Jean Louis, L'Autre Client Du Kiosque À Tabac.8. Chez Nous, En Cachette.
Cette histoire s'est déroulée peu de temps avant le départ de Jean Louis, c'est un peu confus, dans ma mémoire, je dirais un peu moins d'un mois, ou 2 semaines, enfin bref!.
J'adorai penser que ma belle et timide Lisa, assouvissait ses phantasmes pervers avec Jean Louis, mais je ressentais aussi une frustration, de ne pouvoir assister à leurs ébats.
Bien sûr, j'ai eu quelques photos de son premier gang bang, mais cela ne me suffisais pas.
A force de réflexion, j'ai imaginé un système dans notre chambre, pour voir sans être vu.
J'ai mis notre armoire en coin, afin de me cacher derrière, et profiter du reflet du lit dans un miroir fixé au mur.
J'ai du insister pour que Lisa accepte de baiser avec lui dans notre chambre.
Lorsqu'elle lui a proposé, il a très vite accepté, excité par l'idée de la baiser dans la maison conjugale, mais voulait être rassuré, au niveau de mon absence.
Il ne voulait pas que je rentre à l'improviste.
Nous avions convenu d'une heure d'arrivée, pour être prêt, je guettai les bruits de pas, dans l'escalier de l'immeuble ancien.
Lorsque j'ai reconnu la voix de Lisa, et les bruits de ses talons, j'ai fermé la porte à clés et je me suis caché derrière l'armoire, en la tirant vers moi, afin de ne laisser que quatre à cinq centimètres entre le mur et le coin du meuble.
Ma femme insère sa clef dans la serrure, je suis pris de frissons, est-ce que je vais me faire débusquer au risque de passer pour un fou.
Ils pénètrent dans l'appartement, Lisa prend soin de refermer derrière elle, en tournant le verrou.
Elle lui propose à boire, pendant leur collation, dans la cuisine, ils parlent de sexe, en l'occurrence, leur dernière rencontre avec Denis et ses copains.
Les voix se taisent, des bruits de tissus frottés et de gémissement résonnent faiblement. Je devine qu'ils s'embrassent fougueusement, en se caressant.
Les sons de ses talons aiguilles qui approchent, m'indiquent qu'ils arrivent au salon.
Elle gémit de plus en plus fort. Jean Louis lui dit:
"Tu m'excites toujours autant, ma petite salope!".
"Et si j'étais pas aussi salope?".
"Je me serai lassé! C'est sûr!".
"Donc, tu aimes quand je fais ça!".
Il gémit, des bruits de succions résonnent, je bouillonne de ne pouvoir assister à la scène.
"Ahhhhhh, tu suces comme une reine!".
Entre de nombreux sons de fellation, elle ajoute:
"Tu l'aimes ma bouche?".
"Oui, bien sûr! Tu veux voir comme je l'aime?".
J'entends ma femme gémir et faire des bruits d's de gorge.
"Et toi? ca t'excite ça! dis-moi?".
"Mmmmmmouiii! Pffffffff! Ahhhhhhhh! Salaud, Mmmmmmmmm".
Puis, elle fait un son, qui laisse penser qu'elle reprend son souffle.
"Ohhhhh, Jean Louis! Tu me rends folle! fais-moi jouir! Baises-moi!".
"Fais-moi confiance, je vais te baiser et t'enculer aussi, comme tu aimes!".
"Tout ce que tu veux! défonces-moi! Je veux ta queue!".
"Suces-moi encore, on a le temps d'après ce que tu m'as dis!".
Les bruits de fellation reprennent.
"Oui, comme ça, salope! Tu l'aimes ma bite! dis-moi pourquoi tu l'aimes!".
"Mmmmmmmmmm, elle est grosse!".
"Plus grosse que ton mari! C'est ça!".
"Mmmmmm, oui!".
Je ne m'attendais pas à ce dialogue, même si je suis conscient que je suis moyennement membré et que malgré tout, ça ne m'a posé aucun problème avec mes rencontres féminines.
"Tu la veux ou?".
"Partout!".
"Humm, Salope! tu m'excites! Tu sais comment ça va finir! A la fin! tu sais ou je vais te la mettre!".
"Mmmmm, oui!".
"Ou?".
"Dans mon cul!".
"Allez! Montres-moi ta chambre!".
Les talons résonnent sur le sol, je vois dans le miroir, le corps nu de ma femme.
Elle tient par la main, Jean Louis, qui lui caresse le cul.
Elle s'assoit au bord du lit et reprend son gros sexe dans sa gorge.
Il att ses cuisses et la fait basculer sur le dos. Il plonge son visage contre sa chatte offerte à ses caresses buccales.
