Jacqueline La Suite....
Jacqueline est ma tante de 65 ans et toujours aussi désirable pour son âge.
Nous avons eu loccasion de faire plus ample connaissance avec elle et son mari.
Jai pu apprécier cette femme fontaine et aussi la vigueur de son mari qui m a fait jouir comme jamais. Je ne suis pas gay mais jai pourtant terriblement apprécié sa queue dans mon anus.
Voici la suite des événements.
Jacqueline était désormais ma maitresse mais je me devai de lui rendre son affection en me faisant enculer par son mari. Cétait notre deal.
Je nétais pas enchanté mais ces jours passés avec ma tante me valaient bien une belle enculade tant elle pouvait me procurer du plaisir
La veille jétais arrivé en vendée et avait eu loccasion de voir ma tante se faire prendre sans aucune pudeur.
De mon côté javais pu la lécher, lui prendre le vagin et alors quelle mavait fait découvrir une plage naturiste javais à nouveau découvert la joie de la sodomie.
Nous étions revenus à la maison rassasiés.
Le lendemain je dis à ma tante quil serait bon que nous nous calmions un peu et lui proposai de nous rendre au casino laprès midi.
Elle était daccord. Nous avions passé une bonne nuit et nous étions bien reposés.
Vers 14H45 elle me dit quelle était prête pour aller jouer quelques euros au casino.
Je lui répondai quil était trop tôt si je voulais lemmener au restaurant. Mais elle maffirma
quelle sentait que cétait son jour et quelle allait gagner. Et que par conséquent nous serions à lheure au restaurant.
Il était 15 heures.
Jenfilai un jean, ,un tee shirt, et un gilet ras du cou rouge.
- Je suis prête cheri!
Jacqueline apparu vêtue dun long gilet en V en cachemire beige. De bas blancs et de très hauts talons.
Ses seins lourds semblaient percer ce pull sans aucun gêne. Elle avait pris soin de boutonner sa robe pull totalement.
Elle ne souhaitait pas trop attirer lattention.
Cette fois nous avons pris ma voiture et à peine arrivés à lentrée du casino un voiturier vint à notre rencontre pour me demander mes clés.
Nous lui avons laissé nos clés et nous sommes rendus au casino.
Jacqueline était très sensuelle et vraiment désirable.
A lentrée notre carte didentité nous fut demandée pour voir si nous nétions pas interdit de casino.
Tout était ok.
Nous avons pris 100 euros de jetons chacun puis nous sommes séparés en prenant tout de même le temps
de nous faire un long baiser.
Je lui ai juste dit que celui qui aurait le moins de jetons à la fin aurait un gâge.
Je connaissais un peu les machines à sous. Mais au bout dune demi heure javais perdu 30 euros et Jacqueline
vint me voir avec plein de jetons qui faisaient quelle avait gagné 100 euros.
Elle alla les encaisser et était très fière.
- Je tai battu me dit elle
- Oui tu es la meilleure mais la partie nest pas terminée. Il me reste 70 euros.
- Viens me rejoindre dans les toilettes TOUT DE SUITE me dit elle.
Son ton ne me laissait pas le choix.
Je pris un moment à trouver les toilettes mais au bout de cinq minutes je my introduisis discrètement.
Jacqueline mattendait tranquillement. Elle avait déboutonné sa robe pull complètement et ses seins étaient maintenant visibles.
Sa chatte épilée luisait et me faisait penser à un abricot bien mûr.
- Je tai battu chéri! me dit elle. Tu feras ce que je veux maintenant.
- Tu me bats pour le moment Jacqueline mais il me reste encore quelques euros et au casino ce nest jamais fini
avant davoir dépensé son dernier jeton! lui fis je la remarque en riant. Et pour linstant le jeu nest pas terminé.
- Jai trop envie de toi chérie. Laisse moi au moins te sucer un peu.
- Il nen est pas question. Tu pourras faire ce que tu veux de moi lorsque je naurai plus de tout de jetons.
A moins que ce ne soit linverse
Rires
Javais terriblement envie de la prendre mais je voulais la faire patienter et lexciter davantage.
Jécartai sa robe en cachemire et lui caressai les seins. Je lembrassai avec fougue et elle me rendit
mon baiser comme une étudiante de vingt ans. Cétait bon. Fougueux, furieux, sensuel et tendre à la fois.
