La Conversion À La Luxure De Marie 3 (La Parole À Pierre Et La Suite)

Je sais, lecteur que tu es impatient de lire les dérives les plus folles dans lesquelles Marie est aujourd'hui plongée. Mais prend patience. Moi, il ma bien fallu en avoir pour la découvrir très très dévergondée. Alors .Mais quand même, je vais te raccourcir l'attente par rapport à le mienne:

Maintenant les événements retranscrits par les échanges de SMS et de mails avec Pierre :
Depuis notre première rencontre, après ma recherche sur internet, nous avions convenu Pierre et moi de nous informer de tous les évènements. De plus, je devais guider, à distance ses approches et l’évolution de sa prise de pouvoir sur Marie. Parce qu’il était convenu que l’objectif final (quelle qu’en soit le temps mis pour y arriver) devait être de faire de Marie une salope soumise, et pas seulement qu’elle me trompe, même avec mon accord.
Je l’ai déjà dit, je lui donnai une mine d’informations sur les goûts et les centres d’intérêt de Marie :
-Son « addiction » si je peux dire au champagne et le fait que lorsqu’elle en avait pas mal bu elle perdait un peu le contrôle et cette maîtrise de ses pulsions qu’elle s’attachait d’habitude à maintenir en permanence. Dans la liste je lui signalais aussi que les vins blancs faisaient le même effet, et qu’elle aimait particulièrement le Meursault, le Reuilly et le Bergerac blanc sec. Qu’elle était particulièrement sensible à la courtoisie et aux hommes qui lui faisaient des compliments sur ses tenues vestimentaires. (y compris sa lingerie).
-Ses goûts pour l’art, qu’elle avait d’ailleurs pris des cours à l’école du Louvre. Pour l’Extrême-Orient, les voyages (je lui avais fait la liste de ceux que nous avions effectués). Sa passion pour l’Opéra et en particulier pour l’opéra italien et pour Pavarotti (elle a certaines ascendances italiennes).
- Au point de vue sexuelle ses qualités d’experte en fellation, et l’impression que j’avais toujours eu, mais qu’elle repoussait avec moi, d’aimer les rapports très virils sans être violents.

Et je l’engageais à la préparer progressivement à la sodomie, ce qu’elle m’avait toujours refusé, sauf lors d’un voyage au Mexique pour son anniversaire alors qu’elle était plus qu’éméchée, à tel point que le lendemain elle ne se souvenait pas de m’avoir offert son petit trou.
Mais reprenons notre récit. Et pour cette relation, nous allons le commencer au départ de Marie pour sa deuxième rencontre avec Pierre : son « vernissage ».
Le matin j’avais veillé à sa tenue, vestimentaire et sous-vestimentaire. : Comme dessous je lui avais conseillé un ensemble de lingerie luxe que je lui avais offert un mois auparavant en broderie noir et rouge à fleurs avec des bonnets de guêpière qui ne prenaient que le dessous des seins, un string très minimaliste, et des bas à l’ancienne avec couture et un grand liseron de dentelle avec un lacet noué en haut par une petite rosace.
Elle m’avait d’ailleurs dit :
- Si tu voulais que ton copain couche avec moi, tu ne t’y prendrais pas autrement.
Et quand je lui eus répondu :
- Devine !!!
Elle ajouta avec un petit sourire :
- T’es sûr qu’il va vouloir d’une femme rangée comme moi ?
Pour recouvrir la lingerie je lui avais choisi un ensemble avec une jupe était très ample. Ce qui permettait à Pierre, lorsqu’elle serait assise à ses côtés, d’accéder à son intimité sans effort et naturellement. Un corsage gris clair, qui laissait deviner sa lingerie, très serré à la poitrine, ce qui l’obligeait à laisser les trois boutons du haut ouverts et donc entrevoir une bonne partie de ses seins. Par-dessus, une veste blanche légère à un seul bouton.
En sommes une tenue classe et en même temps très tentatrice, presque provocante.
En partant elle n’eut qu’une phrase :
-Chéri, es-tu vraiment sûr que si je me laisse tenter et que je couche avec ton collègue ça ne te pose pas de problème ?
-…… !!!
Je la conduisis au train, j’avais réussi à la décider à ne pas prendre la voiture… Je savais que ce serait plus pratique pour Pierre ensuite.

