Je Ne L'Ai Pas Fait Pour Les Diplomes ....
Ça cest passé un mois avant la fin de lannée, juste avant mes dix huit ans, au retour dun weekend, dans le pensionnat pour jeunes filles réputé, ou je finissais mes études, certaines filles réussissaient brillamment tous leurs examens, malgré de grosses lacunes
- Mademoiselle Martinez veuillez vous présenter au bureau de monsieur le directeur immédiatement sil vous plait
- Ah ? que se passe-t-il ?
- Vous le saurez rapidement
Intriguée je vérifie ma tenue, lisse ma jupe plissée, vérifie le bon positionnement de mes bonnets de soutien-gorge, recoiffe mes cheveux et monte au troisième étage chez monsieur Antonin
toc-toc
- Entrez !
- Bonjour monsieur le directeur, vous mavez fait demander ?
Cet homme de soixante ans environ, le regard perçant derrière de petites lunettes rondes le rendait encore plus vicieux, ça lui valait le surnom de renard des sables, il mattend les mains derrière le dos, lair grave, les rideaux tirés entretiennent une certaine pénombre dans la pièce, jai pensé que cétait pour maintenir la fraicheur
- Approchez-vous Anita
je vais aller droit au but, vous êtes très bien notée par les professeurs et le personnel, cependant
- Que se passe-t-il ?
- LAISSEZ-MOI PARLER ! voilà, durant le weekend, nous avons étés obligés de pénétrer dans votre chambre pour y effec des réparations urgentes, et voici ce qui est tombé de votre placard
est- ce bien a vous ?
- Oui ! cest mon journal intime !
Jai cru défaillir, je savais ce que ce livre contenait, je suis passée du blanc au rouge pivoine
- Vous reconnaissez donc que tout ce qui est inscrit est de votre main ?
- Heeeuuuuu
oui
- Je prends une page au hasard, voyons
lundi 14 février, Didier me manque, hier je voulais tenir son sexe entre mes mains car je nen ai jamais vu en vrai, jaurais voulu quil me baise pour la st valentin, cela aurait été ma première fois, mais nous ne savions pas ou aller, en écrivant ces mot jai une main dans ma petite culotte et frotte mon clitoris tout gonflé
doit-je continuer ?
une autre page ?
je suis nue sur mon lit et je frotte le manche de ma brosse à cheveux sur ma vulve afin de ne pas me déflorer
etc.
- Oui
- Je nai pas entendu !
- OUI ! OUI ! OUI !
- Vous avouez donc être obsédée par le plaisir sexuel ? bien, je vais prendre les mesures nécessaires concernant votre expulsion
En lisant ces mots la voix de ce vieux pervers a changé, comment me sortir de là ? Il ny a quune solution, je prends mon visage entre les mains et pleure
ou du moins, limite bien
de chaudes larmes, agitant en même temps mon corps de tremblements nerveux
Lhomme se déplace de derrière son bureau et vient vers moi, ou plutôt derrière moi, ses mains décharnées et ses doigts secs se crispent sur mes épaules, il meure denvie de me caresser franchement, je sens son souffle court et brulant sur ma nuque
- Allons ! Allons mon petit, ne vous mettez pas dans un état pareil, mais vous conviendrez que je dois faire un exemple
- Je nai aucune excuse
- Peut-être pouvons-nous parler ?
- Parler de quoi ?
- Cest vrai ? vous navez jamais vu de sexe dhomme ?
- Jamais
.
- Vous allez avoir dix huit ans, vous êtes en âge de savoir certaines chose de la vie, vous me comprenez ?
- Non
- Faites un effort que diable !
Le directeur vient de coller son ventre sur mes reins, cest à peine si je ressens un semblant dérection
- Ah oui je crois deviner
expliquez moi mieux
- Lisez-moi encore quelques passages de votre journal intime
- Celle-ci ? : je suis toute mouillée, ma copine Armelle vient de me raconter un après midi dans un champ de blé avec son copain et un de ses amis, ils lont allongée sur une couverture, pendant que son copain lembrassait lautre glissait une main dans son corsage, elle na pas protesté lorsquils lont déshabillée entièrement
.
