Fantasme De Bodybuildeuse (2)

Tina, telle une guerrière amazone entièrement nue jouant avec son petit esclave sexuel serre l’arrière de mon crane dans sa main pour plaquer ma bouche sur son sexe. Plaçant mes mains sur chacune de ses cuisses en béton, je commence à lui lécher son clitoris nourri aux stéroïdes. Il est énorme ! Je crois même qu’il est plus gros que mon sexe ! Je peux même le sucer comme une bite ! L’odeur de ma maîtresse est douce et forte à la fois, féminine et masculine en même temps. Tina pousse des gémissements rauques de lionne en chaleur. A mesure que son plaisir monte, elle a du mal à gérer sa puissance et sa main compresse de plus en plus mon crâne et ma nuque. Je crains que mes os ne résistent pas, il faut que je la fasse jouir au plus vite pour qu’elle reprenne le contrôle ! J’augmente autant que possible la fréquence des caresses de ma langue sur son pénis féminin. Alors que ma tête est au bord de l’implosion, Tina hurle de plaisir et son sexe humide remplit ma bouche de son jus divin. Elle relâche alors son étreinte et je m’écroule sur le lit pour reprendre mon souffle.


- Ta bouche est douce et ta langue experte. ça fait si longtemps que je n’ai eu d’orgasme aussi puissant !


Elle n’a pas feint son plaisir. De grosses gouttes perlent sur l’intérieur de ses larges cuisses, jusqu’à ses mollets.


- Pardon mon doux de t’avoir un peu malmené, tu es si faible ! A ton tour de jouir maintenant.


Alors que je m’attendais à ce qu’elle se jette sur moi pour me chevaucher, elle marche jusqu’à son sac à main et fouille à l’intérieur. Je déglutis de surprise en voyant ce qu’elle en sort : Une ceinture sur laquelle est monté un énorme pénis turgescent en latex ! La bête doit bien faire dans les 30 cm de long et la circonférence est celle d’une bouteille de coca. Je m'assieds sur le lit comme pour mettre mon petit séant à l’abri de ce monstre, même si je sais que Tina n’aura aucun mal à y accéder si elle le souhaite vraiment.

Tina s’avance alors vers moi tout en installant l’engin sur son bassin. Le pénis de caoutchouc oscille de droite à gauche. Il a l’air si vrai !Les nervures sont si bien reproduites que semble couler à l’intérieur. Une fois en place, il ne parait pas si démesuré sur son corps de géante musclée, à coté de ses cuisses larges comme des troncs. Une fois arrivée devant moi, Tina sort de son immense battoir un tube de lubrifiant. Elle en verse un peu sur sa main puis enduit le god par de lents et amples mouvements. L’air s’emplit d’une odeur de latex et de sirop de fraise mêlés. Une fois lubrifié, le pénis herculéen luit de mille feux et semble encore plus vivant ! Tina saisit alors mon menton dans sa main titanesque et presse brutalement mes joues pour me forcer à ouvrir la bouche. Mon visage est déformé sous la pression et mes yeux sont écarquillés par la vison de l’énorme gland en plastic qui gigote à quelques centimètres de mon visage.


- J’espère qu’il te plaît ? Il est tout neuf, je l’ai acheté juste pour toi ! Je trouve qu’il me va bien. Et toi ?


Ma mâchoire prise dans l’étau de sa main tente alors d’articuler quelques mots.


- Il est énorme !
- Mais non, il me va bien ! C’est toi qui est petit, et surtout ta bouche.


D’un coup sec de son puissant bassin, elle enfonce le pénis de latex jusqu’à ma gorge. Elle relâche alors ma mâchoire que l’engin maintient de toutes façons ouverte à la limite de la fracture. Elle att ma tête par les cheveux de l’arrière de mon crane et appuie si fortement que le phallus géant descend profondément dans ma gorge. Il compresse si fortement ma trachée que suis incapable de respirer. L’air ne peut de toutes façons passer ni par ma bouche, ni par mon nez écrasé sur les abdominaux en béton de Tina. J’agite mes bras maigrichons et essaie de m’appuyer sur les cuisses de ma tortionnaire mais je suis bien trop faible pour la faire bouger d’un dixième de millimètre.


