Marie-Sophie
Javais connu Jacques dans un cinéma porno de la capitale.
Il mavait fait découvrir les plaisirs de la fellation et de la sodomie réciproques.
Il était bi et tout comme moi, fétichiste des femmes qui portaient des gilets ras du cou en cachemire ou en angora. Il aimait les femmes BCBG et en avait une à disposition.
Son épouse semblait en effet lépouse idéale à mes yeux mais il ne savait pas en tirer lessence. Il habitait avec Sophie dans un appartement luxueux du 16 ème arrondissement de Paris.
Nous avions fait lamour tous les deux. Chacun vêtus de cardigans en angora ou cachemire et de lingerie de luxe et nous y avions trouvé notre plaisir.
Il mavait communiqué son numéro de téléphone portable et je me décidai à lappeler non sans avoir une idée précise en tête.
Certes notre rencontre avait été très fructueuse et nous avions joui ensemble mais je me considérai avant tout comme hétéro et je voulais lui démontrer que son épouse pouvait être celle quil désirait vraiment.
- Allo Jacques?
- Oui?
- Cest Bruno, te souviens-tu de moi?
- Bien sûr, nous nous sommes vus il y a une quinzaine de jours. Tu me manques beaucoup.
Jai apprécié notre séance de baise en pulls. Tu mas bien fait jouir et je crois que moi aussi!
- Tu as raison Jacques. Tu mas aussi fait jouir comme personne auparavant mais je souhaiterais te demander une faveur?
- Ah bon, laquelle?
- Je voudrais te faire une surprise. Tu aimes les femmes BCBG et moi aussi et nous sommes obligés de nous tourner vers une relation homosexuelle pour satisfaire nos désirs. Cà a été super et jenvisage de recommencer mais je pense que vous méritez toi et ta femme Sophie, bien mieux.
- Tu crois? elle est coincée comme une nonne!
- Je te demande juste un service, sil te plait. Cela nempêchera pas que nous pourrons encore baiser ensemble et nous envoyer en lair avec nos cardigans préférés.
- Que veux tu?
- Dis moi où tu habites, donnes moi la description de Sophie, et donnes moi ton numéro de téléphone personnel.
- Tu ny penses pas!
- Si, au contraire, jy pense depuis quinze jours, et je suis sur que je peux convertir ta femme en une vraie salope qui aimera son mari. Mais si tu y es opposé continues à te retrancher sur de jeunes mecs ce qui ne
tapportera rien de plus. Tu aimes ta femme et elle taimera comme tu le souhaites.
Il faut juste que tu me fasses confiance.
Après tout je tai donné mon anus alors que je ne te connaissais pas et nous nous sommes éclatés alors fais moi confiance.
- Ok, mais je te donnes un mois. Sans quoi nous nous reverrons et baiserons comme la première fois.
- Pas de souci. Si je ny parviens pas je serai ta Sophie pour toujours et tu pourras menculer comme tu le souhaites et dans les tenues que tu veux! Donnes- moi ton adresse et ton numéro de téléphone stp?
- Ne fais pas de bêtises Bruno, je ne veux pas de bavure.
- Tu as ma parole Jacques. Croix de bois croix de fer si je mens je vais en enfer!
Il mindiqua son adresse et son téléphone personnel. Je pris soin de les noter sur mon agenda.
Je lui demandai sil avait des s et il me répondit par laffirmative. Il avait une fille de huit ans, quil avait eue assez tard.
- Et ma femme sappelle Marie-Sophie pour être plus précis, mais je lai toujours appelé Sophie.
Jen pris bonne note.
Je le remerciai de ces précisions et lui dit que je le contacterai plus tard mais quil navait rien à craindre de ma part.
Avec toutes ces informations en main jallais enfin pouvoir tenter de séduire sa femme.
Encore fallut- il quelle me plaise ce qui nétait pas gagné davance. Et aussi que je sois en mesure de la séduire.
