Prise En Levrette - Les Aventures De Fabienne 04
PRISE EN LEVRETTE - Les Aventures de Fabienne 04
Pour mémoire, ces aventures érotiques, concept et photographies, me sont confiés par Steph (stefalpin chez HDS), le mari de Fabienne qui me révèle l'histoire sulfureuse de son épouse ; il me communique également les photographies très explicites de celle-ci. Je ne fais que rédiger au mieux ses confidences. ».
« De quelle adresse, une femme na-t-elle pas besoin pour faire quon lui dérobe ce quelle brûle daccorder »
Jean-Jacques Rousseau
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses s qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a dû effec la première fellation de sa vie, et subir un coït sauvage, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance. Un jeune beur qui a pris des photographies vient de la prendre et de la faire jouir, à sa plus grande honte, après un odieux chantage. Il loffre à un vieil aristocrate dans son château, où, les yeux bandés, elle doit subir ses attouchements, jusquau moment où, lallongeant sur une table, il écarte ses cuisses et lui bouffe littéralement sa chatte, la faisant hurler de plaisir
Aymeric redresse Fabienne, encore chancelante de lorgasme intense quelle a éprouvé ; le vieil homme sétant révélé un redoutable bretteur, sa langue valant bien les épées des cadets de Gascogne, chers à Edmond Rostand ou à Alexandre Dumas. Alors quAymeric linstalle sur un escalier de pierres très froides, il reprend ses caresses, tripotant ses seins, affolant ses tétons déjà durcis et pointant orgueilleusement, les pinçant adroitement entre ses doigts, arrachant à la jeune femme des gémissements entrecoupés de profonds soupirs.
Puis, ses doigts se dirigent vers son pubis, atteignant bientôt la fente vulvaire dans laquelle ils sintroduisent, glissant dans une substance abondante et grasse, bouillante de lexcitation provoquée depuis presque une heure.
Jespère que tu as bien joui et que je te ferai jouir encore tout à lheure. Tu sens ma verge contre ton corps. Elle est raide et douloureuse à force de bander pour toi ; elle voudrait bien sentir tes doigts et ta bouche pour la soulager.
Vous êtes gentil et vous ne mavez pas rudoyé. Je veux bien vous faire une fellation, mais je ne vois rien avec ce bandeau.
Tranquillise-toi, je vais taider, mais il vaut mieux que tu ne saches pas qui je suis.
Tout en disant cela, Aymeric vient sasseoir sur la grande table en chêne, installant Fabienne sur le banc qui laccompagne. Puis il abaisse la tête de la jeune femme vers son vît, dressé comme un mat à la verticale. Celle-ci empoigne la verge de lhomme vieillissant, étonnée de la trouver aussi rigide. Elle est habituée à présent, avec Paulin et Hassan, à prendre en bouche un sexe dhomme, elle lèche et suce avec application la chair frémissante, qui laisse suinter un peu de liquide du méat entrouvert.
Fabienne se rend compte que le membre quelle suce est imposant, en longueur bien entendu, mais il est exagérément épais, et, il lui faut ouvrir la bouche en grand pour pouvoir labsorber. Elle essaie de le prendre entièrement dans sa gorge, mais lorsque le gland butte sur sa glotte, elle a un haut-le-cur et manque vomir. Elle sexécute pourtant avec soin et un certain sérieux à satisfaire lhomme qui vient de la faire jouir à plusieurs reprises. Même si elle se sent victime dun odieux chantage, elle ne peut méconnaitre le plaisir quelle en ressent, de plus en plus, à chaque fois quelle est contrainte à offrir son corps.
Elle sent vibrer le chibre dans sa bouche, aussi, voulant donner le meilleur delle-même, elle serre ses lèvres sur la chair raide dexcitation, mordillant légèrement le gland, infiltrant sa langue dans le méat suintant du sperme, qui afflue dans le canal de lurètre, jusquà ce que, ne pouvant plus se retenir, Aymeric laisse son foutre séjecter dans la trop jolie bouche de Fabienne, qui absorbe le jus sans défaillir, déglutissant le sperme quelle avale jusquà la dernière goutte. Elle nettoie la verge de laristocrate avec sa langue, éprouvant une certaine délectation, à savoir quelle vient de donner beaucoup de plaisir à cet homme.
