Les 12 Servitudes D'Hélène (Épisode 40)
Les 12 servitudes de la Belle Hélène : êta à Thèbes chez Sophoclès et Sémélé (suite)
Docile, l'homme vint s'allonger sur elle... Ils se caressèrent, elle sentait la verge durcir encore plus et se tendre dans des proportions fort honorables... elle la saisit et imprima entre ses doigts un lent mouvement de vas-et-viens qui accentua encore l'érection de l'esclave. Lorsqu'il fut tel qu'elle le voulait, elle le guida entre ses cuisses et le fit pénétrer, lentement, avec douceur et fermeté. Et l'esclave la baisa, lentement, régulièrement, longuement... Il était efficace et endurant. Certes il manquait quelque peu d'initiative, dressé sans aucun doute à suivre en tous points des directives et craignant d'être rudement corrigé s'il ne donnait pas entière satisfaction. Mais il faisait preuve d'une belle vitalité et cela satisfaisait pleinement êta qui avait besoin de cela pour enfin se détendre... Laccouplement dura de très longues minutes dans un rythme digne de celui dun métronome quand dans une ultime ruade la fit parvenir à un profond et délicieux orgasme
Autant elle criait sa jouissance que lesclave mâle néjacula pas, certainement cela lui était interdit. Elle repoussa alors l'esclave et le congédia d'un geste. Sans avoir prononcé un seul mot depuis qu'elle l'avait questionné, il quitta la pièce docilement en baissant la tête, la verge encore en érection, les mains derrière le dos... Qu'il est bon parfois de détenir le pouvoir, se dit êta avant de sombrer enfin dans un sommeil réparateur...
C'est un léger frôlement qui la tira de son sommeil... Sémélé était assise sur le bord du lit et elle caressait ses cheveux et son visage en la contemplant. êta sursauta :
- Oh, je t'ai fait peur, commenta Sémélé
- Ce n'est pas ça, j'ai été surprise, répondit-elle en souriant
En souriant mais aussi en constatant que sa tunique était restée relevée jusqu'à son ventre et qu'elle s'était donc endormie dans une pose aussi lascive qu'impudique dont Sémélé avait dû se délecter.
- Merci pour... votre accueil, glissa êta. Sémélé sourit, posant sa main sur le genou de la jeune femme...
- Mon esclave m'a assurée que tu as été satisfaite... Mais si ce n'est pas le cas, il sera fouetté, dit la Maîtresse de maison
- Il a été parfaitement efficace, se contenta de commenter êta
Alors la main de Sémélé glissait doucement entre ses genoux, lui proposant sans un mot mais avec la précision du geste d'écarter un peu ses cuisses, êta répondit aussi silencieusement à cette requête en ouvrant à la main de son hôte le chemin de cette grotte humide qui semblait tant l'attirer. Sans gêne, sans se précipiter, Sémélé remonta le long de l'intérieur de la cuisse d'êta jusqu'à pouvoir glisser ses doigts dans la chatte encore humide et chaude des ébats précédents. Sémélé poussa un, puis deux doigts, à l'intérieur de l'intimité de son invitée... puis les retira et les présenta devant les lèvres d'êta qui avec délicatesse les saisit dans sa bouche et les lécha. Satisfaite, Sémélé passa sa main sur la joue d'êta et attira son visage à elle... sans qu'encore un seul mot fut échangé, elles s'embrassèrent, mêlant leurs lèvres, leurs langues et leurs salives. Sémélé enfin se leva et tenant êta par la main la fit se lever également. Face à face les deux femmes s'enlacèrent et se caressèrent encore longuement, échangeant à nouveau des baisers fougueux. Sémélé avait passé ses mains sous la courte tunique d'êta et pétrissait sa croupe, faisant glisser ses doigts dans le sillon séparant les fesses... Elle pressait tout le corps d'êta contre le sien, se frottait à elle en lui mordillant le lobe des oreilles, en l'embrassant goulûment !
- Il va falloir rejoindre Sophoclès, susurra Sémélé .
- Comme il vous plaira, répondit êta, plus excitée encore qu'auparavant...
