Sexual Session ?
Depuis notre première rencontre (voir « Oh meu Brazil »), il ne se passait pas quelques jours sans que je ne reçoive un mail, un SMS ou un MMS de Paulo. Je pouvais suivre ainsi ce quil faisait, où il était
Bien sûr, très souvent, il me faisait marcher ( ?) en me parlant de ses soirées chaudes, en menvoyant des photos
Dans un de ses derniers messages, il me disait quil avait fait une transformation qui me plairait
En fait, pourquoi faisait-il tout cela sil nétait, comme moi, sérieusement accroché ?
De mon côté, je lui envoyais des photos de moi, avec le slip quil mavait donné. Au fil des jours et des MMS, je lui envoyais des plans de plus en plus rapprochés
Un matin, il y a de cela une semaine, jétais en train de déjeuner, vêtu du slip vermillon quil mavait offert et que je ne quittais guère-sauf pour le laver, on sonne à la porte. Sans prendre le temps de mhabiller, je vais ouvrir.
Il est là !! Sur le palier !!! Paulo !!!
La tête de quelquun qui na pas dormi
En me voyant, il lâche son sac de voyage et se précipite sur moi. Tout de suite, il cherche ma bouche. Je nai pas encore réalisé quil était revenu quil est déjà en train de membrasser goulûment. Il me serre de toutes ses forces. Sans le lâcher, je lentraîne dans le couloir de lappart et re-claque la porte du pied. Là, on se dévore littéralement la bouche. Je fourrage dans son abondante chevelure et tire sa tête vers moi. Sa langue déchaînée, virevolte dans ma bouche. Son baiser ne veut plus finir. Il se colle à moi de tout son corps. Tout en continuant à me dévorer la bouche, il cherche à se débarrasser de son tee-shirt en le passant par-dessus sa tête. Jen profite pour le débarrasser de son bermuda que je fais glisser à ses pieds. Il mapparait à nouveau en slip brésilien fuchsia ourlé dun petit liseré vert granny, super moulant, qui tranche parfaitement avec sa peau café au lait, déjà déformé par sa poutre qui se dresse à la verticale.
Je le colle au mur du couloir et me frotte à lui en lui malaxant à nouveau son fabuleux cul. Jai passé mes mains sous le fin tissu et je men donne à cur joie. Il me laboure le dos de ses ongles. Je passe mes mains sur le devant de son slip, toujours sous le tissu pour lui caresser la bite. Tiens, il sest rasé complètement la touffe et les couilles, il na laissé que sa ligne de poils. Ca doit être ça la transformation dont il me parlait
Tu parles si ça me plait ! Cest super doux sous la main ! Je sens dautant mieux ses couilles et sa bite vibrante et déjà mouillée ! Trop cool ! Il marrache littéralement mon slip enfin - le sien. Jen fais de même avec le sien. Nous voilà complètement nus, collés de tout notre corps lun à lautre, complètement avides lun de lautre. Il se met à se frotter contre ma bite, contre mon ventre. Trop bon. Jai empoigné ses fesses et le tire vers moi, en cadence. Je comprends quil veut jouir ainsi, rapidement, sauvagement. Moi aussi, jai envie de jouir ainsi.
Ses frottements se sont encore accélérés. Jadore sentir sa bite se frotter ainsi à toute vitesse contre la mienne. Je le sens se raidir et, brutalement, il minonde le ventre de la chaleur de son foutre. Il a empoigné mes fesses et imprime un mouvement puissant et rapide à mon frottement. Ca mexcite tellement que je ne tarde pas à jouir moi aussi sur son ventre. Nos ventres, nos torses sont collés par notre semence. Nous ouvrons les yeux en même temps et on rigole de bonheur. Il fallait ça pour se retrouver totalement. Ca ne fait pas dix minutes quil est entré et on a déjà joui tous les deux ! Il me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux. Dun doigt, il prend un peu de sperme sur nos ventres et me le dépose sur le fin trait de moustache que je me laisse pousser.
- Oh ! Meu Paulo ! Je lui chuchote à loreille.
- You miss me
hard ! Me souffle-t-il. Wow ! My bag !!
Je réenfile mon slip et je file sur le palier. Ma voisine den face sort à cet instant
- Jallais te lamener ! Wow ! Super slip !! Et
Passe une bonne journée ! Me dit-elle, en rigolant de bon cur
Bien sûr, elle a entrevu la silhouette nue de Paulo qui sencadre dans la deuxième porte du couloir. Du coup, elle narrive plus à décrocher son regard de cette apparition de rêve. Elle a aussi dû être submergée par lodeur de foutre que je dégage
Elle sait que je suis homo. Elle na rien contre. Elle est super sympa et
jolie en plus.
Je raconte ma petite mésaventure à Paulo qui rit de bon cur.
- Oh ! I have a gift for you! Me lance-t-il.
