Mon Amant Pierre

J’aime Pierre. J’aime son sexe comme il aime le mien. Je le trouve beau à voir quand il bande, avec sa queue bien dressée pas tout à fait droite, ses couilles bien resserrées et remontées avant de me baiser. Notre première fois n’a pas été des plus faciles : je n’étais plus vierge depuis longtemps, il n’était que mon troisième. Quand il m’a demandé de me baiser, j’ai dis non d’abord pour ne pas paraitre une dégénérée. J’ai dis oui plus tard.
Nous étions dans sa chambre, il m’embrassait sans cesse tellement profondément qu’il m’a fait mouiller. Aussi Pierre m’a proposer de me coucher sur le lit, qu’il est venu me lever la robe, passer ses mains sur ma féminité, je l’ai laissé faire. Quand sa main s’est posé sur ma chatte, je fermais les yeux. Il me branlait comme si ne nous n’avions fait que ça toute notre vie.
Pierre m’a faite jouir rien qu’avec sa main. Aussi quand il m’a déshabillé j’ai accepté de me montrer nue. C’est un peu plus tard que j’ai vu sa bite : il bandait. Il est venu sur moi doucement en faisant très attention à moi. J’écartais les jambes pour qu’il passe. Je l’ai guidé en lui prenant la queue avec la main droite : elle était chaude, j’avais envie qu’il me la mette. Il me la mise doucement, trop doucement au début. Il s’est enfoncé totalement : je le sentais au fond de mon ventre. C’était bon, ultra bon. Après avoir mis mes jambes autour de ses hanches, j’ai senti monter la jouissance avant qu’il jette son sperme dans mon puits. Nos spasmes ont démarrés ensemble. Cette commune jouissance nous a liés.
Nous avons recommencé plusieurs fois cette première nuit. Au matin j’étais cassée de partout. Nous nous sommes séparés pour nous revoir le soir même. Au fil des jours, nous nous aimions comme en escalade. Un jour il m’a demandé de le sucer. J’étais d’accord à condition qu’il ne jouisse pas dans ma bouche.
Je suis installée couchée sur le lit : il est venu me donner sa queue dans la bouche. Je le sentais pour la première fois ; je percevais ma cyprine puisqu’il venait de me baiser.

J’ai réussi à faire descendre le prépuce rien qu’avec les lèvres, comme une vrai pute. Ma langue s’est entortillée autour de son gland. Il regardait ce que je lui faisais. Il a légèrement poussé sa queue dans ma bouche : je l’ai pris en entier pour que ma bouche soit aussi confortable que mon con. Brusquement il s’est retiré pour jouir sur mes seins.
Je m’en suis servi du sperme comme d’une crème de beauté. Il nous arrive souvent maintenant de faire des 69. Mais là, maintenant je suis obligé d’avaler la semence : au début, c’est gluant, salé, acre, doux, bref ce n’est pas bon. Maintenant je n’arriverais plus à m’en passer, c’est aussi nécessaire que dans le sexe.
J’ai adoré dès la première fois son cunnilingus. Il m’a prise un peu par surprises en m’embrassant d’abord le pubis. Quand sa bouche est venue sur ma fente, il m’a visité comme une curiosité. D’abord sa langue est venue dans mon puits. Il l’a tourné à l’intérieur jusqu’à me faire jouir. Sans se retirer il est venu sur mon anus. La j’étais surprise : il était le premier à venir sur mon cul et entrer sa langue. Il m’a faite jouir comme rarement.
Ce n’est que la fois suivante qu’il est venue sur le clitoris, j’ai sursauté de sentir le plaisir qui venait vite, trop vite. Il l’a entouré, léché, aspiré. C’était divin. Je sentais couler mon jus sur les lèvres de Pierre : il a tout bu au fur et à mesure. Quand il a arrêté à mon grand regret, il a posé ses lèvres sur les miennes : je sentais mon odeur et surtout mon gout. C’était extraordinairement dégueulasse de sentir ses propres odeurs sur une autre langue.
J’aime quand nous sommes en 69, passer mes mains sur ses cuisses pour pouvoir pose un doigt sur son cul. Je l’y entre en entier. J’aime sentir quand le cul se referme quand il jouit. Comme il aime m’en faire autant.
C’est à partir de là qu’un jour en me branlant devant lui j’ai eu envie qu’il m’encule normalement. J’étais en levrette comme souvent quand nous baisons quand il est venu derrière moi enfoncer sa queue dans mon puits.