Je constatai que Jacqueline ne portait pas de culotte. Je lui en fit la remarque et jeu pour unique réponse un sourire
complice.
- Néanmoins jadmets que pour linstant tu me bats et comme tu paraîs très excitée je vais te branler un peu.
Jinsérai sans ménagement trois doigts dans sa chatte déjà très humide. Puis je les remuai très rapidement
dans son puits damour et son corps se fit tout de suite très réceptif. A chaque fois que je sentais quelle allait
jouir jenlevais mes doigts et elle maspergeait de longs jets.
Elle jouit trois fois. Elle haletait et un large sourire illuminait son visage.
- Merci chéri me dit elle. Toi tu sais vraiment me faire jouir!
Je lui enfonçai un doigt dans lanus, puis deux et tout en lui touchant le clitoris
elle me balança une nouvelle fois tout son jus.
Cela navait duré que quelques minutes et, par chance, personne nétait entré dans les toilettes à ce moment.
Elle prit un essuie main et sessuya la chatte encore pleine de cyprine.
Elle ajusta ses bas et son porte jarretelles et reboutonna sa robe.
- Tu es divin Chéri. Tu ma bien fait jouir. Mais jespère quand même gagner notre pari
et tu verras tu auras une grosse surprise.
Nous sortimes ensemble des toilettes pour dames alors quune jeune femme allait y entrer.
Elle nous regarda dun oeil complice et malicieux.
Elle nous lança en riant un « Bon après midi messieurs dames! »
Je me retournai pour la mâter un peu.
de longues chaussettes bleu marine qui remontaient au delà de ses genoux, de jolis souliers bicolores vernis et un pull en angora
blanc quelle avait pris soins de boutonner jusquau cou. Une vraie petite fille modèle!
Jacqueline saperçut bien évidemment de mon manège et me demanda si cette petite me plaisait.
Je lui avouai queffectivement elle avait de bien jolis atouts mais que ce nétait plus de mon âge.
Elle ria puis nous sommes retournés dans la salle des machines à sous.
Jacqueline avec ses 200 euros et moi avec mes 70 euros.
Je décidai de choisir une machine à un euro la mise. Après tout ma maitresse avait trop
davance et je me devais de tenter le tout pour le tout pour la battre.
Le temps avait passé assez vite mais il nétait que 17H00 et je comptais encore mamuser un peu.
Jacqueline prit une machine non loin de la mienne et commença à jouer.
A mon premier coup de manche je nobtins rien mais alors quil ne me restait quune trentaine deuros
je me décidai à jouer trois pièces à la fois. Cela augmentait les risques de perdre rapidement mais
aussi de gagner trois fois plus.
Bien men a pris car au bout de deux coups je décrochai une combinaison à 400 euros!
Les pièces descendaient et les gens se retournaient pour constater mon joli gain.
Même Jacqueline, qui pourtant était attentive à son jeu, sétait redressée et avait jeté un oeil dans ma
direction en me lançant un sourire sarcastique mais tout autant aimant.
Je me dis que cétait mon jour de chance et que jallais enfin pouvoir réaliser le fantasme que jimaginais
depuis longtemps avec ma tante.
Alors que je ramassais mes pièces et tentait de les mettre dans les pots destinés aux jetons je vis que la jeune femme
que nous avions rencontré au sortir des toilettes avait pris place à côté de Jacqueline.
Elles jouaient et finirent par se parler au bout de très peu de temps. Elles riaient et semblaient sapprécier.
De mon côté je continuai à jouer en espérant atteindre le « Jackpot ». On ne lâche jamais une machine qui gagne!
Mes gains et pertes variaient mais je restai assez stable. je devais avoir encore mes 400 euros.
Dun seul coup jentendis une sonnette retentir. Cétait le fruit et le bruit dun Jackpot! Dans de tels cas tous les joueurs
se retournent pour voir la tête de lheureux gagnant en se disant que dix minutes auparavant cela aurait pu
être eux.
Je me retournai donc et constatai que ma Chérie venait de décrocher les trois 7 sur sa machine et quelle venait de gagner 1200 euros.
Sa jeune voisine applaudissait et lui donna même deux baisers sur les joues. Elles semblaient samuser comme deux petites folles!
Cest alors que je décidai de changer de machine et de choisir celle juste à côté de la jeune femme BCBG.