Ils avaient rendez-vous à 18h30, à la sortie de métro Saint-Paul dans le Marais. J’avais dit à Pierre de la guetter d’assez loin et de la faire attendre 2 ou 3 minutes avant d’arriver.
SMS :
Contact visuel établi.
Elle a l’air un peu surprise que je ne sois pas là à l’attendre.
J’y vais.

Puis silence pendant près d’une heure et demie…
SMS :
Elle est aux toilettes.
Ça marche !
A déjà bu 2 coupes de champagne !
M’a demandé où je l’emmenais manger.
Ai dit non, surprise.
Un monde fou.
En ai profité pour un peu la peloter dans les bousculades.
Pas farouche !

Ma réponse :
Continue. Parfait !
Puis de nouveau 2 heures sans nouvelles.
Je ne m’inquiétais pas, j’avais dit à Pierre de ne pas prendre de risque en m’envoyant des messages sous son regard.
SMS :

Ai prétexté besoin pressant pour te tenir au courant.
Tout va bien.
Elle me laisse lui caresser les cuisses.
Penses-tu que je peux aller plus loin.
Elle est déjà très désinhibée.
Champagne et vin…
Parfait…

Ma réponse :

Oui. Bien sûr.
Si personne ne voit
Et en progressant doucement
Sinon elle dira
Tu peux même essayer, doigt,-clito.
Moi déjà fait.

Puis là de nouveau attente 1 heure 30.

SMS :

Dans la chambre.
Commencé les hostilités
Très chaude et gourmande
M’a déboutonné mon pantalon à peine rentrés.
Puis turlutte.
Commande champagne comme prévu
Petit stratagème avec garçon d’étage
J’aime beaucoup
(elle et lingerie-lol-)
Merci pour tout

Je lui répondis :

C’est moi qui remercie
Baise la bien et beaucoup
Je la veux confuse demain

Puis, plus rien, jusqu’au lendemain matin 7h15 :

SMS :

Sorti de ses mains
Suis sur les rotules
Déchaînée toute la nuit, du mal à me laisser souffler
Une vraie furie
Pas du tout la femme rangée que tu as décrite
Toutes les positions y sont passées.

Elle en redemandait encore.
Stop à 2h30 du matin.
Mais m’a réveillé à 4h30 par turlutte et remis couvert
Puis à 6h30 au réveil pour partir au bureau elle m’a dit :
Tu vas pas partir comme ça, aller viens encore un peu et elle est montée sur moi.
Elle m’a vidé physiquement et mes couilles je te dis pas.
On se voit quand ?

Réponse :

Demain soir à 18h
Sortie bureau si tu veux.
On prend un pot.
Bistrot du « Train Bleu » Gare de Lyon en bas. Intérieur.

Rencontre bilan avec Pierre

Comme convenu nous nous y retrouvâmes.
Pierre était à l’heure.
En arrivant il me dit qu’il n’avait pas encore récupéré. Me raconta plus en détail toute la nuit. M’expliqua le petit tour qu’il lui avait fait avec le garçon d’étage et la discussion qui avait suivie. Me dit qu’il l’avait trouvée très très chaude.
Et tint-il à préciser « très bonne ». Un super coup.
Qu’il avait engagé une approche de la face arrière avec ses doigts et qu’elle n’avait pas rechigné jusqu’à ce qu’il les enfonce loin. Là elle lui avait dit que je lui avais déjà fait et qu’elle n’aimait pas (la menteuse).
Pierre lui avait répondu, que l’on verrait une autre fois :

-Pas tout le même soir. Et je suis sûr que je vais te faire aimer ? Je m’y prends très délicatement, tu sais..