Les deux femmes gagnèrent la cour à péristyle où le deipnon avait été servi sur une table ronde garnie de trois sièges. Sophoclès se tenait à proximité du bassin, appuyé contre une colonne, il se faisait sucer par une esclave femelle agenouillée... Sans lui accorder plus d'attention, Sémélé entraîna êta vers la table où un épais potage était déjà servi dans des écuelles en étain. Elles prirent place et commencèrent à manger sans attendre Sophoclès dont les gémissements se faisaient plus audibles de minute en minute... Sur la table étaient également posées des galettes de pain et des bols d'olives. Un ultime et long râle de jouissance alerta que Sophoclès avait enfin pris son plaisir dans la bouche de la femelle et il les rejoignit, s'attaquant à son tour au potage, tandis que sur un claquement de doigts de Sémélé, lesclave femelle, du sperme lui dégoulinant encore de sa bouche se leva et débarrassa déjà les deux femmes de leurs écuelles salies et qu'une autre amena un plat de viande mijotée dans une sauce parfumée d'olives et de sauge... deux esclaves mâles avaient saisi des instruments de musique et entamaient une mélopée envoûtante tandis que quatre esclaves femelles entièrement nues commençaient une sensuelle et érotique danse du ventre toute orientale, offrant un délicieux spectacle aux yeux des trois convives...
- D'où viens-tu donc !? Que fait une si délicieuse créature seule sur les routes de Béotie ? s'enquit Sophoclès que sa jouissance semblait avoir rendu volubile
- Je n'ai guère d'explications... Jai perdu la mémoire du jour où je me suis retrouvée seule évanouie sur une plage, depuis mon réveil sur cette plage, plus rien, aucun souvenir
alors
je voyage, sans vrai but, simplement, répondit sincèrement êta.
Sophoclès essuya d'un revers de manche de la soupe qui avait coulé sur son menton. Il semblait un peu ivre
.- Seule, sans défense... des gens mal intentionnés pourraient profiter de cette situation et r de toi, sais-tu ?
- Mon périple n'a pas été sans embûches, reconnut-elle, mais au fond j'ai eu plutôt de la chance
Sophoclès s'était levé, il titubait légèrement...
- Quand je t'ai vue, bafouilla-t-il, tu étais... je n'ai pas de mots assez justes...Tu étais, resplendissante, exceptionnelle... j'ai bandé au premier regard ! dit-il en riant
Sémélé s'était levée aussi, elle vint se placer derrière êta et tira un peu sa chaise, lui faisant comprendre qu'il était temps de se lever. êta comprit et se leva, puis vint auprès de Sophoclès, au son de la musique sur laquelle les esclaves dansaient toujours... êta saisit la tête de Sophoclès et l'embrassa
- Je te suis reconnaissante de ton hospitalité... comment te remercier ? demanda-t-elle espiègle
Sophoclès la regarda, puis tourna son regard vers son épouse qui observait la scène, droite et raide... Elle approuva d'un signe de tête... Sophoclès saisit alors êta et la précipita au sol, se jetant sur elle et arrachant sa tunique, puis pesant de tout son corps sur elle, il entreprit de la baiser... mais sans doute avait-il laissé toute son énergie dans la bouche de l'esclave un peu plus tôt. Il s'activait en vain sur la blonde êta qui tentait sans succès d'animer sa verge flasque... Tout cela se passait au bord du bassin, tout près des danseuses qui poursuivaient leurs mouvements, indifférentes... C'est alors que retentit la voix de Sémélé... Elle approchait du couple en plein ébat et saisit la tunique de son mari qu'elle contraignit à se mettre à 4 pattes. Elle lui asséna un gifle et brandit au-dessus de lui le court fouet de cuir tressé dont elle lui cingla les fesses... êta, toujours allongée sur le sol contemplait la scène. Sémélé fouettait son mari qui couinait plaintivement sous les coups, en se prosternant en levrette devant sa femme, lui présentant sa croupe à fouetter.
- Tu n'es qu'un porc lubrique, aussi dépravé qu'un Athénien ! Tu t'es jeté sur notre invitée, mais tu n'es pas digne de l'honorer ! Tu n'es bon qu'à être la putain des esclaves ! (Elle se tourna vers les deux musiciens) - Il est à vous ! Je veux que vous preniez son cul, chacun à votre tour et même plusieurs fois !! Qu'il soit votre putain pour la nuit et que demain, son cul soit aussi large que celui des tapettes athéniennes !...
En souriant, les deux esclaves mâles s'approchèrent et l'un d'eux vint se placer derrière Sophoclès toujours en position de levrette, le saisissant aux hanches et l'enculant sans autre forme de procès... Le Maître gémissait fort tandis que son esclave le bourrait avec enthousiasme... L'autre en attendant son tour, se fit sucer la verge par le sodomisé, et ce, sur un claquement de doigts de la Maîtresse
Sémélé vint relever êta et l'entraîna avec elle vers la chambre...
- Vient, il en a pour la nuit... il adore cela, ce nest quune tapette qui aime se faire prendre par les hommes. Il n'ose pas avouer son goût si athénien pour les mâles, alors nous devons le mettre en situation... Les esclaves vont le baiser toute la nuit et puis il s'écroulera épuisé... Donc la nuit est à nous ma belle inconnue, dit-elle à êta en la menant délicatement vers le lit conjugal...
(A suivre
)
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