Il fouille dans son sac et en ressort une belle pile de slips et de maillots de bain très souvent, lors des shoots de mode, on lui en laisse en lincitant même à les porter. Il a sans doute remarqué, la dernière fois, que jadorais ça.
- Oh thanks! Very very kind!
Ils sont tous plus beaux les uns que les autres. Très classe, très sexy aussi. Jen enfile un tout de suite, vert granny, très slippé.
- Have you taken your breakfast?
-Yes, in the plane. But, a coffee?
Nous voici, face à face, attablés à la petite table de la cuisine. Paulo est resté nu. Il adore se balader à poil, ça doit être son côté exhib, il moffre ainsi sa nudité, en cadeau, rien que pour moi. Faut dire que le regarder ainsi déambuler est un bonheur de chaque instant : un corps superbe, une gueule dange. Finalement, il pouvait difficilement échapper au métier de top model.
Je le complimente sur sa « nouvelle coupe du bas ventre ». Il rigole et me dit que cest pour moi quil la fait. Je fonds.
- Later, you can also refresh mine ?
-Of course, as you want. »
Pourtant, je lui trouve une toute petite mine. Est-ce la nuit quil a passée dans lavion ? Nos ébats de tout à lheure ? Le décalage horaire ? Je lui dis.
- Oh, yes! Im really tired. Too much work, too many flights, too many people
» Il est au bord des larmes en disant cela. Lui dhabitude si dynamique, si volontaire, si enjoué. Il a lair au bord du burn out
Il est grand temps de faire quelque chose.
- I have some days without anything to do. Can I stay here, with you?
- Of course! But I mind if there is something better to do for your health. Il me vint une idée.
- Do you like wildlife?
- Wildlife?
- Yes, nature, without cars, mobiles, TV, computers. Nature, deep nature!
-
Yes!!
- Do you like hiking? Sleeping under a tent?
-
Yes!!
- Here we go!!!
Ce dont Paulo a besoin, en ce moment, cest dune coupure totale avec son milieu professionnel de strass, de paillettes, speedé. Jespère que ça lui fera le plus grand bien.
On rassemble quelques affaires et on passe à la douche. Jen profite pour lui demander de me rectifier ma « coupe du bas du ventre » à moi aussi. Ce quil me fait sans se faire prier.
- Follow your inspiration ! je lui lance.
Le voilà à genoux, face à moi en train de me badigeonner le pubis de mousse à raser. La mousse est très douce, sa caresse aussi
Je ne peux empêcher ma bite de prendre du volume.
- Dont move ! Its better if its strong !.
Tout en passant doucement le rasoir mécanique, il me tient la bite par le gland - prétexte, elle tient toute seule. Cela lui permet de mexciter le gland du bout des doigts. A voir sa bite enfler, je vois que ça lexcite aussi. Finalement, il me dessine un arc, coupé très raz. Au final, il ne peut sempêcher de me titiller le gland du bout de ses lèvres pulpeuses.
- Do you need a little blow-job?
- Well, just a little one!
On a pas mal de route à faire. Gardons un peu dénergie. On verra ce soir
Nempêche que la caresse de sa bouche sous le jet deau chaude de la douche est délicieuse.
A peine partis, il commence à somnoler et à avoir du mal à continuer à discuter. Il dégrafe sa ceinture de sécurité et pose sa tête sur ma cuisse. Il sendort presque instantanément. Il dormira ainsi les trois heures que durera le voyage. Je suis aux anges. Je me fous pas mal de ce que pourraient penser les routiers qui croisent notre voiture. Je fais juste gaffe aux flics, car il a retiré sa ceinture. Il dort comme un bébé, sa bouche légèrement entrouverte laisse voir ses deux incisives du haut. Mignon comme tout. Pendant tout le voyage, jaurai une boule au creux du ventre, la bite légèrement bandée et je narrêterai pas de regarder son beau visage. Japprécie aussi la confiance quil me fait en dormant pendant que je conduis. Pendant tout le trajet, je poserai ma main droite dans ses cheveux, sur son torse, sur ses tétons - il a laissé sa chemisette ouverte - sur ses fesses
A un moment, sans lavoir vu arriver, un motard de la police me double, jette un coup dil et aperçoit Paulo entrain de dormir sur mes genoux. Aussitôt, il me double et me fait signe de me garer. Vais-je réveiller Paulo ? Je décide dattendre voir. Le motard, très jeune et seul (?) me signale que mon passager nest pas attaché. Du coup, il le regarde plus en détail et là, chose extraordinaire, je le vois se troubler et perdre de son assurance devant la beauté de ce quil voit : un homme superbe ; assoupi, abandonné. Pour le coup, il se contente juste de me demander de faire attention !! Je nen reviens pas. Faut croire quil devait avoir des penchants homos.
En arrivant au petit village de montagne où on allait laisser la voiture pour trois jours, il trouvait déjà tout très beau. On séquipe avec le strict minimum, on achète de la bouffe pour trois jours, il sachète des chaussures de rando et nous voilà partis.
