Ma Vie A Changé (4)
Rentrée chez moi, je me suis endormie comme une masse, le corps et la tête pleins de souvenirs. Après un dimanche de récupération, jai repris mon travail de secrétaire de direction. Jirradiais une impression de bonheur et mon entourage men fit le compliment. Lavocat ami de Guy pris rapidement contact et massura que javais toutes les chances dobtenir une séparation rapide.
Carole me téléphona le lendemain en mannonçant la présence samedi soir dun autre couple de 35ans et dun jeune homme de 22 ans. Je lui objectais que jétais peut-être un peu trop âgée et quà son âge, il pourrait être mon fils. Elle me rassura aussitôt.
Elle me demanda de passer en début daprès midi car nous les femmes devions être les plus sexy possibles. Elle souhaitait maider à choisir ma tenue. Ma semaine passa très vite. Jétais un peu anxieuse. Allais-je être à la hauteur avec tous ces jeunes ? Mon physique était certes à la hauteur, javais en particulier des atouts comme mes jambes et mes fesses. Par contre jaurais aimé avoir une poitrine comme celle de Carole.
Jarrivais vers 15 heures chez eux. Carole maccueillit avec joie. Me prenant par la taille elle me conduisit dans la chambre où nous avions été si bien. Après un brin de toilette, nous prîmes sa voiture pour aller dans sa boutique. Accueillies par sa vendeuse nous nous sommes installées dans son bureau. Sur une table était posée de la lingerie. Elle me demanda de me déshabiller volant au passage une caresse. Ses mains étaient douces. Après quelques essais, elle choisit un corset noir. Le laçage très serré permettait de mettre en évidence mes seins et faisait ressortir mes fesses. Des bas rouges reliés par des jarretelles au corset complétaient ma tenue avec un tour de cou en soie noire. Cétait très sexy. Avec mes hauts talons, je ressemblais beaucoup aux pensionnaires des maisons closes dantan.
Nous rentrâmes à la maison. Jexcitais visiblement beaucoup Carole qui mavait demandé de ne pas mettre de culotte.
En arrivant chez eux, Guy nous attendait. Il membrassa longuement et se mis à me caresser les fesses. Décidément elles attiraient beaucoup les mains de mes amis. Je les aidais à préparer le buffet et le salon dans lequel nous devions nous retrouver.
Un peu inquiète de me trouver avec des inconnus, ils massurèrent quil y avait un contrat de confiance entre eux. Ils se connaissaient depuis longtemps et tous rapports hors du groupe devaient être protégés. Il est vrai quavant de les rencontrer, mon mari sétait assuré quils avaient passés un contrôle VIH récent.
Nous sommes ensuite montés nous préparer : lavement, douche. Carole avait une petite surprise pour moi. Elle me demanda de me mettre à plat ventre et après mavoir caressé les fesses, pris un lubrifiant et senduisit les doigts. Un puis deux, je sentais mon cul souvrir. Un objet froid sappuya sur ma rondelle et je me trouvais avec un rosebud entre les fesses. Nous avons mis nos tenues. Carole portait des bas noirs avec une guêpière rouge qui soulignait ses seins lourds. Ils pointaient comme des obus.
Elle portait comme moi un tour de cou rouge. Le contraste était saisissant. Nous étions comme deux images contraires. Elle aussi eut le droit à son rosebud. Nous étions toutes les deux cul nu. Guy était vêtu dun pantalon sombre et dune chemise ouverte. Carole accentua mon maquillage avec en particulier un rouge à lèvres rouge brillant. Mes lèvres devenaient une véritable invitation aux baisers et à la possession. Nous étions prêts.
En attendant nos partenaires, Guy nous servit une coupe de champagne. Jétais impatiente de les voir. Carole me caressait doucement les cuisses. Nous entendîmes une voiture arriver. Guy se leva pour les accueillir. Dans le salon Carole me tenait par la taille et nous formions un tableau charmant.