Javais toujours mes 400 euros en poche mais mon retard savérait insurmontable.
Je vis la jeune fille parler à Jacqueline dans loreille et elle se mirent à rire spontanément.
Cest alors que je pus constater que la demoiselle avait déboutonné largement son pull et laissait apparaître la naissance
de ses seins. Jacqueline avait elle aussi déboutonné le bas de sa robe en laine et lorsquelle bougeait ses bas et porte jarretelles
étaient apparents.
Ma tante continuait de jouer ainsi que notre voisine commune qui mexcitait de plus en plus.
Ma tante sintéressait elle aussi aux femmes?
Je ny pensai pas un instant tant elle aimait la ou les queues!
A cet instant Jacqueline avait près de 1200 euros et moi toujours mes 400 euros. Je décidai de miser un seul euro
et Jacqueline trois euros. Notre petite voisine jouait consciencieusement et son compte sapprovisionnait petit à petit
comme dans la cigale et la fourni! rires
Il devait être 19H00 et je me rendis compte que Jacqueline avait tout perdu et navait plus un sou.
Un sourire parcouru mon visage. Javais enfin gagné!
Mais dans la précipitation et voulant être encore davantage conquérant je me décidai à jouer encore à tel point
que je perdis jusquà ma dernière pièce.
Jétais décontenancé mais heureux. Après tout nous avions passé un bon après midi mais naurions pas de
surprise. Je me dirigeai vers ma tante et Jacqueline me confia quelle avait tout perdu. Jen avais fait de même
comme un idiot. Et que par conséquent nous naurions pas de surprise ce soir là.
Alors que jinvitai Jacqueline à aller dîner au restaurant du casino la jeune femme nous prit tous les deux par les bras.
Je fus un peu surpris mais ne me dérobai pas.
- Alors nous dit -elle, en nous regardant tous les deux droit dans les yeux, lequel dentre vous à gagné son Pari?
- Personne lui dis-je. Mais comment êtes vous au courant?
- Jacqueline, cest Jacqueline nest-ce pas?, ma dit que vous aviez fait un pari sexuel mais vous semblez être à égalité?
- Oui cest exact. Cest pourquoi nous allons déjeuner et rentrer chez nous mademoiselle
?
- Jennifer. Cest mon nom. Puis je me permettre de vous inviter au restaurant?
- Vous ny pensez pas. Cest très gentil de votre part et très aimable mais ce serait plutôt à nous de vous inviter.
- Non, sil vous plait, faîtes moi ce plaisir. Je suis ici en vacances pour un mois et cela me ferait très plaisir.
Jhabite Genève et suis étudiante. Mes parents mont payé ces vacances pour que je mamuse mais les
jeunes de mon âge ne mintéressent pas.
Dès que je vous ai vu sortir des toilettes jai tout de suite ressenti que vous étiez libertins et cest ce que je recherche.
Et puis ce qui ma fait craquer est votre tenue à tous les deux. Jadore vraiment les gilets en cachemire
et le fait que vous en portiez chacun lun de vous ma fait un effet immédiat.
Je ne devrai pas vous le dire mais quand je suis entrée aux toilettes après vous je nai pas pu mempêcher
de me caresser. Et puis après avoir discuté avec Jacqueline nous nous sommes dit que vous pourriez avoir une petite
surprise.
Sa franchise et sa délicatesse me touchaient et Jacqueline ne semblait pas insensible au charme de Jennifer.
- Alors allons au restaurant Jennifer mais sachez que cela me gêne que vous désiriez nous inviter.
- Ne vous inquiétez pas me dit elle en déposant un baiser sur ma joue. Tout en se baissant pour membrasser je pus
entrevoir ses seins sous son pull en angora blanc et ma seule envie était de les toucher.
Nous nous sommes dirigés vers le restaurant qui était à létage. Nous navions pas réservé mais comme
il était de bonne heure cela ne posa pas de problème.
Jennifer nous devança et demanda une table pour trois un peu à lécart. Elle glissa un billet discrètement dans la main du
maître dhôtel et celui ci nous installa dans un coin à labri des regards.
- Merci Jennifer la remercia - t -il.
Visiblement elle était coutumière des lieux.
Elle sinstalla à côté de Jacqueline et juste en face de moi.
Nous avons commandé un cocktail et avons discuté de choses et dautres.
