La Conversion À La Luxure De Marie 2 (Première Nuit, Les Récits)

Mais avant d'aller plus loin sur la voie de la découverte par Marie des plaisirs défendue revenons sur cette première nuit où Marie s’est laissée débauchée par Pierre après le vernissage de cette exposition dans le Marais.
Le mieux c’est de leur donner la parole à chacun,
D’abord la nuit racontée par Marie le lendemain :
Vous trouverez en bleu les commentaires que je peux faire sur certains moments pour rendre le récit plus intelligible.
Dès le départ j’avais exigé d’elle qu’elle écrive tous les récits qu’elle pouvait faire des rencontres qu’elle effecait en mon absence, lui rappelant que je considérais qu’elle pouvait coucher avec qui elle voulait à condition que je le sache et qu’elle me raconte en détails comment ça se passait et ce qu’elle ressentait. Plusieurs fois je fus contraint de lui rendre sa copie en lui disant que je voulais plus de précision. Le mensonge par omission est aussi une infidélité, lui avais-je dit.
Mais place à Marie.
« Lorsque nous étions arrivés au restaurant Pierre avait bien préparé son coup, et plutôt que d’avoir une table ou nous pouvions dîner face à face, il avait obtenu du garçon que nous soyons dans un recoin de la salle, à la seule table où il était possible de manger côte à côte sur une banquette canapé…
Après un verre de champagne, il me dit (réel ou propos de dragueur ?) que lorsqu’il m’avait vu avec toi la première fois 4 ans auparavant à cette cérémonie professionnelle, je lui avais tapé dans l’œil, qu’il avait flashé sur moi, mais qu’ayant su que j’étais ta femme, il n’avait pas osé aller plus loin…
A l’époque, tu étais son supérieur hiérarchique. Et qu’il m’avait reconnue tout de suite la semaine passée. Et que comme j’étais seule, il avait tenté sa chance parce que je lui faisais toujours autant d’effet.
-J’aime les femmes un peu ronde, qui ne sont plus des gamines, qui respirent la classe et dont en même temps, on perçoit dans leurs yeux qu’elles aiment tous les plaisirs de la vie.


-Oui, je crois que je suis un peu hédoniste…René m’a fait lire plein d’ouvrage et de textes hédonistes et libertins et je m’y suis un peu retrouvée ; même si je n’irai pas jusqu’à me laisser aller à des débordements de luxure comme certains que j’ai lus.
Sans dévoiler ce que Marie est devenue aujourd’hui, je suis persuadé qu’elle n’imaginait pas à l’époque pratiquer des expériences sexuelles comme celles qu’elle renouvelle régulièrement aujourd’hui sans aucune retenue.
Le repas avançait et je le trouvais bien réservé, même si j’avais eu droit à quelques caresses sur ma main, ou frottement de sa cuisse contre la mienne.
Il s’absenta pour un besoin urgent. Et, au retour il devint progressivement plus entreprenant.


En réalité, Pierre souhaitait me contacter pour avoir un conseil. Il me demanda s’il pouvait avoir des attouchements prononcés au restaurant sans que Marie ne soit choquée et que ça remette en cause toute la suite de la soirée. Je lui dis que si, - premièrement il n’y avait personne qui pouvait voir ses caresses sexuelles ; que deuxièmement il y allait progressivement et qu’enfin, Marie était bien gaie grâce au champagne et au vin blanc que je lui avais recommandé, je pensais qu’il n’y aurait aucun problème et, que même, cela devrait pouvoir contribuer à la décontracter encore plus. Qu’enfin si elle était choquée elle le lui dirait très vite.
Il avait attendu que le gros du repas soit fini pour lancer ses premières investigations vers mon anatomie. Je pense qu’il attendait que j’aie déjà bien bu et que nous nous soyons trouvé plein de points communs sur lesquels on pouvait échanger. Il commença, délicatement d’abord, puis progressivement, avec plus d’insistance, à me caresser la cuisse dont il était le plus proche. Voyant que je ne m’effarouchais pas, (je me donnais l’air de ne pas y faire attention, alors que ça commençait sérieusement à m’exciter) il entreprit de passer carrément la main sous ma jupe et de continuer ses « recherches » jusque vers mes jarretelles et mon string.