Nous avons convenu qu’il la rappelle le soir même et qu’il lui propose pour la semaine suivante un « nouveau vernissage », mais lui dise, que cette fois c’était sans expo…Direct à l’hôtel, puis resto. Puis nuit hôtel.

Je me mis d’accord avec lui que cette fois la note hôtel et resto serait pour moi. Mais que j’aimerai bien avoir des images. Que le son envoyé pendant leurs ébats était intéressant mais un peu court, et qu’il ne faisait qu’exciter ma curiosité.
Je lui dis que je le rappellerai ? Que j’avais peut-être une idée, mais que je ne savais pas si c’était faisable.

Le lendemain matin, je n’avais au bureau qu’un rendez-vous en fin de matinée, je prétextais auprès de ma secrétaire un rendez-vous à l’extérieur que j’avais sur mon agenda et qu’elle avait dû oublier de noter. D’ailleurs c’était pour cela que je n’avais rien pris d’autre le matin… Pauvre Jacqueline, elle s’en est voulue pendant une semaine d’avoir pu oublier de noter un RDV.

Je me rendis à l’appart ’Hôtel de Saint-Germain des Prés, et est demandé à la réception, s’il était possible que je loue un appart’ deux pièces pour un couple d’ami qui venait de Province, que je paie et qu’en surprise je vienne avant leur arrivée, avoir la clé et leur laisser un petit cadeau surprise de bienvenue. Le responsable me dit que ça ne posait aucun problème.
Immédiatement je laissai un message à Pierre en lui demandant de me rappeler à midi et de me donner le jour qu’il aurait arrêté avec Marie dès qu’ils l’auraient fixé.

A midi, appel, j’ai eu Marie, elle propose qu’on se voie Mardi prochain
(Nous étions Vendredi- décidément elle était pressée de se refaire ramoner la cheminée).
Je lui expliquais ce que j’avais prévu et lui dis que je leur ferai livrer un grand plateau de fruits de Mer pour le soir. (Avantage des apparts ‘hôtels). Ce qui leur éviterait de sortir et perdre du temps dans leur folie sexuelle. Que j’installerais deux caméras-espions (une dans chaque pièce) que je lui dirai où elles seraient. Et que j’en prendrais qui démarrent avec le bruit. Et que le lendemain matin il se débrouille pour partir après Marie et récupère le matériel et les clés mémoires. Pour me les donner lorsqu’on se verrait.
Avant de rentrer, je passai à l’appart ’hôtel, le préposé à l’accueil me dit qu’il ne restait plus pour le mardi que deux appart’ grand format. Malgré le prix je leur en réservai un, le payai et demandai où il me recommandait de commander les fruits de mer. Je m’y rendis immédiatement.

En rentrant le soir à la maison, Marie m’accueillit avec un verre de Whisky, comme elle le faisait souvent. Puis, rien, à part son Compte-Rendu de la nuit (voir chapitre 1) qu’elle me remit en me disant :
- J’ai essayé d’être la plus complète possible comme tu me l’avais demandé…Mais ça n’a pas été facile à écrire.

C’est plus tard dans la soirée qu’elle me dit, l’air de rien :

- Ah, Oui ! j’allais oublier. Pierre m’a rappelé pour me dire qu’il avait beaucoup aimé notre nuit. Qu’il te donnait le bonjour. Et pour m’inviter de nouveau à une expo. La semaine prochaine. Mardi. Bien sûr je ne lui ai pas donné ma réponse. Je lui ai dit que ça me semblait faire beaucoup et que je verrai si tu étais d’accord…

Pour en venir à me la jouer comme ça, elle devait déjà être bien attachée à Pierre. Je fis celui qui effectivement trouvait que ça faisait très rapproché :

- Et bien dis donc, je sais pas ce que tu lui as fait, mais tu l’as rendu accroc. Mais, bon, je suis quand même le mari et il faudrait pas que sous-couvert de liberté que je t’accorde, il pense que je ne compte plus. Enfin, c’est toi qui décides. Et ça vaut vraiment le coup cette expo. ? C’est quoi ?

