Les Retrouvailles

Elle, c'est Mélanie, 26 ans, plutôt grande, 1m75, des long cheveux châtain, des courbes parfaite, une poitrine généreuse et de longues jambes fines. Le genre de fille qui fait fantasmer pas mal d'hommes, et qui le sait. Elle a passé ces dernières années a passer d'homme à homme sans vraiment s'engager, multipliant les expériences sexuelles et s'épanouissant de cette vie sans contraintes.
Lui c'est Jules, 26 ans également, 1m80, blond, un corps musclé par son travail d'agriculteur, bien proportionné. C'est un garçon un brin timide, un poil cœur d’artichaut, gentil et généreux, bref un peu le gendre idéal, mais qui n'a aucunement conscience de ses charmes.
Ils se sont rencontré aux lycée, dans le sud de la France, assis l'un a coté de l'autre dès le premier jour de cours, ils avaient directement accrochés. Son sourire timide, son humour subtil et son intelligence avait immédiatement charmée Mélanie.
Sa joie de vivre, sa beauté naturelle, sa vivacité d'esprit avait fait succomber Jules au premiers regard.
Mais ni l'un ni l'autre n'avait osé avoué se qu'il ressentait, et ont passé leur scolarité à se tourner autour, à être là quand l'autre avait besoin mais sans jamais franchir le pas.
Jules rêvait d'embrasser Mélanie, saisir ses fesses qui le faisait fantasmer, ses seins qui semblait si parfait, lui faire l'amour passionnément, lui donner du plaisir et la faire jouir encore et encore. Ils se masturbait sans cesses avec ces idées en têtes, se donnait un plaisir fou, mais restait frustré de ne pas avoir plus.
Mélanie se caressait souvent en imaginant Jules, contre elle, leurs corps nue s’emmêlent dans des étreintes passionnées.
Mais ces fantasmes étaient restait fantasme, et la vie avait continué son cours.
Elle était partie s'installer à Paris pour ses études, lui avait filé en Australie pour satisfaire son besoin d'aventure.
Ils avait gardé contact au fil des années et voilà que Jules annonces qu'il revient en France, passe par Paris quelques jours avant de rentrer dans son sud natal.


Après quelques années sans se voir, échangeant quelques messages polis de temps en temps, ils allait enfin de retrouver.
C'était décidé, rendez-vous vendredi après midi, jardin des tuileries.
Les jours séparant leurs derniers messages et leurs retrouvailles avait fait resurgir tous les fantasmes de l'adolescence chez chacun d'eux, ce qui avait déclenché de nombreuse parties de plaisir solitaires a des milliers de kilomètres de distance.
L’excitation mélangée à l'appréhension touchait à son comble quand le jour J arriva.
Mélanie attendait déjà depuis dix minutes sur un banc, à l'endroit convenue. Son esprit était totalement étranger aux nombreux touristes qui se pressaient en direction du Louvre. Elle pensait à Jules : Comment est il maintenant, va elle lui plaire, va il lui plaire, qu'es ce qu'ils vont bien pouvoir se dire.. Tant de questions qui ne faisait qu'augmenter son stress.
Elle avait passé toute la matinée à se préparrt, s'épiler, se passer des crèmes, choisir ses sous vêtements, ses habits. Sexy mais pas provocant, aguicheur mais pas provocateur, elle voulait se sentir parfaite pour les retrouvailles avec ce garçon qui la faisait tant fantasmer.
Et voilà qu'elle s'était pointé vraiment en avance au rendez-vous, et l'attente lui était insupportable.
Soudant elle l'aperçut au milieux de tout ces touristes. Beau, plus mature que dans ses souvenirs, les cheveux un peu plus long, une barbe de trois jours, un jean parfaitement taillé, un t-shirt blanc moulant juste se qu'il faut, un homme sexy, séduisant, qui n'avait plus grand chose a voir avec le lycéen de ses souvenir, mais qui l’excitait que plus.
« Jules, je suis là ! » s'exclama elle pour attirer son attention.