Marie rentra la première, grande, blonde sculpturale avec des seins superbes. Elle portait un ensemble rouge assorti avec des bas, un porte-jarretelles, un string qui séparait et mettait en valeur son fessier et un soutien gorge à bonnets ouverts qui soutenaient des seins imposants. Michel son mari la suivait, grand, avec un très joli sourire. Frédéric fermait la marche, un mètre quatre vingt cinq de muscles, lui aussi très séduisant et surtout très jeune. Ils étaient habillés comme Guy. Quel beau tableau ils formaient ! Comme si on se connaissait depuis longtemps ils membrassèrent. Carole me tenait toujours la taille sans doute pour me rassurer. Nous nous assîmes, Guy auprès de moi, Marie à côté de Frédéric et Carole près de Michel.
Très vite je me suis sentie à laise car ils étaient charmants et amusants. Carole se leva pour faire le service en commençant par Marie. Très vite, les caresses ont commencé. Son sexe était directement accessible et dès quelle passait à proximité des mains ségaraient. Elle paraissait apprécier ce traitement. Guy membrassait, ses mains sur mes cuisses et mon sexe. Je sentais lexcitation monter. Dès notre coupe de champagne bue, Marie donna le signal et commença à caresser et à déshabiller Frédéric.
Carole fît de même avec Michel. Il ne me restait plus quà faire la même chose avec Guy. Très vite ils se retrouvèrent nus. Nous nous mîmes à genoux devant eux et les prirent en bouche. Des soupirs et des bruits de succion ponctuaient nos fellations.
Javais aussi entre les mains les fesses de Guy et lui titillait lanus. Il appréciait visiblement cette caresse. A un signal de Carole, nous changeâmes de partenaire.
Frédéric possédait lui aussi un très beau sexe, particulièrement long. Ses mains semparèrent de mes seins. Jétais toute excitée. Ma langue jouait avec son gland. A un nouveau signal de Carole, je fis connaissance avec le sexe de Michel plus épais.
Lui aussi sétais mis à jouer avec mes tétons.
Je sentis très vite que Michel allait exploser. Jaccentuais ma caresse en serrant les lèvres et je reçu des giclées de sperme épais que javalais. Il était plus âpre que celui de Guy. Je me relevais. Il massît sur ses genoux et un long baiser nous unit.
Frédéric soupirait de plus en plus et un long râle conclut le travail de Marie qui elle aussi se retrouva sur ses genoux. Il ne restait que nos hôtes. Guy ne voulait pas céder et résistait encore mais Carole était la plus forte. Avec un grand cri, il se vida dans sa bouche. Cétait touchant, nous sur les genoux de nos partenaires qui nous caressaient et nous embrassaient. Nous étions toutes excitées mais insatisfaites.
Carole me demanda de faire le service des canapés. Marie la première mimmobilisa. Ses doigts semparèrent de mon sexe. Peu après a bouche remplaça ses doigts. Je ne pouvais rien faire les mains bloquées par le plateau. Carole voyant cela, se plaça derrière moi pour caresser mes seins. Je sentais son sexe sur mes fesses. Guy vint à mon secours et pris le plat. Je pouvais ainsi prendre la tête de Marie et rythmer et accompagner ses jeux de langue. Les garçons nous regardaient et reprenaient de la vigueur. Je commençais à sentir la montée de mon plaisir et un orgasme dune violence inouï me terrassa. Je mécroulais sur le tapis, agitée de tremblements. Je navais pas souvent connu de jouissance si violente. Carole sallongeât auprès de moi. Marie tout aussi excitée se mît sur elle tête bêche. Elles entamèrent un 69 qui se termina par une jouissance quasi simultanée de nos deux amies.
Les garçons nous regardaient. Ils navaient visiblement pas eu leur dû. Ils décidèrent quils allaient soccuper de moi. Guy me demanda de me lever. Il sétait assis dans un fauteuil.