Je ne métais pas encore fait une nonne ( enfin ce genre de femme) et le challenge me paraissait assez élevé.
Je retournai chez moi et songeai à la situation qui se présentait.
Les faits étaient ainsi.
Jaimais, que dire, jadorais, les femmes BCBG qui portaient de jolis cardigans en cachemire ou en angora et javais pour la toute première fois loccasion den rencontrer une.
Ca cétait le très bon point!
Le mauvais point était quaux dires de Jacques cette femme était frigide et naimait pas du tout faire lamour.
En dehors de ses devoirs conjugaux.
Javais donc un sacré challenge à relever.
Mais je nétais pas du tout découragé. Bien au contraire. Ce genre de femme bourgeoise mexcitait au plus haut point et je me sentais prêt à relever ce défi.
Jélaborai mon plan.
Ce nétait pas très facile. Il fallait que je trouve une solution pour approcher sa femme et pour la mettre en confiance.
Fort heureusement elle nhabitait pas très loin de chez moi.
Nous étions au mois de Juin et le temps était doux mais pas très chaud.
Javais quitté mon studio assez tôt pour pouvoir me rendre au domicile de Marie-Sophie à 7H30.
Jattendais patiemment devant son immeuble en essayant de ne pas me faire remarquer.
Vers 7H45 je vis une femme sortir de son immeuble. Elle tenait la main à une petite fille denviron huit ans.
Elle avait les cheveux longs, noués par un chignon élégant. Une jupe écossaise, des souliers vernis, et un cardigan en cachemire rouge complétaient sa tenue. Elle nétait pas déplaisante. Certes ce nétait pas un canon de beauté mais sous son air et ses vêtements stricts elle semblait disposer dun joli corps. Je lui donnai la trentaine. Pas davantage.
Jacques mavait fourni sa description et je vis tout de suite que cétait ELLE.
Javais revêtu un costume très sobre et distingué, des souliers parfaitement cirés et une coiffure plus conforme.
Ma coupe de cheveux, plus courte depuis mon entrevue avec Jacques, plaisait aux femmes.
Marie-Sophie tourna au coin de la rue pour accompagner sa fille à lécole. Je savais que je navais quune dizaine de minutes pour élaborer mon plan mais jy avais pensé auparavant.
Une quinzaine de minutes plus tard je la vis sengager dans la rue.
Je traversai et me plantai devant sa porte en faisant mine de sonner.
Elle me rejoint assez rapidement et me demanda ce que je faisais là.
Je lui fit part de ma surprise et lui dit que je souhaitais voir Mme Marie-Sophie Lebrun mais que celle-ci semblait être absente.
Je portais une mallette avec mes documents et mon aspect soigné sembla la rassurer.
- Que lui voulez-vous?
- Cest son mari qui a pris rendez vous pour moi. Jespère quil la prévenue sinon je suis à la porte. Je riais. Ce serait dommage!
Je ne pouvais détacher mon regard de son cardigan rouge quelle avait pris soin de boutonner jusquau cou et dagrémenter dun collier de perles. Je ne peux pas dire quelle était belle mais elle dégageait tant de féminité que cela allait bien au delà de la beauté.
Son visage nétait pas des plus jolis mais elle savait se mettre en valeur et il nétait pas disgracieux pour autant. Ses sourcils et ses cils ainsi que ses lèvres étaient parfaitement maquillés et sa tenue était parfaite. Je constatai, maintenant que nous étions plus prêt lun de lautre, quelle nétait pas belle comme certains lentendent, mais quen revanche elle avait du charme. Un charme fou. Bien au delà de mes attentes.
- Mais qui êtes vous? me demanda-t-elle
- Je suis agent dassurance vie et Mr Lebrun ma demandé de sadresser à son épouse. Je vais lattendre, ne vous inquiétez pas.
- Je suis Madame Lebrun me dit -elle. Venez avec moi sil vous plait.
Elle composa le code et me fit signe de la suivre.