- Tu es si faible ! Tu te rends compte que je te contrains dans cette position avec une seule main.
C’est si excitant de sentir que j’ai le pouvoir de vie et de mort sur toi et que tu n’offres pas plus de résistance qu’une vulgaire petite mouche !


Ma vision se trouble, la tension dans mon corps se relâche. Tina extirpe alors brutalement le pénis artificiel de ma bouche et tenant toujours mes cheveux dans ses mains, elle me jette par la tête sur le lit. Je me mets alors à quatre pattes pour respirer et reprendre mon souffle. Mon esprit est trop embrumé pour se rendre compte que je suis entrain d’offrir alors une vision bien tentante pour Tina en lui offrant mon minuscule fessier telle une chienne en chaleur.


- J’adore ton petit cul ! Et on dirait que tu as envie de te faire prendre petite salope !


Je sens alors ses deux grandes mains enserrer ma taille de guêpe, et le gland en latex pénétrer ma raie. Je relève alors ma tête et cambre mon dos de surprise, envoyant bien malgré moi à Tina un signal qu’elle prend pour un accord de ma part à être pénétré. D’un violent coup de bassin, elle enfonce le god jusqu’à la moitié de sa longueur dans mon fion. La douleur est vive mais le lubrifiant la rend plus supportable. Je pousse un petit cri aigu qui me surprend moi même.


- Mais tu as l’air d’aimer ça petite chienne !!


Oui, je crois que j’aime ça ! Sentir la force titanesque de Tina se propager jusqu’à l’intérieur de moi pour remuer mes entrailles par l’entremise de l’énorme phallus de plastic, sentir que je suis si faible et elle si forte, sentir que je n’ai d’autre choix que d’assouvir ses désirs les plus violents, quitte à me faire sodomiser contre ma volonté. Oui, j’aime ça !


Tina donne alors un nouveau coup de bassin et je sens alors ses cuisses musclées claquer contre mes délicates petites fesses de pucelle. Le god est totalement enfoncé et j’ai l’impression qu’il m’emplit entièrement. Je gémis à la fois de douleur et de plaisir.


- Oh oui Tina, prends moi.
Fais moi sentir ta puissance. Je veux être ta poupée gonflable.


Mais qu’est ce qui me passe par la tête ! “Je veux être ta poupée gonflable” ? Qu’est ce qui me prend de donner de telles idées à une femme qui doit être dix fois plus forte que moi et qui m’a déjà prouvé qu’elle pouvait me soulever comme une plume !


- Tu veux que je te traite comme un poupée gonflable ? Mais tu es une belle petit salope ! J’ai tout de suite deviné que derrière tes airs d’homme timide et efféminé se cachait une belle petite pute vicieuse.


Elle augmente alors l’étreinte de ses larges mains sur ma taille de guêpe et tout en maintenant le god profondément en moi, elle me soulève pour que mon corps ne touche plus le lit. Elle me serre si fortement que mes viscères sont comprimés entre ses mains et le chibre géant ! Elle me redresse alors pour que mon dos soit vertical et face à elle. Je lève mes genoux pour écarter mes cuisses et tenter de réduire la douleur sur mon anus qui doit être dilaté comme jamais. Tout en soutenant tout mon poids dans l’étreinte seule de ses mains puissantes, elle marche en direction du miroir pour me permettre de voir la scène.


- Regarde ma belle poupée gonflable. Tu es si petite ! si légère ! Regarde l’énorme chose qui écarte tes petites fesses.


Je vois alors un spectacle que même mes fantasmes les plus fous ne m’avaient pas offert. Les mains de Tina enserrent entièrement ma fine taille de danseuse étoile. Je vois la base du large god entre mes cuisses. Les énormes bras de l’amazone sont gonflés par l’effort. Je parais si petit et si faible face au buste large et puissant de mon amante. Mon petit sexe est dressé. Je jouis intérieurement de cette situation si humiliante.