Il marche dun très bon pas. Je lui explique quen montagne, il faut savoir maîtriser son allure te son souffle. Il rigole. En plus, cest lui qui a voulu porter le sac le plus lourd. On monte dans les alpages, tout est en fleur, cest magnifique. On croise deux randonneurs qui redescendent et puis, plus personne. Le soleil tape fort. Je repère un petit ruisseau, assez loin de la trace, en contrebas. On y descend. Paulo a déjà fait glisser son short, enlevé son slip et il patauge dans leau fraîche, sasperge, masperge comme un gamin. Il est magnifique ainsi ourlé de gouttelettes deau partout sur le corps, dans le soleil resplendissant. Je vais avoir du mal à ne pas lui sauter dessus tout de suite
Me voilà à poil, moi aussi. Du creux de sa main, il me verse de leau sur les épaules, le ventre, les cuisses, pour me rafraichir.
- You have missed one place! lui dis en rigolant. Il me verse de leau sur la bite qui se dresse, se dresse.
- Is it a sexual session or only a sport session?
- Guess
Il samuse ainsi gentiment à me rafraîchir la bite, les couilles.
- You know, we are probably alone in this mountain.
Il rigole, il a compris lallusion. Doucement, il commence à me pomper le gland. Je lui caresse les fesses, la raie. Délicatement, il enfonce sa bouche sur mon pieu, essayant de mengloutir complètement. Je verse un peu deau fraîche dans sa raie. Ca le fait tressaillir. Ca me fait un effet terrible de sentir ainsi la chaleur de sa bouche tout le long de ma tige. Je caresse ses cheveux. Après un bon moment passé à me pomper, il sallonge sur le ventre et semble attendre quelque chose. Je lui caresse ses globes, parcours sa raie, prends un peu deau dans ma bouche et lui verse lentement dans la raie. Il adore. Puis, je lui titille la rondelle, dabord à petits coups de langue, puis je le lèche carrément. Il ronronne comme un chat. Jai glissé ma main sous son ventre et lui caresse la bite de ma paume. On na pas dans lidée de se déchaîner sur ce coup-là. Il reste encore du chemin à faire dici ce soir. On sallonge côte à côte, mains posées sur le ventre de chacun. On se bronze. Ca ne manque pas. Un jeune couple passe tout là-haut sur la trace et se retourne plusieurs fois pour nous mater après nous avoir dépassés.
- Alone, ha? persifle Paulo. Je rigole.
Au bout dun moment, on se remet en route. On marche ainsi encore trois bonnes heures. On sapproche dun endroit que je connais, près dun ruisseau où on pourra planter la tente, en lisière dun petit bois. Paulo est ravi de tout. Des paysages, de la solitude, du montage de la tente, du bois quon ramasse pour le feu. Tout lenchante. Cest vraiment léquipier idéal - à tous points de vue ! Je lui apprends à allumer le feu avec les brindilles de bois sec. On décide de cuire la viande pour la conserver plus facilement.
- Its really amazing, Jo! Obrigado for these moments! A real medecine. Real life is here, isnt it?
On passe la soirée à discuter de toutes sortes de choses. Paulo sest allongé dans lherbe, la tête posée sur mon ventre. Ma main passe longuement dans ses boucles, les démêlant lentement. La nuit tombe doucement, les étoiles sallument une à une. Le temps est idéal. Paulo adore rajouter des branches, entretenir le feu. Garçon des villes qui découvre une autre façon de vivre
- We go to
sleep?
Il a hésité sur le dernier mot. Est-ce vraiment le bon mot ? On assemble les deux duvets pour nen faire quun. On se déshabille mutuellement, en se caressant. On sallonge sur les duvets. Je caresse lentement Paulo, partout, partout. Je parcours son corps de mes lèvres humides. Il se laisse faire comme le ferait un chat. Il pourrait ronronner de plaisir. Je fais durer, durer ces caresses en me rapprochant de plus en plus de son bas ventre. Je veux le faire languir. Dailleurs, il ny tient plus, Att ma tête et la dirige vers son sexe. Je résiste. Et y arrive lentement par lintérieur de ses cuisses, à grands coups de langue. Il tend son bassin vers mes lèvres. Attends Paulo, attends ! Ma bouche est toute proche de ses couilles. Deux beaux petits kiwis mattendent. Je les lèche, les suçote, les gobe doucement. Il sarcboute de plus en plus. Je remonte le long de sa tige avec ma bouche, je lape son gland, avale sa mouille, titille son frein avec le bout de ma langue, il bondit. Je le gobe, descends, descends, remonte, glisse. Je sens son dard vibrant dans ma bouche, son barreau de vie. Trop trop bon. Je le pompe ainsi un temps infini. Ses mains virevoltent sur mon dos, il me griffe. Puis, je le retourne. Sa bite frotte le duvet en cadence pendant que je lui masse les fesses, faisant glisser ma queue dans sa raie.