Elle appuya sur le bouton de lascenseur. Il arriva rapidement. Elle me fit entrer dans la cage et puis entrai.
Arrivés à létage elle ouvrit la porte de lascenseur.
Je la suivais. Elle était splendide. Son cardigan rouge, sa jupe plissée, son collier de perles, ses souliers, son chignon, tout chez elle me plaisait.
Tout son corps dégageait une extrême douceur.
Elle prit son trousseau de clés et ouvrit la porte de son appartement.
- Veuillez entrer me dit-elle.
Je ne me fis pas prier et restai dans lentrée.
Je pénétrai dans le salon. Elle se dirigea vers ce que je supposais être la cuisine.
- Je vous en prie, asseyez vous.
Elle revint avec deux cafés et les déposa sur la table.
- Alors cest mon mari qui vous envoie?
- Oui il ma dit quil était intéressé par une assurance vie et que cest vous qui vous en occupiez. Je me trompe?
- Non, effectivement cest moi qui gère les comptes.
- Quavez vous à nous proposer? Je nai pas trop de temps pour ce genre de démarchage.
Je lui expliquai les différents placements possibles, du plus risqué au plus sûr, et lui demandai ce quelle en pensait.
- Je ne sais pas quoi en penser cest assez étranger tout cela pour moi.
Jouvrai ma valise pour sortir un nouveau dossier et lui présenter un investissement plus à son avantage.
Ce que javais complètement oublié est le fait que javais dans ma valise un pull féminin gris clair en cachemire.
Il comportait neuf jolis boutons en nacre véritable. Il provenait dEcosse et les manches, le col ainsi que le bas du cardigan étaient côtelés élégamment. Je lavais toujours avec moi au cas où une rencontre impromptue soit tentée de le porter.
Je fus un peu désemparé, me saisit du dossier et mempressait de refermer mon attaché case.
Elle mécouta attentivement pendant une demi heure puis me demanda si je navais rien à lui proposer dautre.
Je lui dit que cétait tout ce que javais mais que cétait très intéressant et développai mes arguments en sa faveur.
- Pourriez vous ouvrir votre attaché case un instant svp? Il me semble que vous avez oublié un dossier.
- Non Madame Lebrun je vous lassure.
- Si, croyez-moi je pense avoir vu un investissement qui pourrait mintéresser davantage.
Jouvris ma mallette mais celle-ci ne détenait quun cardigan en cachemire mais autre dossier malheureusement.
- Vous voyez je nai plus rien à vous proposer Madame Lebrun.
Elle saisit alors le cardigan en cachemire gris et ses doigts jugèrent de sa douceur. Ils parcouraient la laine douce et caressaient ce pull sensuellement.
- Cet investissement me parait très approprié me dit- elle. Quen pensez vous?
Jétais assez abasourdi car je navais pas du tout prévu cela et ce cardigan aurait dû rester chez moi.
Mon plan sentait le roussi.
- Cest à dire que cela na rien à voir avec de lassurance vie Mme Lebrun.
- Vous avez raison mais néanmoins ce cardigan me plait beaucoup.
- Il est à ma femme lui mentais-je.
- A votre femme et dans votre valise? Vous me prenez pour une cruche?
- Non, je ne me permettrai pas Madame Lebrun.
Elle regarda létiquette attentivement et se rendit compte que sa taille était plutôt celle dun homme.
- Cest à vous?
- Non, je vous lai dit il appartient à ma femme.
- Et votre femme mesure 1m75?
- Non.
- En revanche je mesure 1m76 et je pense quil pourrait me convenir.
- Vous croyez?
- Jen suis certaine me dit elle.
Mais je lui fit remarquer quelle en portait déjà un magnifique qui était rouge et semblait très doux.
- Oui cest certain, mais jadore le cachemire et celui-ci me plait énormément. De plus je nen ai aucun de cette couleur.
Il provient dEcosse. Il est magnifique.
Me permettez vous de lessayer?
Je ne savais que répondre.
