Petit Cul Magnifique 2

Voici donc la suite de mon histoire avec M.
Depuis la dernière fois qu’il était venu, nous nous étions juste sucés et j’avais pu lui lécher le cul, mais impossible de le pénétrer, trop séré. Depuis, frustré, je fantasmais sur son petit cul magnifique.
Deux semaines plus tard, M sonne à ma porte avec une bouteille de whisky à la main, bonne idée. Mais, en a-t-il une autre derrière la tête ?
La soirée se passe bien, on se rend compte en discutant, que malgré notre différence d’âge, 15ans, nous avons des points communs et les mêmes goûts, par rapport à la musique et au cinéma par exemple.
Bien sûr, à force de boire, (à nouveau)l’ambiance se réchauffe et les inhibitions tombent. Puis il me dit :
- la dernière fois tu a essayé de me baiser.
Moi - hé tu me la demandé !
Lui - oui mais cette fois, c’est moi qui va te baiser.
Moi - QUOI ! Il faudrait que j’en ai envie.
Lui - je peux t’en donner l’envie.
Un peu excité par son audace je lui réponds :
-ok, je te met au défi.
Sans attendre, il vient à mes cotés et approche son visage du miens pour m’embrasser tendrement. Je suis surpris, puis il recommence, mais là sa langue, se fraye un passage entre mes lèvres et on se roule une pelle formidable.
Rapidement, je me retrouve toujours habillé allongé sur mon clic-clac lui sur moi qui continue a m’embrasser goulûment. Dire que la première fois il n’avait pas voulu.
Je bande déjà et je sens que lui aussi, il presse son sexe sur le miens à travers le tissu de nos jeans.
M devient de plus en plus chaud, il prends mes chevilles et ramène mes jambes vers mes épaules. Dans cette position, mon cul est bien relevé. Il place son sexe cotre mon cul et donne des coups de reins assez rude , il fait mine de me baiser à travers nos pantalons.
Comme je deviens chaud je lui dit :
- si tu veux entré en moi, il faut me déshabillé.
Du coup, on se déshabille et on se retrouve complètement nus.

À nouveau il s’allonge sur moi m’embrasse. Cette fois ci, je sens bien son sexe dur, il le frotte sur le miens, c’est délicieux. Au bout de quelques minutes, il se met à genoux au dessus de mon visage, sa queue devant ma bouche, je comprends ce qu’il veut. J’ouvre ma bouche, sa bite entre directement et ce petit con se met de suite a faire des mouvements de va et viens.
Pendants de longues minutes, trop longues à mon goût, Il me baise rudement la bouche, j’en ai mal aux mâchoires.
Je vais devoir le stopper, mais assez dominateur il me dit :
- t’a des capotes j’ai trop envie de te baiser.
Il m’a bien trop excité, je lui en donne une. J’ai juste le temps de me lubrifier, qu’il me m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Je dois avouer que son petit côté dominateur à ce moment m’excite.
Sur le clic clac, dans la position, je cambre impudique mon cul. Je le sens nerveux et ardent pendant qu’il se place à genoux derrière moi. Il place son gland sur mon anus, il pousse. Ça glisse vers le bas, puis vers le haut, c’est pas un expert… Je passe une main entre mes jambes, j’att sa queue, la place bien et recule sur sa bite qui cette fois rentre. Le salaud va donner un grand coup de rein pour rentres d’un coup sec . Je pousse un cri de douleur. Il me dit :
- pardon, excuse moi, je t’ai fait mal ?
Moi - bien sûr, t’y va comme un bourrin.
Lui - désole tu m’excite trop.
Moi -Va s’y doucement.
Lui - ok je te promet de faire doucement.
Puis il va commencer lentement de long vas et vient.
Je sens bien son chibre en moi qui me donne énormément de plaisir. Je commence a gémir de bonheur.
Petit à petit ses mouvements vont devenir de plus en plus dur et de plus en plus rapide, je l’entends respirer fort derrière moi. Puis ses coups deviennent rudes, il cri « je jouis » Et dans un dernier coup violent qui me fait tomber sur le ventre, je ressens qu’il se vide dans le préservatif. À ce moment, je ressent une onde de bien être qui me parcours tout le corps, dans un cris je suis pris de soubresauts de jouissance. M se retire et s’écroule de tout son poids sur moi. Un silence envahie la pièce.
On reprends doucement nos esprits. Après d’interminables minutes, il dit :
- alors ?
Ha ce petit con !
Moi - bien, très bien, mais j’aimerais bien t’en faire autant.
Lui - je te promet qu’un jour tu l’auras.
Moi - j’attends çà avec impatience.
Ce soir là il va me demander de rester dormir, j’ai accepté.

À suivre.

Seithan