Elle gémit de plaisir, je deviens dingue d'excitation en découvrant son visage crispé de bonheur sous la langue experte de Jean Louis.
"Ahhhhhhhh, Jean Louis! Continue! Tu me suces bien toi aussi!".
Il ne réponds pas, il veut l'emmener à l'orgasme et lui prodigue un cunnilingus effréné et vicieux.
Elle se redresse en prenant la tête de Jean Louis, pour la coller contre sa chatte.
Puis elle penche la tête en arrière.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!".
Elle s'écroule sur le lit, les cuisses écartées, appréciant les dernières lèches de Jean Louis.
J'ai ma queue bandée a l'extrême dans mon pantalon, elle me fait mal, ayant du mal a trouver sa place.
Il se redresse, la regarde avec passion, il aime la voir, remplie de plaisir.
Comme moi, il la trouve magnifique avec son visage apaisé par cet orgasme.
Il approche sa grosse queue de son vagin, il taquine son clitoris avec son gland, tendrement, puis énergiquement.
Lisa se tord sous ce délicieux supplice, elle n'en peux plus et lui demande:
"Baises-moi! Je la veux! défonces-moi Jean Louis!".
Il enfonce son pieu, et ajoute:
"Tiens, petite cochonne!".
"Ahhhhhh, oui, oh, elle est bonne! je l'aime trop ta queue! Elle me remplit bien!".
Il fait glisser inlassablement son membre épais, dans sa chatte, en regardant la pénétration, reprend sa taquinerie du clito, et recommence à la baiser tendrement.
Ma belle est arrivée au point d'excitation extrême, elle le supplie:
"Ahhh, tu me rend dingue! Défonces-moi maintenant!, Plus vite! Plus fort!".
"C'est moi qui contrôle! Je fais ce que je veux!".
Il garde son rythme lancinant, mais agrémente sa pénétration, de coups de queues puissants.
"Ahhhhh! Ahhhhhhhhh! Ahhhhh!'
Les cris de ma belle Lisa, à chaque coup, me rendent fous d'excitation.
Elle a réussi à l'exciter, puisqu'il augmente son rythme en la défonçant frénétiquement.
"Ahhhhh! Ahhhhhhhhh! Je jouis! Ahhhhh! Ahhhhhhhhh!".
Encore une fois le spectacle de la femme que j'aime, remplie de bonheur, par la grosse bite d'un autre homme me rend dingue.
Leur baise ne fait que commencer, et je me demande comment je vais faire pour supporter de bander pendant toute leur partie de plaisir.
Jean Louis se colle contre elle, et reprend sa pénétration puissante mais plus lente, en l'embrassant. Il quitte sa bouche et chuchote:
"J'aime te baiser! Lisa!".
"Ahhhhhhhhh, encoooore! Jean Louis!".
Elle entoure les hanches de Jean Louis avec ses jambes, et recolle ses lèvres contre celles de son amant.
Chaque mouvement du gros sexe en elle, lui arrache un gémissement de plaisir.
Elle est presque au bord de l'orgasme, Jean Louis pivote leurs corps ensembles, pour la positionner au dessus de lui, tout en gardant son rythme ample et profond.
Je vois ma femme, se vouter au dessus de lui, ne pouvant contrôler son orgasme, mais paradoxalement, en cherchant à s'empaler encore plus fort et plus profondément.
"Jean Louis! C'est fort, Je...Je...Je... Ahhhhhhhhhhhhh!". Même si je sais qu'elle m'aime, je suis un peu jaloux du plaisir qu'il lui donne.
Elle se tourne sur le coté, en quittant son sexe.
"Oh, c'était trop bon, j'ai bien joui encore!".
Elle sourit en le regardant, et ajoute:
"Comme d'habitude! je dirai!".
"Merci, moi aussi, je me régale! Tu vas me manquer! On s'entendait bien! C'est dommage quand même!".
"C'est sûr! Toi aussi, tu vas me manquer! D'ailleurs, je vais encore en profiter!".
Elle se penche sur sa queue, en la prenant jusqu'au fond de la gorge, puis entre dans une chorégraphie buccale perverse.
"Oh, Lisa, c'est bon! arrêtes! sinon je vais éjaculer!".
"Viens! Jean Louis!, On recommencera après! jouis dans ma bouche! J'en ai envie!".
"Ahhh, ma petite salope! Continue! Tu vas m'avoir!".
La vue de cette queue remplissant la bouche de ma femme, ajoute encore à mon excitation, je la vois s'enfoncer jusqu'à s' sur la grosse bite en regardant vers le miroir.
Puis elle ferme les yeux, en remontant ses lèvres, pour jouer avec sa langue sur son gland gonflé.