Il la vit enfin. Se levant du banc où elle l'attendait, Jules découvrit Mélanie plus belle que jamais.
Sa robe noire arrivant juste au dessus de ses genoux dévoilé ses longues jambes tellement sexy, son décolleté laissé entrevoir sa magnifique poitrine, le tout sublimé par le grand sourire qu'elle lui tendait.

Jules en resté bouche bée. Mélanie était devenue une femme élégante, incroyablement sexy et totalement envoûtante.
Il lui rendit son sourire et alla la rejoindre.
À un mètre l'un de l'autre leur regards se croisa, pendant quelques secondes, où le temps paru s'être arrêté, ils se regardèrent aux plus profond des yeux. Leurs cœurs battaient à toute vitesse, et tout se qui ne c'était pas dit durant toutes ces années, tous ses fantasmes inavoués, toute l’attirance et les sentiments qu'ils avait l'un pour l'autre paru tout simplement évident.
Ils se jetèrent l'un sur l'autre échangeant un baiser brûlant d'envie et de passion. Ce baiser si longuement espéré libéra chez les deux amants une décharge d'envie sexuelle qui ne pouvait plus retenir.
Mélanie sentait déjà son vagin totalement trempé, ses tétons sensible a chaque frottement que faisait le contact de sa poitrine contre le torse musclé de Jules.
Se serrant l'un contre l'autre pendant ce baiser sulfureux Mélanie sentie le sexe en érection de Jules contre sa cuisse.
C'en était trop, ils ne pouvaient plus attendre.
«  On va chez moi, j'habite a deux pas » souffla Mélanie.
Arrivant dans l'appartement, Jules saisie Mélanie par la taille et la souleva aisément. Elle enroula ses jambe autour des hanches de celui-ci, sans cesser de s'embrasser.
Il l'a porta jusqu'au bar ou il l'a déposa, lui retira sa robe et l'envoya valsé de l'autre coté de la pièce.
Il était enfin face a ce corps temps désiré, embrassa Mélanie dans le coup tendrement, passant une main experte dans son dos afin de libérer cette magnifique poitrine. Une fois fait il continua a descendre afin de placé ses lèvres sur ces tétons qui s'offraient a lui. Il les lécha doucement, puis les suça avec envie tout en malaxant ces seins si ferme et tellement excitant . Mélanie commença a gémir doucement, Jules semblait doué avec sa bouche et elle attendait la suite avec impatience. Il continua à s'occuper des seins de Mélanie avec sa bouche tandis qu'il commença a titiller son clitoris a travers l'unique vêtement qu'elle portait désormais.
Le corps de Mélanie ondulait sous les caresses de son partenaire, elle allait jouir sous peu, elle en était sure.
Jules continua sa descente, en embrassant le ventre de Mélanie, avec une lenteur toute calculé.
Il se mis a genoux, pour enfin se retrouver au niveau de l'entrejambe de sa compagne. Partant de l'intérieur des genoux de Mélanie, il l'embrassant progressivement, de plus en plus proche de son intimité. Mélanie n'en pouvait plus, il jouait avec ses nerf et elle allait explosé.
« Va y!!! » lâchât elle dans un soupir.
Déjà trempé de cyprine, le satin de sa culotte collait à son pubis et Jules pouvais admirer au travers du tissus le dessin de ses lèvre et une petite bosse laissant deviner son clitoris.
Tout en gardant sa lenteur délibérément exagéré, il retira la culotte de Mélanie.