- Fuck me, Jo! FUCK ME!!
Je lenduis de gel, je menduis. Je passe un doigt, le dilate et aussitôt pousse avec la tête de ma bite. Il la empoignée et la tire vers son trou, avide dêtre pénétré enfin ! Je pousse dun coup. Il pousse un petit cri. Je ne bouge plus. Cest lui qui se met à remuer, à aller et venir sur ma bite fourrée au fond de lui. Je le laisse aller à son rythme. Il me veut tout en lui. Je reprends linitiative des va-et-vient en accélérant à chaque fois. Maintenant, je le pilonne à mort. Mes couilles claquent contre son cul à chaque fois que je le bourre. Il tourne la tête et mencourage du regard à le défoncer encore plus vite. Il gémit, gémit de plaisir. Je nai pas senti arriver léjaculation. Tout est arrivé dun coup : la chaleur, les frissons, le sperme, la jouissance, le cri qui résonne dans la nuit. Je continue à le pistonner en ralentissant lentement. Il a senti la chaleur de mon foutre se répandre dans son ventre. Je souffle et récupère un peu. Il se met sur le côté, toujours enchassés lun dans lautre.
- Wank me! Wank me!! Supplie-t-il.
Jempoigne sa bite dégoulinante de mouille. Elle vibre dans ma main tremblante. Comme il sest bien échauffé contre le duvet, je le sens proche de lexplosion. Jaccélère la cadence. Il a basculé sa tête en arrière, dans le creux de mon épaule et cherche ma bouche. Jaccélère encore. Jadore le branler, le sentir à ma merci. Wouaah ! Un long jet de sperme a jailli sur le duvet. Je le récupère et enduit son torse avec. On redescend ainsi tout doucement, avant de sendormir en chien de fusil. La fraîcheur de la nuit nous fera nous glisser dans le duvet.
A laube, dans un demi-sommeil, je fais un rêve érotique. Les sensations physiques sont extra. Jusquà ce que je comprenne que cest Paulo qui me tripote très très doucement le gland. Je décide de continuer à faire semblant de dormir. Pour voir. Très délicatement, par petites touches, il répartit la mouille quil a prise sur mon gland sur toute ma tige dressée par lérection du matin. Ce que je sens bien, aussi, cest sa queue bandée dans ma raie, immobile. Je lavais deviné mais ça se confirme, Paulo a de gros besoins sexuels. Deux fois par jour, cest un minimum. Ce nest pas moi qui vais men plaindre ! Au bout dun moment, je lui prends la main pour lui indiquer quil peut y aller carrément. Trop bon de se faire réveiller ainsi ! Il me laboure la raie de plus en plus vite. Tout en me branlant de plus en plus rapidement, cherchant à me faire juter. Il a joui avant moi, dans ma raie. Jai senti sa semence se répandre dans le creux de mes reins.
Il continue à me branler du bout des doigts, le pouce au-dessus et les quatre doigts sous la tige, vers le frein. Il connait parfaitement les bonnes méthodes ! Je jouis dans sa main. Il étale mon jus sur mon ventre. On replonge assez vite dans le sommeil, pendant un certain temps. On ne sait pas combien. On na pas pris de montre, exprès.
Cest Paulo qui sest réveillé le premier, il est sorti de la tente, a réenfilé un slip ; et sétire en faisant quelques mouvements de gym. Je le vois par lentrebâillement de la tente, laissé ouvert. Il relance le feu et vient me chercher pour quon aille se laver au torrent. Waaoouuh ! Le matin comme ça, elle est vachement plus fraîche quen journée ! Lui, pas du tout frileux pour un gars du soleil, se balance de grandes rasades deau sur tout le corps. Puis, on entreprend de se savonner mutuellement. Bien sûr, ça relève plus de la caresse que de la toilette, mais bon. En tous cas, cest super dêtre ainsi, nus, seuls au monde, à la fraîche, dans un paysage aussi grandiose. Pendant ce temps, leau du café a eu le temps de chauffer.
- Can I walk with my swinsuit only? me demande Paulo
-Why not ?
Il a donc enfilé un superbe hipster de bain, jaune et vert qui lui va à ravir. Pour laccompagner, je reste en maillot, moi aussi. On plie le camp, éteint le feu et cest reparti pour une bonne journée de marche. Paulo caracole toujours en tête, marchant dun bon pas.
- I take pictures with my mind, they will be better than with a camera !
Tu as raison. Fabrique-toi des souvenirs. Cest ce qui enrichit vraiment. Tout à coup, on entend plusieurs fois des sifflements.
- What is it?
- Marmots cry, probably.
- Marmot??
- We will try to see one.
Et nous voilà à scruter après les marmottes, tout en marchant. A un moment, jen vois une, dressée sur un rocher.
- Look there!
- Wow! I never seen before
- Of course, in big towns, there are none.