Il faut dire que j’avais bien fait attention à mes sous-vêtements, au cas où…
C’est à peu près à ce moment qu’il m’annonça qu’il avait réservé une chambre dans l’hôtel qui était jumelé avec le restaurant (l’Hôtel du Louvre)… Il avait fait les choses en grand, pour me séduire.
Quand je lui eus dit que je me doutais que ça irait là, et qu’à sa demande je lui répondis que tu étais au courant et d’accord, ses caresses devinrent plus ostentatoires.
Il profita de ce que je m’étais un peu reculée, la tête en arrière, sur la banquette, laissant ainsi plus de latitude à la remontée de sa main pour descendre légèrement le haut de mon string et titiller mon clitoris. Ceci, alors que je ne m’y attendais pas, à ce moment, eut pour conséquence de me provoquer une vibration des cuisses qui ne fit qu’accen son envie d’aller plus loin…
J’étais prise dans un mélange d’excitation quasi-juvénile et de retenue, pour que Pierre ne pense pas que j’étais une femme facile. Il ne savait pas qu’il était tombé au bon moment dans ma vie.
Tout en étant profondément attachée à toi, j’étais à une période de bilan où on se retourne sur sa jeunesse passée et on se dit que l’on doit pouvoir encore profiter de la vie et des plaisirs avant que son corps et ses envies ne soient plus au diapason. De plus toutes les lectures que tu m’avais faite découvrir, m’avaient encore plus poussée vers un lâcher prise dont quelques années ou même mois auparavant je ne me serai pas sentie capable.
Avant de savoir si j’allais le laisser faire ou lui demander gentiment d’attendre plus tard pour ce genre d’attouchements, je regardais autour de nous pour savoir si quelqu’un, dans ce restaurant très chic, pouvait nous voir. Ayant constaté que la retombée de la nappe d’une part et l’absence de convives de mon côté, empêchait qui que ce soit de nous mâter, je le laissais poursuivre. Je commençais à mouiller sérieusement. Il le sentit très vite et au moment même où le serveur apportait le dessert, il me demanda, d’un ton enjoué :
-Tu aimes ça ?
Je ne sais si le garçon a compris qu’il ne s’agissait pas du sabayon de fruits rouges qu’il venait d’apporter, où s’il avait perçu quelque chose, toujours est-il qu’il repartit avec un petit sourire complice en direction de Pierre…
Je saisis l’occasion pour lui répondre :
-Oui quand c’est bien présenté et bien fait, et là ça a l’air d’être le cas.

Pierre voulut s’enhardir dans les caresses, je lui pris sa bouche et lui susurrait :
-Ne sois pas trop pressé, nous ne sommes plus des s, et ce sera meilleur tout à l’heure.
En réalité, j’avais peur de ne pas pouvoir retenir les petits cris que je refoulais depuis qu’il avait introduit un doigt dans mon vagin les autres caressant mes lèvres et le pouce excitant mon bouton.
Cette remarque eut pour conséquence immédiate sa demande de l’addition et cette apostrophe au maître d’hôtel :
-Nous avons réservé une chambre dans l’hôtel, au nom de B…..Peut-on ne faire les formalités que demain matin et dans ce cas pourriez-vous nous apporter la clef avec l’addition ?
Celui-ci, le regarda d’un air entendu et lui dit :
-Je vais voir Monsieur, mais je pense que ça doit être possible.
En fait il avait très bien compris que Pierre ne voulait pas perdre de temps en formalités et que quelque chose de plus urgent l’attendait.
Il revint très vite avec la note, la machine pour encaisser la carte bleue et la clef de la chambre.
-C’est au troisième Monsieur. A droite, en sortant de l’ascenseur.
…
Arrivés dans la chambre, la porte à peine refermée, il souleva ma jupe et repris les mêmes « recherches » que celles qu’il avait entamées sous la table, tout en prenant ma bouche ... Une main s’égara ensuite entre mes fesses. Mais tu sais combien je ne suis pas très friande de l’accès à cette partie de mon anatomie. Même avec toi. Ce n’était pas pour lui accorder des égards que je te refusais…
Il m’entraîna alors vers la chambre, me fit asseoir sur le lit en me demandant de n’enlever que mon corsage. Pendant que je m’exécutais, il prit le téléphone et commanda une bouteille de champagne.
Puis ayant simplement ouvert sa braguette il vint se mettre face à moi… j’avais vite compris ce qu’il voulait. Je continuais l’ouverture pour dégager son sexe qui était déjà bien en forme.
Avant de continuer je dois te préciser que j'étais un peu pompette.