Je la sentis hésiter-elle ne s’attendait pas à ça-, puis me dit :

- Tu ne connais pas, c’est un jeune artiste très en vogue actuellement aux Etats-Unis et qui n’expose que pour 2 jours dans une galerie à Paris. Mais si tu veux, je dis à Pierre que je ne peux pas.
- Non, ma chérie, si c’est quelque chose que tu aimes bien et que tu n’as pas envie de rater pour une fois, je ne vois pas pourquoi je te priverais de ce plaisir. Et, je me doute que vous n’allez pas faire que voir des tableaux ? Puis tranquillement vous bizouiller et chacun rentrer chez soi ?
- Non, bien sûr il veut m’emmener au resto. Après.
- -Bon, d’accord, mais j’y mets une condition : Que tu acceptes de porter les dessous que je te demanderais de mettre.
- Si c’est tout ce que tu veux, j’accepte tout de suite. La lingerie que tu m’offres est de toute façon très belle ; Et j’aime toutes mes parures.

Le lendemain après-midi (nous étions samedi), je la fis venir près de moi devant l’ordinateur, j’étais sur un site de lingerie sexy (Jade). Et je lui montrai 3 parures que j’avais sélectionnées avec soutien-gorge et string ouverts… Et lui dit :

- Vas-y, je suis bon prince, c’est moi qui devais choisir ce que tu mettrais, mais je te laisse le choix entre ces trois modèles.
- Mais… !!!Tu ne m’avais pas dit que tu rachèterais quelque chose de cochon…
- Je ne t’avais pas dit le contraire. Un contrat est un contrat. Et pour une petite salope qui va se faire sauter comme une chienne par son amant alors que son mari est tout seul à la maison…il faut la parure adaptée.
- Mais, comment Pierre va le prendre, il va penser que je suis une pute, qui couche avec tout le monde !!!
- Non, tu n’as qu’à lui dire que c’est moi qui t’ai e à porter ça. Et, tu n’es plus une gamine, et à mon avis, un homme normalement constitué, ayant déjà abusé de tes charmes, ne peux que se sentir valorisé par cette tenue. Tu lui montres que tu reconnais qu’il te donne beaucoup de plaisir. Alors choisis, il faut que je commande avant ce soir si l’on veut l’avoir en livraison express Lundi.

Après les avoir tous regardé, elle s’arrêta sur un ensemble de chez Anaïs- Pleasure set-
-noir et turquoise, avec soutien-gorge très sexy avec attache autour du cou, caches téton, string dentelle et porte jarretelle en voile plissé et bas noirs avec des fleurs roses juste derrière le talon.

Je trouvais son choix très judicieux et m’empressais de passer la commande.

Le mardi matin, je lui dis que j’avais un rendez-vous de bonne heure et que je devais partir avant qu’elle s’apprête. Elle me demanda :

- Mais, je dois aller au boulot avec ça aussi en-dessous ?
- Ben, tu ne veux pas revenir ici te changer ?
- -Non, c’est pas possible, mais je pourrais me changer au bahut en fermant mon bureau à clé quand tout le monde sera parti.
- - Ah non, on a passé un contrat et il n’était pas question que tu partes au travail avec deux tenues. Tu pars avec ce qu’on a convenu. Au-dessus tu mets ce que tu veux. Sauf un col roulé et un pantalon. Au revoir…