Jouant de ses biceps colossaux, Tina commence alors à me faire coulisser sur sa tige de latex. Elle sourit sadiquement quand la douleur et le plaisir mêlés forcent ma bouche à s’ouvrir pour gémir.
Elle agite mon corps comme si je ne pesais rien. Ses mouvements deviennent de plus en plus amples et de plus en plus rapides. Le phallus de titan coulisse maintenant sur toute sa longueur dans mon fondement peu habitué à un traitement aussi brutal. C’est la première fois de ma vie que je subis une sodomie. Je ne savais même pas ce qu’était un god ceinture avant que Tina ne me pénètre ! Petit à petit, l’intensité du plaisir dépasse celui de la douleur et je commence à prendre mon pieds comme jamais mes séances de masturbation ne me l’ont permis ! Je ne savais pas qu’un homme pouvait jouir de cette manière jusqu’à ce que je ressente une onde de chaleur et de plaisir intense partir de mon bas ventre pour parcourir tout mon corps, pendant que mon clitoris masculin crache son jus contre le miroir.


- Tu as bien joui ma poupée ! Je suis contente de t’avoir dépucelée. J’avais un peu peur que ton bassin ne craque. Tu es si mince !


Tina n’est même pas essoufflée. Elle ne transpire pas non plus. Cette femme est une brute ! Elle s’approche alors du lit toujours en me portant. Soulevant tout mon petit corps avec facilité, elle me dé-sempale de l’énorme chibre provoquant un phénomène de succion tel que j’ai peur que mes viscères ne sortent par mon anus ! Elle me jette alors sur le lit où je tombe sur le dos. Je suis submergé de sentiments et de sensations. Je suis heureux et terrifié à la fois.


Posant un genoux après l’autre sur le lit, Tina s’assied à califourchon sur moi. Je suis coincé entre ses cuisses plus grosses que mon corps tout entier et dures comme de l’acier. Le sexe en latex repose sur mon buste.


- Que ton pénis est petit ! Regarde de quoi il a l’air à coté du mien. Rien que le gland est plus long. Heureusement que mon vagin est musclé, je pense quand même pouvoir prendre une peu de plaisir en te chevauchant.


Tina se soulève alors légèrement pour poser ses lèvres humides sur mon pénis. Sa vulve avale mon petit sexe que je sens comprimé par son périnée aussi musclé que le reste de son corps. Elle commence alors à donner de puissants coups de reins qui secouent ma frêle carcasse. Elle serre ses cuisses avec tant de force que les os de mon bassin sont à la limite de la rupture. L’énorme phallus de latex frotte contre mon buste jusqu’à percuter mon menton tel un anaconda qui veut assommer sa proie. Je ne contrôle plus rien à part mes mains qui viennent profiter du corps de Tina dont les mains sont posées de part et d’autre de mes épaules. Mes doigts et mes paumes se délectent d’abord du contact de ses bras monstrueusement musclés. Ils sont si larges qu’il faudrait quatre mains comme les miennes pour en faire le tour ! Je sens ses triceps bougés sous sa peau bronzée. Je caresse ensuite ses larges pectoraux gonflés par cette position dans laquelle ils doivent soutenir une bonne partie du poids de son buste massif. Ils sont surmontés de larges aréoles sur lesquelles sont sertis de sombres tétons. Ils sont si durs que mes petites mains ont du mal à les pétrir. Tina semble cependant réceptive à mes caresses et pousse des gémissements gutturaux. Basculant le poids de son buste sur l’appui de son seul bras gauche, elle saisit ma tête de sa main droite pour plaquer mon visage sur son téton qui emplit brutalement toute ma bouche. Je suis à nouveau privé d’air ! Ma bouche est hermétiquement fermée par son sein et mon nez est écrasé sur son muscle pectoral en acier. Je commence alors à agiter frénétiquement ma langue pour stimuler ce que j’ai perçu être une zone érogène sensible chez ma belle. Je dois faire vite, dans moins de 2 mn, je serai à court d’oxygène ! Tina répond à mes stimulations par des râles graves et puissants. Je sens moi même l’onde de chaleur de l’orgasme envahir mon corps à mesure que je consomme mon air qui se fait rare. Tina s’agite de plus en plus frénétiquement jusqu'à ce que nous jouissions ensemble ! Je sens le sperme jaillir de mon pénis dans le vagin musclé de mon amante qui inonde mon bassin de son jus abondant. Tina lâche alors mon crane et tout mon buste s’écroule sur le lit. Elle halète de plaisir et ses pectoraux se soulèvent avec grâce et puissance.


