plaisir de sentir cette petite queue rouler sous ma langue, de le sucer Un orgasme violent lemporta. Sans lui laisser le temps de respirer je memparai de sa bouche, mes mains soccupant de ses seins et mon genoux pressant son sexe. Elle était mienne et jétais à elle. Un nouvel orgasme nous terrassa. Nous nous endormîmes dans les bras lune de lautre.
En me réveillant, jai vu Guy assis dans un fauteuil qui nous regardait en souriant. Le contraste entre nos deux corps devait être saisissant. Moi plutôt grande, au teint clair avec mes petits seins et Carole plus petite avec son teint de brune méditerranéenne, ses seins lourds avec de larges aréoles.
Guy se leva et se rapprocha du lit. Une belle bosse déformait son pantalon. Il commença à me caresser. Je défis la ceinture de son pantalon, et memparait de cette verge conquérante. Je le pris en bouche et lui administrait une fellation. Pendant ce temps Carole qui sétait réveillée me caressait le corps. Très vite je sentis la montée de son plaisir et son sperme gicler dans ma bouche. Javalais sa semence et nettoyais son sexe sans y laisser une seule goutte. Jétais une nouvelle comblée et je sentais que ma vie allait changer.
Nous prîmes tous ensemble une douche, nous savonnant mutuellement. Carole me proposa mépiler et môter ma légère toison. Elle mallongea sur une table et la cire vint à bout des poils qui me restait. Un massage à lhuile damande compléta cette préparation. Jétais lisse cétais très excitant.
Nous nous rhabillâmes et partirent déjeuner. (à suivre)
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