- Oui bien évidement Mme Lebrun. Mais ce nest pas vraiment lobjet de ma venue.
- Attendez moi je reviens dans un instant.
Elle sempara du cardigan et revint quelques minutes plus tard.
Elle lavait revêtu et il lui allait à merveille.
Je constatai quelle ne portait plus de soutien gorge et sa poitrine libre sous ce pull commençait à mexciter.
Ses seins étaient de bonne taille et ses tétons pointaient déjà sous son pull.
- Je nai que faire de vos assurances vies. Jen suis désolée mais en revanche je voudrais bien vous acheter ce cardigan. Quen pensez vous?
- Cest à dire quil nest pas à vendre madame Lebrun. Il fait partie de ma collection personnelle et jai omis ce matin de lôter de mon attaché case.
- Votre collection personnelle? Vous vous moquez de moi?
- Non je vous assure Madame Lebrun. Effectivement il nest pas à ma femme car je ne suis pas marié mais à moi car jadore aussi en porter. Par conséquent il nest pas à vendre Madame.
- Vous êtes en train de me dire quil est à vous? Vous plaisantez?
- Non Madame je ne plaisante pas il est vraiment à moi mais je ne suis pas là pour çà. Je ne savais vraiment pas comment me sortir de cette situation.
- Nous allons faire un marché jeune homme. Vous me le vendez et je vous souscris une assurance vie.
Etes vous daccord?
- Cest à dire quil coûte une certaine somme Madame Lebrun.
- Appelez moi Marie-Sophie.
- Je ne peux pas Madame Lebrun.
- Ecoutez mon garçon, je sais que vous faîtes votre travail, très bien par ailleurs, mais si vous souhaitez que je souscrive lun de vos contrats ce sera ma seule condition!
De toute manière cest Jacques mon époux qui paiera tout, cet idiot est un bon à rien!
- Je suis daccord Marie-Sophie mais jai acheté ce cardigan en Ecosse et comme il est composé dun excellent cachemire, vous avez pu vous en rendre compte, jai du débourser 300 euros pour en faire son acquisition.
- Le prix mimporte peu. Jacques me paie à rester à la maison et me considère comme sa bonne. Alors pour une fois que je trouve un cardigan qui me plait vraiment il mettra la main à la bourse.
En mon fort intérieur je me dis queffectivement Jacques était le genre dhomme à mettre la main à la bourse mais sans doute pas à celle à laquelle elle faisait allusion.
- Je suis daccord Marie-Sophie. Mais sachez tout de même que cela me brise le coeur davoir à abandonner un si joli et surtout si doux cardigan.
- Je vous comprends. Je ne men séparerai jamais soyez en certain. Je le garderai pour mes amants.
- Vos amants? Je connais bien Jacques et il ma pourtant dit quil vous adorait et que vous étiez fidèle.
- Ce nest quun piètre mari qui ne sait pas me procurer de plaisir. Il doit être homo! Jai eu beau tenter de le séduire, je reste pour lui une femme au foyer et cette situation me pèse. De plus il est bien plus âgé que moi et je préfère les jeunes hommes, comme vous. Elle souriait.
Jétais mal à laise. Elle était en train de me draguer ce qui faisait parti de mon plan mais sans détester son époux elle ne laimait pas.
Elle néprouvait aucun sentiment pour lui.
Il y avait quand même une chose qui me tracassait. Les hommes, et moi le premier, pouvions être fétichistes mais javais toujours lu ou entendu quune femme nétait pas fétichiste. Quelle était davantage portée sur le sentiment affectif avec son partenaire et pas sur les vêtements ou la lingerie. Or Marie-Sophie était attachée aux cardigans en cachemire.
Il fallait que je mette cela au clair. Ca tournait dans ma tête.
Je pensais à tout cela lorsquelle me demanda.
- Quel est votre prénom?
- Bruno.
- Cest joli et vous êtes très charmant jeune homme.
- Puis je vous poser une question Marie-Sophie?
