Chantal Et Le Marché De Nuit (Fin)
Nous sommes aujourdhui revenus chez nous, les vacances sont finies. Elles ont été merveilleuses pour Chantal comme pour moi. Enormément !
Après cette première soirée du marché nocturne au cours de laquelle Chantal sest laissée aller à sucer jusquà éjaculation ce grand black derrière son stand, je suis rentré sur Paris la laissant en vacances dans notre maison familiale. Une pensée mobsédait :-que ferait-elle seule, libre daller et venir à son gré sans aucune contrainte ?
Le marché de nuit revenait tous les vendredi soir. Deux semaines, deux vendredi, elle avait tout le loisir de retrouver son marchand ambulant. Je croyais Chantal fidèle, mais cette soirée mavait ouvert les yeux sur deux points : elle ne savait pas résister à la beauté des blacks, et jen avais éprouvé une jalousie qui mavait excitée au point dassocier son amant à mon propre plaisir. Je risquais gros, mais lexcitation était irrésistible. Peut-être avais-je la certitude quelle me reviendrait toujours
de toutes les manières je nétais plus en mesure de calculer mes risques. Je voulais quelle se fasse prendre, et par ce black.
Jéchafaudais un scénario dans le train qui me ramenait vers elle pour terminer ensemble nos vacances. Elle est venue me chercher en voiture à la gare (pourtant pas très éloignée), câline, amoureuse. Elle était habillée sexy, comme pour une invitation à la débauche avant de rentrer. Nous avons arrêté lauto sur le bord de la route. Je lai prise dans mes bras pour un baiser très fougueux. Provocateur et plaisantin, je la questionnais sur ces deux semaines passées sans moi. Sur le même ton de la plaisanterie elle énuméra une séries daventures toutes plus fantasques et imaginaires les unes que les autres. Je la pris par surprise en évoquant le beau black saltimbanque du marché nocturne, deux semaines auparavant. Je lai sentie alors se raidir et marquer une pause dans nos ébats. Cette attitude eu pour effet de stimuler mon excitation et je jouis immédiatement sous les caresses de sa main dans mon pantalon.
Nous étions jeudi soir et le prochain marché était pour demain soir. Je devais absolument contacter ce qui était peut-être déjà lamant de ma femme. Les commerçants du marché de nuit assuraient le matin un marché classique. Je mempressais donc de me rendre tôt ce vendredi matin au marché du village et seul. Javais raison. Mon beau black (du moins celui de Chantal) était présent et avait le même stand. Il me reconnu quand japprochais de lui, même sil ne mavait vu qu'une seule fois deux semaines auparavant et brièvement. Il fût tout de suite sur la défensive, me confortant dans mes soupçons.
Semblant de rien, je fouillais son étalage feignant de rechercher un objet précis. Dabord à lécart, il finit par me rejoindre pour me bonimenter. Je choisis une quelconque sacoche de cuir précisant que cétait un cadeau que je me proposais de faire à mon épouse. Très poli, il me complimenta pour mon choix et me précisa quelle sera sans doutes ravie de ce présent. Il sexprimait avec gentillesse et délicatesse. Il était maintenant vraiment à laise sétant assuré que jétais le parfait cocu, ignorant. Il est vrai que je ne savais pas quelles avaient été leurs relations durant ces deux semaines.
Bien entendu, javais choisi une petite bourse en cuir noir dont je savais pertinemment quelle ne plairait pas à Chantal. Cétait le clou de mon piège !
Je savais, pour avoir interrogé les parents de Chantal (qui étaient restés lui tenir compagnie jusquà mon retour) quelle ne sétait absentée quun seul soir, celui du marché de nuit. Je me doutais quils nétaient pas au courant de ses soirées galipettes.
Revenu à la maison je lui montrais mon achat, et bien sûr elle me dit gentiment quelle avait déjà ce genre dobjet et me remercia tendrement. Cest alors que je lui proposais daller ce soir au marché de nuit pour y retrouver certainement mon marchand. Son visage marqua instantanément une angoisse.
