Leslie Vc05
Leslie VC05 Vacance en camping-car
Un soir dorage au bord du lac
Cétait la fin daprès-midi, nous venions détablir notre campement sur les berges du lac de Sainte-Croix, en ce début du mois de juin, il fut facile de trouver un endroit isolé, malgré les quelques touristes étrangers déjà en congé.
Il faisait beau et chaud et Laure ne tenant plus me dit :
- Allons-nous baigner !
Sans prendre le temps de passer son maillot de bain, elle prend sa serviette et courre nue vers le lac, en me disant :
- Viens vite, jai le corps chaud !
Ne tenant plus, je la rejoins et nous nous sommes jetées dans leau, elle est venue vers moi et alors que je la serrais dans bras pour lembrasser, elle prit mon sexe et entourant ma taille de ses jambes, elle se pénétra en se tenant à mon cou.
Tout lembrassant, je lui demandais :
- Tu es bien avec mon sexe dans le tien ?
- Oui, dit-elle doucement.
- Tu sens la fraîcheur de leau qui te pénètre avec moi ?
- Ohhh, oui
- Et maintenant tu sens mon doigt qui te caresse la rondelle de ton anus ?
- Oui.
- Tu sens que ce doigt qui appuie sur ton trou, va entrer en toi ?
- Oui, comme chaque fois avant ton membre.
- Alors tu veux te faire sodomiser ?
- Ohhh, oui, comme jaimerais !
Jaccélérais encore, mon sexe dans sa chatte et mes doigts qui pénétraient son fondement.
- Tu aimes que je tencule ?
- Ohhh, oui !
- Maintenant, tu veux ?
- Oui, je veux !
Lorsque jai rentré mon sexe dans son cul, jai sentis son corps se contracter , elle me regarda et me dit :
- Je taime
Vers dix-huit heures, un autre camping-car est venu sinstaller près du notre, Laure était en train de préparé le diner et moi allongée sur le lit je regardais un film à la télé, soudain je la vis toute excitée, se retournant vers moi, elle me chuchota :
- Viens près de moi, tu vas pouvoir te rincer lil.
Je me suis levée et jai rejoint Laure, doucement, près de la fenêtre. Et là, nous avons vu un homme et une femme, dans la trentaine, nus près du camping-car voisin. Elle était brune, à genoux devant lui, plutôt bel homme, avec un corps bien musclé, et elle suçait son sexe, bien long et bien épais.
Sa bouche était grande ouverte, compte tenu de la taille de lengin, et jétais fascinée par ses mouvements. Elle mit ses mains derrière les fesses se son amant, et je sentis quelle appuyait afin de le prendre entièrement. Elle avançait lentement, et cet énorme sexe est rentré petit à petit, jusquà être complètement absorbé.
Elle recula ensuite, et recommença. Après plusieurs aller-retour, sans un mot, elle se leva, se retourna, posa ses mains contre la carrosserie du camping-car et écarta les jambes. Lhomme prit son sexe en main et lapprocha du corps de la femme. Il caressa lentrée du sexe avec le sien, puis remonta vers son petit trou.
Je narrivais pas à détourner mon regard, Laure se doigtait et ma main droite était descendue vers mon sexe pour me branler doucement.
Puis lhomme mit son gland en position et poussa. Je vis cet énorme sexe rentrer petit à petit dans les fesses de cette femme. Javais le souffle coupé. Je ne voyais plus quune bite qui écartelait lanus de cette femme. Elle avait les yeux fermés, on avait limpression que son esprit était entièrement tourné vers cette pénétration. Le sexe était maintenant intégralement rentré. Lentement, il le ressortit. Son trou était béant. Je continuais à me caresser, javais le sexe raide. Puis il rentra de nouveau son sexe dans les fesses de sa partenaire. Le rythme augmenta, et elle commença à haleter, les chuchotements se transformant en petits cris. Il la labourait violemment maintenant pendant quelle se caressait, au même rythme que moi. Lintensité des cris augmentait, ma jouissance se rapprochait également, puis elle cria sa jouissance, et au moment où il allait jouir, il tourna la tête vers notre camping-car en souriant, puis il sortit son sexe de lanus de son amante et lui aspergea les reins de sperme.
Je regardais Laure, elle était toute rouge et mon sexe était gonflé, elle me regarda et sans un mot, se baissa et me prit en bouche. Elle maspira, intensifia ses va-et-vient, en me regardant dans les yeux.
Je sentais la pression monter, mon souffle se fit plus fort afin de lui indiquer que jallais jouir. Elle continuait à me regarder dans les yeux tout en me pompant. Je jouis en plusieurs jets. Laure continuait à tenir mon sexe dans sa bouche, avalant chacune de mes gouttes, en me regardant fixement. En se relevant elle me dit :
- Peut-être que ce soir nous aurons de nouveaux partenaires ?
Nous avons été réveillés dans la nuit par le tonnerre dun violent orage et la pluie qui frappait la carrosserie du camping-car, avec Laure nous nous sommes mis à la fenêtre pour regarder les éclairs qui illuminaient la nuit et ce que nous vîmes nous parut irréel.
Dehors, près du camping-car voisin, tout près du notre, deux formes se tenaient sous la pluie battante, une femme et un homme, elle était accroupie, et nous ne vîmes derrière les jambes de lhomme, les deux jambes de la femme, bien écartées.
Son sexe était parfaitement épilé luisait de gouttes de pluie, éclairé par les éclairs qui déchiraient la nuit, nous pouvions voir ses mains, posées sur son clitoris, se massant doucement.