Je ne dirais pas que Pierre abusait de la situation, j'étais encore très consciente de mes actes, mais on va dire qu'il profitait plutôt de mon attitude peu farouche au restaurant et du fait que le bon vin avait levé ce que je croyais être des inhibitions.
En baissant le slip de Pierre je découvris que son sexe était déjà bien "en forme"(si je peux dire...).et que s'il était plus que correct au plan longueur, il était plus que correct en diamètre, dépassant de loin ce que je connaissais déjà.
J'ai commencé par le caresser et lui lécher, comme tu aimes bien que je te le fasse.
Puis, n’y résistant plus je l'ai pris à pleine bouche en l'avalant tout entier. Il me rentrait jusqu'au fond de la gorge. Je l'ai sucé avec des mouvements saccadés à différentes vitesses sur le bout ou tout au long. Tout en lui caressant les testicules ou en lui masturbant le bas de la verge.
Je savais que je n'étais pas mauvaise dans cet exercice; tu me l'as tellement répété.
Je croyais qu'au bout d'un moment il n'y tiendrait plus et se lâcherait, si je peux dire....Mais visiblement il maitrisait parfaitement sa retenue.
C'est alors que le garçon frappa à la porte pour nous apporter le champagne que Pierre avait commandé.
Pierre me dit:
-Pendant que je l'accueille, tu enlèves ta jupe....
J'essayai d'exprimer un mouvement d'interrogation et de surprise sur le moment qu'il choisissait pour me faire cette demande, mais il me regarda en fronçant les yeux. Et tu ne le croiras pas, je me suis exécutée.
Il se rendit à la porte et alors que je m'attendais à ce qu'il prenne la bouteille et les verres dans le couloir en remerciant le jeune homme, il le fit entrer en lui indiquant la table basse qui se trouvait juste en face du lit c'est à dire, aussi en face de moi qui n'avais plus que ma guêpière, mon string et mes bas.
Le garçon avança et eut un regard prolongé comme pour évaluer la marchandise, puis un sourire entendu en direction de Pierre.
-Monsieur veut-il que je l'ouvre ou préfère-t-il faire ça lui-même ?
-Non, pour cette fois je m'en débrouillerai bien tout seul.
Je suis restée interloquée. Pierre m'a regardée et d'un petit air complice a dit:
-Je voulais parler du champagne bien sûr.
Et sentant que j'étais plutôt surprise négativement, après avoir raccompagné le garçon à la porte, il m'a dit:
-Ce n'est que de l'humour, mais ne me dis pas que tu n'as jamais eu, comme toutes les femmes, le fantasme de faire l'amour avec plusieurs hommes.
-Tu n'en sauras rien, je garde mes fantasmes pour moi.
-Dommage, mais un jour il faudra que tu m'en parles de tes fantasmes...On se le boit ce champagne?
Et après avoir ouvert la bouteille, et servi deux coupes, nous avons parlé de nos boulots respectifs (sérieux...). Et sommes passés chacun notre tour à la salle de bain.
Lorsque j'en sortis, il était pendu à son smartphone. Je lui demandais s'il faisait des heures supplémentaires ou s'il envoyait un message à une autre de ses maîtresses.
-Tu ne crois pas si bien dire, je lui envoie un compte-rendu pour lui dire que j'ai trouvé plus vorace qu'elle. - La reine de la turlutte-, et que j'ai eu du mal à me retenir de ne pas lui éjaculer dans la bouche....
Note de l'auteur: vous vous en doutez, c'est à moi que Pierre envoyais un SMS pour me faire un petit compte-rendu comme il le faisait régulièrement depuis le début de la soirée. Il m'avait même envoyé une photo prise quand Marie le suçait. Et là, il me proposait de laisser mon portable en mode silence émission; il pensait m'appeler quand ils en seraient aux choses sérieuses et de me faire écouter les vocalises de Marie.
Ce qui fut fait...J'en ai d'ailleurs gardé un enregistrement qu'il m'arrive de lui faire écouter parfois aujourd'hui.