La même angoisse se laissait le soir même sur le visage de notre ami en nous voyant nous approcher, tous les deux bras dessus bras dessous, vers son stand.
En deux mots je lui expliquais la situation et aussitôt il proposa poliment à Chantal de choisir dans son étal un autre objet. La tension était manifeste chez les deux amants, comme je me plais à les appeler maintenant. Moi, je lui exprimais ma satisfaction de voir ma démarche aboutir pour faire plaisir à ma femme. Prétextant que je trouvais ce geste commercial fort sympathique, je linvitais à venir boire un verre chez nous une fois son travail terminé. Ma proposition les pris tous les deux de court et il nosa pas refuser. Chantal est devenue toute pâle.
Après lui avoir communiqué notre adresse, nous sommes repartis le long du marché, Chantal ayant échangé son cadeau.
Une fois à lécart, elle na pas manqué de me faire la critique de cette invitation la jugeant inutile et outrancière ! Je la contrais :
- Mais, tu avais lair de bien apprécier cet homme. Jai cru te faire plaisir !
- Non, je pense que tu connais mon attirance pour les hommes de couleur, et je crois que tu veux satisfaire ton vieux fantasme de me voir faire lamour avec un autre homme. Tu joues avec le feu !
Je préférais ne pas répondre, elle avait deviné mon stratagème. Jétais anéantis.
Nous sommes rentré et tout de suite elle est montée dans sa chambre. Je craignais le pire. En fait elle était allée se faire une beauté ! Jeu alors le sentiment que les rôles sinversaient ! Je ne menais plus le jeu !
Elle avait passé une robe légère laissant nues ses épaules et se bras. Elle lui arrivait très haut sur les cuisses quelle avait nues également. Cette robe est très décolletée avec une échancrure en V très profonde qui sépare sa poitrine de façon très sexy. Elle ne pouvait porter de sous vêtement. Elle avait mis des escarpins à lacets avec des talons assez important ce qui affinait ses longues jambes bronzées par le soleil.
Elle me jeta un regard de provocation et même de mépris qui me glaça le sang. Elle allait se donner, jen étais sûr.
Quand notre invité se présenta, elle alla rapidement laccueillir. Je lentendis murmurer des mots que je ne compris pas. Il demeurèrent dans le couloir de lentrée en dehors de ma vue, quelques instants qui me parurent une éternité.
En entrant dans le salon où je les attendais, il la tenait par la taille et me jeta un regard de mépris qui me fit mal. Chantal aussi me regardait avec des yeux froids, furieux et méchants. Jallais payer ma perfidie !
Me tournant le dos, je vois qui la prend dans ses bras. Elle ne résiste pas mais au contraire lui passe à son tour ses bras autour de son cou. Ils échangent un long baiser. Je suis déjà pris dune imposante érection. Je le vois qui descend ses grosse mains noires sur ses hanches puis sempare de ses fesses.
Il la tourne vers moi et se place derrière elle pour bien montrer quil se met à lui caresser les seins. Chantal ferme les yeux, face à moi. Sa tête sincline sur lépaule de son amant. Je la vois qui passe ses mains dans son dos à hauteur de son sexe. Je devine, sans le voir, quelle ouvre son pantalon pour semparer de sa queue.
Il dégage les bretelles des épaules et la robe tombe à ses pieds. Elle ne porte pas de soutien gorge et ses seins mapparaissent un court instant avant de disparaître, avalés par les grosses mains du black. Il lui triture la poitrine comme je sais quelle aime ! Il fait rouler les pointes. Chantal gémit, doucement, tendrement. Visiblement je nexiste plus maintenant sauf par instant pour recevoir un regard qui cherche à me faire mal.
Elle est nue maintenant dans ses bras, sur ses escarpins. Elle lui baisse son pantalon en sagenouillant devant lui. Accroupie elle me présente ses fesses.