Vers 13h je me rendis à l’hôtel. Pris les clés et montai dans l’appart’. J’installai les caméras que j’avais achetées le lundi dans un magasin à côté du boulot. Le vendeur m’’en avait garantie la qualité des images. L’une était un réveil, l’autre une petite rosace murale décorative.
Je mis la première dans le salon en face du canapé, et en position pour saisir aussi les images de la table. Pour la seconde ce fut plus compliqué, je finis par la positionner en plongée au-dessus de la tête de lit et fis quelques essais en contrôlant sur mon portable la qualité des images et les angles de prise de vue.
Tout était prêt. Je rendis les clés à la réception.
Nous avions convenu avec Pierre qu’il ne me contacterait pas, sauf s’il avait besoin d’une aide quelconque. Qu’il lui dise par contre qu’elle pouvait m’appeler si elle voulait. Et que lui expérimente tout ce qu’il pouvait… tant en terme de lieu dans l’appartement qu’en terme de positions et si possible de trou(s)… Qu’en l’accueillant il lui dise qu’il lui avait réservé une surprise et qu’ils ne perdraient pas de temps en fioritures dans la soirée.

Marie m’envoya trois messages :

A 17h45 :
- La classe, il a réservé un appart ’hôtel luxe au quartier latin.
3 pièces pour nous tous seuls
Impressionné par ma lingerie

Elle en oubliait qu’elle m’avait fait croire qu’ils avaient une expo avant les « agapes ». Mais, moi, je ne l’oublierais pas et comptait bien me servir de ce mensonge pour la pousser plus loin par la suite.


A 21h :
- Très chaud.
Repas sur place, fruits de mer…
Aphrodisiaque !!!
Ça marche !
Je t’aime !!!

Ça devait effectivement être très chaud et elle devait s’éclater pour qu’elle éprouve le besoin de me dire : je t’aime dans son message comme pour effacer un petit sentiment de culpabilité.

Puis le dernier à 1 h du matin :
- Insatiable !
C’est marathon !
Non, cross !
Non, lutte tous terrains !
plaisirS
Vidée.

Le style télégraphique donnait vraiment l’impression qu’elle ne voulait pas perdre un seul instant des assauts de son amant.
J’avais hâte d’être au lendemain pour récupérer les cartes mémoires. Pierre devait partir pour une mission de 3 jours à Milan et nous avions convenu de nous voir près de son bureau à La Défense avant qu’il ne parte prendre son avion. Il n’eut que le temps de me dire que Marie était une furie et qu’elle était insatiable (les mêmes mots qu’elle !!!). Et qu’il pensait qu’il pouvait vraiment me la transformer en salope « de concours » (c’était ses mots).
- J’en ai vu mais elle, elle aime ça, à un point que je n’aurais jamais imaginé…d’ailleurs j’espère que les images seront suffisamment nettes, et tu t’en rendras compte.

Il voulut me rendre les caméras, mais je lui dis que c’était lui qui en aurait besoin pour les prochaines fois.
Nous convînmes alors que je lui enverrai un mail dès que j’aurai vu les vidéos et eu des échanges avec Marie.
J’étais excité comme une puce, et me demandais quand j’allais pouvoir visionner les vidéos. N’y tenant plus, je prétextai auprès de ma secrétaire et de Marie un rapport urgent à finir pour le lendemain. J’allai m’acheter une bière et un sandwich et prévins les vigiles que je resterais tard au bureau et que l’on ne me dérange pas. Ils ne furent pas surpris, cela m’arrivait souvent.
Je m’installai confortablement et démarrai le visionnage.

La lecture démarrait à 17h27. Je ne sais pas ce qui s’était produit depuis leur RDV à 17h. S’ils avaient déjà effectué quelques préliminaires, mais je constatai qu’à peine la porte refermée, ils n’avaient pas perdu de temps. Marie, debout face à Pierre, lui défaisais sa veste puis sa chemise tout en l’embrassant dans un baiser langoureux. Tandis que Pierre, avait déjà trouvé la fermeture éclair de la jupe. Marie n’avait pas mégoté sur l’habillement : c’était une jupe noire très moulante que je connaissais bien, en haut elle avait mis un petit caraco noir aussi presque translucide sur lequel elle avait passé une veste, elle aussi noire.
Je pensai qu’elle m’avait décidément joué un sacré numéro de vierge effarouchée le matin avant de partir… Après tout le fait que je rentre tard lui permettrai de garder la face. Mais j’étais bien décidé à lui demander ce qu’elle avait mis par-dessus MA lingerie.