Reprise du CR de Marie:
Tout en parlant il m'avait fait allonger sur la moquette de la chambre. Puis, en ayant écarté mon string il commença à me lécher, en titillant mon clitoris avec ses doigts. Sa langue s'amusait tour à tour sur mes lèvres, sur mon clito. entrait délicatement ou plus énergiquement dans mon vagin, arrivait jusqu'à caresser mon point G grâce à son autre main avec laquelle il m'écartait délicatement les chairs, tout en me masturbant de temps en temps avec deux ou trois doigts.
Je te passe les détails, mais je commençais à ne plus pouvoir me retenir et lâchait des petits cris tout en m'agitant sous les aller-et-venues conjugués de sa langue et de ses doigts. Cela eut pour effet de l'engager à me fouiller plus avant.
Il reprit la même question qu'au dîner, avec une intonation très provocatrice:
-Tu aimes ça ?
Même si j'étais déjà très excitée et que j'avais du mal à maitriser mes réactions au plaisir qu'il me faisait éprouver, j'étais encore assez lucide et lui ai répondu:
-J'adore le sabayon, surtout lorsque le cuisinier est bon. L'important c'est d'avoir du plaisir à le consommer.
Ça le fit rire et l'amena à me dire:
-Oui, mais moi je suis pour qu'après les amuse-bouche et les entrées on s'attaque au plat de résistance sans tarder, surtout lorsque l'on visite l'auberge pour la première fois....
Tout en me parlant, il m'a retournée, m'a faite m’appuyer sur le lit, s'est mis derrière moi, a écarté de nouveau ma culotte et m'a prise assez vigoureusement en levrette.
Je ne sais pas pourquoi, il a commencé par cette position, tu sais toi que c'est l'une de celles avec laquelle j'éprouve le plus de plaisir.
Ce que Marie ne savait pas c'est que Pierre avait reçu de ma part une formation en doctorat es-sexualité de Marie et que rien de ses goûts et/ou réticences ne lui était inconnu.