- Continue je ten supplie !
Les mains de cet affreux pervers glissent sur mes bras nus à hauteur de mes seins qui sont gonflés par le désir, une bosse ridicule se frotte sans hésiter sur moi, pourquoi si sa présence me répugne ma petite culotte se mouille-t-elle ?
- Ensuite jen ai pris un dans ma bouche tandis que lautre léchait mes seins durcis par
- Ils sont durs les tiens ??
- Je
je ne sais pas
.
- Laisse-moi les toucher
- Mais !
- Ne refuse pas sinon !
Haaaaaaaaaaaaa cest beau la jeunesse mais
je vais jouir ? ooooooohhhhhhhhhhhhnooooooonnnnnnnnn
Après mavoir trituré les seins à me faire mal, il me repousse presque violemment, cest fini ? Finalement, je men tire à bon compte, je constate une large tache humide sur sa braguette, au moment ou je vais prendre mon journal intime, il se manifeste encore
- Ah non ! je le garde jusqu'à la fin de lannée scolaire, ce nest pas terminé pour toi, mais tu ne le regretteras pas
.en sortant dici tu va voir mademoiselle Jeanne a linfirmerie
- Mais je ne suis pas malade ?
- Ne discute pas, et va-y immédiatement
Sans répliquer je vais à linfirmerie
.
- Ah, Anita, je tattendais, ôte ta petite culotte, retrousse ta jupe et allonge toi sur la table dexamen jarrive
Ôter ma culotte ? Que me veut-elle ? De toute façon il vaut mieux quelle ne la voit pas aussi trempée
la revoilà, un bol a la main et un rasoir dans lautre
.
- Il naime pas les poils alors je dois te raser, tu sors de chez lui ? je le vois a tes petites lèvres brillante de mouille
- Que me veut-il ?
- Je ne peux rien dire, mais tu le sauras très vite, écarte les cuisses
tu es une belle petite blonde, jadore
. Ne bouge pas sinon je risque de te couper
A coups de lames, je vois ma toison bouclée disparaitre, emprisonnée dans la mousse du bol
- Relève bien les jambes afin que je te fasse aussi autour de lanus, après je vérifierais que tu es bien vierge de partout
- Mais je le suis mademoiselle Jeanne !
- Teu-Teu-Teu ! je dois en être sûre, voilà, je vais passer une serviette mouillée et une crème pour apaiser lez feu du rasoir
Ses doigts experts massent ma vulve et mon mont de vénus que je navais jamais vu glabre depuis que jétais petite ! Petit à petit ses gestes se fond doux, caressant, un doigt ouvre ma fente
- Muuuummmm, tu es remplie de cyprine, laisse-toi faire, jinspecte ta virginité
Je nose pas protester lorsque sa bouche se colle à ma moule, sa langue senfonce dans mon vagin
que ça fait du biiiieeeeeeennnnnnnnnnnn
.
- Bravo ! Quelle fougue ! Monsieur Antonin va se régaler
- Il va me
. ????????
- Te baiser ? non ! pas lui, il est quasi impuissant, sa quéquette est trop courte, il préfère mater
- Si ce nest pas lui, cest qui ??
- Quelquun que tu connais bien, vous lui avez même décerné un surnom qui colle a sa réputation, mais tu verras ce soir, je serais présente pour te préparer, va maintenant, remet ta culotte, sinon tu va en semer partout ! et avale ça avant de partir
- Quest-ce cest ?
- Une pilule contraceptive pardi ! tu veux te retrouver avec un polichinelle dans le tiroir ? avec la quantité de foutre quil va tinjecter tu ny coupe pas !
Cest à peine si mes jambes me portent, jai beau fouiller dans ma mémoire je ne vois personne qui correspond a
. Non ? Charles ? Le jardinier ? Éléphant-man ? Des filles lont vu pisser sur un tronc darbre, et, au lieu de la secouer pour faire tomber la dernière goutte il se la frappait a deux mains sur larbre, un monstre, une force de la nature, tien, le voilà justement, il attend devant ma porte de chambre
A SUIVRE
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!