- Vous êtes connue ici? lui demandai-je
- Oui jy viens tous les ans depuis dix ans. Mais cest la première fois que je rencontre un couple aussi
sympathique que vous deux.
Elle glissa un sourire à Jacqueline et je vis sa main descendre sur son entrejambe.
De mon côté mes yeux ne pouvaient sextraire de sa poitrine nue sous son joli pull blanc.
Ses seins étaient gros sans pour autant être volumineux et paraissaient naturels.
Ma maitresse semblait à son comble et ses seins pointaient sous sa robe en laine.
- Voici Mademoiselle Jennifer.
Le maitre dhôtel venait dapporter les cocktails.
- Il me semble que le maître dhôtel na dyeux que pour vous? lui dis-je
- Oui cela fait des années mais je préfère les couples mûrs répondit elle.
- Puis je vous poser une question qui minterpelle lui demandai je
- Oui bien sûr. Je ny vois aucun inconvénient. Rien ne me gêne.
- Pourquoi nous avoir choisi moi et Jacqueline? Nous sommes bien plus âgés que vous?
- Cest ce que je me suis dit aussi. Mais quand je vous ai vu sortir des toilettes jai compris que
vous étiez les personnes qui correspondaient à mes attentes.
- Ah bon? Mais quelles sont vos attentes?
- Il se trouve que jadore porter des pulls ou gilets en angora ou en cachemire et quand jai vu Jacqueline
avec sa robe pull entrer dans les toilettes jai tout de suite eu envie daller la rejoindre!
Malheureusement vous êtes entré avant moi mais quand jai constaté que vous portiez un gilet en cachemire
plutôt féminin mon sang na fait quun tour. Mais je nai pas osé vous rejoindre.
En revanche quand je vous ai vu sortir jai bien évidemment constaté que vous aviez pris du plaisir dans ces
toilettes publiques et ça ma excité.
Je me suis mis dans la tête que vous deviez être fétichiste de la laine mais il est toujours délicat den parler.
Cest Jacqueline ensuite qui ma avoué vos goûts réciproques et je dois vous dire que ça ma fait mouiller.
Jétais un peu abasourdi par tant de franchise mais aussi terriblement excité.
Nous avons commandé nos plats puis avons discuté de choses et dautres. La tension semblait être retombée.
Le dîner sest bien passé. Au moment de laddition notre jeune amie sortit sa carte American Express
et laissa un gros pourboire au maître dhôtel.
Durant tout le repas, bien que je me sois calmé, je navais pu détacher mes yeux de ses seins libre sous
son gilet blanc en angora.
Jacqueline se leva, comme pour nous faire signe quil était temps de partir et nous en fîmes de même.
Arrivés à la porte du Casino Jennifer donna son ticket au voiturier. Deux minutes plus tard il revint au volant
dune Porsche Boxster flambant neuve. Notre BMW arriva très peu de temps après.
Nous allions nous séparer alors quil nétait que 21H30.
Je mapprochai de la portière de Jennifer et lui demandai si elle souhaitait prendre un dernier verre.
- Je suis daccord mais seulement si vous venez chez moi me dit elle.
- Non je vous remercie mais vous avez déjà tant fait pour nous.
- Jinsiste. Vous ne serez pas déçus, je vous le promets. Je nhabites quà cinq minutes de là. Svp acceptez. Vous navez quà me suivre.
- Ok cest bien parce que vous êtes charmante.
- Elle démarra en trombe puis sarrêta pour que je puisse la suivre.
Nous roulions à près de 150 kms par heure sur la route nationale et cela ne me paraissait pas raisonnable.
Elle sen rendit compte et baissa la cadence.
Deux minutes plus tard nous étions devant une splendide demeure non loin du bord de mer.
Le portail électrique souvra automatiquement et nous entrâmes dans un splendide domaine.
Sa Porsche fit crisser ses freins sur les graviers et sarrêta promptement.
Je la suivai et arrêtai mon moteur.
Je fis descendre Jacqueline, ma tante, et nous nous dirigeames vers Jennifer.
- Voilà ma maison nous dit elle en souriant.
Cétait une énorme bâtisse, assez ancienne, entourée de pins et qui dégageait un calme étonnant.
Jacqueline avait reboutonné sa robe gilet et me prit le bras pour que je laccompagne.
Suivez moi. Vous êtes mes hôtes désormais.