Je la vois qui se saisit du sexe encore mou du black. Elle le caresse tendrement tout comme je lai vue faire sur le marché. Elle le regarde, le fixe et comme hypnotisée, elle le voit grossir et se dresser devant ses yeux. Je sens Chantal subjuguée par cette queue noire qui prend une dimension exceptionnelle. Lentement elle approche ses lèvres, y dépose un baiser chaste. Puis délicatement, comme au ralenti, elle tire sur la peau pour en dégager le gland. Il apparaît tout violet, gorgé de sang. Elle le contemple un moment avec de lengouffrer avidement dans sa bouche. Elle commence alors des va et vient lents puis de plus en plus rapides. Elle se saisit des couilles en dessous quelle masse entre ses doigts. On dirait quelle exécute une cérémonie religieuse tant elle sapplique et vénère cette bite dans sa bouche.
- Elle suce comme une reine ta femme.
Ces mots quil vient de dire me sortent de ma torpeur perverse. Il veut mhumilier. Chantal interrompt une seconde sa fellation pour me jeter un regard triste. Elle me voit la bite en main en train de me branler devant le spectacle quils offrent à mes yeux pervers.
Il la relève, lui donne un baiser, la prend dans ses bras et la dépose sur le divan. Il sagenouille à son tour entre ses jambes quil saisit pour les ouvrir et découvrir les lèvres de sa vulve déjà tout humide.
Il plaque sa bouche sur le sexe ouvert devant lui et commence à le lécher. Je ne peux mempêcher de mapprocher pour mieux voir sa langue qui fouille la chatte de mon amour. Chantal remue son bassin, se cambre au devant de cette bouche qui la fouille. Ils restent dans cette position plusieurs minutes jusquà ce que Chantal se mette à jouir en criant et en lui enserrant sa tête entre ses cuisses.
Quand il se dégage, je vois son visage tout humide des sécrétions de mon épouse. Il me jette un regard :
- Regarde bien , je vais la baiser ta femelle et la faire crier de jouissance comme jamais tu ne las fait ni le feras.
Il se redresse, se place entre les jambes ouvertes et se prépare à la pénétrer.
- Sil vous plait dis-je, dans une moment de lucidité. Mettez un préservatif, elle ne prend pas la pilule !
Et pour toute réponse, je vois Chantal se saisir du bâton dressé entre ses cuisses et lintroduire en elle !
- Vient, prends moi, e moi !
Dun coup de rein je vois sa pine senfoncer entièrement en elle. Chantal pousse un cri, puis commence à onduler du ventre pour baiser à sa manière cette queue qui maintenant lui laboure le ventre et les muqueuses. Je les entends souffler tous les deux. Moi je me retiens de jouir trop vite.
Il lui tient les jambes soulevées pour mieux la pénétrer. Plus profond, plus fort. Puis soudain, ensembles ils se mettent à gémir de plus en plus fort. Elle lui saisit sa tête et lembrasse pleine bouche. Elle jouit, il vient aussi. Ses coups de reins saccélèrent et dans un râle, il se déverse, éjacule en elle par longues saccades.
Enfin, ils se relâchent. Lui reste planté en elle. Profond, comme pour laisser son foutre la féconder. Repus le sexe sort doucement de ce ventre chéri. Moi jai joui en même temps que les deux amants. Chantal porte une main à son sexe pour recueillir le sperme qui sort dentre ses lèvres et lentement de ses doigts, elle le réintroduit en elle comme pour ne pas en perdre une goutte !
Pour finir, elle porte ses doigts enduits de foutre à sa bouche et lèche les dernières traces de la semence de son amant.
Ses yeux brillent, elle a joui, comme jamais je ne lai faite jouir ! Elle sest levée du divan, ma jeté un regard dur et sévère et sans un mot ni pour moi ni pour son amant, elle est montée dans notre chambre.
Lhomme sest rhabillé.
- Elle est bonne ta femme. Très bonne. Ne joue pas trop à ce jeu là, tu pourrais la perdre à jamais. Et il est parti.
Jai rejoins Chantal dans notre lit. Elle ma pris dans ses bras, sest mise à pleurer.
- Prends moi maintenant. Je te veux en moi.
Je lai serrée très fort et en un instant mon sexe sest redressé et je lui ai fait lamour, mêlant ma semence à celle de son amant !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!