Ce n’était pas ce que je voulais. Il m’a fait patienter. Satisfaite quand il pose sa pine sur le cul, il entrait plus que lentement. Il a du mettre plus de 5 minutes avant que le gland entre. Mon cul s’élargissait avec plaisir. Je sentais sa pine entrer dans mes boyaux. C’était à la fois déplaisant et jouissif.
Il me la mise à fond. C’était plus qu’agréable d’avoir le cul plein avec sa queue. J’ai joui avant lui. J’ai joui encore quand il déchargeait. Je lui demande souvent de me sodomiser.
Pierre sait me faire jouir de mille façons. Nous aimons procéder par ordre : il est toujours en forme. Nous faisons d’abord un 69, il me la met ensuite dans la chatte, je me retourne pour qu’il m’encule.
Bien sur nous avons quelques fois de fantaisie comme quand il veut mettre sa queue entre les seins. Je les serre bien pour l’emprisonner. Je regarde toujours son méat qui s’ouvre quand il jouit. Je cherche toujours à récupérer son jus.
Une fois, une seule fois il m’a demandé de me faire baiser par un autre devant lui. J’ai accepté pour lui faire plaisir. Au fond j’ai eu moi aussi mon plaisir. Cet amant avait une belle queue que j’ai apprécié de suite quand il la planté. Son étreinte était tellement différente de celle de Pierre que j’ai heureusement joui. Il n’était pas doux avec moi quand il m’a baisé. Il semblait prendre son plaisir en me faisant mal. C’est pour ça que je suis partie dans un grand orgasme.
J’ai pu le faire mettre sous moi pour me faire encore baiser. Pierre me regardait faire en se branlant. Je l’ai fait venir sur moi. Il bandait toujours, j’ai ouvert mon cul pour qu’il y vienne. Je ne sais pas exactement ce qu’il a senti, en tout cas moi j’ai joui comme une princesse avec ses deux pines dans mon ventre. Je sais qu’ensuite ils m’ont léché la chatte à deux. Ils sont du se partager le sperme qui coulait de mon cul.
Sans rien lui avouer, je l’ai trompé avec une copine de classe. Nous étions chez nous quand elle me racontait ses histoires de cul.
Partisante des partouzes, elle fréquentait ses lieux assez souvent, par tellement pour baiser un type, elle, préférait les filles. Elle racontait ses baises homos. Elle racontait si bien que j’ai eu envie qu’elle m’essaie.
Elle m’a embrassé comme un homme, m’a peloté pareillement avant de mettre sa main sur ma chatte. Ses doigts se sont mis au travail rapidement. J’ai ouvert en grand mes cuisses pour qu’elle puisse profiter de moi. Je me souviens encore des caresses qu’elle m’a merveilleusement données. Son seul doigt sur le bouton me faisait un effet pas possible. Elle me branlait mieux que Pierre et mieux que moi.
Elle m’a enlevé la robe, fait couchée sur le dos, avant de venir sur moi. Je me souvent de sa vulve tout contre ma bouche. Je n’avais aucune honte à la lécher comme une dingue. C’était agréable de sentir sa langue sur ma chatte et ma langue sur la sienne. Je ne sais combien d’orgasme elle m’a donné.
Le soir je n’en ai pas parlé à Pierre, pour lui dire quoi qu’une copine m’avait sucée ? Je me suis donnée à lui à fond, je crois même que nous avons baisé plus que les autres jours.
Nous regardons souvent des DVD porno. C’est Pierre qui les choisit. Nous sommes nus devant la télé assis sur le divan, l’un près de l’autre. Au début chacun se branle devant le spectacle. L’histoire ou les positions devenant plus pornos, nous branlons l’autre. J’aime être à ses cotés en ayant ma main et sa pine entre mes yeux et la télé : je profite de deux spectacles. Je sens sa main sur le bouton pendant la masturbation. Des fois ils nous arrivent de jouir deux fois devant le même DVD.
Pour nous le plaisir est devenue une seconde nature. Dés le matin où nous sommes toujours plus sage, nous nous branlons, après le déjeuner, je le suce comme un bonbon. Il me le rend en me léchant comme un sucre d’orge.
Et le soir, là, c’est la débauche. Tout le répertoire y passe. Bientôt il me fistera. Il me tarde d’avoir toute sa main dans le con.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!