Mourad - Un Religieux Sympa !
Mourad (*) - UN RELIGIEUX SYMPA !
(* - prénom et lieu changé par discrétion)
Heureux de vous retrouvez chers lecteurs et lectrices d'HDS, après ces quelques mois d'absence tout occupé par mes déplacements sur les chantiers...
Pour votre plaisir de lire, un agréable récit d'une belle rencontre sur un parking. Bises à vous sans oublier mon ami belge, que j'ai hâte de retrouver à la rentrée, à bientôt .
IL y a quelques temps, je prends la voiture pour me rendre sur un chantier de Cambrai. Depuis 4 jours, cest insensé ! Incroyable ! Inimaginable ! Allez-vous penser chers lecteurs
Mais votre queutard de service, na pas encore baisé...Il faut dire, en effet que le Week-end précèdent, jétais en charmante compagnie ; Et la partouze à 6 avec notre couple damis et 2 jolies nanas bien gaulées, gourmandes et suceuses à souhait, rencontrées dans une boite de nuit de la frontière Belge (mais ça, cest une autre histoire) mavait véritablement vidées la tête, les couilles, et assommé physiquement. Au point de faire de moi - mais pour 4 jours seulement - Un véritable ascète, en repos et chasteté e par ces ébats plus que torrides ; Histoire de récupérer un peu et recharger les batteries
La multitude a du bon, mais parfois il faut reconnaitre que cest éprouvant le sexe (ah
que sont mes trente ans et sa vigueur devenus !!!).
Mais après ces 4 jours de récupération, juste à me branler tranquille de temps en temps, et queutard comme je suis, jai la GROSSE ENVIE ce matin. Depuis 100 bornes que je roule vers le Nord, je sens les signes avant-coureurs dans mon bas ventre et dans ma tête, et le désir monte en moi comme pas possible. Bref, jai LA BONNE GROSSE et LONGUE GAULE bien gonflée sous mon jeans et là, il faut que je BAISE ! Et vite ! Sinon, cest mon rendez-vous et même toute ma journée entière qui seront un enfer, le cerveau et ma grosse queue contenue de mon slip, tenaillés par une envie jusquà lassaut final et libérateur dun cul ou dune chatte à enfiler.
Bon
Si je roule un peu plus, en marrêtant à Lille, jai bien quelques adresses, et même des copains ou des copines prêts-à-baiser à domicile si besoin. Mais, un peu pressé, je nai pas trop envie de faire un détour de 100 bornes, et je tiens à rentrer tôt cet après midi pour retrouver Madame et lhonorer comme il se doit au cours dune sieste crapuleuse (même si bien sûr jarrive à me soulager ce matin... 2 fois valent mieux quune).
Et puis, mon envie de conclure, de baiser, cest maintenant, tout de suite, je ne peux me retenir éternellement! Ma décision est prise, jentre donc sur une aire de repos pas bien loin de Péronne, pressé den finir et surtout de passer mon envie par nimporte quel moyen
Couple, meuf, keum, bref tout ce qui passera sera la (ou le) bienvenu pour décharger et larguer mon jus !
Ca fait 10 minutes que je poireaute
Et à mon grand étonnement, alors quil est 9h00 bien tassées et quun petit rayon de soleil brille, pas un chat, ni une chatte dailleurs !...
Cest sûr, je vais devoir en finir par une bonne branlette dans les fourrés... A part quelques routiers endormis et des touristes en pause, vraiment, pas de chance, il ny a personne à rencontrer et encore moins pour une incartade une peu chaude. Tant pis ! Cest décidé, je me dirige vers les bosquets bien décidé à me donner un peu de plaisir solitaire
Alors quun break de marque Française arrive sur le parking
Mon mimi, me dis-je, attends un peu, mattes ce qui conduit, le plan tant espéré arrive peut-être sur un plateau comme un cadeau du ciel
Jobserve, mais raté !
Un mec barbu, en chemise pakistanaise, longue et blanche jusquaux genoux et pantalon bouffant descend du véhicule, un petit tapis enroulé sous le bras ; jai deviné, ce mec est religieux, et cest sans doute lheure de la prière !
Du coup, loin de moi lidée de choquer les âmes pures et sensibles ! Et je reste donc décidé à me branler vite fait... Je me cache un peu plus loin dans les fourrés pour mastiquer seul et sans le faire au su et au vu de ce dévot ; Néanmoins, et alors quil vient de passer par les chiottes pour se laver rituellement, je le détaille un peu et sans le faire exprès, nos regard se croisent.