Nous avons monté les escaliers extérieurs puis sommes entrés dans cette splendide demeure.
Jennifer nous accompagna au salon où nous prirent place Jacqueline et moi.
- Désirez vous un café? nous demanda Jennifer.
- Oui si cela ne vous dérange pas.
- Je serai de retour dans dix minutes, ne vous inquiétés pas nous dit elle.
Nous étions, ma maitresse et moi, dans une si belle demeure,, que cela nous semblait paradisiaque.
Je ne put mempêcher de caresser la chatte de Jacqueline qui ne tarda pas à mouiller abondamment.
De son côté elle me dit quelle avait vraiment envie de ma queue mais que ce nétait sans doute pas le moment.
Effectivement je me voyais mal sortir ma queue alors que Jennifer pouvait apparaitre sune seconde à lautre.
Jacqueline mouillait énormément.
Au bout dune dizaine de minutes Jennifer apparut portant un plateau comportant trois cafés espresso.
Elle avait ôté sa jupe écossaise et revêtu des bas et porte jarretelles couleur chair. Elle avait aussi pris soin de
porter de hauts talons.
Elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était entièrement rasée et ressemblait à un fruit mûr qui nattendait quà être
dégusté.
Elle avait changé son haut et remplacé son pull angora blanc par un gilet en cachemire bleu clair très doux et agrémenté de jolis
boutons perlés. Elle avait pris soin de le déboutonner.
Elle déposa les cafés sur la table du salon et nous dit quelle devait sabsenter.
Durant son absence je fis part à ma maitresse que cette jeune femme mexcitait.
Elle mavoua quelle aussi et quelle nétait pas contre les plaisirs saphiques.
Je mis ma main sous la robe de Jacqueline et constatai quelle était mouillée.
De son côté elle nétait pas en reste et avait remarqué la bosse dans mon pantalon.
Elle défit ma braguette, sortit mon membre et commença par me sucer tendrement.
Je nétais pas trop à mon aise. Jennifer allait revenir dune seconde à lautre et je ne voulais
pas la choquer.
Malgré tout Jacqueline ne tarda pas à me faire jouir avec sa bouche et avala toute ma semence.
Je rangeai rapidement mon service trois pièces et alors que Jacqueline essuyait mon sperme
qui sortait de sa bouche Jennifer réapparu avec un sac assez lourd.
- Alors les amoureux comment allez vous? Tu devrais tessuyer Jacqueline tu as encore du sperme sur la joue.
Elle dit cela si innoçemment que Jacqueline sessuya sans y prêter attention.
- Prenons note café lui dis je
- Il va être froid dépêchez vous dit elle
Nous commencions à rire et la fellation de Jacqueline mavait fait du bien.
- Que portes du dans ton sac Jennifer?
- Des gilets en cachemire et en angora. Vous aimesz?
- Oui Jacqueline et moi en sommes amoureux!
- Cest super! Cest assez difficile à dire mais je suis fétichiste des pulls et plus particulièrement des
gilets doux depuis ma plus tendre enfance. Je sais que la plupart des gens pensent que les femmes ne sont
pas fétichistes mais pourtant tel est mon cas. Il ny a rien de plus qui me fait jouir quun joli pull boutonné
sur ma peau douce.
Elle ouvrit sa valise et ce qui nous ait apparu était au delà de nos espérances.
Il y avait du bleu, du rouge, du bleu marine, du blanc, de livoire et de langora, du cachemire,
et encore bien dautres laines très douces. Tous les pulls comportaient de nombreux gilets
et les boutons en nacre véritable ou en perles étaient tout simplement adorables.
Jennifer nous demanda alors de les essayer tous pour voir lequel nous plairait le plus!
ils étaient tous très beaux. Et chaque fois que Jenny en portait un nouveau je bandais comme un taureau et Jacqueline
mouillait.
Nous nous sommes attardés sur un gilet en angora vintage Parkhurst qui comportait neuf boutons en nacre.
La matière était splendide et le gilet correspondait juste à la taille de Jenny.
Il était rouge assez sombre mais dune douceur extrême. Jenny ne prit même pas la peine de le boutonner.
Les pans du gilets allaient le long de son corps et je mimaginais déjà enfouir mon sexe dans sa chatte. Jacqueline me dit
quelle avait très envie de léchér une belle vulve et quelle était toute mouillée.
A suivre
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