Celui-ci, reconnaissant lenlace et lembrase tendrement. Elle se laisse couler dans ses bras, se sentant bien, peau contre peau, dans un moment dabandon quelle na pour ainsi dire jamais connu. Elle songe tout de même à ce qui a été sa vie jusquici. Assez morne, mariée très jeune avec un mari qui na pas osé la rudoyer comme viennent de le faire Paulin et Hassan. Elle, trop inhibée par son éducation stricte et religieuse de sa famille, épouvantée par lidée du péché de chair que les religieuses et les curés lui ont inculqué. Le sentiment de honte quelle ressent se mélange au plaisir ressenti et pour le moment, seule la jouissance de son corps, depuis la pointes de ses seins jusquau plus profond de ses muqueuses vaginales, en passant par son clitoris si sensible, lui semble avoir une importance primordiale.
Aymeric, létend sur la table à son tour, glissant un linge sous son corps nu pour quelle ne soit pas au contact direct du bois trop rugueux ; il lui prend sa bouche et lembrasse fougueusement, reprenant ses caresses sur le clitoris encore congestionné. Fabienne se laisse aller à répondre au baiser humide du vieil homme, mélangeant sa salive à la sienne, éprouvant entre ses cuisses la savante manipulation de son bouton damour qui la fait jouir encore et encore
toujours plus, depuis que ses sens se sont réveillés.
Puis, Aymeric, sentant sa verge reprendre un peu de vigueur, il la présente devant le visage de Fabienne qui la prend en bouche sans rechigner. Elle suce la chair encore molle pour lui redonner sa virilité. Laristocrate se saisissant dun gode spécial point G, le fait sucer à Fabienne, le promenant sur la vulve et survolant le clitoris quil frôle par instant. Puis, il lintroduit habilement entre les grandes lèvres, le laissant tout à labord des chairs vaginales, le retournant pour que le gland artificiel puisse effleurer la zone si sensible du plaisir. Fabienne frissonne et ondule de tout son corps à cette nouvelle caresse, quelle découvre encore pour la première fois. Elle ne peut sempêcher de gémir et de pousser des petits cris de satisfaction au bonheur quelle ressent, ayant du mal à garder dans sa bouche la verge qui tressaute encore une fois, pour laisser sécouler un foutre plus clair et moins abondant que la première fois.
Si Aymeric, est cette fois, complètement fourbu, lâge le rappelant à lordre, Fabienne ne vaut pas mieux. Ayant demandé à prendre un bain, la belle jeune femme est emmenée par Aymeric, dans une salle adéquate. Il lenferme en lui recommandant de bien remettre son masque lorsquil viendra la chercher. La jeune femme admire cette salle immense, aussi grande que sa salle de séjour, dont le sol et les murs sont recouverts de marbre rose du Portugal, décorés de frises dAzulejos magnifiques ; une douche à litalienne et une baignoire immense, comprenant un jacuzzi lui tend les bras. Elle fait couler de leau chaude, lagrémente de bains moussants et de sels parfumés, pour enfin sy plonger avec délices. Elle reste près dune heure à sy prélasser, jouant avec les savons représentant des objets phalliques, se masturbant même avec et sintroduisant dans sa fente un phallus en verre transparent de bonne taille, se faisant jouir à sa grande satisfaction.
Elle angoisse à lidée daller se confesser le surlendemain, comme toutes les semaines ; surtout que labbé qui remplace le curé actuellement malade, lui a posé beaucoup de questions trop précises la dernière fois. Cest un beau jeune homme de couleur, certainement dorigine antillaise, qui la troublé en se faisant insistant sur ce quelle a ressenti aux rapports quelle a décrits comme non consentis. Elle a des pensées impures envers ce prêtre qui fait preuve dune grande sollicitude envers ce qui la bouleverse, se rendant compte quelle est pleine de tentations à son endroit. Elle veut chasser de ses pensées cette attirance immorale et perverse, indigne dune pratiquante.