Je ne rêve pas, elle fait l'amour avec sa queue, tantôt avec une passion frénétique, tantôt avec tendresse.
Elle sait que je la vois, et tient à me montrer comme elle aime sa bite.
"Ahhhhhhhhhhhhh, Lisa! Ahhhhhhhhhh! Tiens salope!".
Elle ne bouge plus son visage, enfoncé sur le membre de Jean-Louis, elle le laisse déverser son foutre chaud dans sa gorge.
Je vois le gros membre, saisit de secousses, glisser par à-coups entre ses lèvres.
Du jus épais et blanchâtre déborde de sa commissure et coule pour aller s'écraser sur le pubis de Jean Louis.
Je devine par ses déglutitions que Lisa avale progressivement l'éjaculation de son amant.
Jean Louis ne dit plus un mot, il est visiblement détendu et encore sous l'effet de son orgasme.
Lisa termine d'avaler, et reprend tendrement une douce fellation, elle lui lave la hampe de son sexe, récupère la large tache de sperme sur son ventre de sa langue, puis remonte vers le visage de Jean Louis.
"Ca t'as plu?".
"Humm, tu peux pas savoir! J'adore jouir dans ta bouche!".
Ils s'allongent plus correctement, et entame un conversation, parlant de leur plaisir mutuel.
Malgré la curiosité, que je ressens à les écouter, je trouve le temps long, ça devient difficile de ne pas faire de bruit.
Au bout de trois quart d'heure, Jean Louis lui parle de leur gang bang.
"Jacques m'a appelé pour me remercier, il a adoré te baiser! Il m'a dit que j'avais de la chance!".
"Oh! C'est sympa!".
Lisa comme à son habitude, lui caresse la queue, en la masturbant par moment.
"Franchement, tu' m'a épaté! T'as assuré!".
"Humm, et toi? Ca t'as plu de me voir baiser avec d'autres?".
"Carrément, te voir jouir! Même avec un autre, c'est excitant! J'ai adoré quand tu t'es faite asperger de sperme sur le visage".
"Moi aussi!".
"Il faudra en faire un autre avant que je parte!".
"J'ai hâte de recommencer!".
"Rien que d'en parler, je bande encore!".
"J'ai vu!".
"Tu sais que tu vas y avoir droit!".
"Humm, pervers! Tu penses qu'à ça!'.
"Allez! Je te laisse faire! Viens sur moi!".
Elle se place sur lui, en lui tournant le dos, il tient son sexe à la base. Ma belle se met a califourchon en lui présentant son cul, il dirige sa grosse bite contre son anus.
Lisa se sert du poids de son corps pour s'investir de sa queue, elle remonte doucement puis retourne s'empaler encore un peu sur lui.
A force de petites pénétrations, elle atteint le moment ou elle sait que son gros sexe va la posséder enfin.
Elle se laisse glisser sur son membre, pour le ressentir jusqu'au fond de son anus.
Ma queue regonfle dans mon pantalon, cette adorable salope qu'est ma femme apprécie au plus haut point, cette queue dans son cul.
Elle se pâme de plaisir, en se pénétrant inlassablement.
"Putain! Lisa, ce que j'aime t'enculer! En plus comme çà, j'ai la vue de ton cul sur ma bite! ça me rend fou!".
J'avoue que je l'envie, je suis a l'opposé, et ne vois que ma femme s'empaler, interminablement, de bas en haut sur lui.
Son visage se crispe, je vois arriver ce moment magique, qu'elle confirme en râlant:
"Ahhhhhhhhh, je jouis! Ahhhhhhhhhhhhh!".
Elle se redresse, et colle son dos sur son torse, m'offrant alors cette vision impressionnante de son anus qui entoure la forme épaisse du gros sexe de Jean Louis, juste au dessus de ses couilles.
Elle se tortille sur sa queue.
"Ohh, elle est bonne! Encore!".
"T'aimes ça cochonne!".
"Oui, j'adore! J'aime aussi quand tu m'encules dans les WC! Que tu m'obliges à partir sans culotte!".
"T'es vraiment perverse, t'aimes le rendre dingue ton mec!".
"Oui, je sais pas pourquoi ça m'excites!".
Il accélère sa pénétration anale, je vois sa bite glisser d'un mouvement ample et profond dans le cul de ma femme.
"Oh, Jean Louis! Tu m'encules bien!".
Il ne réponds pas et s'applique à la faire jouir analement sous ses assauts répétés.
Elle est encore déformée par le plaisir, elle porte une main a ses lèvres pour la mordre, puis ouvre sa bouche.
"Ahhhhhhhhhhhhhhh! c'est fort! Jean Louis!"