Cà mennuyait davoir à lappeler Marie-Sophie mais mexcitait aussi terriblement. Cétait le genre de prénom composé issu de la bourgeoisie catholique et aristocratique qui minsupportait mais jadorais ce type de femmes. En fait je détestais leur attitude et leur façon dêtre mais je ne sais pas pourquoi jadmirai leur façon de shabiller et leur style un peu coincé.
Elles possédaient quelque chose détrange, de caché, de lubrique aussi, qui me faisait fantasmer. Je lui posai ma question.
- Pourquoi aimez vous vous tant porter des cardigans en cachemire?
- Simplement parce que japprécie leur douceur et leur forme me dit elle. Ils sont le symbole de la féminité à mon sens.
Mais mon mari na rien compris. En revanche je crois que vous penchez plutôt dans mon sens Bruno?
- Oui absolument je trouve cela extrêmement féminin et leur douceur mémeut chaque jour à tel point quil marrive den porter.
- Vous en portez? Vous me faîtes sourire vous navez rien dhomosexuel en vous. Je suis certaine que vous adorez les femmes.
- Vous avez raison. Jadore les femmes. Jadore les femmes comme vous.
Cette phrase était sortie spontanément de ma bouche.
Jétais toujours assis sur une chaise du salon. Elle se leva pour me proposer un autre café.
Lorsquelle revint elle déposa les deux cafés de son côté et ne dit mot.
Elle prit un sucre et me demanda si jen désirai un.
- Non, sans sucre, sil vous plait.
Elle remua doucement sa petite cuillère dans sa tasse en porcelaine et commença à boire.
La mienne était trop loin de mon siège pour que je puisse men emparer.
Elle buvait tranquillement.
- Ton café va être froid Bruno.
Elle me tutoyait aussi naturellement que si nous étions amis.
Je crus quelle allait me lavancer pour que je puisse men saisir mais elle nen fit rien.
Au contraire elle continua à boire et releva sa jupe légèrement.
Après tout jétais là pour la séduire et redonner un peu de tonus à son couple mais ma mission était compromise.
En revanche elle nétait pas farouche et voulait jouer avec moi.
Je me levai et pris place à ses côtés. Je memparai de ma tasse et pris une gorgée de café.
Elle ne parlait plus et me dévisageait. Elle déboutonna le haut de son cardigan (enfin le mien!) pour me laisser voir le haut de ses seins.
Elle releva davantage sa jupe écossaise de manière à me montrer quelle portait des bas couleur chair et des porte jarretelles.
Mais elle nen dévoilait pas davantage comme si elle me demandait de prendre linitiative.
- Tu es splendide lui dis-je. Ce nétait pas très original mais je ne trouvais pas mes mots.
- Toi aussi Bruno.
Je la pris par la taille et mapprochai de son visage si tendre.
Elle ouvrit la bouche et moi aussi. Nos langues se mêlaient pour un premier baiser fougueux.
Elle sempara de mes cheveux et colla sa bouche contre la mienne. Jétais super bien.
Sa langue avait un goût délicieux et elle savait y faire. Je bandais maintenant mais pensait vraiment que ma mission pour Jacques allait échouer.
Je posai délicatement ma main sur ses seins à lintérieur de son cardigan. Ses seins étaient magnifiques alors que je ne les avait pas encore vus. Le contact de la laine et de son propre corps me procuraient un immense plaisir.
Nous continuions à nous embrasser tendrement mais aussi avec assiduité. Marie-Sophie posa sa main sur mon pantalon et caressa mon pénis qui désormais était tendu. Je glissai ma main sous sa jupe puis me décidai à me diriger vers son puits damour.
A ma grande surprise elle ne portait pas de culotte et jatteints sa vulve humide. Aucun obstacle nétait entre nous.
Elle écarta les jambes. Sa vulve était mouillée et je glissai un doigt dans sa fente.
De son côté Marie-Sophie avait extrait mon sexe de mon pantalon et me branlait. Mon érection nétait pas encore totale mais mon sexe gonfla sous ses mouvements lents et experts.