Elle était en train de faire une superbe fellation à lhomme debout devant elle, lorsque lhomme se tourna légèrement, nous offrant la scène de profil, nous vîmes tout dabord son sexe, bien long et très large, avec cette bouche qui glissait du gland vers la base, presque au ralenti.
La scène me mit dans un drôle détat et je commençais à caresser le sexe de Laure qui écarta des jambes pour me faciliter la tâche, tandis quelle prenait mon sexe pour le caresser.
La femme était en train de pomper son compagnon, au membre impressionnant, avec Laure, hormis les caresses, nous narrivions pas à bouger, les yeux fixés sur ce visage à la bouche déformée, nous vîmes les mains de lhomme se poser sur la chevelure de la suceuse pour lui masser doucement le haut du crâne, tout en impriment un rythme.
Elle le suça avec encore plus dintensité, et lui enfonça un doigt dans lanus, sans quil sy attende, amis apparemment coutumier du fait.
Lhomme tenait la tête de la femme de ses deux mains et enfonçait son sexe au plus profond de sa gorge. Il la baisait littéralement, et je me demandais comment elle faisait pour ne pas . La suceuse commença un rapide va-et-vient dans le fondement de son compagnon, tout en accélérant sa pipe.
Je sentais la jouissance monter, lorsquun éclair éclairant la nuit nous dévoila aux regards des amants, qui nous firent signe de les rejoindre.
Nues, nous sommes sorties pour les rejoindre sous la pluie, et cest avec joie que la femme dit :
- Faire lamour sous lorage, cest trop excitant
La situation était vraiment irréelle et particulièrement excitante, dautant que lhomme découvrant mon membre, sexclama :
- Ohhh, une femme à bite, nous sommes gâtés
Nous nous sommes rapprochées des deux amants la femme posa sa main sur mon membre en me murmurant à loreille :
- Mon homme est bi, nos corps sont à vous
Puis se tournant vers Laure, elle dit :
- Viens ma belle, aimons-nous sous cette pluie régénératrice
Elle commença par enlacée Laure et lembrassa à pleine bouche, tandis que ses mains parcouraient son corps, en arrivant à la chatte de Laure, elle sexclama :
- Mais tu es toute trempée et ce nest pas la pluie qui a fait de tels dégâts !
Lhomme soccupait de moi, comme moi de lui, soupesant ses grosses bourses imberbes et son sexe monstrueux, je me suis mise à penser que sil décidait de me sodomiser, jallais certainement déguster.
Pendant ce temps, la femme, Carole sétait absentée dans leur camping-car et revint peu de temps après harnachée dun joli gode ceinture, et dit :
- Je vais te baiser pour tapprendre à faire la voyeuse !
Lhomme, José, me prit dans ses bras et membrassa fougueusement en me disant :
- Si tu savais comme jai envie du membre en moi !
- Alors ne perdons pas de temps, dis-je.
Il se retourna et moffrit sa croupe, penché en avant ses reins soffraient à moi et lorsque jai posé le bout de mon gland sur sa rondelle, il sest mis à se masturber. Je suis entrée en lui sans effort, il avait certainement lhabitude dêtre sodomisé, alors le tenant par les hanches je me suis enfoncée en lui, le faisant râler de plaisir.
Je lai enculé pendant de longues minutes, tandis que Carole baisait Laure, nos corps ruisselaient de pluie et seuls nos gémissements se faisaient entendre au milieu des coups de tonnerre.
Après avoir jouis, José me caressa en parcourant tout mon corps, sattardant sur mes fesses, effleurant ostensiblement mon petit trou. Visiblement, José navait quune envie, celle de menculer.
Son sexe raide était secoué de spasmes contre mon ventre, ses doigts se faisant de plus en plus inquisiteurs entre mes fesses, titillant mon trou, lenduisant de salive et me pénétrant doucement.
Je ne disais rien, juste quelques soupirs qui montraient mon plaisir.
José me retourna et, tout en caressant son sexe humide sur mon trou, me dit :
- Tas envie ?
- Jai peur, tes gros !
- Carole laccepte bien, alors pourquoi pas toi, tu dois avoir lhabitude ?
- Oui, mais
Sa voix contre mon oreille se faisait douce et envoutante, je me laissais aller sous la caresse de son sexe qui continuait à caresser mon illet, trempé maintenant par lexcitation et le désir. Javais limpression de mouvrir petit à petit dans lattente de le sentir me pénétrer
Laure hurlait son plaisir, les orgasmes se suivaient à répétition, puis guidée par sa main, Carole, releva son bassin et enfonça le gode dans le petit trou de Laure, lexcitation était telle que le gode senfonça sans résistance
José se mit à bouger, commençant à me prendre, jétais totalement écartelée, mais je sentais que cet homme savait ce quil faisait. Ses mouvements étaient lents, et alors que jimaginais que mon trou allait exploser à chaque mouvement, cétait à linverse une douce sensation qui menvahissait.
Je ne saurais dire combien de temps cela dura. Les mouvements étaient réguliers mais doux, et je sentais la jouissance monter en moi, le sexe se raidir entre mes chairs anales, et soudain une pression nouvelle au fond de moi. Il venait de jouir, jétais pleine de sa jouissance. Jimaginais sa semence dans mes entrailles et je perdis connaissance
En revenant à moi, je le sentis sortir doucement, me laissant un grand vide à la place de son membre. Je devais être indécemment ouverte, mais quimporte javais pris mon pied
Nous sommes allées nous coucher, moi le cul ouvert et Laure dans un état comateux de la femme sui à prit plusieurs orgasmes daffilé, et au matin, lorsque nous nous sommes réveillées, le camping-car voisin avait disparu
A suivre
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