Pendant ce temps, Aymeric est remonté dans ses appartements pour prendre lui aussi une bonne douche et se reposer durant une petite heure. Avant daller chercher Fabienne, il avale une petite pilule bleue, se promettant à présent dhonorer convenablement sa jeune compagne et peut-être plus si affinités
Fabienne, au sortir de la salle de bains, se coule dans les bras du vieil aristocrate qui apprécie le corps frais et parfumé quil embrasse avec exaltation. Les deux amants se dévorent leurs lèvres, enroulant leurs langues dans un baiser passionné.
Aymeric nen peut plus dattendre, il guide Fabienne vers la lourde table, lui fait prendre appui dune main sur le rebord et guide son autre main afin quelle se masturbe. Se tenant derrière elle, il frotte son chibre entre ses fesses, sexcitant sur la croupe quil convoite. Puis, la courbant sur la table, il engage le membre trapu entre les grandes lèvres, se glissant complètement jusquau fond de la cavité vulvaire. Fabienne pousse un bref hurlement quand le mandrin senfonce dans sa grotte intime, mais Aymeric nen tient pas compte, pilonnant sans relâche la femme prise en levrette, qui bientôt, envoie son cul au-devant du sexe qui entre et sort en cadence de sa fente distendue. Elle hurle à présent du bonheur qu'elle ressent, quand tout à coup, l'homme s'interrompt et dirige son pieu vers la raie culière, tout en précisant à Fabienne.
À présent, je veux tenculer ma belle, tu sais ce que cela veut dire n'est-ce pas ? Je veux entrer mon pénis dans ton anus, le petit trou de ton cul est vierge, je suppose. Personne ne ta jamais sodomisé n'est-ce pas ?
Lorsque son gland appuie sur ladorable lune, Fabienne supplie.
Oh ! Non, mon mari a essayé une seule fois et c'était horrible, je suis certaine que cela doit faire horriblement mal. Oh ! Non ! Je vous en prie, pas par là. Non ! Monsieur ! Je vous en supplie. Arrêtez, vous êtes trop gros. Oh ! Maman, pas ça. Mon Dieu, ayez pitié
Aymeric, ne soccupe pas des jérémiades de la donzelle. Dépuceler un cul comme celui de Fabienne, cest un rêve. Hassan, lui avait bien dit quelle était vierge de son popotin. Quelle affaire
Voulant tout de même ménager lorifice quil se prépare à déflorer, il présente son majeur au bord de l'anus, qu'il a pris la précaution d'enduire de la mouille prise dans le vagin détrempé, tout en s'activant à écarter les chairs serrées pour pouvoir passer les anneaux étroits du sphincter. Fabienne, pleure en silence en se gardant bien d'émettre une plainte. Aymeric lui conseille gentiment de pousser comme pour aller à la selle afin de faciliter l'introduction du doigt. D'un seul coup, celui-ci passe la frontière et se retrouve dans le conduit rectal de la femme. Pour la décontracter, il introduit ses autres doigts dans son vagin, tout en massant délicatement le point G, imprimant à ses doigts un mouvement circulaire en frottant subtilement le fourreau anal.
Bien que dans un état de prostration consternée, Fabienne, sait qu'elle ne va tarder à souffrir atrocement, surtout que pour le moment c'est seulement un doigt qui s'est infiltré dans son petit trou, mais tout à l'heure elle se doute que ce sera au tour de l'énorme verge de la transpercer. Comment pourra-t-elle s'introduire dans son derrière ? Fabienne reste silencieuse à présent, résignée à subir cet acte considéré par lÉglise, contre nature. Elle est terrifiée par le gros sexe de laristocrate qui risque de déchirer ses muqueuses. Aymeric continue à badigeonner les parois et introduit un second doigt en injectant la moitié dun tube de gel à base de lidocaïne, afin datténuer la douleur.
Cest le moment quil choisit, ayant enduit sa verge de la crème restante, pour se disposer devant l'anus légèrement dilaté. Il sait qu'il lui faut s'introduire d'un seul coup, car s'il le fait trop lentement, le sphincter se contractera encore plus qu'avant. Profitant que Fabienne ne se rend compte de rien, car son doigt lui badigeonne toujours le rectum, Aymeric se présente devant l'anus. Tout en retirant rapidement son doigt, il presse d'un seul coup sa verge contre la rosace entrouverte, traversant le sphincter qui s'écartèle difficilement devant la grosseur du pénis qui cherche à s'introduire en cédant péniblement. C'est alors qu'il s'enfonce d'un trait jusqu'au fond du rectum. Cela fait un « flop » retentissant lorsque la verge, repoussant la pommade dans la gaine étroite, s'engouffre en force en chassant l'air qui s'y était emprisonné.