Cette femme BCBG savérait être une véritable chienne en chaleur.
Et jaimais ça!
Alors que je tentais de déboutonner son cardigan elle me fit baisser mon pantalon et prit entièrement mon sexe dans sa bouche.
Elle me léchait le gland puis descendait le long de ma hampe pour le prendre tout entier dans sa gorge.
Je navais dyeux que pour ses seins, sa chatte et son cardigan. Je lui fis signe de nous poster en 69
sur le canapé. Elle pouvait sucer ma queue et je me délectais de sa chatte. Je me décidai à introduire un doigt dans son anus mais minquiétais de sa réaction. Au contraire elle me fit comprendre quelle aimait cela et les mouvements de son bassin prouvaient bien quelle était très réceptive à ce genre de caresse.
Je lui demandai de se retourner pour me présenter son dos et ses fesses. Ma langue prit possession de son anus.
Cétait sans doute la plus belle feuille de rose que je navais jamais administrée à une femme à ce jour.
Son cul souvrait davantage à chaque poussée de ma langue et je pouvais maintenant la pénétrer analement sans aucune crainte. Mais je voulais profiter de ce cul majestueux. Lune de mes mains sattardait sur son clitoris et la masturbait.
Elle allait jouir mais me fit signe quelle souhaitait jouir autrement.
Elle membrassa de nouveau.
- Je veux que tu me prennes Bruno. STP
Prends moi fort, je suis à toi.
Je la retournai sur le dos. Je déboutonnai son cardigan et lui caressai la poitrine.
Elle écarta les jambes pour que je puisse la pénétrer.
- Prends moi fort Chéri.
Mon sexe sintroduit dans sa chatte humide et je commençai à la limer avec toute la vigueur dont je pouvais disposer.
Elle se caressait le clito et à peine trois minutes après que je me sois introduis en elle me déversa de longs jets de cyprine. Je me retirai puis entrai à nouveau dans ce puits damour.
Je sentais son bassin se cambrer et je me retirai à tant pour à nouveau recevoir de nombreux jets.
Son orgasme était intense et nen finissait plus. Jétais en présence dune femme fontaine!
Je navais toujours pas joui. Je lui demandai de lenculer car son cul mattirait.
Elle me dit quelle adorait cela et se mit à quatre pattes sur le canapé.
- Vas y, prends mon petit trou!
Elle releva son cardigan sur ses jolies fesses bombées et se cambra le plus possible.
Son anus déjà bien ouvert par ma langue était bien préparé. Je mis mon gland tout contre sa rondelle et commençai à mamuser avec son petit trou. Je faisais entrer mon gland tout doucement puis le sortait alors quelle ne sy attendait pas. Mon jeu dura dix bonnes minutes.
Puis dun seul coup mon sexe sintroduit dans son anus demandeur.
Elle poussa un léger cri mais pas de douleur. Je sentais quelle voulait que jaille encore plus profond entre ses reins.
Je stoppai mon avancée et en profitai pour lui caresser son clitoris et son cul.
Javais en face de moi une femme soumise. Je pris son cardigan et létalai sur son cul.
Dun côté je voyais ses boutons et de lautre ses boutonnières et ça me donnait encore davantage envie de la sodomiser.
Jentrai à nouveau dans son cul et la ramonai comme la grosse cochonne catholique Bcbg quelle était.
Elle se caressait le bouton et me demandait de jouir en elle.
Son corps se durcit et notre orgasme arriva au même moment. Je lui rempli le cul de mon sperme tandis quelle maspergeait de son jus.
Elle était parcourue de soubresauts et narrêtait pas dasperger le parquet.
Je lenlaçai et lembrassai avec fougue. Son visage était illuminé de bonheur.
Sa poitrine allait au rythme de sa respiration accélérée.
Je venais de me faire une bonne épouse BCBG et jétais très satisfait.
A suivre
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