Je sentais autour de moi mes amis sagiter. Quelquun môta les bas car ils étaient couverts de sperme. Je repris conscience. Ils étaient tous autour de moi et me regardaient avec tendresse. Ils membrassèrent tous en me remerciant du plaisir que je leur avais donné. Carole et Marie étaient si belles et si touchantes et les garçons si attachants. Une pause et une douche simposaient.
Lorsque je suis redescendue, lambiance était joyeuse et détendue. Le buffet préparé par Carole était somptueux. Les hommes sétaient engagés dans une conversation sur le golf pas très intéressante. Comme il fallait préparer le dessert, nous nous sommes retrouvées à la cuisine. Jinterrogeais Marie sur Frédéric. Cétait en fait un petit cousin à elle quils avaient retrouvés par hasard au cours dune fête de famille. La conversation sest portée à un moment sur le naturisme, car ils étaient des adeptes de cette pratique. Cela excitait beaucoup Frédéric qui posait beaucoup de questions.
Visiblement il aurait bien aimé connaître cette pratique.
Ils apprirent quil passait ses vacances pas trop loin deux à Narbonne. Ils lui proposèrent, quand il serait là-bas, de les accompagner sur une plage où ils avaient leurs habitudes. Sur place, Marie se rendit vite compte quelle lexcitait. Il narrêtait pas de la regarder détaillant son corps plantureux. Il narrivait pas à se mettre sur le dos car, à chaque fois il devait masquer un début dérection. Michel voyant cela décida de le mettre à laise et commença à caresser Marie sur les seins, sur les cuisses, sur le sexe montrant au jeune homme quil ne devait pas avoir honte de montrer quil appréciait le spectacle. Très excité, il prit Marie que cela ne gênait pas, par la main pour aller dans les dunes à labri des regards. Il invita Frédéric à les suivre Après avoir à nouveau caressé Marie, il se mît sur le dos. Marie sempala sur lui et se mis à bouger cherchant le meilleur rythme pour déclencher son plaisir. Frédéric la verge dressée les regardait faire. A la demande de Marie il sapprocha du couple et elle se mit à le branler. Michel voyant Frédéric au dessus de sa poitrine se mit à lui caresser les fesses. Les attouchements de Marie eurent vite raison du jeune homme. Elle le sentit venir et alors quil allait jouir, ouvrit la bouche et lembouchât. Elle recueillit ses longs jets de sperme dans la gorge.
Léjaculation de Frédéric déclencha celle de Michel et lorgasme de Marie. Ces trois là sétaient trouvés. Le manque de réaction de Frédéric quand Michel lui avait touché les fesses était prometteur. Frédéric sétait mis sur le dos et récupérait. Marie plaça son sexe sur sa bouche. Il se mit immédiatement au travail. Elle sentait sa langue la pénétrer, le sperme de Michel coulant dans sa bouche. Ce dernier en profita pour prendre le sexe de Frédéric et recueillir les dernières gouttes de sperme.
Ils passèrent alors cinq jours ensemble. Frédéric perdit son pucelage anal avec Marie et son gode ceinture et Michel. A leur retour à Paris ils décidèrent désormais dans la mesure du possible de sortir ensemble. Cest ainsi quils rallièrent le réseau de Guy et Carole.
Je demandais à Marie si elle navait pas été gênée par leur proximité familiale. Elle me répondit que cest lhomme quelle avait vu dabord et quà partir du moment où ils étaient heureux, elle nallait pas se culpabiliser.