La matinée passe ainsi rapidement. A grimper ainsi toujours plus haut, le paysage sépure, devient plus minéral, plus large. Magnifique. Comme on croise à nouveau un petit ruisseau, on décide de sarrêter là pour la pause repas. Paulo, qui adore leau a déjà enlevé ses chaussures et sest assis dans le fil du courant, pour se rafraîchir. Il mincite à en faire autant. Bien sûr, il ne peut sempêcher de masperger tant et plus. Je lui rends bien la pareille tant et si bien que ça finit rapidement en séance de catch, pour rire, dans lherbe. Cest surtout loccasion de sempoigner, de se coller, de se toucher, et même de glisser sa main dans le slip de lautre ! Aimable prétexte. Ca finit par un tendre et long baiser. On casse la croûte et on sallonge ensuite côte à côte pour la sieste. Combien de temps a-t-on sombré ainsi ? Quimporte ! On repart, requinqués.
A Paulo, ça lui plait de plus en plus, cette escapade. Il narrête pas de me le dire. Cest vraiment ce quil lui fallait, à ce moment précis.
Nous voici en vue dune sapinière. On commence à la traverser en suivant le sentier. Tout à coup, Paulo me prend la main et mentraîne dans le sous-bois
.Je crois comprendre. En fait, il a repéré une tache verte ensoleillée, assez loin à lécart de la trace. Cest vers ça quon se dirige. Arrivé sur place, on se débarrasse de nos sacs et de nos chaussures. Il mallonge sur cette belle herbe grasse. Un super lit ! Il commence à me caresser partout. Viens, Paulo, viens ! Je ne serai jamais rassasié de toi ! Sa bouche sattarde longuement sur mon slip de bain largement gonflé. Jai glissé mes mains dans son hipster. Il me met en levrette et menduit de gel, sans menlever le maillot, simplement en lécartant. Il en fait autant sur sa bite. Il me dilate un peu dun doigt puis vient présenter son dard en le glissant sur le côté de mon maillot. Jadore. Une tendre poussée, il y est. Une autre, il commence à progresser. Il fait exprès daller lentement pour que je le sente mieux venir en moi, que lui aussi ressente mieux ses sensations. Cest tendre, cest doux. Il finit par glisser totalement sa belle bite en moi. Je sens bien son barreau. Il me met sur le dos et se met à me limer très lentement, sans augmenter sa cadence. Il va ainsi me limer, toujours au même rythme lent, pendant dix bonnes minutes. Au fil des minutes, je me mets à ressentir des sensations que je nai jamais connues ! Incroyable ! Cest une vraie merveille. A quoi ça tient ? Je nen sais rien et je men fous. Je savoure.
- How do you know that?
- Its an old Indian man who told me.
Je ne voudrais plus que ça sarrête ! Jamais ! Paulo est aux anges de voir mon visage en extase. Il est fier de me donner ça. Il a raison. Il fait mine de se retirer. Je le retiens
- More, please! More!
Il continue à me combler, longtemps. Puis, sans avoir joui, il se retire. Trop trop bon. Trop top.
- Obrigado Paulo, Paulo merci !
- You are welcome! répond-il, très majordome anglais.
Je crois que je suis loin davoir découvert toutes les facettes du bonhomme ! On se remet en route. Deux heures plus tard on arrive en vue dun refuge de montagne. On y entre pour racheter un peu de nourriture. Je demande à Paulo sil préfère dormir au refuge cette nuit.
-Oh! NO!! Under the tent!
Cest un cri du cur
Encore quelques heures de marche et il est temps de sarrêter pour la nuit
Dans la dernière heure de marche, on a commencé à ramasser du bois pour le feu du soir. Cest la deuxième nuit et Paulo est déjà rodé pour linstallation du camp. Il est toujours aussi motivé. La soirée se déroule tranquillement. Le feu crépite en envoyant des gerbes détincelles vers le ciel. Paulo a sorti son harmonica et joue des airs de bossa. Parfois il sarrête pour reprendre en chantant. Cest très beau. Magique. La nuit tombe et jindique à Paulo quelques constellations que je connais. On est serré lun contre lautre, épaule contre épaule, cuisse contre cuisse.
- Fuck me here, under the stars
Me souffle Paulo à loreille.
Je commence par le sucer avec fougue. Il appuie doucement sur mon crâne. Il veut que je le pompe entièrement. Il soulève son bassin en cadence. Il me baise la bouche, en fait. Cest trop cool de le recevoir ainsi, de le sentir sexciter progressivement, de lui donner ce plaisir à volonté
Jen profite pour caresser son corps fabuleux, ses abdos, sa ligne de poils, son nombril. Je passe mes mains sous son cul et le soulève vers moi. Ca décuple son excitation. Sa bite a une si bonne odeur. Une odeur de mâle, une odeur de sexe. Je le chauffe ainsi à blanc, pendant un bon moment. Jai envie de sa bite dans mon ventre, une fois encore. Je viens me placer au-dessus de son pieu que jenduis de gel à ce rythme-là, le tube ny suffira pas ! Je dirige sa queue vers mon trou et je descends brutalement. La douleur satténue très vite. Je monte et je descends à ma guise sur son mât de plaisir. Il ma saisi la bite et me branle lentement. Trop bon ! Jaime quand jarrive jusquà ses couilles, quand je le sens contre mon trou. Jaime le bruit de succion que fait sa bite en coulissant. Je fais durer, durer.