Ses jambes tremblent légèrement, cet orgasme anal est puissant, il lui provoque des spasmes. Il ne bouge plus pour la laisser ressentir son plaisir jusqu'à la fin.
Le sexe de Jean Louis commence a être recouvert à la base de sécrétions anales, le délicieux anneau qui entoure sa bite est lui aussi embué de liquide gluant.
Jean Louis, se dégage de ma belle, lui demande de se mettre en position de levrette.
Il écarte ses jambes et en s'agrippant à ses hanches lui plante encore sa queue dans le cul.
La vue est magnifique pour moi, la possession est puissante et profonde pour elle, elle gueule:
"Encore! Encules-moi comme une salope! Ahhhhhh".
Elle me fait craindre que nos voisins l'entendent, je suis excité au point d'avoir envie de me masturber, mais je dois me retenir.
Le salaud est très endurant, et la défonce comme une pute, elle jouit encore sous ses assauts, mais il ne ralentit pas, à chaque enfoncement de sa grosse queue dans son anus, il écrase son visage dans le matelas.
Je me dis que je peux pas lutter sur ce point là, il lui défonce mieux l'anus que moi, grâce à la taille de sa queue et sa perversité.
Elle n'arrête plus de râler de jouissance, elle s'écroule sur le ventre, Jean Louis la suit et continue sa possession, Il cogne si fort dans son anus que j'ai l'impression de voir disparaitre sa queue entièrement.
Lisa est à nouveau prise de spasmes dans les jambes.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh, Jean Louis! Ahhhhhhhhhhh!".
"Oui, Moi aussi, Ahhhhhhhhhhhhhhhh!".
Leurs deux corps sont crispés de plaisir, je voudrais être dans l'anus de Lisa pour voir le sperme de son amant se déverser en elle.
"Ahhhhhhhhhh, c'est toujours aussi génial quand tu m'encules!".
"Pareil pour moi, j'adore me laisser aller dans ton cul, ma chérie! Humm, ma salope!".
Ils prennent leur temps, comme s'ils ne voulaient plus se se séparer, ils adorent cette pénétration anale, qui fait lien entre eux.
"Je suis bien! J'aime te sentir en moi!".
"Moi aussi, je suis bien!".
Puis quelques minutes après, Jean Louis ajoute:
"Bon, Lisa! C'est dur, mais je dois y aller!".
En se retirant, il ressent les dernières sensations agréables du cul de ma belle, sur sa queue.
Le vicieux s'amuse, en écartant ses fesses, en reluquant son anus ouvert et le petit début de rejet de sperme.
Je suis étonné de voir l'écartèlement de l'anus de Lisa causé par la grosse bite de Jean Louis.
Je comprends pourquoi, elle est prise de flatulences après chacune de ses sodomies, et pourquoi, il m'est plus facile de l'enculer.
Après une petite discussion et de longues embrassades, Jean Louis quitte enfin l'appartement.
Pendant que Jean Louis dévale les escaliers, je sors de ma cachette, elle m'entend et entre dans la chambre.
"Tu étais là? A un moment, j'étais plus sûre!, tu faisais pas de bruit, je me suis dis que tu n'avais pas osé! Ca va?".
"Euh, oui, tu t'es éclaté, je vois!".
"Oui, comme d'habitude avec lui!".
"Il te baise vraiment bien! Et je te trouve plus salope avec lui qu'avec moi! Bon, après j'avoue que ça me rend pas jaloux! je suis même content pour toi! et ça m'excites aussi!".
"Oui, et c'est grâce à toi! que je peux m'amuser comme ça!".
Elle m'embrasse, et remarque que je suis en état d'érection extrême.
"Oh, qu'est-ce je sens là?".
Elle se baisse et déballe mon sexe gonflé de désir.
Elle me parle de ses orgasmes avec Jean Louis, en me pompant avidement comme la salope que je viens de voir pendant deux heures passées.
Je ne résiste pas longtemps, en me vidant dans sa bouche, pas fier de la précocité de mon éjaculation.
"C'est normal mon amour! c'est excitant ce que tu viens de voir!".
"Tu l'aimes ta salope?".
Pour toute réponse, je l'embrasse amoureusement, puis ajoute:
"Je réalise que j'avais raison! Pour le coté hard du sexe, il y a beaucoup mieux que moi, ce serait dommage de t'en priver, vu ta prédisposition pour le sexe!".
"Je dis pas le contraire, grâce à toi, je sais que j'en ai besoin, il me baise mieux que toi, c'est sur! Mais personne me fais aussi bien l'amour que toi!".
Je vois qu'elle a peur de m'avoir fait du mal, je la rassure alors:
"Bébé, ne t'inquiètes pas, je sais que tu m'aimes, je suis simplement content de t'offrir ces instants de plaisir!".
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!