Guy vint nous chercher profitant au passage pour nous caresser les fesses. Après avoir pris le dessert, il nous invita à passer dans une autre pièce que je ne connaissais pas. Des matelas jonchaient le sol formant une impressionnante couche. Une table longue dun mètre de haut était placée au centre. Elle était recouverte dun tapis en mousse. Deux chevalets recouverts de fourrure complétaient le tableau. Carole sortit sa panoplie de sex-toys. Elle me dit que jallais avoir droit à la séance spécial invitée. Elle me demanda de me placer sur un des chevalets. Elle menleva mon rosebud et après mavoir lubrifié lanus elle le remplaça par un plug vibrant. Elle me demanda ensuite de mallonger sur la table. Des lanières pendaient aux quatre coins. Ils mattachèrent. Mes cuisses étaient suffisamment écartées pour laisser mon sexe disponible. Carole enfonça un gros uf vibrant télécommandé dans mon vagin. Jétais à leur merci. Carole déclencha alors les vibrations en variant les régimes. Guy membrassait, Michel et Frédéric soccupaient de mes seins. Je sentais durcir mes mamelons sous leurs bouches. Marie sétait emparée dun vibromasseur et titillait mon clitoris. Jétais complètement possédée. Cétait énorme, je sentais mon corps vibrer dune façon fantastique. Jessayais déchapper à leurs caresses mais je ne le pouvais pas car jétais attachée. Carole variait les réglages des vibrations. Je tirais sur les lanières en vain. Mon corps était tendu comme un arc. Jeus une succession dorgasmes. Mes gémissements étaient de plus en plus forts, je perdais pied. Jeus beau les supplier darrêter, ils nentendaient rien. Une vague encore plus forte, me submergea et je retombais inerte sur la table. Je nétais que jouissance. Carole retira loeuf et le plug. Ils me détachèrent et mallongèrent délicatement sur le sol.
Jétais complètement KO, incapable de réagir. Autour de moi mes amis sagitaient et faisaient lamour. De temps en temps une main ségarait sur moi.
Ils jouirent les uns après les autres et un grand silence régna sur la pièce. Je sentis quon me soulevait, quon me déshabillait, et quon mallongeait sur un lit.
Avant de mendormir, un homme vint se placer derrière moi et me prendre dans ses bras.
Jétais bien, sereine et comblée.
En me réveillant, je sentis immédiatement lhomme contre moi. Il avait déjà une belle érection. Je me retournais et je vis Frédéric qui me souriait amoureusement. Il me pénétra doucement et me fit lamour avec une tendresse et une délicatesse infinie car jen avais besoin après la séance de la veille. Il se répandit en moi et nous terminèrent notre nuit dans les bras lun de lautre, nous caressants mutuellement.
Nous prîmes une douche où il me savonna, me sécha comme une petite fille et nous rejoignirent les autres pour le petit déjeuner. La nuit avait laissé des traces. A lexception de nous deux, ils navaient pas beaucoup dormi. Moi aussi javais peu être un peu trop la dose car javais des courbatures et mon sexe et mon cul étaient douloureux.
Imaginez ce que cela représentait pour moi. Ces trois semaines avaient changé ma vie.
Je madressais à eux pour leur dire que je ne voulais pas quils pensent que jétais une femme facile, une salope prête à ouvrir les cuisses au premier venu. Je voulais quils comprennent que jaspirais à vivre une sexualité libre, complète avec des partenaires de choix. Jétais faite pour aimer. Mon corps et mon esprit le réclamaient. Javais trop perdu de temps. Ils nétaient pas des gens de passage. Ils étaient mes amants et mes amantes. Leur seule réponse fût de membrasser à tour de rôle. Jétais des leurs.
Avant de se quitter nous fîmes une promenade. Frédéric me tenait compagnie. Je me sentais flattée de susciter lattention dun aussi jeune et beau garçon. Nous nous quittâmes, nous promettant de nous revoir bientôt. Avant de partir Carole et Guy me proposèrent de venir les voir tous les week-ends dans la mesure de mes possibilités.
En les remerciant pour leur accueil et pour mavoir présenté leurs amis, je leur confirmais quils pouvaient compter sur moi. (à suivre)
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