Sans même me laisser le temps de me reprendre, Tina se soulève pour éjecter mon pénis et se recule suffisamment pour que son gland artificiel soit à la vertical de mes petites fesses. Je me doute bien de ce qui va se passer et crains de ne pas avoir assez d’énergie pour résister de nouveau à un tel traitement. Elle saisit par l’arrière chacune de mes petites cuisses dans ses grandes mains et replie mes jambes de manière à ce qu’elles soient contre mon buste, et mes genoux à hauteur de mes oreilles. Je lui offre ainsi mon anus qu’elle désire tant. Elle me pénètre alors sans crier gare ! La douleur est fulgurante bien que ma rondelle soit encore dilatée de nos ébats précédents. Elle saisit mes bras sous les aisselles dans ses grandes mains et me tire vers elle. Le dessous de mes cuisses se trouve plaqué contre ses abdominaux. Mon visage est plaqué contre ses pectoraux magistraux de telle manière que mon nez se trouve parfois écrasé entre ses deux énormes seins musclés. Elle me soulève alors pour se se tenir debout et rayonne de puissance.


- Je te possède à nouveau ma petite chienne ! Je t’ai à nouveau à ma disposition par la force de mes seuls bras ! Elle s’avance à pas lent vers le miroir puis relâche un peu son étreinte pour que je puisse tourner la tête et voir le reflet de la scène. J’ai l’air encore plus minuscule. Mes cuisses d’araignée sont si minces à coté des biceps de mon amazone. L’énorme god est enfoncé si profondément que je distingue à peine sa large base. Je me sens si petit, si faible…


- Je m’ennuie un peu, on va aller voir ce qui se passe dans le salon.


Elle passe un de ses énormes avant bras dans mon dos afin de me maintenir contre elle d’un seul bras et d’avoir une main libre pour ouvrir la porte vers laquelle elle se dirige. Je suis paniqué à l’idée de ce qui va se passer :


- Tina, non ! Je ne veux pas que l’on me voit comme ça ! Totalement nu, porté comme une plume dans tes bras et avec cette énorme chose dans les fesses ! S’il te plaît !
- ça suffit ! JE décide et tu subis. Tu ne peux de toute façons rien faire.


Elle avait raison. Je n’ai pas la force de m’extirper de cette situation si humiliante. Je n’ai de toutes façons même pas l’énergie pour essayer tant elle m’a épuisé. Je me laisse alors totalement manipulé par ma déesse de muscles.


Elle avance dans le couloir toujours perchée sur ses talons, me tenant d’une seule main. A chacun de ses pas, le chibre de plastique coulisse dans mon anus et remue mes tripes, si bien que j’ai l’impression qu’il va finir par me sortir par la bouche ! Mon poids ne gêne en rien son déplacement. Pour elle, je ne suis qu’une poupée de chiffons avec laquelle elle joue.


Tina arrive alors dans le salon où la musique s’est faite beaucoup plus douce et la lumière beaucoup moins vive. Tout le monde est nu ! Des groupes de deux, trois, voire quatre personnes sont allongés sur les canapés ou sur les tapis à même le sol, et se livrent à des fornications intenses. ça et là, des jets de spermes ont taché la décoration si soignée de Philippe. Tina fait forte impression à son entrée. Il ne pouvait en être autrement : Totalement nu, dévoilant son corps massivement musclé, comme forgé dans le bronze, portant un god-ceinture XXL sur lequel elle a empalé un petit homme chétif qu’elle tient d’une main contre elle. Tout le monde cesse ses ébats pour admirer cette scène surréaliste. Phillipe s’approche alors de nous. C’est la première fois que je le vois nu. Son corps est mince mais athlétique. Son sexe en semi érection est d’une taille déjà très imposante ! Je ne l’avais pas imaginé aussi bien monté ! Il est une peu plus grand que moi mais l'amazone le dépasse largement et doit avoir des épaules deux fois plus larges que les siennes. Il s’adresse à Tina :


- Je vois que les choses se sont bien passées. Tu as pu arriver à tes fins.
- Bien sûr ! Il est si faible et si léger. ça a été un jeu d’ de le manipuler. En plus, il a l’air d’aimer ça et il a pas mal encaissé mes coups de reins. Il a même joui quand je l’ai sodomisé.