Fabienne, repoussée brutalement en avant pousse un hurlement inhumain, puis elle éclate en sanglots, car l'engin qui a pénétré son anus vierge, la brûle atrocement. Aymeric l'ayant bien enfilé reste immobile. Il faut attendre que la femme et surtout que le conduit rectal s'habituent à ce corps étranger. En attendant, il caresse doucement d'une main le vagin et de l'autre un sein tout en embrassant la nuque de Fabienne qui se décontracte petit à petit.
Au bout d'un bon quart d'heure, il commence à faire aller et venir doucement sa verge dans la croupe, prenant bien garde de ne pas la ressortir pour ne pas avoir à repasser les muscles du sphincter. Fabienne, bien que son orifice anal soit horriblement distendu par le membre fiché entre ses fesses, s'habitue peu à peu au va-et-vient de l'engin qui ses entrailles. Elle se sent folle d'accepter cette épreuve douloureuse, bien que singulièrement, elle souhaite au fond d'elle-même subir cette initiation, cela fait trop longtemps qu'elle en entend parler dans les revues, à la radio et à la télévision. Il y a aussi, certaines de ses amies qui lui en ont parlé, et qui tout en trouvant cela très différent du coït vaginal, ont, au bout d'un certain temps, pris du plaisir à se faire sodomiser, d'ailleurs maintenant, elles réclament même cette pratique à leur mari ou à leurs amants.
Tout en pensant à tout cela, une douce chaleur l'a envahi. Les caresses dAymeric dans son vagin, sur ses seins et ses baisers dans son cou, lui font oublier qu'elle a un corps étranger planté dans sa croupe. Elle commence à râler sa jouissance lorsquil accélère la cadence de sa queue. Malgré la douleur, le plaisir la submerge et elle crie à son amant.
Oui ! Encore ! Oh ! Je jouis. Oui ! Oui ! Encore ! Sodomisez-moi, j'en ai tellement envie ! Oh ! Je suis folle de dire ça
Oh ! Ouiiiiiiiii..... Continuez... Ouiiiiiiiiiiiiii......
Aymeric gicle son foutre dans la gaine rectale qui lui enserre si fortement sa verge, il prend un pied comme il en a rarement pris. Quelle femelle ! Il commence à se rendre compte que c'est vraiment une affaire et qu'il va pouvoir en faire ce qu'il voudra, aussi, il songe qu'il a bien l'intention de continuer son initiation dans tous les domaines. En attendant, il reste enfoui au plus profond du croupion qu'il a eu tant de mal à déflorer. Sa verge plantée le plus loin possible dans l'arrière-train de Fabienne est resserrée à sa base par les anneaux du sphincter, ce qui permet de la garder dans une semi-érection. La femme s'est écroulée à plat ventre sur la table, épuisée par l'assaut qu'elle vient de subir, seules ses fesses sont hauts levées et disposées de telles sortes, quAymeric les écartant avec ses mains, possède une vue des plus impudiques sur la base de sa verge entourée du goulet anal boursouflé et violacé qui palpite amplement. Il ne peut détacher ses yeux de ce spectacle obscène qui lui fait un effet incroyable.
La douleur, de la queue monstrueuse, qui embrase le rectum, sestompe peu à peu. Fabienne se masturbe avec vigueur le clitoris pour oublier la brûlure de ses entrailles. À son grand étonnement, une volupté étrange, fait place graduellement aux sensations cuisantes de la sodomisation, les terminaisons nerveuses de ses organes, déclenchant subtilement une suave chaleur sensuelle, à laquelle, elle se laisse lascivement emporter dans une douce euphorie
Soudain, une jouissance délirante la saisit, alors quelle est submergée par un orgasme fulgurant, mettant fin aux longues heures de sensualité savoureuse, et aux brefs instants douloureux quelle vient de connaître
À suivre
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