- I want your ass
Il ne demande que ça. Il se met en levrette ; bien cambré. Après lavoir enduit, jentre en lui sans difficulté. Jentre dans son antre chaud. Il ondule, vient à ma rencontre, en veut plus. Je le prends aux hanches et le tire à fond vers moi. Il gémit. Je me mets à le limer puissamment. Je décris de petits cercles avec ma bite. Il glousse. Parfois, je marrête, à fond dans lui. Parfois, je ressors complètement et le pénètre dun coup
Je lui ai réservé une petite surprise. Jai amené avec moi un anneau vibrant. Jai envie dessayer, pour voir. Je ne le préviens pas. Je lenfile jusquau bas de ma bite, le règle en position3 et le pénètre à fond. Jattends, collé à son trou. Il tourne la tête, intrigué.
- Chuttt ! Love technology! » Je lui souffle à loreille.
Il se met à remuer en gémissant. On dirait quil apprécie. Jessaie de le limer à nouveau mais il magrippe les fesses et me colle à lui. Il veut rester en contact avec « le truc qui vibre » ! Alors je lui donne de grands coups de reins, tout en restant collé. Je dois dire quà moi aussi, ce petit truc fait de leffet
Paulo veut voir et savoir. Alors je le remets sur le dos, retire lanneau, lui enfile et mempale à fond sur lui. Le voilà quil me pilonne à toute vitesse, en remontant et descendant son bas ventre. Je mexcite grave sur ma bite. Je sens venir. Je jouis sur son torse, jusquà son visage. Lui aussi jouit presque simultanément. Il sest retiré à la dernière seconde et minonde le torse. Complètement maculés de sperme, on retombe lun sur lautre. On se colle, on senduit. On rit de plaisir. Lodeur nous submerge. On décompresse.
- Its a gift. For you. Lui dis-je en lui donnant lanneau.
On va se relaver au ruisseau. On rentre le duvet et on sendort dun lourd sommeil, repus
Cette nuit restera à jamais gravée dans ma mémoire. Jen suis sûr.
Cest le soleil qui me réveille. Je le cherche de la main. Rien. Jouvre les yeux
personne. La tente est ouverte. Je passe la tête dehors. Il est là, juste devant à faire des pompes. Ila déjà rallumé le feu. Increvable ! Je lui chatouille la plante des pieds. Ca lui fait perdre tous ses moyens. Il sécroule sur le sol. Je lembrasse sur les fesses et lui propose un café. En le buvant, je pense que cest notre dernier jour en montagne. Demain, déjà, il devra repartir, happé par sa vie trépidante. Je décide de ne pas céder au blues et de faire de cette journée, un feu dartifice, pour lui, pour nous. On se met en route.
- Today, we have to climb down until the village, OK?
- Sim !
Evidemment, descendre demande moins defforts et du coup lallure saccélère, mais on veut quand même prendre son temps. Je cueille quelques fleurs jaunes que je pique dans ses cheveux, avec quelques feuilles vertes. Voilà le dau brésilien, à lunisson avec son maillot de bain.
- France is a very very nice country! Indeed! lance Paulo
Finalement, il adore la rando de ce style, réduite au minimum, en contact direct avec la nature. Petit à petit, on sapproche de midi. A nouveau, on sarrête près dun filet deau, à lécart de la trace, derrière un repli de terrain.
- We can eat all we have. This evening, we will be at the village
- I invite you to the restaurant!
On sallonge ensuite au bord de leau pour ce qui doit être au départ une sieste. Mais je crois que Paulo ne lentend pas ainsi. Il a posé sa tête sur mon maillot, en guise doreiller et fait mine de ne pas arriver à trouver le sommeil. Il se tourne, se retourne, se re-retourne
Ca na quun but, bien sûr : mexciter. Cest réussi. Voilà que maintenant il trouve loreiller
un peu dur ! Ca commence donc par une belle séance de fellation dans laquelle il déploie tout son savoir-faire et il est grand ! Il vient ensuite se mettre à califourchon pour moffrir son slip à portée de bouche. Je le malaxe, le tripote, le triture, le mordille. Il ny tient plus. Il le baisse un peu pour moffrir loriginal. Je préfère me déchainer sur son trou, alors je le retourne. Il gémit. Je le lape. Il râle. Je vais ainsi le chauffer à blanc un bon moment. Puis, je mallonge sur le dos et je lattends. Il vient se placer au-dessus de mon pieu, menduit et descend. Je contrôle sa descente de mes mains, juste pour le faire languir car je sens quil voudrait sempaler dun coup. Une fois complètement empalé, je le laisse se déchaîner, me concentrant sur sa bite. Il coulisse, dabord lentement, en me serrant les flancs de ses genoux puis il accélère légèrement, resserrant son muscle sur ma queue. Trop bon ! Jai empoigné sa bite avec mes deux mains superposées et je la presse tout en la branlant puissamment. Son visage irradie. Il me vient une idée. Je me dégage et viens mallonger en travers du filet deau, les fesses dans leau. Il se replace sur moi, amusé. Leau fraîche surajoute à notre excitation. Son va-et-vient devient de plus en plus rapide. Je me tends et me détends en jouissant deux longs jets dans son cul. Je me déchaine alors sur sa bite. Il a empoigné mes mains et on le branle à quatre mains. Je méchappe dune main et viens verser de leau fraîche sur sa queue. Ca lexcite grave. Un très grand jet de sperme sélève, puis deux autres.