Tina met alors sa main libre sous mes fesses et me fait coulisser sur une dizaine de centimètres le long du chibre en latex pour exposer à Phillippe mon anus déformé par l’énorme bite en plastic.


- En effet ! Tu as pu le lui mettre en entier ! Belle performance.


Tina me laisse alors descendre à nouveau pour ré-enfoncer le god en totalité dans mon fion de pucelle. Je jette alors un coup d’oeil à Philippe et je m’aperçois que la vue de mon petit fessier traumatisé a provoqué chez lui une érection triomphante, propulsant le gland de son énorme pénis turgescent bien au delà de son nombril ! Quand je pense que même plein de vigueur, le mien arrive difficilement dix centimètres en dessous. Je prends toute la dimension de sa virilité. Il est vraiment monté comme un âne. Il caresse alors une de mes fesses.


- Il a vraiment de magnifiques petites fesses. Depuis le temps que j’avais envie de les voir nues ! Il m’excite énormément. J’ai vraiment envie de le défoncer !


Pendant que les deux admirateurs de mon petit cul conversent, une petite brune asiatique s’est approchée de Tina et caresse ses bras démesurés. Elle semble fascinée par cette montagne de muscle. Elle est si mince et si petite à coté de la valkyrie !


Tina baisse alors le regard sur le sexe de Phillipe et lui dit:


- En effet, je vois que tu as vraiment envie de le prendre toi aussi !


Tina se penche alors et passe sa main libre sous les fesses de Phillippe qui monte un de ses genoux contre le bassin de l’amazone. Elle le soulève alors avec une facilité déconcertante et le positionne d’un puissant coup de rein sur sa hanche. Les pieds de mon entremetteur pendent de part et d’autre du buste de ma belle. Tout son poids repose dans une seule des mains de la bodybuildeuse. Philippe dont le long et large sexe se trouve maintenant contre les abdominaux saillant de la belle s’extasie alors :


- Mais quelle force ! Tu m’as soulevé comme une plume ! J’adore sentir ta grosse main sous mes petites fesses…
- Tu es à peine plus lourd que ton comparse. Tous les hommes sont ils aussi légers en France ? On va aller dans un endroit plus intime.


Tina se met alors à marcher en direction de la chambre. Nos deux poids ne la gênent en rien. Philippe embrasse l’amazone qui le porte comme un . Levant les yeux, je regarde ce baiser si torride que Tina parait vouloir manger le visage de mon ami, pendant que je sens l’énorme bite en plastic labourer mes entrailles à chacun de ses pas. La petite asiatique qui nous précède ouvre la porte de la chambre. Tina y entre et s’approche du lit sur lequel elle nous jette, Phillipe et moi. Alors que Phillipe est libre de ses mouvements, je suis toujours relié à Tina par le gland du god qui est coincé contre mon sphincters. Phillippe en profite alors pour enfoncer son sexe de titan dans ma bouche et Tina recommence à me sodomiser avec force. Mais où trouve t elle cette énergie ! La petite asiatique grimpe sur le lit et entreprend de me sucer. Tina commence alors à lui caresser les fesses, puis enfonce son index dans sa chatte totalement épilée. C’est à ce moment que quelque chose a totalement lâché prise en moi. Je me résigne et jubile de cette position de pur objet sexuel que j’ai inconsciemment toujours voulu être. La vie peut être si belle et si simple parfois…


FIN

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Pour me contacter : petitskinny at yahoo fr. Toutes les remarques sont les bienvenues et me font très plaisir !

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