Je n’avais pas averti Pierre pour les dessous que j’avais fait mettre à Marie.
Quand il eut enlevé le caraco, j’entendis très distinctement un :
- OH ! Eh bien, ma salope, tu me fais le grand jeu.
- J’ai pensé que tu aimerais !
Là encore, je me trouvais surpris, je m’attendais plutôt à ce qu’elle lui dise que c’était moi qui l’avais poussée à les mettre.
Suivaient des attouchements et caresses avant que Marie ne décide de se mettre en prière devant le vit de Pierre et à lui prodiguer une sucette très épicée, comme pour lui confirmer qu’elle était une salope et qu’elle avait bien décidé de lui faire le grand jeu.
Pierre l’entraîna vers le canapé et lui dit qu’il avait commandé le repas et qu’ils avaient environ 2 heures devant eux avant qu’il ne soit livré.
Marie lui dit alors :
- Attends il faut d’abord que j’envoie un message à R. pour lui dire que je suis bien arrivé.

Ensuite, le ballet commença, sans prolongation de préliminaires superflus. Levrette puis missionnaire, returlutte. Cunni. Puis levrette Marie appuyée sur la table. C’est là que les râles et petits cris commencèrent à devenir insistants et sonores. Elle fermait les yeux et avait le visage congestionné et lançait par moment des OH ! Oui ! Non ! Oh oui ! Ouh la la ! C’est pas possible !
Et soudain je la vis devenir écarlate et ouvrir grand la bouche comme si elle suffoquait…A n’en pas douter elle avait un orgasme énorme, elle prenait un pied d'enfer. J'eus l'impression que Pierre avait pris aussi le sien quelques secondes plus tard. En effet quand il se retira je crus voir sur l'image un filet de sperme sur sa queue.
Je pense d'ailleurs en avoir eu confirmation par le fait que son pénis devint moins conquérant et que ma douce s'employa immédiatement à ne pas le laisser au repos.
S’en suivit un épisode assez savoureux. Pierre dit à Marie :

- Maintenant on va passer à table…
- OK ! reste à savoir où se trouvent tous les couverts.
- Non ! Pas besoin de couverts, ni d’assiette pour ce qui est prévu.
- Ah ! bon c’est un repas à l’orientale ? On mange avec ses doigts.
- Oui ! et aussi avec sa bouche et autre chose
- !!!

Et tout en regardant Marie avec un petit sourire, il l’allongea sur la table, et lui dit :

- Tu n’as pas compris tu es le plat de résistance.
- Alors on ne mange pas ?

Pierre ne répondait pas, il avait déjà la tête entre ses cuisses et lui disait :

- C’est bien pratique ces strings, pas besoin de les enlever…

Il eut à peine commencé ses jeux de langue et de doigts que Marie se mit de nouveau à roucouler.
Quand elle fut bien excitée, il lui leva les jambes à l’horizontal et la prit d’un seul coup avec une force et une vigueur telles qu’elle en poussa un grand cri suivi inintelligible suivi d’un Ouah !!!
Il faut dire que si Pierre était bien doté, le con de Marie était juste à la bonne hauteur et devait être devenu tellement élastique avec tout ce qui avait eu lieu avant qu’il ne devait avoir aucune difficulté à enfoncer son pieu d’un seul coup jusqu’au plus profond de son ventre. De plus je supposais que le sperme qui devait être encore en elle s’ajoutant à la cyprine constituait un lubrifiant naturel qui aurait permis à n’importe quel instrument de trouver sa place.
Pierre voyant qu’elle perdait pied choisit ce moment pour la forcer à parler :