Je ne sais pas pourquoi, mais ce mec étranger mattire, jadore linconnu
Et en le mattant un peu plus, il est à la fois viril et féminin. Maintenant, je peux le détailler car sa prière est terminée. Sous sa barbe un peu trop fournie et son vêtement un peu trop couvrant, se dissimule en fait un visage fin et une gueule dange, embelli dun regard vert deau et dune peau matte et brillante, qui, à mon avis doit être dune douceur extrême. Son regard que jai, de plus, croisé à linstant, me parait franc et sincère, et dépourvu daucune désapprobation. Je détaille alors, toutes les parties de son corps : ses mains sont belles, elles aussi, longues et finement poilues, ses doigts sont minces et ressemblent un peu à celles dune jeune femme ou dun mec un peu androgyne, malgré la quarantaine bien tassée que je lui attribue, son cul, sous son camiz-charouar est rond, bien rebondi, prêt, à mon humble avis, à être honoré comme il se doit
Il vient de terminer et je sais que son esprit, tout occupé à glorifier le tout puissant, a aussi été occupé et sans doute dérangé par ma présence quelque peu indiscrète.
Je misole donc un peu plus, et alors que je mattends à ce que ce mec reparte vers son véhicule, je le vois se diriger vers moi, bien décidé à engager la conversation.
-Salut, tu faisais ta prière ? je lui dis.
-Salut, oui, je suis pratiquant, mais dis moi, je change de sujet, je ne savais pas que cétait un lieu de drague, ici ?
-Moi non, plus, je suis la par hasard, je lui réponds tout en feignant létonnement
Mais, je ne pensai pas que tu cherchais à rencontrer
-Oh, tu sais, lun nempêche par lautre, je suis un chaud, et même si je me suis arrêté ici pour lheure de la prière, tout ça ninterdit pas des ptits écarts de temps à autre
Et joignant le geste à la parole, il soulève son camiz et dégage de son pantalon, une grosse et longue bite circoncise, en érection et surmonté dun gland déjà mouillée
Sous les yeux ébahis de votre narrateur de service.
Il ne men faut pas plus pour également sortir ma queue de mon futal, la saisir entre mes doigts et la branler frénétiquement afin de décharger au plus vite.
Mais ce type, cest sûr, en veut plus et mentraine par le bras, un peu plus loin dans le petit bois attenant. Sans attendre, et alors que les premiers rayons du soleil réchauffent latmosphère, il se dessape entièrement et tourne son cul vers ma grosse queue excitée et dressée comme il se doit.
-Encule-moi, il mordonne, je veux que tu me baises ici, par le très saint, mon frère, ta queue est superbe !
Je me dessape aussi, mais mon dévot a changé didée, et cest dans sa bouche quil enfile ma teub. Putain que cest bon ! La bouche de ce mec sympa est encore meilleure que la plupart des meilleurs suceurs que je me suis tapé jusque là. Dailleurs, le bougre, cest quil y met du cur à louvrage, alors que de la main gauche il me branle le chibre tout en menfonçant en fond de gorge, sa main droite sest glissé sous son entre jambes pour branler sa grosse pine.
Je décide de ne pas rester les bras ballants et du coup, lui pince fort ses sombres têtons en les roulant entre mes doigts
Là, ça le fait couiner comme un perdu. Comme je le pensais, sa peau est douce et couverte dune légère couche de poils drus.
Mourad, ne se fait pas prier, il a quitté définitivement ses dernières fringues et sallonge sur le dos, les pattes en lair, le cul offert. Avant dy plonger, je détaille son cul : il semble fermé, mais sa rondelle cramoisie porte pourtant les marques douverture fréquentes et denculades profondes. Expert comme je suis-je ne my trompe pas. Dailleurs je lui demande : -Tu dois aimer ça ?
-Par le tout puissant, que oui ! Je peux te dire quil y a eu plus dune paire de burnes qui mont tapées les fesses, et plus dune merguez, mon cousin, enfilées dans mon cul. Alors, toi, tu me la fouts cousin ?
Cette fois ci, je ne me fais pas prier, et cest dune franche, longue et unique poussée en avant, sans marrêter, que jencule Mourad. Son cul est propre, offert et chaud, et me fait leffet dun fourreau animé par je ne sais quelle main invisible. Sans bouger ou presque, les pressions du sphincter sur ma bite me font vite grimper aux rideaux. Ma queue, fichée en lui jusquà la garde lui chauffe son cul, et le font couiner de plus bel ; Cest sur il jouit et grimpe aux rideaux ; Là, du coup, je le défonce par de grands allers-retours, de plus en plus rapides et profonds.
Mourad, les yeux révulsés, comme un damné, jouit du cul et au bout dun moment, sa queue raide, sans aide aucune, largue un long jet puissant et dru sur nos ventres. Je me défais rapidement, ôtes ma capote et jouis du bonheur du juste, sur sa langue et sur sa tronche. Il est monté, cest sûr, en direct et sans escale, au 7ème ciel !
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