Apaisés, on en profite pour se relaver un peu. Pour le coup, on sendort un peu, sur le bord. Requinqués, on se remet en route. Vers la fin de laprès-midi, on se fait doubler par un très jeune couple qui redescend aussi. On sympathise et on discute un bon moment. Je traduis pour Paulo. La jeune femme, Emilie, a lair éblouie par Paulo. Faut dire quil y a de quoi ! A une pause, on se sépare.
Bientôt, on commence à apercevoir les toutes premières maisons du village, loin là-bas, tout en bas. Mais il y a encore bien deux bonnes heures de marche avant datteindre enfin le village. Paulo est un peu désolé de retrouver la civilisation, ses voitures
Je lui dis que ça fait ça à chaque fois quon passe ainsi quelques jours en dehors de tout. On sest rhabillé. Oh ! Juste un short. On ne veut pas non plus affoler les populations. Comme il est trop tard pour repartir en voiture, on se met à chercher un endroit pour dormir. Finalement, on trouve un chalet, tenu par un jeune couple qui na que deux chambres et qui fait aussi les repas. Et comme Paulo mavait promis de minviter au resto ! La chambre est aménagée dans les anciens greniers à foin du chalet. Cest très joli comme déco ! Il ny a que deux lits simples quon a vite fait de rapprocher. On part faire un tour dans le village, discutant avec les gens sur le pas de leur porte. Paulo est de plus en plus conquis par cette vie simple. Le repas du soir est délicieux, fait avec des produits locaux. Les gérants ont très sympa... On discute un bon moment avec eux, en fin de soirée, puis on se souhaite une bonne nuit. On saccoude au balcon pour admirer la nuit, humer lair parfumé dune odeur de foin coupé. La lumière de la chambre dà côté séteint. Assez vite on perçoit des grincements « caractéristiques » de bois qui craque en cadence. Paulo me donne un coup de coude et cligne de lil. Les bruits saccentuent, des gémissements se font entendre. Ca a le don de mettre Paulo en transe. Moi aussi, dailleurs. Déjà quil démarre au quart de tour
Sa bite sest dressée dun seul coup.
- Slowly! We have all the night
Je lui souffle.
On entend encore plus les craquements, les gémissements et même la tête du lit qui claque en cadence contre le mur de bois. Paulo ny tient plus. En un éclair, il marrache mon short, fait glisser mon slip, écarte mes jambes au maximum, sagenouille derrière moi et entreprend de me titiller la feuille de rose de sa langue, tout en me caressant lintérieur des cuisses, le ventre. Cest bon. Je le sens qui me lèche à grands coups de langue, je sens la pointe de sa langue qui me titille le trou. Il mécarte les globes, le plus quil peut. Je creuse les reins au maximum pour moffrir du mieux possible à sa caresse. Je le sens très excité par tous ces bruits érotiques. Il disparait alors à lintérieur de la chambre. Jen profite pour me débarrasser de mon tee-shirt. Je suis donc nu, moi aussi. Je ne sais pas pourquoi, ce soir jai envie de le taquiner un peu. Le voilà qui revient, totalement nu, bandant comme un âne, le tube de gel à la main. Le voir ainsi, me fait aussitôt repenser à une statue de dieu romain ou grec, je ne sais plus, le dieu Priape, je crois.
Je mapproche de lui, fait mine de comparer nos sexes, je sais que la sienne fait trois bons centimètres de plus que la mienne, puis je veux engager un duel, nos bites remplaçant les épées
Lui, ne pense quà un truc : me défoncer. Je reviens près de la rambarde du balcon - heureusement que le chalet na pas de vis-à-vis, quil est un peu à lécart du village et que la nuit est tombée-, jécarte les jambes et je lattends, soumis à son désir. Il senduit, menduit et me perfore dun seul coup de bite fulgurant. Jai senti comme un coup de poignard et me suis retenu pour ne pas crier. Il ne bouge plus, il attend. Quand la douleur a disparu, je me mets à remuer. Il commence à me limer tout en puissance. Il ma saisi par lintérieur des cuisses, me tire fortement vers lui à chaque coup de boutoir en me faisant légèrement décoller. Un coup encore plus fort et il ma littéralement mis à lhorizontale. Je me retiens à la rambarde, serrant ses flancs de mes cuisses. Il me pistonne ainsi un moment. Les sensations sont différentes pour moi. Je décide alors de lui en donner encore plus. Avec les mains, je descends les barreaux de la rambarde jusquà me retrouver la tête au sol, complètement à loblique. Il grogne de plaisir, la position lexcite et moi, je sens dautant plus sa bite me labourer.