- T’aime ça ! Hein ? t’aime la bite ? t’es une salope ?
Dis-le, aller dis-le !!
Alors, tu le dis ou j’arrête ?
- Oui, j’aime ça.
- Tu aimes quoi ?
- J’aime…
- Quoi ?
- Le sexe.
- Non, Pas le sexe, la bite ? Dis-le !!!
- Oui, j’aime la bite !!!
- Tu les aimes comment ?
- Bien faites.
- Oui, mais encore ?
Tout cela accompagné des coups de rein de Pierre qui ralentissait ou accélérait en fonction des réponses.
- Grosses et travailleuses.
Ça y était Marie se lâchait aussi verbalement Pierre n’avait plus qu’à la provoquer.
- Et alors c’est quoi les femmes qui aiment la bite et qui en veulent ?
- Des salopes !
- Et toi, tu es quoi ?
- Une salope ;
- Redis-le bien que je l’entende clairement.
- Je suis une salope !
- Tu le diras à ton mari en rentrant ?
- Non !
- Je veux que tu lui dises !
Sentant que Marie était limite, il arrêta et la lutina jusqu’à ce qu’elle prenne un nouveau grand pied.
- Maintenant on va l’ouvrir ce champagne. Je leur avais demandé de mettre une bouteille et une de blanc au frais.
Un quart d'heure plus tard, Pierre lui ayant dit qu'il partait le lendemain pour l'Italie et alors qu'ils discutaient de la Toscane (région dont Marie est tombée folle il y a quelques années et où nous retournons régulièrement). On frappa à la porte.
20h à l'horloge de la vidéo. C’était le livreur de l’écailler d’à côté qui apportait les fruits de mer. Marie passa dans la chambre et Pierre s’enveloppa d’une serviette.
Quand il fut parti, Marie dit à Pierre :
- Y’a pas que moi qui sors le grand jeu !!!
- Il faut bien faire ce qu’il faut si on veut obtenir quelque chose d’une femme rétive…
- Tu trouves que je suis rétive ?
- Non, très chaude, d’accord, mais j’aimerais te faire découvrir des choses que tu devrais aimer, avec ton tempérament.
- Tu veux parler d’amour à plusieurs ?
- Tiens, tiens, ça fait son chemin notre échange de l’autre jour, pour que tu en parles tout de suite.
- Non, dit-elle en se défendant, mais à quoi tu penses d’autre ?
- On en reparle plus tard… aller on mange.
Alors pendant une bonne demi-heure, tout en parlant de choses et d’autres, ils jouèrent comme deux ados amoureux. On se mit à décortiquer les langoustines bouche à bouche.
Sans parler des huîtres dont Pierre entreprit d’en faire manger à Marie posées sur le bout de son pénis. Et lui en mangeait qu’il mettait entre ses lèvres du haut comme du bas.
Puis j’eus droit à un jeu avec les pattes de crabe et les pinces de homard. Pierre s’en servait, avant de les avoir décortiquées, pour masturber Marie. Et après les avoir sorties de son vagin il les aspirait en lui disant :
- Ça sent la salope plus, plus. C’est bon. Un goût de reviens-y !

Marie se prenait au jeu sans aucune retenue. Je la découvrais vraiment sous un autre jour. Non pas que je la croyais prude, au contraire, je me doutais que sous la femme rangée BCBG cherchant à affirmer son statut de haut-fonctionnaire, il y avait un volcan sexuel qui dormait. Mais, de là à penser qu’à la deuxième rencontre, avec un homme qu’elle ne connaissait pas 15 jours plus tôt, elle se lâche à ce point, je ne l’aurais jamais cru possible.