Sa vulve totalement épilé, entièrement trempé s'offrait maintenant a lui. Il embrassant doucement son vagin, glissant la langue entre les grande lèvres pour aller titiller son clitoris. Mélanie en gémit de satisfaction. Jules senti le goût si délicieux de la cyprine lui couler dans la bouche. Ce contact si doux avec l'intimité de son amante lui donna une vague de plaisir qui sentit se décharger dans son pénis, à l'étroit dans son jeans. Il léchait, embrassait, alternant les moments doux avec le moments plus intense, jouait avec le clitoris, enroulant sa langue autour, le suçant, le léchant, il prenait un plaisir fou. Mélanie gémissait de plus en plus, son amant était un expert et il la faisait grimper aux rideaux. Les gémissements se transformèrent en crie de jouissance. La langue de son ami lui déversé des vagues de plaisir dans tout son corps, les muscles contractés, le dos cambré, elle attrapa la tête de son amant entre ses mains pour le collé encore plus près d'elle. Les coups de langues se faisant de plus en plus puissant, de plus en plus enivrant. Mélanie sentit l'orgasme s'emparer d'elle, son vagin se contracté sous les coups de langues de Jules, les spasmes secouer tout son corp, elle perdit tout sens de la réalité.
Jules sentit l'orgasme de sa partenaire arriver, accéléra la cadence, les cries de Mélanie s’amplifièrent, son vagin se contractait, il continua et au moment fatidique clissa deux doigt a l'intérieur du vagin de Mélanie, lui arrachant un dernier crie de jouissance.
Les deux amant reprirent doucement leur souffle, Jules se redressa et embrassa tendrement Mélanie.
Le temps de reprendre ses esprit, elle réalisa que cette orgasme n'avait que décuplé son envie, et maintenant elle le voulait en lui, tout de suite, la sur le bar de son appartement.
Elle lui arracha sauvagement son t-shirt, déboutonna son jeans, et libéra le pénis de Jules qui décidément se sentait à l'étroit. Faisant glisser le pantalon sur ses chevilles, elle caressa le sexe de Jules a travers son caleçon. Faisant tomber également le sous-vêtement, elle put enfin profiter de cette magnifique verge. Elle se saisie de son pénis et attira Jules vers elle.
Les jambes grande écarté elle attendait avec impatience que son amant soit en elle. Elle assise sur le bar, lui debout devant elle, il présentât son sexe imposant a l'entrée du vagin de Mélanie. Il la pénétra doucement, sentant son membre s'engouffrer lentement dans la chaleur intime de sa partenaire. Cette sensation lui tira un râle de satisfaction.
Il accéléra doucement ses vas et viens, son pénis tapant aux fond du vagin, ses hanches claquant contre les fesses de Mélanie, leur corps brûlant ne faisant qu'un, les deux amants déchaînèrent leur passion.
Mélanie se sentait totalement comblé par ce sexe, elle sentait son vagin inondé de plaisir se resserrer autour de son Jules, chaque aller retour lui donnait un plaisir immense, chaque parcelle de son corps recevait avec plaisir tout contact avec son partenaire.
Profitant de toute le longueur du pénis de son compagnon, Mélanie donnait de grands coups de hanches a chaque fois que Jules la pénétré au plus profond de son corps, collant leur corps avec passion, puis le sentait ressortir jusqu'à ce que le gland arrive à l'entrée de son intimité qu'elle contracté au maximum afin de ne relâcher ce délicieux contact sous aucun prétexte .
Les ondulations de leur deux corps se synchroniser parfaitement et procurait aux deux amant un plaisir intense.
Son deuxième orgasme arriva tellement rapidement. Ses cries de jouissance fit exploser Jules de plaisir.
Il accéléra ses coups de bassin, le claquement de le corps se fit de plus en plus violent, les cries de plus en plus fort, leur souffle de plus en plus court.
Il sentit les contractions du vagin de sa partenaire tout autours de son sexe, cette pénétration plus serré, accentuant le contact de leur corps, lui arrachât un râle et jouit au fond de sa partenaire.
Mélanie sentie les pulsations du pénis de Jules au fond d'elle déverser son sperme chaud.
Leurs mouvements se stoppèrent en même temps que leurs cries, les deux amants se serrèrent l'un contre l'autre, le souffle court, profitant du moment d'extase juste après un puissant orgasme.
S'embrassant, leurs sexes toujours emboîtés, ils restèrent là, sans dire un mot, ne relâchèrent leur étreinte seulement après de longues minutes.
Ils s'embrassèrent encore, et ce fut que le début d'une après midi inoubliable, suivie de bien d'autres.

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