Mon Petit Jardinier 01.

Durant le deuxième confinement, je suis restée la plupart du temps dans ma chambre d’étudiante, la cité U est très plaisante pour vagabonder, les étudiants peuvent utiliser un vaste terrain fait de petits buissons, d’arbustes, de parterres fleuris, c’est très agréable de se promener dans cet immense espace vert.

Pour entretenir ce grand parc, un vieux monsieur sympathique nous dit toujours bonjour en souriant et nous lui répondons habituellement avec joie en le saluant à notre tour.

Un après-midi, regardant machinalement par la fenêtre, j’aperçois au milieu d’un massif à genoux avec une petite binette, un garçon qui n’est pas notre vieux jardinier. D’assez loin, je ne le distingue pas comme je le voudrais, mais il me semble d’une belle corpulence, il me paraît jeune et je vois également que c’est un homme de couleur.

Privé de jeux buccaux depuis un certain temps la perspective qui se présente est à saisir immédiatement.
Évidemment la réputation qui colle à la peau de ces garçons noirs est un atout supplémentaire, j’ai déjà eu affaire, vous vous en souvenez au Glory Hole à un étalon bien pourvu, et là je me pose la question et je fantasme déjà sur la taille de son engin.

Il est presque 17 heures, je pense qu’il va bientôt débaucher et, il faut donc que j’aille tout de suite parler avec lui.
Même si nous sommes en automne aujourd’hui le temps est beau et la température agréable donc j’enfile un chemisier noir et je laisse plusieurs boutons détachés, bien sûr pas de SG, mes petits seins tiennent bien tout seuls, une minijupe aussi noire et j’opte pour la version sans-culotte, à quatre pattes il a des chances d’apercevoir mon petit abricot fraîchement rasé si je peux m’approcher de lui.

Et je sors, un livre à la main pour me donner une contenance. Mon petit cœur fait « boum boum » en m’approchant de lui, il est très occupé et ne s’aperçoit même pas que je suis très proche , mes premières impressions ne m’ont pas trompée, il est jeune et bien baraqué et d’un noir pur, j’ai connu des métis mais jamais un garçon aussi immaculé et cela renforce encore plus mes envies perverses.

- Bonjour, lui fais-je.

Surpris il sursaute, je ne voulais pas lui faire peur pourtant et j’espère que que je ne vais pas l’effrayer dès le départ.

- Bonjou’ mad’selle me répond-t-il timidement.

- Vous êtes nouveau parmi nous ?

- Oui je débute aujourd’hui.

Comme je l’espérais, il est à genoux et il plante une petite touffe de thym, sa position à ras terre est idéale pour voir sous ma jupe: car je suis à moins de 50 cm de lui, mais après un bref coup d’œil vers moi, subitement il regarde ailleurs, je pense qu’il a vu mais que timide et gêné il n’ose pas se rincer l’œil, décidément ce garçon me plaît de plus en plus.

- Que faites-vous après votre travail ?

- Oh je n’ai plus que 10 minutes et ap’es je p’ends ma douche et je rent’e chez moi.

La douche ! Il me tend une perche ( la sienne doit être superbe, du moins c’est ce que je m’imagine et comme j’aimerais l’admirer! ) que je m’empresse de saisir.

- Dans les communs de la cité ? Venez plutôt dans ma chambre, les douches individuelles sont beaucoup plus spacieuses.

Là, il est scotché, je le sens déstabilisé, une fille qui l’invite à prendre une douche dans sa chambre !. Il bredouille quelques mots incompréhensibles.

- Bon alors c’est d’accord, je vous attends dans 10 minutes, fais-je en m’éloignant après lui avoir indiqué le numéro de ma chambre.

Va-t-il oser venir ? Je n’en suis pas certaine, il n’a pas donné de réponse explicite. Je rumine et prie pour qu’il s’aventure jusqu’à ma tanière et là il sera mon prisonnier j’espère.

Un grand ouf de soulagement m’envahit quand j’entends un » toc toc » à ma porte. Et je m’empresse d’ouvrir de peur qu’il se ravise il parte en courant.

C’est bien lui, et c’est la première fois que je le vois debout, et il est grand, je pense plus d’un mètre 90, et tout est noir chez lui ! Ses cheveux un peu frisés, ses grands yeux qui me dévisagent puis il baisse la tête, il porte un petit sac, je pense que ce sont ses affaires de rechange, sa serviette et son savon.

Je le fais entrer, chez moi tout est dans une seule pièce, la cuisine le bureau la chambre et la douche. Comme elle est juste dans l’entrée, il la remarque tout de suite et écarquille ses beaux yeux car la surprise est de taille : effectivement elle est assez spacieuse mais ses parois sont constituées uniquement en verre et donc transparentes, il se rend compte que je vais pouvoir le contempler pendant qu’il va se laver.

- c’est, c’est, c’est là mad’selle? bégaye-t-il en me montrant du doigt la cabine, ça ça ça va êt’e pas possible.

- Bien pourquoi? Fais-je en prenant mon petit air innocent, moi je ne vois aucun problème. Serait-ce que vous ayez peur de me montrer votre bâton de plaisir ? J’en ai vu d’autres vous savez, mais peut-être que vous ne l’avez jamais montré à une fille ? C’est sans doute très dommageable.

- Mont’er mon Koko À une fille, au non jamais fait.

- Et bien moi j’ai très envie de voir votre koko.

Il ne bouge pas pris de stupeur, je suis obligée de saisir son sac, je sors sa serviette et la mets sur le porte serviette et son gel douche sur la tablette.

Il est toujours dans un état semi comateux, je suis obligée de prendre le taureau par les cornes ( la taille des couilles de cet animal m’impressionne ) et je défais son tablier de jardinier, il se laisse faire sans rien dire de même pour son pull et sa chemise mais arrivé à son pantalon il m’avertit de son angoisse et son embarras.

- Oh Koko g’ossi mad’selle !

- c’est magnifique, j’aime les beaux kokos bandés!

Je baisse son pantalon, il a un beau boxer assez large, une chance ! Car dedans c’est du lourd, la bosse est immense, je lui souris pour le mettre en confiance mes 2 mains de chaque côté ont saisi l’élastique de son slip.

- Prêt ? Lui fais-je.

- P’et, me repond-t-il.

A suivre.