- Et bien reviens-y ! Dit-elle sous forme de provocation. On ne va pas passer le reste de la soirée et de la nuit à faire joujou avec des pattes de crustacés.
- Dis donc, t’as payé combien pour exiger un tel service ?
- Ça tu ne le sauras jamais. C’est ton ex-patron qui encaisse. Oh ! Il faut que je lui renvoie un message pov’chéri qui se morfond devant ses raviolis en regardant sa télé…

Soit elle se foutait de moi, pour épater son amant ; soit elle voulait se rassurer pour dépasser une culpabilité sous-jacente.
Dans tous les cas, elle me le paierait.
La nuit se continua avec des aller-retours entre le salon et la première chambre. Heureusement c’était celle où j’avais placé la caméra. Mais ce qui fut particulièrement fastidieux, c’était de passer d’un enregistrement à l’autre. Heureusement, leurs mouvements d’une part et l’horaire d’enregistrement affiché sur l’écran me facilitait un peu le transfert, même s’il fallait à chaque fois que j’utilise la fonction accélération pour retrouver le fil dans la continuité.

C’était effectivement torride et je ne saurais dire lequel des deux était le plus vorace. Je crois que la « santé » et la décontraction de Marie avaient aussi conquis Pierre qui au début n’était recruté que pour faire mirebalai (NDLR : les mirebalais étaient employés pendant la Régence -XVIIIème siècle- dans les soirées libertines pour suppléer les hommes lorsque ceux-ci, épuisés, n’arrivaient plus à satisfaire les femmes). Et qui maintenant prenait son rôle avec un tel engouement que j’étais sûr qu’elle l’avait elle aussi à sa main.
Je n’en fus pas déçu, au contraire, cela, était aussi pour moi un moyen d’obtenir de lui ce que j’avais envie qu’il fasse avec Marie.
Tous les lieux y passèrent (y compris la salle de bain à 2 reprises, mais je les vis y aller ensemble sans voir ce qu’ils y faisaient, (dommage) mais les vocalises que j’entendais ne laissaient aucun doute sur ce qui s’y passait.
Je vis distinctement que Pierre à un moment engagea une tentative pour prendre « l’œil de bronze », et, même si dans un premier temps elle laissa faire (peut-être l’excitation lui enlevait toute capacité de réaction immédiate) elle lui demanda ensuite de ne pas insister. Tout en lui disant :

- Ça viendra peut-être mais je n’y suis pas encore prête.

Et puis, est-ce volontairement, ou Pierre l’avait oublié, ils éteignirent la lumière tout en continuant leurs explorations mutuelles.
Je décidai de prendre la marche accélérée pour aller à la fin de l’enregistrement, qui continuait puisqu’il était formaté sur les sons et que ceux émis par Marie étaient suffisamment forts pour maintenir la caméra en activité, même si comme image on ne distinguait que quelques mouvements de formes, sans distinguer ce qui se passait.
La fin des hostilités enregistrée par la caméra de la chambre portait 2h30.
Effectivement, ça vaut tous les marathons.
Ayant vu les images, je rangeai les cartes dans mon portefeuilles, et rentrai à la maison, il était minuit. Je ne m’étais pas vraiment rendu compte du temps. Ça valait bien plusieurs films X.
J’appelai Marie et lui dis :
- Je suis épuisé, j’ai bossé comme un fou, avec une concentration dingue. C’est un rapport très important sur des actions très instructives. Mais en même temps ça me plait beaucoup. Tu t’en doutes. Sinon, je ne serai pas resté au bureau jusqu’à cette heure.

Avec un certain culot, je l’entendis me dire :
- Si je ne te connaissais pas je pourrais penser que tu as passé la soirée avec une maîtresse.
Sans me départir et en pensant qu’il fallait que je réfléchisse à comment tirer profit des mensonges que j’avais découverts.
Je lui répondis :
- Tu ne peux-pas mieux dire, c’est même une amante hors pair avec laquelle j’ai passé la soirée.

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