- Bourre-moi, Paulo ! Fuck me strong!!
Il décide alors de me ramener dans la chambre. Les bruits se sont encore accentués. Les gémissements sont à deux voix, les claquements de la tête de lit redoublent dintensité. Belle résistance ! Ca rend fou Paulo. Il me jette sur le lit et vient tout de suite en moi. Je passe mes jambes sur ses épaules pour lavoir encore mieux en moi. Notre lit aussi grince affreusement. Pas grave ! Maintenant, les bruits sont synchrones des deux côtés du mur. On dira que cest de la stéréo. Jai même limpression quils ont encore augmenté. Les gémissements de la fille sont impressionnants. Paulo décuple ses coups de bite. Jadore la situation. Tout à coup on tend un hurlement qui se finit presque en sanglot. La fille a eu un orgasme de première. Encore quelques claquements et un cri rauque. Ces deux-là ont dû se prendre un pied denfer. Les bruits se sont brusquement arrêtés. Pas les nôtres. Paulo commence à être sérieusement en sueur, il continue à me secouer comme un prunier à chaque coup de bite. Sa bite me brûle mais je ne voudrais pour rien au monde que ça sarrête.
Apercevant le petit anneau vibrant sur le chevet, je latt et le propose à Paulo. Il se retire, je le règle à 3, lui enfile et cest reparti. Trop cool de sentir cette légère vibration contre mon trou. Je ne peux déjà plus men passer ! Mes mains ont du mal à agripper ses fesses tant elles sont en sueur. Paulo est toujours à me ramoner de toutes ses forces. Quelle endurance ! Il se met à crier, ses fesses se durcissent, un râle, il jouit longuement et sabat sur moi en même temps, anéanti. Il est brûlant. Il ne bouge plus. Il cherche juste à retrouver son souffle. Je lui sèche le dos avec le drap, le cul, les cuisses. Il sapaise tout doucement. Il ne bouge plus du tout, mécrasant de tout son poids. Belle « petite mort » ! Plus vraie que vrai !
Je me dégage tout doucement, le retourne sur le dos et linstalle confortablement. Il dort !! Totalement relâché, débranché. Il est trop beau ainsi. Je décide de le prendre en photo avec mon portable, rien que pour moi, pour les jours sans. Je léponge avec le drap partout et le recouvre du seul drap. Il fait encore très chaud malgré la porte-fenêtre ouverte.
Jessaie de trouver le sommeil, à ses côtés. A un moment, il remue et me cherche de sa main. Il me tire vers lui, en chien de fusil. Tout doucement, à voix basse, il commence à me parler. Il me remercie du fond du cur pour ces trois jours passés en pleine nature. Il a a.d.o.r.é ! Ca la reboosté complètement. Mais il a aussi senti ma bite raide dans sa raie. Alors, il menduit, senduit et soffre à moi. Je le pénètre tout doucement, tout doucement. Une fois en lui, je ne bouge plus du tout. Se sentant merveilleusement bien, en pleine intimité, il continue ses confidences. Des moments incroyables qui nous soudent. Il me dit quil aime par-dessus tout faire lamour avec moi. Que jamais, avec ses autres amants, il navait ressenti ça
.. Puis il me parle sa vie au Brésil, de sa jeunesse, de sa vie de top model, des défilés, des coulisses et de ce qui sy passe
Il me pose aussi tout un tas de questions sur moi, comment je suis devenu homo
. On finit par sendormir, très très tard. On remettra ça, au cours de la nuit, en espérant ne pas réveiller nos voisins
Raté ! Eux aussi, ça devait les exciter dentendre ces bruits. Ils ont remis ça, tout de suite après nous.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, qui on retrouve à la deuxième table - et donc, à la deuxième chambre, le très jeune couple quon avait rencontré dans la montagne en redescendant ! On rigole carrément, eux aussi. Paulo leur demande même :
- Did you have a good night?
Ils se marrent et nous invitent même à leur table. Très sympas, très ouverts, pas du tout surpris quon soit homo, bourrés dénergie. Paulo en rajoute :
- Next time, we will take only one bedroom, no?
Mais, il est temps de se quitter. On se promet de se revoir avec le jeune couple Emile et Emilie ! Le retour vers laéroport sera très tendre car on sait quon se reverra encore longtemps.
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