Sur le coup, cette entrée en moi très virile me provoqua un sursaut. Pourtant, je n'eus pas mal du tout, malgré mes craintes quant au volume de son sexe. Au contraire, sa queue bien dure me réchauffait encore le vagin et me donnait une sensation faite d'un mélange de plénitude et de vibrations électriques. Je compris que, malgré un membre plus que conséquent, si je n'avais pas mal c'était d'abord parce que j'étais déjà très humide et surtout parce que son fouillage m'avait bien dilatée pour l'accueillir.
Très vite, je sentis tous mon corps pris de convulsions et ne pus retenir des râles et des cris. Cela le conduisit à me dire:
-Si ce n'est que le début, tu vois qu'il va falloir que je recrute quelqu'un pour occuper ta bouche pour que tu ne réveilles pas tout l'hôtel
Puis
-Tu n'as pas honte de tromper comme ça ton mari ? T'es une petite salope sous ton air classe et bcbg. N'est-ce pas ?...
Vous vous en doutez, j'entendais tous les échanges et bruits de la chambre comme Pierre m'avait annoncé qu'il le ferait.
-Si tu ne me réponds pas j’arrête.
Me dit-il. Et, joignant le geste à la parole, il arrêta totalement tous ses mouvements
C'était trop bon, je savais que c'était un jeu, mais pour qu'il reprenne au plus vite je lui ai dit ce qu'il voulait entendre.
-Oui, je suis une grosse salope, la grosse Salope a Pierrot.
Je me rends compte maintenant de l'énormité de ce qu'il avait réussi à me faire dire, moi, Chef d’Etablissement connue, respectable et respectée.
Mais j'étais déjà ailleurs.
Mais oui, j'étais une salope. Je te trompais et à aucun moment je n'éprouvais un quelconque regret. Pire, je me rendais compte que je n'avais pas seulement un seul instant pensé à toi depuis que nous étions rentrés dans la chambre!!!
Ses va-et-vient lents puis rapides, ses coups de boutoir appuyés auxquels succédaient des pénétrations lentes et douces, tu t'en doutes, me provoquèrent un puis deux énormes orgasmes. Lui continuait et ne m'avait pas encore lâché son sperme.
Cela arriva d'un seul coup en flots saccadés dans mon vagin. C'est à ce moment que je me rendis compte que contre tout ce que j'avais prévu, je ne lui avais pas fait mettre de préservatif.
Quand il sortit, il s'allongea sur le lit et m'attira vers lui:
-Suce-moi...Tu aimes avaler le foutre des hommes ?
-Je ne déteste pas.
-Alors on verra ça tout à l' l'heure, là on va se faire une petite année érotique.
Nous entreprîmes un 69 totalement fou. Il avait une telle habileté et savait me lâcher puis me reprendre, m'exciter puis me laisser pantoise pour me retravailler aussitôt que je n'en pouvais plus... Et lui demandais un break.
Il me répondit:
-OK, mais alors on parle pendant qu'on reboit un coup tu me parles de ta vie sexuelle et de tes envies.
Il remplit les verres.
-Mais ma vie elle est simple, il n'y a pas grand-chose à en dire. Mon mari est un assez bon amant. Et je n'ai eu aucune aventure...Du moins avant que je rencontre un malade sexuel comme toi.
-Oui, mais crois-tu que tu pourrais avoir d'autres partenaires, ou des rapports avec une autre femme?
-Non, je ne crois pas, mais je ne me suis jamais vraiment posé la question... Cela dit, il y a quelques temps j'aurais dit la même chose d'avoir un amant surtout avec l'accord de mon mari, et regarde où j'en suis...
-Bien, on reprend nos exercices de développement personnel?
Il eut à peine prononcé ces paroles qu'il m'allongea sur le lit, m'éleva les jambes au-dessus du cou et me repénétra sans aucune retenue, en me pilonnant comme un malade. Je dois reconnaître que c'était très bon et que j’ai pris un grand pied.
Après cette phase il me retourna, me prit de côté avec la même force, même si par moment il s'attachait à ralentir ses mouvements et à faire une pénétration profonde et lente qui ne faisait que me faire attendre avec envie le moment où il reprendrait ses mouvements plus accentués. Ma fente, coulait sans que je sois encore vraiment fontaine....
Puis nous recommençâmes en levrette, debout et assise sur lui. Pendant tout ce temps je ne sais plus combien j'ai eu d'orgasmes, mais quand on aime on ne compte pas, n'est-ce pas chéri...
Lui par contre a attendu que je le reprenne en bouche pour se masturber devant ma figure et m'inonder le visage avec un sperme épais, très blanc et très légèrement acide.
-Alors tu me suces et tu avales le reste de ce qui va venir.
Effectivement il en vint encore. A croire qu'il avait tout gardé pour moi depuis des semaines.
En lui léchant le sexe, je me dis un moment que ce type, que je ne connaissais quasiment pas 15 jours plus tôt, avait réussi à faire de moi en une soirée une femme qui ressemblait plus à une pute, ou une Escort-girl qu'à une femme installée ayant une position sociale enviable.
- Et si mes subordonnés et mes relations professionnelles me voyaient...?
Lui-dis-je.
-Tiens, tu me donnes une idée pour un prochain rendez-vous...me dit-il sans plus de détails.

Nous avons fini nos galipettes à 2 heures du matin et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.
Au réveil, à 6 heures et demi (il devait être à son bureau 1 heure plus tard) il m'a encore reprise mais en ne se retenant plus cette fois, et en éjaculant dans mon vagin et sur mon ventre.
Il partit très vite à la salle de bain et en sortant, , un quart d'heure plus tard il me dit:
-On se rappelle et on ne tarde pas à se faire un nouveau vernissage.

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